Sujet: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 16:29
Joy Artémis Weasley
carte d'identité
Nom : Malgré sa crinière brune et son manque flagrant de tâches de rousseurs, Joy est une digne Weasley. Cette famille perçue autrefois comme des rebuts de la société qui connait la postérité depuis la guerre face à Voldemort. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles elle clame toujours haut et fort être une Weasley, avec une si grande fierté qu'elle en passerait presque pour de l'arrogance. Prénom(s) : Bien que, ses professeurs, sa grand-mère et sa mère mis à part, personne ne l'appelle comme ça, son premier prénom est Georgia ; elle ne l'affectionne pas tout particulièrement malgré la musicalité de ses syllabes. Quant au second, Artémis, c'est son père lui-même qui l'a choisi. Si elle n'apprécie que très modérément son premier prénom, elle tient en horreur le second : dés sa naissance, son père n'aspirait qu'à faire d'elle la moitié d'une même entité : Apollon et Artémis ; Fred et George ; Frédéric et Georgia. Surnom : Étant donné qu'elle n'a jamais apprécié l'utilisation de son prénom dans sa totalité, le surnom de Joy est devenu usuel tant et si bien que certains pensent faussement qu'elle s'appelle réellement ainsi. C'est d'ailleurs son père qui est à l'origine de ce surnom, bien qu'il l'appelle généralement Georgie. C'est pour cette raison qu'elle a une tendresse toute particulière pour le surnom de Joy et que, hormis Georgie, elle tient tous les autres sobriquets dont on pourrait l'affubler en horreur. Âge :Dix-neuf années de farces et attrapes en tout genre. Date et Lieu de Naissance : Elle est née durant la nuit du deux mai – jour de la Victoire mais aussi de la mort de son oncle Fred – de l'année deux-mille-deux, cinq minutes après son frère, à l'hôpital Ste-Mangouste, à Londres. Nationalité : Née à Londres et ayant deux parents britanniques, elle est elle-même de nationalité anglaise. Pureté du sang : Bien que jusqu'à la précédente génération, tous les Weasley étaient de sang-pur, ils ont toujours été cependant qualifiés de traitres à leur sang pour leur amour des moldus ou le dédain que leur inspirait l'idéologie du sang. Le destin a pourtant mis Angelina Johnson sur le chemin de George Weasley, et leurs deux rejetons sont par conséquent de sang-pur, tout comme leurs parents. Joy préfère néanmoins être qualifiée de traitre à son sang, ne supportant pas d'être comparés à tous ces abrutis de consanguins. Année d'étude & Maison : Depuis sa tendre enfance, l'ambition première de la jeune femme est d'être une digne Weasley ce qu'elle a, jusqu'à présent, parfaitement réussi : elle prône avec fierté le blason des Gryffondor depuis six ans de scolarité à Poudlard. Orientation sexuelle : Franchement, Joy n'a aucun tabou. Bien qu'elle ne soit sortie qu'avec trois-quatre garçons, elle n'éprouverait aucune gêne à assumer ses sentiments à l'égard d'une autre fille. Même si l'expérience n'y est pas, elle se considère donc comme étant bisexuelle. État civil :Célibataire, et très heureuse dans cette situation – et elle ne dit pas ça par dépit – ; franchement, les garçons, c'est une vraie usine à problèmes...
le sorcier en toi
Baguette : Fine et flexible, confectionnée en bois de vigne et mesurant vingt-huit centimètres virgule cinq, sa baguette contient une plume de jobarbille et est idéale pour les métamorphoses. Patronus : Nombreuses furent les tentatives pour obtenir un patronus corporel et, en premier temps, celui-ci se résumait uniquement à une vague fumée opaque argentée. La première fois où elle a réussi ce sortilège, c'était il y a deux ans, un jour où elle était plus déterminée que jamais, et le seul souvenir qui lui est venu en tête fut son premier vol en balais. Un jour, son oncle Harry lui a dit qu'il avait aussi d'abord pensé à ça, mais que le souvenir n'avait pas été assez puissant. Mais pour elle, si. Pour Joy, le vol en balais représente la liberté à laquelle elle aspire depuis toute petite et aussi le Quidditch, sa passion. Depuis ce jour, son patronus prend la forme d'une hermine ondulante, fine et gracile au pelage d'un blanc couleur de diamant. Épouvantard : Elle n'en parle jamais, honteuse d'avoir un Épouvantard pareil, sachant que c'en est même malsain. Elle a peur que son père l'apprenne, qu'il ne l'aime plus pour cette peur qu'il jugerait totalement inappropriée. Son Épouvantard prend la forme de son défunt oncle Fred. Elle n'a pas peur de lui, mais de l'importance qu'il avait dans la vie de son père et qu'il le lui arrache, un jour. Parce qu'elle a peur de ne pas être aussi importante aux yeux de George que l'était son jumeau. Particularité : Un jour, elle a tenté de devenir Animagus mais la patience n'ayant jamais été son fort, elle a laissé tomber l'idée... au bout d'une semaine. Options choisies & métier envisagé : S'il y a bien une chose qu'elle a hérité de ses parents, c'est bien leur passion incontestable pour le Quidditch : depuis qu'elle a reçu sa première paire de chaussettes, elle rêve de devenir joueuse professionnelle dans l'équipe des Harpies de Holyhead. Sinon, toujours en quête d'adrénaline, elle pourrait aussi parfaitement s'épanouir en tant qu'Auror. Pour ses options, en digne Weasley, elle a choisi étude des moldus et a décidé de se tourner vers la divination en second lieu. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Une Weasley, pratiquer de la magie noire ? C'est ça, et se faire Avada Kedavrisée par toute la meute ? Non, franchement, plus la magie noire restera loin d'elle, mieux elle se portera. Quand on voit dans quelle terreur la Grande-Bretagne a été plongée avec Voldemort ou Grindelwald... Non, vraiment, son éducation l'a toujours poussée à mépriser la magie noire et elle ne risque pas de changer d'avis sur la question. Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ? Quand elle était petite, Joy a vu sa mère se faire pointer du doigt parce qu'elle était noire. Du haut de ses sept ans, elle n'avait pas compris et sa génitrice lui avait expliqué ce qu'était le racisme. Depuis, la jeune femme ne tolère aucune forme de discrimination, que se soit en rapport avec les origines, la couleur de peau, l'orientation sexuelle ou le sang. Aussi, si les rejetons des anciens mangemorts se décident à renouer avec l'idéologie du sang, Joy sera sans aucun doute l'une des premières à prendre le baguette pour défendre nés-moldus, comme traites à leur sang. Elle n'est néanmoins pas certaine de rejoindre cette rébellion si les rumeurs s'avèrent fondées : elle veut d'abord être certaine que, contrairement à l'Ombre, la rébellion fera preuve de justice, sinon, elle serait prête à faire cavalier seul sans problème.
le moldu derrière tout ça
Pseudo : virtual heart ou juste laura. Âge : mineure mais vaccinée : je vais sur mes dix-sept ans. Avatar : mila – hot – kunis. Fréquence de connexion : je suis là trois-cents soixante jours par an. Comment as-tu connu le forum ? merci PRD, franchement quelle merveille ! Code :Code validé par Hindy !Copyright : tumblr
Dernière édition par Joy A. Weasley le Dim 18 Nov - 19:43, édité 6 fois
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 16:30
ton histoire
La salle est remplie d'inventions plus farfelues les unes que les autres, envahie de couleurs, bondée de rires. On entend les conversations enjouées de l'autre bout de la rue et, parfois, une minime explosion vient s'inviter au milieu des paroles enthousiastes. Un groupe d'adolescentes ouvrent un flacon, et le liquide fushia s'échappe en de délicieuses volutes de fumées, dessinant de délicates arabesques qui, lentement, viennent s'attacher aux mèches de cheveux d'une des filles, colorant sa crinière d'ordinaire blonde d'un rose criard sous les gloussements de ses trois amies. À l'autre bout, deux garçons d'une vingtaine d'années ricanent en se lançant une petite balle rouge et or ; maladroit, celui de gauche appuie sur le petit bouton ocre au sommet de la sphère et une pluie immonde et gluante de liquide violet et transparent arrose les deux compères. Devant le comptoir, une petite fille d'une dizaine d'années s'accroche frénétiquement à la main de sa mère, et tient dans son petit poing d'enfant des sucettes langanfeu.
Du haut de ses un mètre vingt, Joy agrippe l'arête de la porte et passe lentement sa tête par l’entrebâillement et observe, silencieusement, les gens qui s'amusent avec les inventions de son père. Derrière elle, il y a sa maison, avec sa maman, son chat et ses poupées ; un endroit dans lequel elle est bien, un endroit où elle n'hésite pas parce qu'elle connait tout mais, par conséquent, où elle s'ennuie parfois. Joy s'ennuie à la maison avec sa mère qui s'acharne au ménage et aux fourneaux pour que tout soit parfait pour ce soir, quand le reste de la tribut Weasley viendra manger à la maison. Elle jette un bref regard par dessus son épaule, compatissante : Frédéric n'a pas eu le temps de comprendre ce qu'il se passait que leur mère l'avait déjà attrapé pour qu'il aille immédiatement ranger sa chambre. Alors, Joy a compris qu'elle avait tout intérêt à passer inaperçue aux yeux de l'hystérie perfectionniste d'Angelina Weasley. Et elle avait fui.
Joy adore la boutique de farces et attrapes de son père. Elle y passe presque tous ses après-midis et a fini par connaître par cœur chaque effet de chaque invention. Elle aime tellement cette atmosphère légère et heureuse ; à peine passe-t-elle la porte de l'arrière boutique qu'elle est envahie par un sentiment de joie intense. Ici, elle est en terrain familier, conquis même. Mais s'il y a bien une chose que Joy n'aime pas, c'est bien déambuler dans la boutique lorsque celle-ci est bondée – comme à présent – sans être tout à côté de la seule chose rassurante dans ces moments-là. Mais, là, cette chose – elle est grande et souriante et forte, et c'est son papa – est loin. Papa est à l'autre bout. Il parle avec trois personnes, trois adultes, et elle n'osera pas aller voir son père si ces gens-là sont devant elle, parce qu'elle aura l'impression de le déranger. À vrai dire, Joy a souvent l'impression d'être de trop, à côté de son père. Depuis qu'elle sait, pour l'Autre. Parfois, elle se demande s'il ne leur en veut pas, à Frédéric et elle, d'être jumeaux. S'il n'est pas jaloux. S'il n'a pas de peine en les voyant, tous les deux, côte à côte. Parce que Papa avait un jumeau, lui aussi. Mais il est mort. Mort à la guerre. Mort en héros. Et, du haut de ses cinq ans et demi, Joy se demande si son père n'est pas mort à la guerre, lui aussi. Les photos de la jeunesse de George Weasley en témoignent : il a beau plaisanter souvent et rire pour un rien, une étincelle s'est éteinte dans ses yeux bleus. Une étincelle du nom de Fred Weasley. Son oncle Fred est mort, son père est un peu mort aussi. Parce qu'il vit encore dans le passé, à l'époque où il n'était pas juste George, mais la moitié d'un tout, Fred et George.
Le rire de son père l'atteint, malgré la distance et le brouhaha permanent dans la boutique. Il rigole souvent, papa. Mais est-ce qu'il rigole moins qu'avant ? Une fois, en cherchant le sommeil, elle a imaginé comment elle serait, elle, si Frédéric n'était plus là. Et elle a brutalement éclaté en sanglots, la tête enfouie dans son oreiller. Elle a pleuré pendant ce qui lui a semblé une éternité. Depuis, elle a toujours l'impression de voir de la tristesse dans le regard de son père, lorsqu'il se pose sur eux. Elle culpabilise assez, d'avoir un jumeau alors qu'il n'en a plus. Mais, dans son esprit d'enfant, elle est persuadée que son papa, c'est le meilleur de tous les papa et que, par conséquent, il ne lui en tient pas rigueur. Cette pensée finit de l'enhardir et, c'est le pas décidé et fier qu'elle se fraie un chemin au milieu des adultes et des enfants, de tous ces inconnus jusqu'à se heurter à la jambe de son père et de s'accrocher fermement à son pantalon. Elle lève la tête lorsqu'il baisse la sienne. « Georgie ? » Il semble étonné. Elle jette un bref regard en direction des trois adultes qui, eux aussi, l'observent, silencieux. Mais elle s'en fiche, parce que la chose rassurante est juste à côté d'elle. Son père repose la boîte de déflagration deluxe sur l'étagère et la prend dans ses bras. Là-haut, c'est encore plus rassurant. Il s'excuse auprès de ses trois interlocuteurs, retourne vers le comptoir et la dépose dessus. Il lui sourit mais l'observe, inquisiteur. « Eh bien, princesse, qu'est-ce que tu fais là ? » Elle fait automatiquement la moue, celle qui lui est propre ; elle pince les lèvres et les ramène, comme si elle allait envoyer un baiser, et fronce à peine les sourcils. « Maman fait encore la tornade. » Son père éclate instantanément de rire. Un jour, il a fait remarqué à sa tendre épouse qu'elle était une vraie tornade ; depuis, la gamine utilise inlassablement ce mot pour qualifier sa mère mais ne l'emploie jamais correctement. Fière d'avoir fait rire son père, Joy gratifie celui-ci d'un énorme sourire guilleret et enfantin. George, le regard tendre, la reprend dans ses bras et serre sa fille tout contre lui. « Et tu es venue jusqu'ici pour rester avec moi, hein ? » Il sait qu'elle n'a jamais aimé venir là, toute seule, et que si elle rayonnait toujours de bonheur dans la boutique quand elle était dans ses bras, il suffisait qu'il s'éloigne pour qu'elle soit soudainement intimidée. La petite enfouit son visage dans le cou de son père et souffle doucement. « Parce que tu fais pas la tornade, toi. » Elle sent le rire de son père secouer son torse et ses épaules et sourit doucement contre son cou, presque somnolante. « Tu vas faire une Gryffondor du tonnerre, Georgie ! »
Le son tonitruant du dernier groupe pop-rock résonne dans toute la pièce. Sur le sol, une dizaine de tee-shirts sont éparpillés, le lit a été pris d'assaut par quantités de pantalons et, étrangement ordonnées, une demi-douzaine de paires de chaussures sont alignées juste à côté. Les portes de son armoire grande ouvertes, elle jette par dessus son épaule tous les vêtements qui sont susceptibles de l'intéresser – ou non – tout en se déhanchant énergiquement au rythme de la batterie en accompagnement de la voix rauque et grave du chanteur. Elle tourne sur elle-même, comme dans une étrange transe, et se retrouve nez à nez avec sa mère. « Georgia... » Elle grimace légèrement. Elle n'aime pas être appelée ainsi. Mais le ton, sévère et calme, lui fait comprendre qu'elle n'a pas à s'exprimer sur l'emploi de son nom et a, au contraire, tout intérêt à écouter attentivement et obéir. En désespoir de cause, elle gratifie sa génitrice d'un sourire qui se veut innocent et angélique mais avec ses quatorze années d'expérience, Angelina Weasley ne se laisse plus bernée. « Tu pars à Poudlard demain jusqu'à Noël alors tu as intérêt à me ranger tout ce capharnaüm ou je te jure que tu sentiras passer la beuglante et la punition qui suivra à ton retour. » Inutile de lui demander en quoi consistera la punition, ça ne fera qu'énerver davantage sa mère et, par extension, aggraver son cas. Le regard insistant, les bras croisés sur sa poitrine, celle-ci attend et Joy abdique enfin dans un soupir : « Oui, maman... » Sa mère esquisse un sourire satisfait et quitte la chambre, évitant du mieux qu'elle peut les vêtements étalés par terre. Les poings sur les hanches, la jeune fille observe la pièce, dépitée. Tout à coup, le claquement de la porte d'entrée résonne dans la maison. Oubliant le rangement de sa chambre – et la punition qu'elle risque d'écoper si elle ne le fait pas très rapidement –, Joy se précipite dans les escaliers et se jette littéralement au cou de son père. Celui-ci, sur le coup de la surprise, trébuche sur quelques pas en arrière mais reprend bien rapidement son équilibre une fois sa fille blottie dans ses bras. Délicatement, il caresse la crinière brune de sa fille, un sourire tendre ourlant ses lèvres. Angelina s'adosse à l'encadrement de la porte de la cuisine, plus chaleureuse qu'il y a cinq minutes pendant que Frédéric descend à son tour, plus calmement que sa sœur, les escaliers menant à l'étage supérieur.
Joy se crispe légèrement en sentant le regard intense de son frère peser sur son dos. Elle aimerait se retourner, s'expliquer auprès de Frédéric, lui dire qu'il n'a rien à se reprocher, que tout le problème vient d'elle. Mais elle en est incapable. Elle ne peut pas lui dire ça. Parce que tout redeviendrait comme avant. Et elle ne peut pas se le permettre. Leurs parents n'ont encore rien remarqué. Et, bien qu'il en soit le principal concerné, Frédéric lui-même ne comprend pas. Elle a alors la désagréable impression d'avoir un secret. Un de ces secrets trop lourd à porter. Un secret qui fait courber le dos et affaisser les épaules, sous la lourdeur du fardeau. Il lui suffit de croiser le regard sombre de son frère pour avoir la sensation d'étouffer de l'intérieur. Mais comment leur expliquer ? Comment leur dire qu'elle ne veut plus de cette complicité extraordinaire entre Frédéric et elle ? Elle a si peur. Peur de le perdre un jour. Peur de ne vivre qu'à moitié, comme son père. Peur que ses enfants se mettront à détester son cher jumeau, comme elle déteste son oncle Fred. Elle lui en veut tellement, à cet Autre, de garder son père avec lui, toujours. De s'insinuer dans sa vie à chaque fois que George rit, chaque fois que George invente une autre farce et attrape, chaque fois que George parle de son passé d'un air rêveur. Il est partout, sur les photos, derrière les rideaux, sur le canapé, autour de la table lors du repas, peut-être même dans son lit. Lui, il a eu George rien que pour lui pendant vingt ans, elle aimerait juste que ça soit un peu son tour. Elle n'en peut plus, de vivre avec le poids d'un mort autour du cou. Elle n'en peut plus, de porter un deuil d'un homme qu'elle n'a jamais connu. Elle a si peur que l'Autre vienne lui arracher les derniers morceaux de son père, pendant son sommeil, pendant qu'il travaille, pendant qu'il rit. Elle n'en peut plus, de devoir se démener pour que son père la remarque. Elle n'en peut plus, de cette compétition permanente avec un mort. Une compétition qu'elle a l'impression de ne jamais pouvoir gagner. Et, enfin, elle n'en peut plus, de devoir être aussi la moitié d'un tout. Son père a le droit de souffrir de l'absence de son jumeau, elle le conçoit. Mais il n'a pas le droit de leur faire partager ce fardeau, de vouloir les voir, Frédéric et elle, reconstituer ce schéma si particulier. Il n'a eu de cesse, durant leur tendre enfance, de leur rappeler qu'à deux, ils seront toujours plus forts, qu'ensemble, ils vaincront tout. Toutes les occasions sont bonnes ! Rien que leurs noms en témoignent : Frédéric et Georgia... Il veut les voir identiques à Fred et lui, pendant leur jeunesse, durant leur glorieux passé de grands farceurs et leur vie de moitiés d'une seule et même entité. Elle n'en peut plus de cet oncle. Elle n'en peut plus, de l'obsession de son père pour cet oncle. Et elle a peur de finir comme son père, si Frédéric venait à mourir avant elle. Alors, elle préfère s'éloigner. Pas trop. Juste assez pour que leur relation ne soit pas trop fusionnelle. Mais, quoiqu'elle fasse, Frédéric reste un petit bout d'elle-même et, sans lui et leur complicité, elle se sentira éternellement incomplète.
Elle plie son énorme valise, satisfaite et passe un bras fatigué sur son front. Les poings sur les hanches, Joy observe sa chambre, parfaitement rangée et un sourire vient doucement ourler ses lèvres. Puis sa mère les appelle, Frédéric et elle, pour se rendre à la gare King's Cross pour entamer ainsi sa première année. Seule l'excitation se fait ressentir, elle se rend à Poudlard sans la moindre appréhension ; elle connait déjà, pour ainsi dire, l'école sur le bout des doigts. Entre les récits de ses parents, ceux de ses oncles et tantes et ceux des amis de la famille, elle saurait dessiner les moindres recoins de la salle commune des Gryffondor dans son esprit. Juste avant de passer une dernière fois la porte de sa chambre avant deux bons mois, elle croise les doigts pour être envoyée chez les rouge et or, et faire honneur à sa famille. Dans le hall, son père l'accueille avec un grand sourire chaleureux et, à côté, sa mère semble plus calme, plus sobre. Pourtant, dans les yeux d'Angelina Weasley brille un éclat de fierté teinté de nostalgie à l'idée de laisser ses deux enfants partir, même s'ils se reverront dans tout juste deux mois. Devant la porte, Frédéric range sa baguette dans la poche arrière de son pantalon et la gratifie d'un sourire bienveillant. George passe immédiatement un bras autour des épaules de sa fille et, d'un ton enjoué, brise ce silence plein d'émotions : « Et n'oubliez pas, les enfants, je suis à Pré-au-Lard tous les premiers mercredi du mois, alors prenez le passage de la sorcière borgne. » Angelina lâche un soupir d'exaspération. « George... Ils ne sont même pas à Poudlard que tu veux déjà qu'ils écopent d'une retenue ? » L'homme se tourne vers sa femme, souriant et passe un bras autour des épaules de chacun des jumeaux. « Il faut bien assurer la relève ! » Angelina soupire une nouvelle fois et passe une main fataliste sur son visage. Voulant rassurer sa mère, Frédéric entame, jovial : « Ne t'inquiète pas, maman : on t'enverra plein de hiboux... » Munie d'un sourire aussi grand que celui de son père, Joy termine : « ...et un siège de toilettes de Poudlard. » Et la petite famille transplane vers le Poudlard Express dans un mélange d'éclats de rire et de fausses réprimandes maternelles.
« Weasley, dans mon bureau, immédiatement ! » Le cri se répercute sur les pierres sombres du château et toutes les têtes dans le couloir se retourne vers son origine. Cachant précipitamment la petite balle qu'elle tenait dans son dos, Joy daigne enfin suivre son professeur, tête baissée bien que le sourire persistant qui rehaussait ses lèvres témoigne de son amusement. Le professeur claque la porte derrière lui et, soudain enfermés dans ledit bureau, elle entreprend de cacher le tout dernier prototype de son père dans la poche arrière de son jean. Il lui indique d'un vague geste de main le siège face à son bureau, et s'assoit sur son propre fauteuil, juste en face. « Teindre un Serpentard en vert de la tête aux pieds, vraiment ? Vous n'êtes jamais à court d'idées ou vous aimez tout particulièrement récurer les trophées avec une brosse à dents ? » Elle se mord l'intérieur de la joue, comme pour s'empêcher d'éclater de rire et garde les yeux baissés sur le bureau en bois. « À vrai dire, j'aimerais surpasser mon père dans le domaine des farces et attrapes... » Le professeur soupire. Bien sûr, tout le monde connait l'ascendance de Georgia Weasley et la fameuse boutique que son père tient. Ce-dernier a, en effet, une sacré réputation dans l'enceinte du château, malgré les années qui étaient passées depuis. C'est pourquoi il remercie mentalement Merlin de ne pas avoir fait de lui un professeur durant la scolarité de Fred et George Weasley. « Et je pense que vous êtes bien partie pour battre son record, Miss Weasley. » Plutôt que de la honte, c'est une pointe de fierté qui vient illuminer son regard et étreindre son cœur. La fierté... Elle n'aspire plus qu'à ça, aujourd'hui : rendre son père fier d'elle, suffisamment pour exister, vraiment, à ses yeux. Son frère ne comprend pas. Frédéric ne la comprend presque plus. Bon, elle exagère peut-être : Frédéric et elle s'entendent toujours bien – très bien, même –, ils passent parfois le week-end ensemble, plaisantent encore et toujours. Mais, depuis leur première année à Poudlard, ils ne se comprennent plus en un regard, ils ne finissent plus la phrase de l'autre. Aujourd'hui encore, ils parviennent, en un simple coup d’œil, à voir si quelque chose cloche chez les autres. Mais, confinés dans leur persuasion qu'ils ne sont plus assez proches, et que cette complicité fraternelle n'est pas suffisante, ils préfèrent fermer les yeux. Quand elle parle de lui, elle dit juste « c'est mon frère. » et pas « c'est mon jumeau. » et ça lui fait mal de savoir qu'il y a un fossé imaginaire entre eux – un fossé qu'ils sont les seuls à ressentir avec leur père – et qu'elle en est elle-même l'origine. Et puis, George qui ne veut pas comprendre. George qui ne cesse de leur dire qu'ils ne peuvent pas se disputer, parce qu'ils sont un tout, parce qu'ils sont jumeaux et que c'est le lien le plus fort qui puisse exister. Elle a horreur de se disputer avec Frédéric, c'est comme se disputer avec soi-même mais son père, plutôt que de la réconforter dans ces moments-là, n'a de cesse de jouer à l'incompréhensif, celui qui ne voit pas comment et pourquoi ces deux-là ne sont pas en osmose parfaite comme il l'était avec son propre jumeau.
« Vous devriez prendre exemple sur votre frère, Miss. Ce serait plus reposant pour chacun d'entre nous. » Elle serre imperceptiblement les poings. Elle aimerait bien, être un peu plus comme Frédéric. Mais il est tellement différent de leur père... Lui, il ne souffre ni de cette gémellité, ni de la tendance de George à vivre dans son passé. Au fond, peut-être que tout ça : son envie d'exister par elle-même, cette colère à l'égard de son oncle Fred, la sensation de ne pas être assez importante aux yeux de son père, peut-être que c'est juste dans son esprit... Sauf qu'elle ne peut décemment pas penser ça, sinon, elle devrait remettre en question quantité de certitudes dans sa vie. Des passions. Elle-même, aussi. Car elle ignore si elle existe pour elle, ou pour vivre à travers les yeux de son géniteur. Si elle aime réellement les farces et attrapes, ou si c'est seulement pour voir cet éclat de fierté dans les iris bleutés. Si elle est vraiment passionnée par le Quidditch, ou si elle cherche simplement à ressembler davantage à ses parents. Elle pousse un bref soupir et relève enfin la tête vers son professeur. « Oui, mais je ne prends pas exemple sur Frédéric. À présent, si vous voulez bien m'excuser, j'ai entraînement de Quidditch. Gryffondor ne peut pas se permettre de perdre sa meilleure batteuse. Alors, si vous pouviez juste me dire quand je dois venir récurer les trophées... » Elle se lève lentement de son siège, fait face au professeur du haut de ses un mètre soixante-dix et attend impatiemment le moment où il daignera la laisser sortir et partir pour le parc. L'homme soupire puis, d'un geste de main agacé, lui fait signe de prendre congé. Joy sourit malgré elle et s'empresse de retourner dans les couloirs. En chemin pour le terrain, elle passe devant l'infirmerie et aperçoit le Serpentard, victime de la dernière invention de son père. Elle passe la tête dans l’entrebâillement de la porte, l'interpelle d'un « psst ! » tout, sauf discret et continue d'un ton enjoué : « Si tu veux, j'ai des pouçoreil la semaine prochaine : tu pourras compléter ton déguisement d'elfe de maison. » Puis, entendant le grognement du garçon, elle quitte précipitamment l'infirmerie et court en direction du terrain de Quidditch. À bien y réfléchir, les farces et attrapes et le Quidditch, c'est vraiment elle...
« Joy, tu es en retard... encore. » Elle enfourche son balai, donne un grand coup de pied sur le sol et décolle dans les airs, rejoignant les autres membres de l'équipe. Elle se contente de répondre par un grand sourire, la batte bien serrée dans ses mains, et elle commence à renvoyer quelques Cognards à droite et à gauche, tantôt d'une main, tantôt montée sur son balais à la façon des amazones. « Te fais pas de soucis, avec ou sans entraînement, je reste une batteuse imbattable ! » Passe alors une poursuiveuse en coup de vent. « C'est pas la modestie qui va t'étouffer en tout cas. » Joy ricane et balance un énorme coup de batte dans un Cognard belliqueux : « Jalouse. » Un soupir et elle tourne la tête. « On verra si tu es vraiment imbattable pendant le match contre Serdaigle. J'ai entendu dire qu'ils étaient quinze fois meilleurs que l'année dernière avec les essais. » Joy pince légèrement les lèvres et esquive un Cognard dans une acrobatie exagérément arrogante. « No stress. On va tout déchirer, et Gryffondor va remporter la coupe ! » lâche-t-elle dans un cri victorieux, les bras levés vers le ciel ; un bref instant, elle perd l'équilibre sur son balais, faute d'avoir ses mains posées sur le manche, et se rattrape in extremis. « Espérons juste que tu n'oublies pas qu'il faut tenir le balais pour voler. » En guise de réponse, elle lui tire la langue puis descend un piquet avant de redresser subitement le manche de son balais à quelques centimètres du sol et de repartir de plus belle. Le vent souffle fort, fouette son visage et balaie ses cheveux. Elle adore cette sensation. Libre comme l'air. Elle fait une pirouette dans les airs, entend vaguement ses coéquipiers râler sur son manque de concentration mais elle s'en fiche. Elle pense être vraiment douée en Quidditch, non pas par arrogance – elle n'est pas arrogante – mais parce qu'elle sait ce qu'elle vaut. Et puis, elle a ça dans le sang : elle monte sur un balais depuis qu'elle sait comment tenir sur ses deux pieds. Elle adore être batteuse. Ce n'est peut-être pas le poste le plus féminin et le plus fameux – généralement, tout le monde adore les attrapeurs – mais ça, c'est son truc. Avant l'année dernière, elle était au poste de gardienne et, autant elle s'avère aussi plutôt douée, autant elle a besoin de plus d'adrénaline et plus de libertés de mouvements. L'un des poursuiveurs attrape le Souaffle et tire dans un anneau. Elle pousse une légère exclamation de joie, fait une nouvelle pirouette sur son balais quand, d'un même mouvement, la totalité de l'équipe redescend sur la terre ferme. Elle se sent brusquement moins ivre de cette joie intense, moins enivrée par cette sensation de liberté, moins euphorique aussi. Plus apaisée, par contre. Le soleil est en train de se coucher, l'allégresse aussi. Joy observe rêveusement le château. Étrangement, elle ne ressent rien, mis à part un bien-être doux et simple. Celui d'être en vie et d'être elle-même. Alors, qu'importe ses craintes à propos de son oncle, son père ou son frère, ces hommes qui ont toujours régi son existence. Demain, elle y pensera. En attendant, elle a juste envie de profiter de chaque seconde. Carpe Diem.
Dernière édition par Joy A. Weasley le Dim 18 Nov - 19:49, édité 3 fois
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 16:39
Bienvenue Joy – hot – Weasley Bon courage pour faire ton histoire!
Je suis un abruti de consanguin, on va pas s'entendre
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 16:43
Bienvenuuuuuue . Les Griffy en puissance .
Bonne chance pour ta fiche :3.
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 16:51
Haaan, sois la bienvenue sur HRI !
J'ai hâte de lire la fin de ta fiche ♥
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 16:58
Bienvenue o/ Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un des membres du staff, nous sommes là pour ça
Bon courage pour ta fiche, avec cet excellent choix d'avatar *_*
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 17:16
MILAAA super choix d'avatar ! bienvenue ici, miss, ton personnage promet
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 17:26
quel accueil, mes amis, quel accueil !
amadeus → merci seksy Goyle. déjà, tu admets en faire partie : c'est un bon début, ton cas n'est peut-être pas trop désespéré. enfin, serpentard&gryffondor, ça m'aurait étonné qu'ils s'entendent bien de toute manière.
hope → les gryffondor, ils roxent leurs mémés. on est trop puissants, quoi.
sutton → merci. eh bien, vas-y, fais-toi plaisir, elle est normalement finie.
alesya → nina en lestrange... *se noie dans sa bave* merci beaucoup : je n'ai pas de questions pour le moment mais, en cas, je saurais qui harceler.
aleida → j'vois qu'il y a que des avatars de fous par ici. kristeeeen. personnellement, j'aime déjà ma petite joy, après je n'pense pas qu'elle plaira à tout l'monde (surtout pas aux serpentard... ) ton personnage a l'air aussi génial (oui, je dis ça en ne voyant que le pseudo&l'avatar ). réserve-moi un lien, en cas.
Dernière édition par Joy A. Weasley le Lun 28 Mai - 13:10, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 17:48
Oh, c'est celle qui est accro au Quidditch, cette-là. Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche la miss, et aussi, très bon choix d'avatar, j'adore Mila Kunis. *.*
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 18:01
azy, cramée du premier coup. enfin, merci de l'accueil, j'adore aussi ton avatar : mcgrath est sublime.
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 18:16
welcoooome here weasmoche
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 19:05
en deux amoureuses du quidditch, c'est certain, un grand oui pour le lien
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 19:34
quigg → weasmoche ? seriously ? ne t'étonnes pas si tu t'réveilles avec une bombabouse dans ton dortoir, v(h)erpes.
aleida → oh yeah, j'te fais une place bien au chaud, dans c'cas.
Dernière édition par Joy A. Weasley le Lun 21 Mai - 20:58, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 19:48
Bienvenue sur le forum ! aah Kunis
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 19:59
merci, bien. browning...
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 20:10
Maiiis j'arrive toujours après la guerre, c'est trop injuste
Bref bienvenue parmi nous Il nous faudra un lien entre ma Nono et ta Joy (en plus le même nom que sa maman o/) si tu as la moindre question n'hésite surtout pas (même si tu as l'air de bien te débrouiller toute seule x) )
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 20:26
haha, après l'heure c'est plus l'heure. *sbaaaaaaaaf* oh oui, oh oui, un lien entre weasley et serpentard&gryffondor, ça risque d'être explosif. (ouais sauf que pour ma joy, c'est juste un surnom : en vrai elle s'appelle georgia. ) oh-oh, les deux membres du staff à ma disposition ! (oui, bon, d'accord : je sais que c'est pour tout l'monde mais laissez-moi rêver. ) ps : j'adore le pseudo&l'avatar.
Dernière édition par Joy A. Weasley le Mar 29 Mai - 8:16, édité 4 fois
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 20:37
Mon dieu, mon dieu, mon dieu. Comment j'ai dévoré ta fiche Y a rien à redire c'est parfait et je te valide avec plaisir
Félicitation & Bienvenue ;
« Aux yeux de Gryffondor, il fallait à tout âge Montrer par-dessus tout la vertu du courage »
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI. Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça !
Bonne chance à toi,
Jeune Gryffondor !
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 20:48
mercii j'essaierai de faire mes fiches demain — et venir quémander le lien nono&joy — si je peux. gryffondor en force !
Dernière édition par Joy A. Weasley le Lun 28 Mai - 13:09, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 21:05
Bienvenuuuuue parmi nouuus
& très bon choix d'avatar
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Lun 21 Mai - 21:11
merci, merci, j'aime aussi beaucoup candice (surtout depuis la saison trois de tvd ).
Zane E. Goyle
HRIen depuis le : 13/04/2012 Parchemins écrits : 1281
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Mar 22 Mai - 15:20
Bienvenue par ici, un peu en retard ♥
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Mar 22 Mai - 17:09
OMFG. Kunis, quoi.
Bienvenue parmi nous, jolie Weasley. Je vois que Joy ressemble beaucoup à son paternel, mwahaha. En tout cas, j'espère que tu prendras plaisir à venir sur HRI et tout ce qui s'en suit. o/
A très bientôt ! - car oui, je compte bien quémander un lien.
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Mar 22 Mai - 17:14
zane →mieux vaut tard que jamais. enfin, merci quand même.
arsène →ouep, c'est une mini-George au féminin. oui, oui, HRI m'a l'air top de chez top. à bientôôôt –avec Pettyfer en avatar, je ne pourrai rien te refuser. –
Invité
Sujet: Re: ▽ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART Mar 29 Mai - 8:08
* je bave, Mila Kunis ... *
Bienvenue à l'école jeune fille.
Je suis à votre disposition si vous avez besoin d'aide. N'hésitez pas.