Benjen Eochaid Lestrange
« i want things to hurt —
cigarette smoke to burn my lungs,
glass shards to cut my skin,
pavement to rasp against my knees.

i do not want beautiful;
i want a goddamn tragedy. »

I am selfish. I am cruel. My mate cannot be less than I.
21 years old  | Ravenclaw  | Ex Beater |  Order member.
(uc)

Morrigan Belladone Lestrange
« When it was dark, you always carried the sun in your hand for me. »

Did you think you could stop me? I'll burn the world down to save her. (uc)

Alesya Ysoline Lestrange

We were like gods at the dawning of the world, and our joy was so bright we could see nothing else but the other.
(uc)

Rohàn Denethor Lestrange

I am surrounded by flatterers and fools. It can drive a man to madness... Half of them don't dare tell me the truth, and the other half can't find it.
(uc)

Azazëlle Dahaka Dolohov
« I understand, all right. The hopeless dream of being — not seeming, but being. At every waking moment, alert. The gulf between what you are with others and what you are alone. The vertigo and the constant hunger to be exposed, to be seen through, perhaps even wiped out. Every inflection and every gesture a lie, every smile a grimace. Suicide? No, too vulgar. But you can refuse to move, refuse to talk, so that you don't have to lie. You can shut yourself in. Then you needn't play any parts or make wrong gestures. Or so you thought. But reality is diabolical. Your hiding place isn't watertight. Life trickles from the outside, and you're forced to react? No one asks if its true or false, if you're genuine or just a sham. Such things matter only in the theatre, and hardly there either. I understand why you don't speak, why you don't move, why you've created a part for yourself out of apathy. I understand. I admire. You should go on with this part until it is played out, until it loses interest for you. Then you can leave it, just as you've left your other parts one by one. »

Her eyes are pure stars, and her fingers, if they touch you, freeze you to the bone.

Dahaka. De tous les surnoms dont il aurait pu l'affliger, il avait choisi "Hel" car il l'avait vue grandir dans l'ombre d'Alesya, copiant ses faits et gestes avant de choisir sciemment de suivre le même chemin qu'elle et un goût métallique demeurait depuis dans sa bouche. Il n'avait pas pu empêcher sa jeune cousine de poursuivre le chemin sanguinolent que leurs ancêtres avaient commencés à tisser mais elle, elle, elle n'avait pas à tomber avec eux. Et pourtant, pourtant elle avait suivi sa cousine, une frénésie presque fanatique dans les yeux et Benjen avait vite compris que les mots étaient inutiles alors il s'était fait plus présent, plus insistent, acteur d'une tragédie au lieu de parolier. Comble de l'ironie, à défaut d'avoir eu l'attention d'Alesya, il avait eu celle de Dahaka. Dahaka aux mains si chaudes malgré le fiel qui découle de ses lèvres. Dahaka si frêle enveloppée dans son pull trop grand pour elle. Dahaka qu'il voudrait protéger envers et contre (tous?) tout lorsqu'il voit ses yeux perdre peu à peu de leur éclat parce qu'elle comprend, elle ne comprend que trop bien, parce qu'elle aussi, elle voit que ce monde va à sa perte et qu'elle a choisi son camp depuis bien longtemps. Dahaka qui se joue de lui, virevoltant et tournoyant, semant tempête et zizanie où qu'elle passe, le pas léger mais le coeur si lourd. Dahaka, une petite fille perdue dans un corps de femme et qui court avec eux, comme si elle était l'une des leurs, droit vers la tombe.

Krištof « Lucifer » Bartholomew-Lestrange
« Never forget what you are, for surely the world will not. Make it your strength. Then it can never be your weakness. Armour yourself in it, and it will never be used to hurt you. »

Bastard. Un nom abject pour une faute encore plus grave. Les rumeurs suivent Lucifer comme sa propre ombre et Benjen, à la lueur des bougies, regarde son dos se voûter un peu plus. Cela ne dure qu'un instant, bien sûr mais un instant est tout ce qu'il faut ici. Un pas de travers et te voilà, acculé, désarmé, faible.
C'est inacceptable.
En quelques enjambées, il se retrouve à marcher en cadence avec son cousin et jette son bras autour de son cou, feignant une affection qu'il méconnait, le forçant à ralentir le pas pour que tous voient que Lucifer, bâtard ou non, est sous l'aile du plus enragé des Lestrange.
« Souris, cousin, glisse d'entre ses lèvres, étirées en un sourire carnassier, promettant mille et une douleurs à qui oserait élever le ton. Et alors qu'ils continuent à gaspiller leur salive avec des insultes, craches leur à la gueule. Plus droit le dos. Sois moins pressé, comme si tu avais tout le temps du monde devant toi, comme si tu leur faisais une faveur en parcourant les même couloirs que ces déchets de l'humanité. Sang pur ou sang-mêlé, tu es un Lestrange, cousin. Tu n'as plus le luxe de l'anonymat. Tu te dois d'agir comme tel parce qu'eux... eux ne l'oublieront pas. Cela te poursuivra où que tu ailles, quoique tu fasses... »
Il s'interrompt un instant, haussant un sourcil en direction d'un petit Gryffondor qui entr'ouvre la bouche à leur approche mais la referme brutalement suite à un coup de coude dans les côtes d'un de ses camarades.
« Ta gueule Carter. Celui là, tu veux vraiment pas te le mettre à dos. »
Brave petit. La satisfaction colore ses joues et son bras se relaxe sur les épaules du petit cousin. Benjen sait qu'il ne sera pas toujours là, aux basques de Lucifer, mais il sera damné s'il laisse les autres, des étrangers, s'en prendre à un des siens en sa présence, peu importe ce qu'en pensent Rohàn et Alesya, peu importe la potence du sang de Lucifer. S'ils montrent le moindre signe de dissension dans leur rangs, ils finiront tous mort et il n'a pas oeuvré dans l'ombre durant des années pour que leur lignée ne s'éteigne en silence. Hors de question.

Arwen-Lyanna Croupton
« She calls my name as shelter, not realizing I am the storm. »

I think there comes a time when you meet someone and you just want to make them smile for the rest of your life.
Fragile petite poupée de cire, incandescente poupée de son.
C'est sa main qui ose à peine prendre la sienne. L'esquisse d'une danse. Des secrets confiés aux étoiles. La confiance qui se construit lentement, au fil du temps alors que les regards méfiants laissent place aux sourires éclatants. C'est son coeur qui bat la chamade alors qu'elle descend les escaliers, toujours aussi timide qu'au premier jour. C'est les mots qui lui échappent alors qu'elle tournoie pour lui, sa main dans la sienne et le rouge qui lui va si bien aux joues. C'est l'affection sincère qui le fait s'avancer contre elle, portant la main à son visage pour écarter une mèche rebelle qu'il repositionne derrière son oreille et ce murmure, quelques mots étouffés par l'émotion mais dont la sincérité est indéniable dans le tremblement de sa voix. « You're not supposed to be real. »

Galadriel Paciane Georgia Weasley
« I'm only interested in stories, that are about the crushing of the human heart. »

I say that I won’t touch you. But my fingers are liars. I tell you how I won’t hold you. But my arms are going to hell. I promise I won’t kiss you. But my lips break it. I let you know that I won’t love you. But my heart has no conscience. And no part of me will apologize. Galaad. Dans ses sourires naissent la promesse d'un avenir. Mais la traîtrise résonne dans chacun de ses mots, fragile écho d'une histoire qui n'aurait jamais dû être, d'une histoire qui, s'ils suivent le script, devrait demeurer inachevée et pourtant, pourtant, il parsème toujours ses mensonges le long de son dos, comptant avec révérence les constellations de son corps. (‘Star-crossed lovers’, on les appelle. Benjen se demande si, dans plusieurs siècles, une fois qu'ils auront disparu de cette terre, on se souviendra d'eux.)
Alors il doute, il doute et s'oublie entre ses bras, car à trop longtemps porter un masque, on oublie aisément à quoi ressemble son vrai visage.

Charles Abbadon Archer
« The feelings that hurt most, the emotions that sting most, are those that are absurd - The longing for impossible things, precisely because they are impossible; nostalgia for what never was; the desire for what could have been; regret over not being someone else; dissatisfaction with the world's existence. All these half-tones of the soul's consciousness create in us a painful landscape, an eternal sunset of what we are. »

The wreckage of stars — I built a world from this wreckage.
(uc)

Zane Ethan Goyle

Why is it better to last than to burn?
(uc)

Lisbeth Alaska Snow
« You are not afraid.
You are a cathedral waiting to be filled with hymns;
you are sky-bound and sprinting,
so cover your heart in goose-bum armor.
It will only beat stronger,
beat louder. »

So many stars and still we starve.
(uc)

Aleksandar Vladislav Karkaroff

There are no beautiful surfaces without a terrible depth. Brother.
(uc)

Vulcain Dehloss Wright

Salamandra Jessalyn Malefoy

« . »

A long time ago, we used to be friends.

(uc)

• D'abord en ce qui concerne Lucifer :
  

• Pour Zane,
  

Citation :

Artémis Greyback porte le nom lourd en signification de son oncle (et donc de ses parents) qui est actuellement en prison, qu'elle n'a jamais connue et dont la seule chose qu'elle sait à son propos est qu'il faut éradiquer cette partie de la famille, mais n'étant ni violente ni une combattante malgré son prénom, elle a plutôt trouver le moyen de se rapprocher de son sauvage cousin.
Polie, bien élevée, un peu trop coincée et étriquée dans une bulle de bonne éducation, Mya étouffait dans son monde tiré à quatre épingle (comme ses vêtements) et rêvait de pouvoir sortir des deux murs qui l’empêchait de réellement vivre. Docile, elle n'avait jamais osée dire un seul gros mot, s’énerver contre les autres, répondre à ses parents, bref, sortir des bonnes convenances d'une jeune femme de bonne famille bonne à mariée et à faire des enfants.
Hautaine et parfois froide avec les autres, elle se retrouve souvent victime des jeunes hommes de l'école qui la trouve trop coincée et trop prude. Rougissant dès qu'on lui parle de sexualité et continuant à croyant que les cigognes apportent les bébés aux parents et ne sachant comment réagir face à des avances, elle avait tendance à se renfermer dès qu'un jeune homme la touche, trop gênée par le contact du sexe opposé (c'est qu'on lui a toujours dis qu'en dehors de sa famille, aucun homme n'était censé la touchée, surement pour empêcher la jeune femme de se trouver un vice de luxure). Bien évidement elle a beaucoup d'amis hommes... tous homosexuelles.

Mais au fond, Mya est non seulement une jeune femme douce, dynamique et joueuse, mais aussi une grande créative. Elle crée ses propres vêtements, habille certains de ses ami(e)s et est même la muse d'Absolem (bien que cela a tendance à la rendre mal alaise, mais pour l'amour de l'art elle accepte). Elle est donc très ouverte à toutes formes d'arts et cherche toujours à trouver la touche artistique chez ceux qu'elle ne connait pas bien, pour justement obtenir quelques points communs afin de poursuivre une conversation.
Curieuse de nature et pourtant maladivement timide, elle hésite souvent à faire le premier pas vers les autres. Cela lui demande beaucoup trop de courage et malheureusement, elle a du mal à en trouver pour se sortir de sa situation de femme docile.

Donc, rêveuse, ouverte, espérant s'échapper de son monde de poupée, petite princesse, hautaine( du à son éducation) discrète, érudite, créative, la main sur le coeur, discrète, généreuse, docile, aidante, renfermée, timide, prude etc etc... Tout ce qu’elle désire éjecter de sa vie… Où presque.

Cependant, la petite bulle de protection dans laquelle la jeune femme s'est toujours plu en est venue à exploser sous la pression, libérant Artémis de sa passivité.
Elle tente de rattraper toutes ses années perdues et de prendre sa vie en main. Elle en est advenue à tuer son propre fiancé imposé durant l'accident de la tour des Serdaigle, le laissant pour mort. Mais cela reste un accident aux yeux de tous, sauf de la concernée qui considère cela comme son passage dans une vie plus sombre où sa prise en main personnelle semble avoir totalement dérapé.
En ce moment, elle est donc un peu perdue entre ses attitudes toujours autant coincée et son apparence plus froide, plus cru dans ses propos voir blessante. Elle est comme fatiguée de prendre les autres avec des petites baguettes lorsque quelque chose se passe. Arté ne désire plus laisser les autres dicter sa conduite et sa vie. Meme si cela lui est particulièrement difficile puisqu’elle prend un temps considérable pour réfléchir a ses actions (sauf quand Loki a tenté de la tuée où elle s’est montrée affreuse sans penser et peser ses mots).
Actuellement, elle oscille donc entre son coté coincé et puritain et ses nouvelles pulsions un peu sèche, crue et méchante qui cache un mécanisme de défense pour cacher la culpabilité d’avoir tué un être vivant.

sois mon lestrange préféré. (ça va pas être compliqué. )