Sujet: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mar 1 Jan - 15:56
Elias Phoenix Rosier
carte d'identité
Nom : Rosier. On pensait encore il y a de ça quelques années que le nom de « Rosier » était éteint. A dire vrai, on le pensait depuis que Evan Rosier avait été tué par Maugrey après la première guerre des sorciers, mais c’était bien évidemment sans compter sur les petits secrets de la famille Rosier mêlés à ceux de la famille Rosier. Ainsi ni Evan, ni Druella ne furent les dernier Rosier. De cette façon il resta un dernier héritier qui se maria, et eut un fils. Prénom(s) : Elias Phoenix. Il n’y a pas vraiment d’explication pour Elias, c’était un choix qui s’est avéré être normal pour ses parents, comme pour beaucoup d’autres parents c’était une simple histoire de goûts. Pour Phoenix en revanche cela avait une véritable symbolique, un moyen d’exposer à tout le monde les intentions de la famille Rosier. Cette intention bien marquée de faire retentir de nouveau leur nom, de montrer qu’ils étaient bel et bien là, prêts à tout, sans rien avoir à perdre mais tout à gagner. Oui, la famille Rosier devait désormais renaitre de ses cendres tel un Phoenix flamboyant. Surnom : Il n'est pas très regardant, ni attentif à ce sujet là. Il en a certainement quelques un mais il n'en a retenu aucun. Âge : 18ans. Certains diront qu’il fait plus âgé, et c’est tout à fait vrai, on lui donnerait volontiers quelques années de plus, mais il n’en est néanmoins rien. Absolument rien. C’est juste un effet d’optique dû à cet allure qu’il se donne, avec sa façon de se tenir, ou encore cette barbes de trois jours qui lui ombre le visage. Date et Lieu de Naissance : Après la mort de Evan Rosier, une partie de cette famille est partie vivre ailleurs, certains ont traversé l’océan pour la terre promise des Amériques, et d’autres ont tout simplement traversé la manche. Néanmoins la guerre des sorciers régnaient un peu partout sur le vieux continent, et il fallut quelques années à la famille de Elias pour déposer ses valises. Mais cela devait bien arriver, et les choses se concrétisèrent quand ils arrivèrent en Suède. A Stockholm pour être plus exacte. Ils s’y établirent et commencèrent une nouvelle vie dans un anonymat presque parfait. C’est là que Astoria Rosier donna naissance à son fils un certain 4 février. Nationalité : Bien qu'il soit né en Suède, il n'en reste pas moins Anglais, ces parents n'ayant jamais voulu changer de nationalité. Pureté du sang : Sang-pur. Même dans la déchéance et l’oubli, les Rosier n’ont jamais oublié les principes sur laquelle reposée l’idéologie de leur famille. Il n’était dès lors pas question qu’un Rosier se commette avec une sang de bourbe et encore moins pensable qu’un sang mêlé face son entrée dans la famille. Après tout, ils étaient encore de ceux qui prônaient absolument la pureté d’un sang et la supériorité des sorciers issus de ces familles, vues comme, irréprochables. Année d'étude & Maison : NGryffondor ! Il fallait s’en douter, il était bien trop intelligent pour finir chez les Poufsouffles mais pas assez pour terminer chez les Serdaigles. Pas plus fourbes que ça alors impossible d’être chez les Serpentards. Mais un poil de bravoure et de fantaisie suffirent à le faire échouer chez les Gryffondor. Ses parents n’en furent pas ravis mais ils n’en furent pas vraiment surpris, leur fils n’était pas aussi froid et calme qu’eux, il avait une certaine joie de vivre en lui. Et finalement ils se dirent qu’il y aurait pu avoir pire, il aurait pu terminer chez les blaireaux. Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Oh ce n’est pas qu’il n’y a jamais pensé, c’est juste que ça ne l’a jamais attiré. Alors dans son esprit c’est assez clair, les garçons ça peut être beau mais ça ne reste que de bons copains. Qu’on ne s’étonne pas si on l’entend observer qu’untel ou untel est plus beau que lui, à dire vrai il ne trouve pas honteux de désigner qui que ce soit dans ses atours les plus agréables. Néanmoins, il préfère de loin observer les filles, tout comme les toucher, ou les charmer. Et il trouvera toujours plus agréable la compagnie des jeunes filles que celle de ces amis masculins. Une histoire d’hormone en somme. État civil :Fiancé. A dire vrai il ne s’y attendait pas, mais depuis l’été dernier le voilà fiancé à une jeune fille qu’il n’a croisé que deux ou trois fois dans sa vie. Oh certes elle est très agréable à regarder, mais elle n’a pas l’air de connaitre son identité, et parfois il se demande si elle sait qu’elle est fiancée. Enfin, cette situation l’amuse.
le sorcier en toi
Baguette : La baguette de Elias mesure une trentaine de centimètres, contient un ventricule de dragon et fait bois de hêtre. Inutile de lui demander pourquoi sa baguette est mieux qu’une autre, il ne saurait pas vous le dire et vous répondrez surement avec un sourire que si elle l’a choisi c’est qu’elle était aussi bizarre que lui. Et pour cause, celle-ci a un petit défaut dans le bois de sa poignée, petit défaut qu’Olivander a préféré mettre en avant plutôt que de le cacher en usant de gravures d’apparences celtiques. Patronus : Un patronus ? Oui bien sûr comme beaucoup d’autres élèves il en a un, il a appris dans les cours de défenses contre les forces du mal à lancer ce type de sort. Mais cela fait déjà bien longtemps qu’il ne s’est pas servi de ce sort. Non. A dire vrai il n’a jamais eu besoin de s’en servir, et a son humble avis il n’est pas près de s’en servir. Néanmoins, dans ses souvenirs, son patronus prenait la forme d’un ours blanc, animal qu’il avait vu et qui l’avait impressionné lors de sa première visite au Zoo. Épouvantard : La chose qui lui fait le plus peur est extrêmement commune, c’est une chose qui l’a hanté depuis sa plus tendre jeunesse. Quand il était petit, son père travaillait toujours dans son bureau, celui-ci se trouvait au deuxième étage de la maison, et occupait à lui seul ce même étage. Il était interdit d’y aller que ce soit pour lui, ou pour sa sœur cadette, leur mère elle-même ne s’y rendait pas comme si cette pièce renfermait des choses interdites. Néanmoins ce n’était pas tant ce bureau qui effrayant l’enfant qu’il était, mais bien l’immense tableau qui se trouvait au haut des escaliers. Ce tableau n’était que le premier d’une série de portrait représentant les membres les plus illustres de la famille Rosier, et celui qui trônait en haut des escaliers n’étaient autre que le portrait de Evan Rosier qui resplendissait de son aspect sombre et particulièrement effrayant. Alors enfant, la nuit, il entrevoyait, parfois dans ses rêves, les fantômes de ceux-ci, et comme tout enfant normalement constituait il en était terriblement effrayé. Si cette frayeur n’est aujourd’hui plus aussi vivace, il éprouve toujours en sentiment très dérangeant en passant devant. Particularité : Si vous parlez de particularité en rapport avec la magie, je suis au regret de vous informer qu’il n’en a aucune. Sinon ? Et bien il parle très bien le Suédois, et même peut être mieux que l’Anglais. Options choisies & métier envisagé : Elias est un élève qui n’a jamais été excellent où que ce soit, mais jamais mauvais non plus, il stagne dans une moyenne assez bonne… Du coup, il ne s’est jamais dit qu’il serait possible pour lui de devenir médicomage, filière vu comme excellente parmi l’excellence, et puis ça ne l’intéressait pas. Lui étrangement, il était bien plus intéressait par toutes les légendes qui entouraient les sorciers de l’ancien temps, mais aussi sur toutes les traductions de cet ancien langage que l’on appelle aujourd’hui les runes. Alors il ne demanda l’avis de personne quand il fallut choisir ce cours optionnel, et ce fut ainsi qu’il proclama à tout le monde qu’il se voyait bien archeomage ou tout simplement historien en magie. Cela ne fascina personne, mais au final ça ne le dérangeait absolument pas, parce que c’était vraiment ce qu’il voulait faire de sa vie. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ?Les Rosier n’ont jamais été connu pour leur magie blanche, il est donc inutile de mentir à ce sujet. Elias comme sa jeune sœur ont baigné très jeune dans la magie noire, en apprenant les bases puis avec le temps des choses bien plus complexes, bien plus noire. Ce sont des choses qu’ils savent tous deux faire, qu’ils connaissent presque sur le bout de leurs dix doigts, mais ce n’est pas quelque chose que l’on peut considérer comme étant un secret… Après tout, il est issu d’une famille de Mangemort, et qui plus est des mangemorts sacrement accrochés à leurs principes fondamentaux. Mais ce n’est pas pour autant que Elias en fait usage, ce n’est pas non plus pour autant qu’il milite pour la pureté du sang. Il serait même bon de dire qu’il n’y a que son sang et celui de sa famille qui compte, si le sien reste pur, alors celui des autres peut bien être comme ils le veulent. Alors quant à vous dire s’il serait capable de rejoindre les rangs de la rébellion, il ne saurait vous le dire, il se contenterait de vous dire qu’il préférerait rester neutre, regarder de loin les gens se massacrer sans prendre parti.
Dernière édition par Elias P. Rosier le Mar 1 Jan - 21:35, édité 3 fois
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Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mar 1 Jan - 15:56
ton histoire
Stockholm, oh belle de Suède, toi seule connait tes secrets et à jamais tu les garderas enfermé. Combien de sorciers se sont réfugiés dans tes entrailles ? Combien jouèrent les innocents alors que la rage, la haine, et l’esprit de vengeance ne faisait croitre en leur cœur. Oh belle et froide Stockholm, raconte nous les secrets de ces sorciers qui battent le pavé sous leurs capes noires, cachant leur visage, taisant leur nom, et pourtant continuant à murmurer à qui voudrait l’entendre qu’un jour un nouveau seigneur viendra. Que ce nouveau seigneur, ce maitre de la magie noire, ferait renaitre de ces cendres l’éminence de la sorcellerie, châtiant tous les impurs. Mais, Stockholm, toi, tu te fiches bien de ces sorciers et sorcières qui peuplent tes maisons de briques rouges, tu te fiches bien de leurs remords tout comme de leurs espoirs, parce qu’au fond tu sais que tu ne peux rien y faire, que c’est ainsi que les Hommes vivent, se sentent supérieurs, et finalement déclarent les guerres. Tu n’as déjà que trop pleurer en sentant le sang couler entre tes pavés pour noyer tes caniveaux, alors maintenant tu te fais sèches, et tu attends que le temps passe, que les peines se noient d’elle-même et que les colère s’étouffe dans la misère de peuples entiers. Tu ne t’émeus même plus des cris de ces enfants qui naissent, pas même de ces pleurs de ces bambins qui s’écorchent les genoux sur tes trottoirs alors qu’ils apprennent à pédaler dans tes longues rues grises. Oui, ma belle Suédoise, tu deviens froide, glaciale, tout autant que cette atmosphère qui assombrie un peu plus chaque jour, et tu t’emportes un peu plus à chaque instant laissant la tempête gronder jusqu’à ce que l’orage éclate, violemment, terriblement.
«Souvenir d'Enfance.»
La pluie s’abat violemment sur les carreaux des grandes fenêtres du salon, il y fait noir comme un four, et il n’y a que la fine lumière qui vient des lampadaires de la rue pour éclairer la grande pièce. Il n’y a personne ici-bas, si ce n’est une petite forme qui bouge à peine, recroquevillé sur un de ces vieux fauteuils de velours rouge passé. Cette forme enfantine joue, silencieuse, avec un petit cheval de bois blanc, vestige d’un ancien temps, et parfois, si on tend l’oreille, on l’entend murmurer des mots doux à cet animal. Il se prend à rêver qu’il est un de ces chevaliers dont on parle dans les livres, et qu’armé de pouvoirs magiques ils chassent les dragons qui habitent les plus grandes grottes ou vivent sur les plus hautes montagnes. Il devient le héros de ses propres histoires, et dans l’obscurité palpable de cette pièce il s’invente sa propre lumière. Il s’agite un peu plus, roulant sur le dos, commençant à pousser de petits cris de sauvageon, tenant d’une main son petit cheval et de l’autre brandissant une épée imaginaire. Il se bat comme tout chevalier bienheureux et courageux le ferait, il s’essouffle dans son fantasme, et fini par hurler à la victoire. Mais déjà il se ravise, laissant tomber son jouet sur le sol, tout en plaquant ses mains sur sa bouche. Il regarde à droite et à gauche à la recherche d’une cachette, alors qu’à l’étage se font entendre les pas lourd d’une seconde personne. Les larmes lui montent aux yeux alors qu’il n’ose bouger, restant droit comme un piquet, parfois secoué d’un sanglot muet, au milieu de ce même salon désormais éclairé par les éclairs qui zèbrent le ciel. Le planché craque au rythme des pas qui se font entendre. Sa poitrine se soulève au rythme de ses sanglants et son cœur bat à tout rompre. Nul enfant ne devrait craindre l’amusement, tous devraient s’épanouir dans les cris de joies. Mais le cheval en tombant à perdu la tête, et le petit garçon, lui, a perdu toute sa joie pour se noyer dans sa propre peur. Cette peur qui résonne dans les couloirs vides et sombres de la vieille maison de briques, cette voix qui vient du haut des escaliers.
« Elias. Monte s’il te plait. ».
Cette voix c’est celle de son père, celle de Victor Rosier. C’est un grand homme sec, au teint livide, et aux yeux d’un bleu hypnotique, il n’est pas particulièrement beau mais il a dans sa démarche, et même dans sa présence, quelque chose de charmant, mais aussi d’effrayant. Le petit garçon au cheval blanc ne l’a jamais regardé dans les yeux, il a toujours eut trop peur de la réprimande, peur comme il a peur à cet instant. Il tremble, et tente de reprendre son souffle en ravalant ses larmes. Il ne doit pas y avoir de larmes chez les Rosier. Les larmes c’est bon pour les autres, c’est bon pour les faibles, alors il essuie du revers de sa manches ses joues rougies de chagrin, et se avance fébrile vers les grands escaliers noirs.
« Dépêches-toi mon enfant. ».
Il tressaille en entendant l’agacement qui commence à poindre dans la voix de son père. Sa main tremble de plus belle alors qu’il vient chercher la rampe de fer glacé qui l’aidera à gravir les escaliers. Il gravit les marche le plus rapidement possible, il se bat contre sa peur comme le chevalier se bat contre le dragon, mais contrairement à la sainte victoire du chevalier lui ne récoltera que les remontrances d’un père particulièrement sévère. Petit à petit il sort de l’obscurité, touchant de ses pieds nus la moquette verte et limée du palier, il peut voir sa petite sœur qui dans l’encadrement de la porte de sa chambre le regarde. Elle sait. Elle a su tout comme lui que le dragon allait s’éveiller aux cris du guerrier. Elle lui offre un petit sourire réconfortant, et lui, qui se veut brave, lui rend son sourire comme s’il ne craignait rien alors que la peur le ronge. Il prend une grande bouffée d’air avant d’entreprendre plus lentement encore l’ascension des prochaines marches. Bientôt ses yeux se posent sur le portrait qui l’effraie tant. Ce portrait de leur grand oncle Evan Rosier, cet oncle qu’il n’a pas eu la malchance de connaître mais qu’on lui présenta toujours comme étant un héros incompris. Un portrait de plus dans cette galerie de faciès rendus illustres par leur méfait. Il détourne les yeux pour ne pas croiser le regard sévère de cet oncle. Ce regard, il l’a déjà vu sur son père alors qu’il l’observait à la dérobée. Ce regard il le voit tous les jours dans le miroir de la salle de bain quand il se lave les dents, mais le sien pourtant n’a pas l’air aussi effrayant. La lourde porte en bois d’ébène du bureau n’est pas fermée comme d’accoutumé, et lui, les mains derrière le dos, se présente sur le pas de la porte. Il fixe le bout de ses chaussures sans oser faire un pas de plus dans cette pièce, on le lui a toujours interdit, et jamais il ne s’y est risqué sans qu’on ne l’appelle comme ce jour-là. Mais il peut deviner que son père est assis à son bureau, une longue plume d’oie entre les mains grattant des parchemins dont seul lui connait l’importance. Il sert les dents, et garde toute sa peur enfermée en lui, elle ne doit pas éclater, pas ici, pas maintenant, mais surtout pas face à lui.
« Elias sais-tu ce qui arrive aux enfants qui n’écoutent pas leurs parents ?! »
La voix ne trahissait aucune colère. C’était aussi ça le fort de cet homme, toujours d’un flegme extraordinaire, il était d’une fourberie des plus extraordinaire. Combien de fois avait il eut se ton enjoué qui laisse à penser que ce n’était rien d’autre qu’une simple plaisanterie destinée à faire monter la tension jusqu’à ce que le couperet retombe. Et en échos à cette voix calme, aux intonations parfaites, répondait une voix fluette de petit garçon de sept ans qui trébuchait encore sur les mots sous le coup de l’émotion.
« Ils se font attaquer par les sang de bourbe durant leur sommeil, et ils volent les pouvoirs des petits sorciers avant de les égorger. »
Une lourde chaise traine sur le plancher dans un bruit désagréable, il ne peut s’empêcher de grimacer. Mais cette grimace est-t-elle pour le désagrément ou parce qu’il sait que suivront les pas de son père qui se rapprochent ? Peut-être bien les deux, et bientôt dans son champ de vision apparaissent les chaussures noires et cirées de son père. Sa voix n’est plus aussi lointaine, et il craint que celui-ci l’entende s’il venait à déglutir. Néanmoins, il ravale quand même sa salive le plus lentement et silencieusement possible.
« Alors que dois-je faire pour que tu m’écoute ?! Veux-tu vraiment être puni ? Je commence à croire que tu aimes les punitions Elias. Je me trompe ? »
Il n’attend pas la réponse de son fils pour attraper son bras sans force, presque flasque, alors que le petit garçon sans lever les yeux fait non de la tête. Murmurant la négation sans pour autant oser la crier. Il ne faudrait pas qu’il s’énerve qu’il l’est déjà. Mais déjà les larmes lui montent aux yeux alors qu’il tend enfin les mains devant lui, présentant ses paumes déjà zébrées de marques rouges. Des cicatrices qui marquaient ses avant-bras, combien de fois s’était-il déjà fait punir ? Combien de fois avait-il préféré se faire punir à la place de sa sœur ? Trop de fois. Oui, trop de fois il avait senti le poids de la baguette de son père peser sur son bras avant qu’il ne commence à le frapper avec. Dix coups. Il n’y en avait jamais plus. Jamais moins. Et toujours prodiguer avec une lenteur digne du meilleur du bourreau. Dix coups qu’il ne comptait plus, attendant juste en ravalant ses larmes que le temps passe. Puis la baguette cessait de fendre l’air, les pieds s’éloignaient, et la voix de son père retentissait une dernière fois.
« Tu fermeras la porte derrière toi. ».
Et serrant les dents, retenant ses larmes qui parlaient déjà le long de ses cils, il ravalait sa douleur en fermant sa porte. Il marchait toujours lentement, baisser un peu plus les yeux en passant devant le portrait, ne disait mot en descendant les escaliers. Il ne répondait même pas à sa sœur qui lui demandait presque sans voix si ça allait, et il fermait la porte de sa chambre derrière lui. Il s'enfermait dans son monde, il s'enfermait dans l'obscurité en laissant rouler sur ses joues, silencieusement, les larmes de tristesse et de douleur. Il restait ainsi durant des heures, jusqu'à ce que, comme par miracle, dans la noirceur de sa chambre naisse une nouvelle fois un éclat d'imagination enfantine qui avait le pouvoir de lui rendre le sourire.
«Et On grandit...»
Et un jour vient le soleil, il illumine toutes les fenêtres passant au travers de leurs vitres couvertes de cette fine pellicule de poussière due à la pollution. Les oiseaux sortent des feuillages des arbres que l’on a planté sur les trottoirs, les écureuils recommencent à faire leur réserves de noisettes et autres glands qui tombent des grands arbres des parcs. C’est le retour du printemps, et le givre qui prenait encore place sur les parebrises des voitures garées dans la rue, les rayons du soleil réchauffe les arbres qui fleurissent dans des couleurs diverses et variées. De derrière les rideaux, elle regarde ces gens qui se promènent tenant encore leur parapluie sous le coude, le printemps n’est pas gage de beau temps, juste de renouveau. Elle attend le moment où elle pourra enfin gouter à cette liberté, où elle ne sera plus prisonnière de cette cage dorée, il lui faudra attendre encore un peu, juste le temps d’une année avant de faire comme son frère. Alors, elle détourne son regard du ciel bleu, et des heureux, pour retourner à cette valise qu’elle commence à remplir en tapissant le fond de toute sorte de vêtement chaud, et imperméables. On lui a toujours dit que l’Angleterre était un pays particulièrement pluvieux, et où il régnait un froid de canard, mais si elle ne craint que trop peu le froid, en revanche elle n’aime que trop peu la pluie.
« N’oublie pas tes bottes ! Comme ça on pourra sauter dans les flaques d’eau ! »
Elle sursaute, elle ne s’attendait pas à ce qu’on la regarde ainsi faire, et elle ne peut s’empêcher de rougir avant d’adresser un sourire à son frère. Il est juste là, sur le pas de la porte, les bras croisé la regardant en souriant. Elle ne l’a jamais vraiment connu autrement qu’avec ce sourire sur les lèvres, même dans les moments les plus obscurs de leurs vies il n’a jamais cessé de sourire. Il n’a jamais cessé de rire, et de se moquer de leur funeste destin là où, elle, s’est toujours contenté de détourner les yeux. S’ils sont bel et bien frère et sœur, ils n’en sont néanmoins pas fais du même bois. Lui, il avait toujours eut cette force, sourde, lumineuse, et surtout cette joie qui lui permettait de continuer de l’avant alors qu’elle, sans lui, avait toujours été incapable de mettre un pas devant l’autre. Elle se contentait d’attendre, de sourire timidement, jusqu’à ce qu’il lui prenne la main comme quand ils n’étaient deux petits-enfants, comme quand il préférait qu’on le punisse lui plutôt qu’elle. Cependant, ce temps touchait à sa fin, venait de sonner ses quatorze ans, et à la prochaine rentrée, il devrait partir. Loin. Terriblement loin. Elle devrait faire sans lui, elle devrait endurer pendant une année le caractère désastreux de leurs géniteurs ; et si leur mère était d’un naturel absent, leur père en revanche, en vieillissant, ne s’était pas vraiment amélioré. Il n’était devenu que plus défiant et toujours d’humeur taciturne, ne supportant plus que les murmures accompagné de longues journées de silence.
« Tu sais que tu vas me manquer ? Terriblement. »
Si elle souriant toujours, elle n’en gardait pas moins cette expression triste qui jamais ne la quittait, et qui faisait dire à tous ceux qui l’avaient rencontré qu’elle donnait cette impression de fragilité. Mais elle n’en restait pas moins une Rosier, et lui savait qu’elle pouvait se montrer tout aussi dure que leur père, c’était après tout dans leur éducation et cette dureté coulait dans leur veines comme le poison d’un destin déjà tracé. Seulement à la différence de leurs parents, ils avaient tous deux une réelle affection l’un pour l’autre, et cela les conduisait à partager de véritables moments de complicité. Elle ne s’étonna pas alors de le voir dépasser le seuil de sa porte pour venir la serrer tout contre lui, il pouvait sentir son dos tressauter au grès de ces sanglots et bientôt ses vêtements furent marquer par son chagrin. Doucement, avec un amour somme toute uniquement fraternel, il lui caressait les cheveux comme une mère aurait dut le faire pour calmer les cœurs blessés de ses enfants ; mais en guise de caresses maternelle ils n’avaient jamais eu que gifles ou autres griffures des ongles acérés sur leurs peaux blanches.
« Ca ne durera pas longtemps, et puis je reviendrais à chaque fois que je le pourrais ! Ne pleure pas Elisa, j’aime vraiment pas quand tu pleurs, tu me fais regretter de quitter cette maison de fous ! »
Mais il le fallait, c’était écrit depuis déjà de nombreuses années, un Rosier allait faire son entrée à Poudlard. Le premier depuis des années, le premier de ce qu’on espérait être une longue lignée d’autres. On ne lui laissait pas le choix, et en même temps, lui était plus qu’heureux de partir, seulement son bonheur aurait été des plus complets si ce voyage pour Londres n’était pas uniquement fait pour s’occuper des derniers achets et des derniers petits problèmes administratifs, mais s’il s’était bien s’agit de la rentrée scolaire. Il aurait aussi tant voulu qu’elle vienne avec lui, mais son tour n’était pas encore venu. Viendrait pourtant le moment, où elle aussi recevrait cette lettre parcheminée fermée du cachetée de la célèbre école de magie. Oui, viendrait un temps où ils seraient de nouveau réunis… Ce temps viendrait, à défaut de ce moment pas encore révolu, il mit fin à leur étreinte, et il retourne sur ses pas, pour se retourner une dernière fois, il avait toujours le sourire, et elle lui répondit, ses joues humides de la plus belle des façons.
« Un jour nous serrons de nouveau réunis. ».
«Et on rencontre son destin»
« Fils,
Je ne viens pas par cette lettre demander de tes nouvelles, et encore moins m’intéresser à tes activités qui sans nulle doutes ne pourront que me décevoir. Non, si je prends ma plume en ce jour, c’est bien parce que tu ne nous as pas fait l’honneur de ta présence cet été, préférant de loin passer tes vacances à trainer je ne sais où. Si tu avais pris la peine de nous rendre visite ne serait-ce qu’une fois, tu aurais été su qu’après de longs pourparlers, des dispositions ont été prise afin que tu épouses une de nos semblables. Ta promise fait partie de la famille Goyle, et elle s’appelle Wilhelmina, elle est aussi une élève de Poudlard. Je ne doute pas que tu sauras la retrouver dans les couloirs de cette école, et je compte bien sûr sur toi pour prendre en main ton destin sans que je n’ai besoin de m’occuper de tout cela. Bien sûr, il ne te viendra pas l’idée de tout saboter, toi et ta sœur étés né dans cette optique. L’unique optique de faire renaitre de ces cendres le faste de notre famille. Il ne tient qu’à toi de faire pour une fois quelque chose de bien dans ta vie. Prends désormais tes responsabilités, et met à cœur de respecter les fondements même de notre famille.
D. Rosier. »
Cette lettre était arrivée le matin même, tombé des serres de la grande chouette qu’on lui avait offert lors de sa première année. Une lettre de papier noir, cacheté d’un point de cire blanche où apparaissaient les armoiries familiales. Il s’était étonné de recevoir du courrier et encore plus de la part de sa propre famille, ça n’inaugurait jamais rien de bon. Il avait pris plein de précautions en la décachetant, craignant peut être que le papier ne lui saute à la gorge pour mieux lui faire comprendre toute la désapprobation de ces parents vis-à-vis de son absence. Il y avait tout d’abord cru en lisant les premières lignes, et finalement sa mâchoire s’était serrée, ses dents avaient grincé. Ses camarades l’avaient regardé changer subitement de physionomie, ils s’étaient tous tus, mais n’avaient pourtant rien demandé, ils savaient tous que ce changement subi n’annonçait jamais quelque chose de bon vis-à-vis d’Elias. Et il s’était levé tout aussi subitement abandonnant son petit déjeuner qu’il n’avait qu’à peine commencé, il s’était levé si violement que le banc avait reculé dans un grincement strident qui avait retenu l’attention de tout le monde. Elias, avait gardé sa lettre dans sa main, et plein de colère avait fini par la rouler en boule sous les yeux de sa sœur qui se trouvait à la table d’une autre maison. Il avait après tenté de jeté sa lettre dans une corbeille, mais il avait loupé l’intérieur, il ne s’était pas retourné pour autant avait continué son chemin.
« Elias… Elias ! Attends ! »
Il s’était arrêté face aux grands escaliers, cette voix c’était celle de sa sœur, elle s’était mise à crier en sortant de la grande salle. Ca n’arrivait que trop peu souvent ces derniers temps, ils s’étaient éloignés assez subitement. Tout ça à cause des idéaux qu’il avait et qu’elle bafoué avec cette relation insupportable qu’elle entretenait avec un sang de bourbe. Elle avait un jour trouvé bon de lui en parler, grand mal lui avait pris, lui ne l’avait pas accepté, et s’il n’en avait pas parlé à leurs parents ce n’était que par égard pour elle. Juste parce qu’il savait que si leur père l’apprenait il ferait planer sur elle toute la colère qu’il avait en réserve, et qu’elle n’en sortirait pas indemne, il n’était pas même sûr qu’elle y résisterait. Néanmoins s’il aimait toujours sa sœur de ce profond amour fraternel, il n’en restait pas moins qu’il était déçu par sa façon de se comporter, par sa façon de trahir son propre sang. Alors il avait troqué sa bonhommie pour une mine glaciale quand il s’agissait de lui parler.
« J’ai lu… J’ai lu la lettre ! Tu ne peux pas leur en vouloir, c’était quelque chose qui devait arriver. »
S’en était trop. Elle n’avait pas le droit, elle ne devait pas se mêler de sa vie de cette façon pas elle. Pas de cette façon. Elle n’avait pas de conseil à lui donner et surement pas à ce sujet. Alors il se retourna, et fondit sur elle, attrapant son petit menton par une de ces mains qui semblaient si gigantesque à côté de sa petitesse. Il était furieux, ça se voyait autant sur son expression que sur sa façon de parler. Il crachait presque ses mots au visage rougi et larmoyant de sa sœur.
« Je ne dois pas leur en vouloir ? Que dirais-tu toi si on t’apprenait que tu es fiancée à un parfait inconnu ? Oh mais non, cela n’arrivera pas, puisque tu auras sitôt fait de t’enfuir avec ton sang de bourbe et ils te rejetteront. Alors fou moi la paix Elisa, et disparais ! »
Puis il lâcha tout, la laissant là au milieu de l’entrée alors qu’il gravissait quatre à quatre les escaliers. Elle fondit en larmes, et lui disparut.
«Savoir Accepter.»
Avec le temps il avait accepté cette histoire de mariage, tout d’abord réticent, il s’était finalement dit que ça ne pouvait pas être plus mal. Il n’avait jamais été très doué pour choisir ses conquêtes et la dernière en lisse avait fini par lui piétiner le cœur du bout du pied, elle s’affichait d’ailleurs encore sous ses yeux de la pire façon qui puisse être. Et lui avait fait en sorte de l’oublier le plus rapidement possible, il avait retrouvé le sourire, et avait continué d’avancer en repensant à cette idée de mariage. Il n’avait pas eu besoin de chercher bien loin pour savoir qui était cette fiancée mystérieuse, s’il ne la connaissait pas il avait en revanche croisé deux ou trois fois ses frères ainés. L’un d’entre eux, l’ainé, d’après ces souvenirs, lui avait un jour parlé de ces fiançailles et lui avait de cette façon donné l’autorisation d’approcher sa sœur. D’une certaine façon ça l’avait rassuré, non pas qu’il craignait quelques remontrances de la part de ces chiens de gardes, mais il préférait, si il pouvait y échapper, ne pas se faire taper dessus. Alors un jour, un jour comme un autre, il avait pris la décision de passer un cap et d’arrêter de l’observer de loin pour venir, enfin, lui parler. De ce qu’il en avait vu ce n’était pas une demoiselle facile à aborder, plutôt froide d’apparence, mais ça n’avait pas d’importance parce qu’au fond des gens froids il en avait connu toute sa vie, certains plus intimement que d’autres. Elle était assise à une de ces longues tables de la bibliothèque, studieuse, plus que lui ne jamais été en tout cas. Elle avait des milliers de livres ouverts devant elle, et elle n’en levait jamais les yeux. Lui s’était approchait d’elle, attrapant au plus grand hasard un livre dans une étagère. « Pratique de la magie noire. Pourquoi est-ce interdit ?! », cela sonnait à son esprit comme une mise en garde, mais ça n’avait foncièrement aucun intérêt puisque ce livre n’avait qu’une fonction, donner le change.
« La place est prise ou je peux m'y mettre ? »
Elle avait levé les yeux vers lui, et lui avait tout simplement sourit. Il lui avait montré la chaise, et elle s’était contenté de hausser les épaules comme si ça n’avait pas d’importance, et au fond c’était vrai, que sa réponse eut été négative cela ne l’aurait pas empêché de réquisitionner la chaise et de s’installer à cette table en ouvrant au hasard son livre devant lui. Seulement, au lieu de regarder son propre livre, il jetait des coups d’oeils curieux à ceux de la demoiselle.
« Tu as pris Etudes des moldus à ce que je vois c'est bien comme cours ? J'ai hésité à le prendre. »
Faux. Totalement faux. Il n’avait jamais songé à prendre ce cours, à dire vrai le monde des moldus ne l’intéressait absolument pas, et quand bien même il devait le supporter il préférait le faire au travers de la lucarne de la télévision. Il voyait assez d’ânerie via sa télévision pour le vacciner, le seul intérêt qu’il avait pour les moldus c’était la nourriture, la littérature, et peut être bien quelques petites autres choses qui ne lui revenait pas à l’esprit. Elle releva la tête et ses yeux lancés des éclairs alors que lui se mordait la lèvre pour réprimer cette envie irrépréhensible de sourire.
« Je voulais juste discuter, je suis désolé si je dérange. »
Encore une fois un pieux mensonge, il se fichait bien de venir troubler cet atmosphère studieuse dans laquelle elle s’était plongé, le but était justement de venir la déranger juste pour la connaitre mieux. Bien sûr il y avait mieux comme première approche surtout au vu de sa réaction, mais mieux valait un sourire acerbe à aucune réaction. Mieux valait un regard à rien du tout. Un regard qui devenait insistant. Il porta une main à son visage, faisant mine d’essuyer sa joue.
« J'ai encore de la purée de citrouille sur le visage c'est pour ça que tu me regarde comme ça ? »
Etrangement cela la fit sourire, et même rire. Comme disait l’adage « femme qui rit à moitié dans ton lit », mais il se retint de sortir une telle ânerie, comme il se retint de lui avouer qu’il n’était nul autre que son fiancé, préférant à dire vrai garder le secret, le moment de vivre en tant que fiancés viendrait bien assez tôt. Et puis mieux valait se montrer autrement qu’en tant qu’une vile obligation afin de se faire accepter… Elle ferma son livre, et s’intéressa de plus près à lui. Elle se permit même de desserrer les lèvres pour lui adresser quelques mots et même se permettre un trait d’humour…
« Non c'est juste que j'ai pas l'habitude qu'un jeune homme s'aventure à la même table que moi, généralement ils ont trop peur de mes frères pour oser le faire.
Cet humour qui sonnait tout de même comme une menace. Si seulement elle avait su qu’il ne risquait pas grand-chose de la part de son frère ainé. Quant au second cela restait encore à déterminé. Il se permit alors de sourire de toutes ses dents en passant une main dans ses cheveux déjà assez désordonné.
« Je dois être fou en fait c'est ça qui te plait alors. »
Hors fou, il ne l’était pas. Fiancé, désormais, si.
le moldu derrière tout ça
Pseudo : Tchapalow Âge : 23ans Avatar : Sam ClaflinFréquence de connexion : Bah je suis toujours là hein, même quand je dois réviser c'est dire!Comment as-tu connu le forum ? Je suis déjà ici, youhou, c'est moi AmbroiseCode :code validé par QuiggCopyright : Youtube (cliquez sur les liens ils sont toujours présents et vous verrez qui c'est), Tumblr et moi même
Dernière édition par Elias P. Rosier le Jeu 3 Jan - 21:00, édité 20 fois
Invité
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mar 1 Jan - 17:31
Rebienvenue petit coco ! :nomnom: Et bonne chance pour ta fiche ! Si tu as besoin d'aide, tu sais où aller, hein !
Sam Claflin
Invité
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mar 1 Jan - 18:27
Rebienvenue :nomnom:
Invité
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mar 1 Jan - 18:51
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mar 1 Jan - 20:50
MON ELIASOUNNETTT CHERIIII quoi c'est si choquant que ça ? enfin bref. REbienvenue chez nous si tu as besoin tu me dis hein, je suis tout ouïe pour toi
Invité
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mar 1 Jan - 22:10
Rebienvenuuuuuuue.
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mer 2 Jan - 7:33
Rebienvenue. Tu connais la maison Un compte sous lequel on va pouvoir s'entendre ?
Invité
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mer 2 Jan - 14:58
Bienvenue!
Zane E. Goyle
HRIen depuis le : 13/04/2012 Parchemins écrits : 1281
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Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mer 2 Jan - 15:15
Bienvenue officiellement, beau frère
Invité
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Mer 2 Jan - 18:48
Bienvenue !
Invité
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Jeu 3 Jan - 21:26
C'est qu'il est moignon ce petit n'empêche que même si c'est pas tout le scénario que j'avais pensé à la base, les choix qu'il a fait ça me va très bien en même temps comment je peux être chiante alors qu'il a pris mon Elias que j'attends depuis si longtemps donc tout ma va Lesya
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Sam 5 Jan - 8:40
Alors c'est parfait si tout l'est
Félicitation & bienvenue
“ Aux yeux de Gryffondor, il fallait à tout âge Montrer par-dessus tout la vertu du courage. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.
TOUTEFOIS…
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Enfin, pour finir, si ce n'est pas la première fois que tu t'inscris sur HRI, n'oublie pas d'aller recenser ton deuxième (peut-être même troisième) compte ICI!
Bonne chance à toi
Jeune Gryffondor
Invité
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick? Sam 5 Jan - 9:19
HEAYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY
*me se prend une porte*
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Elias Phoenix Rosier ♣ Wanna see a magic trick?