et ceybooon.

En parlant de ça...:

edelweiss ; t'es jolie comme un cœur, tu écris magnifiquement bien, j'en veux un aussi. tu as une idée, une envie ? positif, négatif, ambigu ? déjàà, elles sont dans la même année. et puis, elles ont toutes les deux une histoire compliquée avec leurs familles respectives, du coup, je sais si le lien sur ta fiche « confidences pour confidences » est okay ? déjà, partir sur cette base, et développer un peu le tout autour de çaa.

aprilynne ; alors. poufsouffle + dix-sept ans (même si arwen a, techniquement, a un de plus ) + prudes avec les garçons + pas d'expérience dans ce domaine-là + amoureuses d'un gars un peu sombre + tempérament assez doux mais peuvent se rebeller. euh... y'a moyen qu'elles s'entendent hyper bien, non ? elles peuvent se ressembler sur pas mal de points, surtout au niveau du caractère, j'imaginais que ces ressemblances aient pu les rapprocher quoique une complicité assez mitigée par leurs secrets respectifs (sauvage et la relation à moitié incestueuse entre arwen et ses demi-frères, entre autres ) (D'AILLEURS, un lien avec mordred, peut-être ? ) qui creuserait quand même un gouffre entre les deux. genre, elles peuvent se parler d'à peu près n'importe quoi, sauf des choses véritablement troublantes dans leurs vies comme se confier autour du feu de la cheminée de leur salle commune, à propos de leurs sentiments, par exemple ; j'imagine bien arwen être l'une des rares à ne pas avoir juger la relation lokilynne, sans s'imaginer qu'il aurait pu lui être néfaste, pour être plus ou moins dans la même situation ; du coup, elle pourrait facilement se confier leurs peines de cœur (même si arwen ne lui aurait pas encore avoué sa condition de demi-vélane ). enfin, grossièrement, ça serait un peu ça. keske t'en penses ?

etna ; ALORS. en tant que fille de barty croupton jr, est-ce que arwen n'aurait pas pu d'abord inspirer de l'antipathie à etna ? jusqu'à ce qu'elle se rende compte qu'elle est loin de ressembler à n'importe quelle gosse de mangemort. et de là, partir sur du plus complexe.

Arwen L. Croupton a écrit:

edelweiss ; t'es jolie comme un cœur, tu écris magnifiquement bien, j'en veux un aussi. :*_*:tu as une idée, une envie ? positif, négatif, ambigu ? :run:déjàà, elles sont dans la même année. :*-*:et puis, elles ont toutes les deux une histoire compliquée avec leurs familles respectives, du coup, je sais si le lien sur ta fiche « confidences pour confidences » est okay ? :run:déjà, partir sur cette base, et développer un peu le tout autour de çaa.

salut mon abricot à la pomme. je viens de ce pas te répondre avec orion-chéri. je sais que tu aimes bien le mater. *ZBAAAAF*

Arwen L. Croupton a écrit:

aprilynne ; alors. :=3:poufsouffle + dix-sept ans (même si arwen a, techniquement, a un de plus ) + prudes avec les garçons + pas d'expérience dans ce domaine-là + amoureuses d'un gars un peu sombre + tempérament assez doux mais peuvent se rebeller. euh... y'a moyen qu'elles s'entendent hyper bien, non ? elles peuvent se ressembler sur pas mal de points, surtout au niveau du caractère, j'imaginais que ces ressemblances aient pu les rapprocher quoique une complicité assez mitigée par leurs secrets respectifs (sauvage et la relation à moitié incestueuse entre arwen et ses demi-frères, entre autres ) (D'AILLEURS, un lien avec mordred, peut-être ? ) qui creuserait quand même un gouffre entre les deux. genre, elles peuvent se parler d'à peu près n'importe quoi, sauf des choses véritablement troublantes dans leurs vies comme se confier autour du feu de la cheminée de leur salle commune, à propos de leurs sentiments, par exemple ; j'imagine bien arwen être l'une des rares à ne pas avoir juger la relation lokilynne, sans s'imaginer qu'il aurait pu lui être néfaste, pour être plus ou moins dans la même situation ; du coup, elle pourrait facilement se confier leurs peines de cœur (même si arwen ne lui aurait pas encore avoué sa condition de demi-vélane ). enfin, grossièrement, ça serait un peu ça. keske t'en penses ?

ouuuuh. mais j'adhère totalement à ton idée dis dont. c'est même une excellente idée. je vois très bien ce que tu veux dire genre une amitié assez solide, puisqu'elles ne se jugent jamais l'une et l'autre et qu'elles savent assez bien qu'elles ont beaucoup de points communs, surtout cette naïveté - visiblement - qui les pousse à tomber amoureuse de garçon pas très net.  du coup, apri serait au courant pour arwen et judah ? d'ailleurs, c'est quoi exactement votre relation ?
bref, dans ce cas-là, je pense que ça serait niquel. elles seraient du genre à se confier l'une à l'autre sauf lorsqu'elles considèrent que c'est u peu trop ; son secret de vélane pour arwen et sa double-personnalité avec sauvage pour apri.  je les vois trop toutes les deux avoir du mal à dormir, surtout avec le bal de la saint-valentin qui approche et se retrouver au coin du feu toutes les deux avec un bon chocolat chaud. parfois avec satheen, parfois sans elle et elles parleraient de tout et de rien ; du dernier match de quidditch, au temps jusqu'à leurs sentiments amoureux. apri apprécierait sa discrétion et le fait qu'elle ne la juge pas. ça lui changerait de toutes ses copines qui aiment les ragots croustillants itout le tralala.

et pour le lien avec mordred, je suis pouuuuuur. sauf que ça serait différent. si j'ai bien compris, les frères d'arwen lui font quand même un peu peur, c'est ça ? tandis que le lien qui unit mordred à absynthe est vraiment un lien d'amour passionnel. ça serait voulu, au fond. et pour arwen, c'est différent du coup, vu qu'ils sont aussi ses bourreaux ?  du coup, vers quel côté tu pencherais, positif ou négatif ? enfin, après tout dépend de la nature de leur lien, je doute que momo lui confie quelque chose d'aussi personnel que le lien qu'il a avec sa sœur, surtout qu'il ne fait confiance à personne et il a trop peur que ça se retourne contre eux.  t'avais, peut-être, une idée en tête ?

etna ; alors, oui. l'idée étant que, plus le temps passe, moins arwen veut être associée aux croupton. un géniteur absent, une belle-mère et une demi-sœur qui la méprisent, deux demi-frères qui la martyrisent, c'est clairement pas la vie de famille idéale et donc, même si elle demeure assez silencieuse, un peu secrète, pas forcément ouverte ou caractérielle, elle n'appréciera forcément pas les regards de travers de maugrey au début ; surtout qu'elle se doutera que c'est à cause de son patronyme pour connaître l'aversion naturelle qu'éprouve etna à l'égard des gosses de mangemorts. j'aime bien l'idée mais les frères d'arwen font assez attention à ne pas être non plus surpris lorsqu'ils la maltraitent ; à vrai dire, ils s'enferment discrètement avec elle dans les toilettes de mimi geignarde pour faire ce qu'ils ont à faire. se pourrait-il qu'etna soit un jour enfermée là-bas elle aussi (mauvaise blague, coup de blues, besoin de solitude, etc.) et qu'en entendant des bruits, elle ouvre finalement la porte et découvre les croupton en train de s'occuper d'arwen ? dans ce cas, même si elle n'est qu'une bâtarde et assez invisible comme fille, arwen-lyanna n'aurait franchement pas apprécié d'être surprise dans une telle posture de faiblesse. du coup, est-ce qu'on ne pourrait pas faire un lien un peu plus ambigu qui déboucherait ensuite sur du positif avec etna qui commencerait à la voir comme une personne à part entière sans lui foutre l'étiquette de fille de sur le front, et apprécierait assez sa façon d'être, comme tu dis, voudrait s'en approcher, mais arwen s'appliquerait à la fuir parce qu'elle n'aime pas cette idée que la gryffondor lui renvoie à chaque fois en pleine figure, soit que quelqu'un ait pu comprendre ce qui se tramait avec ses frères ?

blake ; j'ai eu une idée. encore basée sur le don d'empathie de blake, par contre. dans l'idée, en tant que demi-vélane, arwen s'avère particulièrement attirante et suscite pas mal d'intérêt chez la gent masculine ; j'avais imaginé que blake se prendrait toute cette attirance en pleine poire quand elle débarquerait dans la pièce. au départ, il aurait peut-être pas compris que tout ça venait d'elle, parce que ce ne sont pas les sentiments d'arwen mais ceux qu'elle suscite chez les autres, et il se serait retrouvé à éprouver du désir puissance quinze sans savoir vers qui tout ça serait tourné et pourquoi. surtout que, tout au contraire de galadriel, arwen a l'habitude de faire dans la demi-mesure, elle se sent comme vidée de tout, à cause de ses frères essentiellement. du coup, elle aurait eu tendance à passer assez inaperçue aux yeux (et au don ) de blake parce qu'elle n'éprouve jamais de sentiments vraiment trop virulents. sauf en présence de thaddeus ou oberon (ses demi-frères qui la maltraitent dans tous les sens du terme) ou judah (le gars dont elle est éperdument amoureuse). du coup, je sais pas trop où ça nous mène. soit blake chercherait un peu l'origine de ce déferlement de désir qui le submerge par moments jusqu'à, un jour, comprendre qu'il s'agit d'arwen-lyanna ; ou bien, ils pourraient relativement bien s'entendre étant donné que, au vu de son tempérament paisible et assez discret, il ne se retrouverait pas assailli de pleins d'émotions contradictoires ou trop fortes en sa présence (jusqu'à ce qu'ils croisent des garçons qui ne seront pas insensibles au don d'arwen ). ou bien autre chose. bon, c'est un peu particulier comme lien, hein. et puis, c'est la base de la base, si t'es d'accord, on développera après.

edelweiss ; tu mérites même d'avoir les chevilles qui enflent.
comme je l'ai dit, elles sont de la même année. du coup, un professeur qui les aurait mises ensemble pour un devoir lors d'un cours commun, peut-être ? et, dans ce cas, elles se seraient donné rendez-vous à la bibliothèque, tout se serait relativement bien passé, arwen est franchement facile à vivre, très agréable comme fille quoiqu'un peu timide mais prompt à sourire à la moindre plaisanterie. et puis, oberon – le demi-frère d'arwen qui la terrorise – qui serait finalement entré dans la bibliothèque et arwen se serait aussitôt montrée beaucoup plus tendue, jetant des coups d’œil vraiment anxieux tout autour d'elles, se désintéressant sensiblement du devoir et n'écoutant qu'à moitié les dires d'edelweiss, cherchant juste à retrouver oberon pour ne pas qu'il puisse la surprendre en arrivant dans son dos. la terreur qu'elle éprouve à l'égard de ses frères est assez visible, c'est difficile de passer à côté ; edel aurait pu le remarquer et je pense qu'à force d'insistances, elle aurait pu la pousser à finalement se livrer. peut-être d'abord à travers des missives parce qu'elle aurait cherché à l'éviter dans les couloirs une fois le devoir remis et puis, à force de se mettre en confiance et de se faire des confidences couchées sur le papier, elles en seraient venues à se retrouver face à face, peut-être même à la bibliothèque, cachée derrière leurs livres, à échanger quelques mots, s'avouer des choses qu'elles se seraient toujours évertuées à garder cachées. je pense qu'avec le temps, arwen n'éprouverait plus vraiment de réserve vis-à-vis d'edel, et lui confierait un peu près tout de ses problèmes, la considérant comme une véritable amie et, finalement, sur une impulsion subite, lui proposerait de quitter la bibliothèque pour aller flâner dans le parc et parler cours et chiffons. dans la tête d'arwen, ça fonctionnerait ainsi : à la bibliothèque, elles ne parleraient que de tout ce qui ne va pas dans leurs vies, leurs soucis, leurs grands ou petits maux et, une fois sorties, elles se laisseraient aller à plus de sérénité et d'allégresse.

orion ; flûte, percée à jour.
si ça te convient, c'est le principal. exactement. oui, je pense que ça serait uniquement vers apri qu'elle se serait tournée pour lui parler de judah. concernant judarwen, il s'agit du meilleur ami d'oberon et thaddeus, les demi-frères d'arwen qui s'amusent considérablement avec elle et ce, bien malgré elle. qu'ils étaient tout jeunes et innocents, ils ont proposé à judah de « partager » avec lui leur petite arwen-lyanna dans le sens où ils les enfermaient tous les deux dans un placard en étant persuadé que judah pourrait aller encore plus loin que ce qu'ils se permettaient de faire. sauf que, s'il leur a toujours garanti que c'était bel et bien ce qu'il faisait, en vérité, ils se contentaient de se parler, et ont tissé un lien très fort. ils sont rapidement tombés amoureux – mais ignorent tout des sentiments de l'autre ; sinon ça serait pas drôle – et ont une relation vraiment privilégiée. à l'instar des croupton, en tant que psychopathe, il n'y a qu'avec arwen que judah peut faire preuve de douceur et de gentillesse et, de par son côté de demi-vélane, arwen ne pourra jamais aimer que judah de toute sa vie. du coup, ses frangins sont persuadés que lothbrock est dans leur camp, à s'amuser avec arwen exactement comme eux le font alors que, au lieu de ça, il lui panse ses blessures, la réconforte et la rassure – en évitant au maximum de la toucher parce qu'elle est haptophobe ; pour bien compléter le bordel –. en gros, judarwen, ceyssa. du coup, dans le genre j'aime-un-bad-boy-en-puissance, arwen comprend tutafait aprilynne.
en effet, pour considérer son don comme une véritable malédiction, arwen préfère le garder secret ; du coup, est-ce que apri comprendrait l'aspect « c'est lui. ça sera toujours lui. » qu'elle éprouve vis-à-vis de judah ou trouverait le concept un peu trop exagéré ? je les imagine aussi très bien ensemble autour d'un feu de cheminée, à souffler sur leurs tasses encore fumantes, parlant cours, chiffons et déboires amoureuses. de même, tant qu'elle ne viendrait pas la juger ou émettre une critique sur ses agissements, arwen-lyanna ne pourra qu'apprécier la jolie apri. au final, j'imagine une relation assez fusionnelle ; elles éprouvent pas forcément le besoin de se voir à toute heure de la journée mais elles ont leur petit rituel une fois le couvre-feu instauré, à se réunir sur le canapé et parler de tout et de rien, et à se comprendre en un seul coup d’œil genre, dans la journée, en se croisant dans les couloirs, elles verraient de suite si quelque chose cloche chez l'autre et, si elles ne feraient rien dans l'immédiat, il y aurait un petit regard genre « oulah, attends un peu ce soir, toi. ». ça pourrait être pas mal surtout en évolution, si elles viennent à découvrir les secrets l'une de l'autre. genre apri qui apprend pour les jumeaux croupton et arwen, qui s'énerve et sauvage qui prend le dessus, dévoilant à arwen sa double personnalité. (je m'embaaalle. )
à propos de mordred, j'avais justement pensé de jouer sur cette différence fondamentale dans leurs relations incestueuses respectives ; de l'ambigu dans ce cas, peut-être ? j'avais imaginé que arwen surprenne une conversation entre mordred et absynthe, genre en passant devant la porte de la salle dans laquelle ils sont enfermés ; elle aurait rapidement compris ce qui s'y tramait pour vivre plus ou moins la même chose et, dans sa tête, elle aurait immédiatement fait une espèce d'assimilation, leur imposant le même schéma que le sien, à savoir que mordred brutaliserait absynthe et non pas que les deux soient consentants. depuis, elle serait sincèrement terrorisée par momo et, paradoxalement, ne pourrait pas s'empêcher de le fixer assez longuement et intensément chaque fois qu'il serait dans les parages ; et lui de sentir un regard appuyé dans sa nuque, se retourner, la surprendre une seconde avant qu'elle ne détourne aussitôt les yeux et ne s'échappe. et, peut-être qu'il aurait pu prendre ça pour un béguin d'adolescente, genre s'imaginer qu'il lui plait et qu'elle est juste profondément timide et l'évite du mieux qu'elle le peut pour ne pas aussitôt perdre ses moyens et rougir comme une tomate devant lui. après, si ça te convient, à voir quelle serait sa réaction à lui, surtout qu'en tant que demi-vélane, arwen doit avoir un certain effet sur notre cher et séduisant momo. qu'est-ce que t'en dis ?