Ici, l'histoire de votre personnage tout simplement. N'hésitez pas à mettre de la musique ou des images (on aime bien ça ici les images). Racontez nous les passages les plus importants dans le passé de votre petit bonhomme, qu'on puisse un peu le cerner le petit. Minimum 800 mots.

La vie n’est jamais parfaite et ça tout le monde le sait. Tout le monde essaye de changer leurs vies et les améliorer, mais peu de monde y arrive. Quand je suis arrivé au monde, j’ai illuminé la vie de mes parents. Je faisais partie de leurs vies, j’agrandissais alors la famille de sang pur. J’étais une petite rousse aux yeux vert, je profitais tranquillement de ma vie paisible. Je vivais dans un grand manoir au fond de l’Angleterre. Je me promenais souvent à quatre pattes dans le manoir, traversant les grandes salles, me mettait debout en me tenant au meuble. Je cassais beaucoup de choses, des tasses ou bien des pots en verre. Je me faisais parfois engueuler, mais rien de bien méchant car j’arrivais toujours à me faire pardonner. En plus de ça, tout ce que je cassais réapparaissait trois secondes après intacte et de nouveau à sa place. Je pouvais donc casser tout ce que je voulais, en peu de temps il se retrouvait à la même place toujours aussi beau. Le temps passait si rapidement que je parlais et que je marchais ou bien courais dans toute la maison. Il était l’âge pour moi d’aller à l’école et d’apprendre des choses, jusqu’à l’âge de mes six ans je partageais la même classe que les enfants de mon âge. Jusqu’à ce que j’apprenne que j’étais une sorcière et que je ne devais plus fréquenter ces jeunes moldues. Pour moi je n’étais pas différente des autres, mais j’allais bien vite m’en rendre compte. Je savais ce que j’étais et je comprenais donc maintenant pourquoi tous les objets que je cassais revenaient comme avant. Ils étaient tous ensorcelés, toutes cette maison était faite de magie et bien d’autre chose. Sans plus tarder, mes parents m’avaient revêtu d’une grande cape noir avec une capuche, une fois prête mon père me tenait la main et jeta une poussière en disant quelques mots et d’un seul coup je me retrouvais dans un magasin. Ma mère arrivait quelques instants plus tard, nous traversions une grande rue en pavé pour arriver devant une boutique assez étrange. Je ne connaissais pas cet endroit, je ne connaissais pas ce centre commercial et pourtant il y a peu de temps j’étais allé acheter des oranges au supermarché. Ici rien ne ressemblait aux boutiques ou j’habitais... Bref, j’entrais dans un magasin ou était empilé des milliers de boites qui se ressemblaient autant les unes que les autres. On me donnait un bout de bois à première vu et au final je compris que c’était une baguette magique. Que devais-je faire ? La secouer ? Prononcer quelques choses ? Je ne savais pas, un petit mouvement et hop la rangé de livre se retrouva au sol. Le petit homme me reprit la baguette avant d’en chercher une autre et de me la déposer dans mes mains. Encore un mouvement et cette fois-ci les livres se rangèrent sur l’étagère. Je n’en revenais pas, j’avais l’impression d’être devenu puissante en un seul coup de baguette. J’avais les yeux qui brillaient, un grand sourire sur mes lèvres. Mes parents déposèrent quelques pièces sur le comptoir avant de repartir chez nous. Il était déjà tard et la nuit commençait à tomber et vu les personnes étranges qui se trouvaient dans cette rue, il était surement préférable de rentrer. En rentrant chez moi mon père qui chassait avec des amis voulait m’apprendre à me défendre et à savoir utiliser un arc. Il a toujours fait de l’arc depuis tout petit, il a toujours rêvé d’essayer de m’apprendre alors le soir en rentrant. Il sortait de son armoire un grand arc avec des flèches, il essayait de me faire viser différentes cibles. Au départ les flèches n’allaient pas plus loin que deux mètres. Plus les jours passaient et plus je m’entrainais, les flèches arrivait au centre des cibles. J’allais pouvoir enfin aller dans la forêt et tirer du gibier, cela ferait moins de chose à acheter. Les journées passaient, je travaillais chez moi à la maison avec un professeur et en fin d’après-midi je partais à la chasse avec mon père. Au début, je ne touchais pas énormément de chose jusqu’au jour où la flèche arriva pile sur un ding. Celui-ci tomba d’un seul coup et mon père termina le boulot. Les années sont passées si vite qu’une lettre arriva plus précisément une invitation pour entrer dans l’école de sorcellerie de Poudlard. Je devais terminer mes achats, car pour l’instant je n’avais qu’une simple baguette. Une grande liste de fourniture se déroula soudainement entre les mains de ma mère. Heureusement que chez nous l’argent n’était pas un problème, car avec tout ça il était facile d’être ruiné par la suite. Il me restait plus qu’une seule semaine avant de partir loin de mes parents et de commencer des études de sorcellerie. Développer mes savoirs et savoir manipuler la baguette et jeter des sorts. Ma mère décida d’arrêter les cours à domicile et à son tour, elle me donna quelques cours pour ne pas me ridiculiser en arrivant en cours. Je bossais dur et je n’avais plus spécialement le temps pour la chasse et mes petits loisirs à côté. Quand l’heure fut arrivé et que j’avais toutes mes fournitures cela fut dur de quitter mes parents. Je ne les avais jamais quitté plus de deux jours et là, c’était pendant plusieurs semaines. Ce n’était pas compliqué j’allais rentrer seulement pour les vacances. Je montais dans le train et pendant des longues heures le paysage défilait, mais aucun château n’arrivait. La nuit tombait et soudainement le train s’arrêta, nous voilà enfin en face de cet immense châteaux. Une fois installé dans les barques, nous traversions le grand lac qui se trouvait au bord du château. Celui-ci était assez étrange, très sombre et des bêtes autre que des poissons venaient à la surface regarder ce qu’il se passait. Une chose était sûre, je n’allais pas me pencher un peu plus pour regarder ce qui se trouvait là-dedans. Une fois arrivé, nous devions passer sous un chapeau pour nous départager dans quatre maisons différentes. Je m’installais tranquillement sur la chaise et le grand chapeau me tomba sur la tête et presque sur mes yeux. Sans hésiter celui-ci laissa échapper d’une voix forte et grave : SERPENTARD. Mes parents espéraient que j’allais aller dans cette maison qui était la meilleure des quatre. Par chance, je m’installais à leur table avec des autres élèves de mon âge. C’est ainsi que ma première année commença. Avec le temps, j’oubliais limite mes parents et je profitais d’être un peu libre. Les vacances, les cours voilà ma nouvelle vie. J’avais des supers bonnes notes et quand je rentrais chez moi je passais mon temps à la forêt. Les grandes vacances arrivaient, je quittais le château qui était devenu ma deuxième maison. Et pendant cinq années c’était la même routine, les cours devenaient de plus en plus intéressants et dur à la fois. J’étais clairement la meilleure de la classe en Potion, mais je coulais en Divination. J’étais alors en sixième année quand quelque chose de terrible s’était produit. Une lettre m’était arrivée lors d’un repas, une lettre de mon père. D’habitude il m’en envoyait pas à part si c’était quelque chose de grave et d’important. Je dépliais la lettre et plus je lisais plus son écriture était différente de celle du début. Je compris qu’à la fin de la lettre ma mère avait reçût un sort si fort qu’elle n’allait pas guérir, que sa blessure vers le cœur est trop grosse pour lui permettre de vivre encore longtemps. Que je devais me préparer à la perdre dans peu de temps. Quand je rentrais pour les vacances, la maison était calme et ma mère n’était plus là. Elle ne faisait plus partit de ce monde. Je n’avais pas pu lui dire au revoir, je n’avais pas pu la prendre une dernière fois dans mes bras. Pendant de longues heures, les larmes ne faisaient que de couler le long de mes joues. Le restant de mes journées, je les passais dans la forêt, assise contre un arbre et je repensais à tout ce que j’avais pu faire avec ma mère. Retourner en cour avec cette douleur ? J’étais obligé, je n’avais pas le choix. Le temps passait si lentement depuis l’accident qu’il s’était produit, mais une chose était sûre. J’allais retrouver cette personne qui lui avait jeté ce sort, j’allais lui faire sentir la souffrance qu’il a pu lui produire. Il souffrira pendant des jours, des semaines et ces enfants comprendront la douleur que j’endure. Il ne pourra s’en prendre qu’à lui et à personne d’autre. Les années continuaient à passer et je faisais mes recherches et je continuais de bosser. Des faits étranges se produisaient au Pré-au-lard, quelque chose de sombre reprenait le dessus.