Nom : Carrow. Prénom(s) : Syracuse Aslinn. Surnom : pour en avoir un qui la mette en valeur, il faudrait qu'elle commence par avoir des amis. Âge : dix-neuf ans. Date et Lieu de Naissance : 13 mai 2002 à Huntingdon, Cambridgeshire, UK. Nationalité : anglaise. Pureté du sang : on ne peut plus pur. Année d'étude & Maison : en sixième année, chez les Serpentards Orientation sexuelle : hétérosexuelle. État civil : Mariée à Alexander Carrow.

Baguette : La baguette de Syracuse mesure vingt-et-un centimètres (une petite baguette pour un petit bout de femme) et est plutôt fine. Plutôt incurvée, elle est aussi rigide et butée que la sorcière sait l'être et, entre d'autres mains que les siennes, la baguette pourrait se montrer agressive...envers celui qui la tiendrait. Taillée dans un bois de tremble, son coeur contient une aile de fée, réputée pour leur orgueil, leur curiosité naturelle et leur franchise, tout comme la jeune femme. Patronus : Pour parvenir à former son Patronus, prenant la forme d'une fouine, il suffit à la sorcière de songer au corps harmonieusement sculpté de son époux contre le sien, d'imaginer son regard plongé dans le sien avec cet éclat glacial si particulier, de sentir ses dents pénétrer sa chair avec une passion dévorante... Il lui suffit en bref de repenser à sa nuit de noce. Épouvantard : La perte d'Alexander. Dans ses mauvais songes, elle le voit étendu sur le sol, mort, ou pire : la quittant. Elle ne supporterait pas un tel abandon, la seule pensée qu'il se détourne d'elle lui glace le sang, lui coupe le souffle et lui brise le coeur. Particularité : Elle s'intéresse pour le moment de loin à l'art de l’occlumancie mais est encore trop jeune pour s'essayer à la pratiquer. Options choisies & métier envisagé : Syracuse envisage de se lancer dans une carrière de journaliste une fois ses études terminée. Obtenir des informations compromettantes et mettre les gens dans l'embarras sont à peu près les seuls avantages qu'elle peut trouver dans le fait de tenir une conversation... Le pouvoir, c'est l'information. A défaut de pouvoir suivre des cours de Magie Noire, elle a pris les options étude des runes et Arithmancie en troisième année et a choisi de se concentrer sur les matière suivantes : Défense contre les forces du Mal (le fait que son époux soit professeur a largement inspiré son choix), Histoire de la magie, Métamorphose, Potions et Sortilèges. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Bien entendu et en tant que Carrow, il serait étrange voir inquiétant qu'elle ne s'y soit pas encore essayée à cet âge. Pour le moment, elle s'est contentée de s'exercer en dehors de l'école pour ne pas risquer de s'attirer des ennuis. Ou pour ne pas montrer aux autres de quoi elle est réellement capable... Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ? Syracuse pense qu'il est grand temps qu'un nouveau type de vent souffle sur l'Angleterre bien pensante. Elle attend la tempête. Une tempête d'une violence sans précédent qui balaiera tous ces cloportes de nés-moldus et autres traitres à leur sang qui se sont permis d'entâcher son nom ces dernières décennies.

Pseudo : whatsername Âge : 23 ans. Avatar : Willa Holland Fréquence de connexion : geek une fois rentrée du boulot, quand je ne suis pas trop épuisée. Comment as-tu connu le forum ? grâce à PRD Code : code validé par Quigg Copyright : bannières : Tumblr.

« My way of jocking is to tell the truth. It’s the funniest joke in the world »
Toutes les chances n’étaient pas de mon côté à ma naissance et pourtant, très franchement, ça aurait dû être le cas. Tout ça est à mettre sur le compte d’un gamin au culot invraisemblable. Moche en plus le type… J’ai vu des portraits. Moi, je suis jolie. Exit les complexes stupides, merci maman. Le souci justement, c’est qu’à cause de ce garçon à lunettes (en plus, il a une très vilaine cicatrice en plein sur le front), je n’ai pas eu la chance de grandir auprès de ma mère. Une femme brimée par des utopistes qui prônent la justice mais ne sont que des hypocrites, une Carrow emprisonnée dans l’endroit le plus sombre de ce pays décadent pour des idées qu’elle a défendu jusqu’au bout avec mon père. J’ai été cela dit élevée par une autre femme, forte et capable, que j’admire et à qui je dois beaucoup. Et ce n’est pas uniquement lié au fait qu’elle soit la mère de celui qui est aujourd’hui l’homme de ma vie…

Mais nous en étions au fait que je sois jolie. Le physique ne fait cela dit pas tout et il faut s’entretenir et savoir se mettre en valeur. En tant que descendante de la famille Carrow, je me dois d’avoir un minimum de classe. Les traitres peuvent bien mépriser mon nom pour d’obscures histoires de meurtres et torture, je n’en reste pas moins une élite, une sang-pur et la qualité de mon sang doit rejaillir sur mes tenues vestimentaires, toujours sélectionnées avec grand soin. Et puis je suis la femme du Professeur de Défense contre les Forces du Mal, il me faut prêter donc une grande attention à ma toilette pour ne pas risquer de ternir son image. Evidemment, la cape ne fait pas toujours le sorcier et les apparences sont trompeuses… Mes robes de princesse et mon maquillage, généralement sobre pour conserver mon image d’ingénue, ne sont que des artifices utiles.
En plus d’être jolie et de savoir jouer de mes charmes de façons diverses et variée pour obtenir ce que je désir, j’ai une langue parfaitement affutée. Une langue que j’affute à chaque conversation et qui s’agite savamment sous les ficelles tirées par mon cerveau vorace. Je suis d’une curiosité maladive, une observatrice dans l’âme qui emmagasine, engrange les données, analyse, distille, transcende les informations bien proprement, par ordre alphabétique, et qui ponctue chacune de ses pensées d’un point d’interrogation… Tous ça laisse une très courte possibilité de manœuvrer à mon cœur qui n’a pratiquement qu’un rôle fonctionnel. La pitié, la tendresse, la douceur et la compassion ne sont que des concepts à mon sens surestimés !

Oh bien sûr, il y a Alexander… Mais il est l’exception. Il est l’interrupteur qui court-circuite mon esprit, le voile qui recouvre mon âme et ma personnalité pour laisser mon cœur bondissant et malhabile prendre le dessus. J’ai parfaitement conscience de perdre pied quand il est proche, de passer pour un troll, de me rendre ridicule mais je m’en moque pour être honnête. Il est ma seule faiblesse et je ne serai pas humaine sans une faiblesse, non ? Et puis c’est une faiblesse vraiment pas désagréable à endurer et, s’il lui arrive de me faire mal – tant physiquement que par la force de ses mots ou la puissance de ses regards – je sais que c’est simplement parce que son cœur est aussi peu habile que le mien. Il perd pied en ma présence parce qu’il m’aime avec trop de force et qu’il lui est impossible de se contenir. Je n’avais jamais connu la véritable douleur avant d’être aimée de lui et c’est un trésor que je chéri… J’ai lu quelque part que pour haïr, il fallait avoir aimé. Alexander m’aime inconditionnellement.
Le même principe ne s’applique cela dit pas à mon frère, duquel je n’ai pas vraiment envie de parler et qui me déteste cordialement. De mon côté je ne le hais pas, je ne l’aime pas, il m’indiffère. C’est un traitre qui a à mon sens ne s’assume pas et n’assume pas le poids de son héritage.

Revenant donc à ma personne : jolie, sang-pure, intelligente et manipulatrice juste ce qu’il faut, élevée par ma tante en l’absence de mes parents détenus à Azkaban (la dose parfaite de traumatisme pour faire pleurer dans les chaumières et justifier certains de mes excès), des moyens financiers corrects, une situation amoureuse envieuse… Que me manque-t-il pour être heureuse ?
Une révolution. Une révolution en bonne et due forme pour renverser ce gouvernement de mollassons imbus de leur personne qui se permettent de me mépriser. Et qui sont-ils au juste pour se le permettre ? Des nés-moldus, des sangs-mêlés. Mais la révolution est en marche, dans l’ombre… Préparez-vous. La tempête se lève, le vent va tourner et une nouvelle ère va démarrer. Le nom de Carrow va de nouveau faire trembler dans les chaumières sorcières, j’en fais le serment.
Je ne suis pas naïve, je sais pertinemment que le changement ne sera pas immédiat, mais je ne suis pas la seule à vouloir apporter ma pierre à l’édifice et à comploter dans les coins sombres, à avoir décidé de marcher dans les traces de mes ancêtres et du Lord en personne. Nous avançons lentement mais sûrement. Je suis une optimiste doublée d’une jeune sorcière extrêmement butée et je suis persuadée que nous atteindrons notre destination un de ces jours, en nous armant de patience et en faisant preuve de subtilité. C’est sûrement cette idée qui m’a poussée à envisager une carrière dans le journalisme. L’information, c’est le pouvoir et les gens sont prêts à croire à peu près tout et n’importe quoi tant que ça apparaît dans la Gazette... Ne mentez pas, je suis certaine que vous vous êtes déjà fais avoir un millier de fois.

Toutes les chances n’étaient pas de mon côté à ma naissance, mais la seule chose qu’il me manque, je l’obtiendrai. Je redorerai mon nom. Ou en l’occurrence, je l’éclabousserai du sang des faibles et des traitres qui se permis de le dénigrer.