Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd..
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Sujet: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 15:00
Solstice Diane Freckles
carte d'identité
Nom : Freckles. Prénom(s) : Solstice. Comme le solstice d'hiver et le solstice d'été, oui. Bravo pour cette judicieuse observation. Diane parce qu'il s'agit du prénom de ma grand-mère, française. Prénom d'origine latine signifiant Divine. Pourquoi je porte ce nom alors ? Surnom : Sol, pour les plus intimes, sinon on ne me surnomme pas. Pourquoi ? Parce qu'on ne m'appelle pas. Âge : J'ai 19 ans. Date et Lieu de Naissance : Drôle de coïncidence, et c'est certainement de là que vient mon prénom, je suis née lors d'une solstice d'été, le 21 Juin à Holmes Chapel, en angleterre. Nationalité : Anglaise. Et j'ai hérité d'un peu d'origine française de ma grand-mère maternelle.Pureté du sang : Née-moldue et fière de l'être. Année d'étude & Maison : Je suis en sixième année à Serdaigle, maison de Rowena. Orientation sexuelle : Bisexuelle. État civil : Célibataire et bien comme ça.
le sorcier en toi
Baguette : Ma baguette ? Ouais, s'il vous voulez. Elle est en chêne rouge, oui oui, contient un poil de crin de licorne, mesure 21.8 centimètres et est plus propice aux enchantements. Patronus : Suis-je la seule à ne pas encore savoir former de patronus en sixième année ? Oui, peut-être, bon ben tant pis. J'y arriverais un jour, certainement. Épouvantard : Il s'agit d'une peur bien peu commune, surtout ici à Poudlard. Le pire est que j'en côtoie presque tout les jours, c'est absolument horrible. J'ai une peur bleue des fantômes, tout ça à cause des histoires que l'on me racontait lorsque j'étais bien plus jeune. Et cette peur n'ait jamais partie, jamais remplacée par autre chose.Particularité : Aucune. Options choisies & métier envisagé :Arithmancie et Etude des Runes, pour les options. Et pour le métier, je ne sais pas vraiment. Certainement un métier au ministère, mais je ne sais pas vraiment lequel. J'ai le temps pour me décider, non ? Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Non, j'en ai jamais fait. Et j'espère bien ne pas en... Non, je retire ce que j'ai dit. Je sais pas comment c'est, je juge pas. Mais j'en ai pas encore fait. Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ? Je ne sais pas quoi en penser. D'un côté, j'ai envie de me dire que ce ne sont que des rumeurs, mais si jamais celles-ci s'avèrent vrai, je ne saurais pas du tout quoi faire. Je verrais bien au moment venu.
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Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 15:02
I WAS ONLY A CHILD
Je ne sais pas s'il est possible pour des parents de détester ou de rester indifférent à leur enfant mais mes parents n'ont jamais été très tendre avec moi. Je ne sais pas ce que je leur avais fait. Etais-je désirée ou pas ? Non, je ne pense pas. Évidemment, je n'ai jamais pris conscience de ça dans mon enfance, mais je le savais quand même, inconsciemment. Je n'étais jamais prise dans les bras, du moins pas tant que je ne pleurais pas. Et encore. Non, mes parents n'avaient jamais été très affectifs avec moi, mais ça ne m'avait jamais dérangé plus que ça. Je vivais comme ça depuis ma naissance, ce n'était donc pas dérangeant, c'était même normal pour moi. Je ne pensais pas qu'on pouvait vivre autrement que comme ça. J'avais l'impression que tous les parents du monde se conduisaient de cette façon là. Et puis, j'ai découvert la vérité. A l'école, je devais avoir sept ans, pas plus, je parlais avec une amie, Jessiann. Elle venait d'avoir une nouvelle poupée, un cadeau de son papa. Moi, je n'avais jamais eu ça. Mes parents ne voulaient pas.
« Moi, je n'ai pas de poupées. »
Jessiann avait penché la tête, en signe d'étonnement. Moi, je ne comprenais pas. J'avais dit ça tout naturellement, comme si cette situation était normale pour tout le monde. Apparemment, ça ne l'était pas, non. Mais pourquoi ? ...
« Ton papa et ta maman, ils ne t'ont jamais acheté de poupée ? Pas une ? -Non. Jamais. Pourquoi ? »
Ca avait sonné. On devait rentrer en classe, alors j'avais laissé tomber la conversation, comme si ce n'était pas important. Et pourtant, j'y avais pensé pendant le reste de la journée. Alors, lorsque j'étais rentrée à la maison, c'était Mrs Simons, la femme qui habite à côté, qui me ramenait chez moi, j'avais tout de suite été trouver ma maman.
« Pourquoi vous ne m'achetez pas de poupées comme les autres filles ? »
Silence.
« Maman ? »
Cette fois-ci, elle baissa les yeux vers moi, crachant la fumée de sa cigarette à côté de mon visage.
« On saurait pas t'en payer, c'est tout. »
On ne saurait pas ? Alors, pourquoi papa était revenu il y a deux jours avec un nouveau jouet pour maman ? Je ne comprenais pas la situation de mes parents, je ne voulais pas, j'étais trop petite pour comprendre.
« T'en as pas besoin de toute façon. Allez monte dans ta chambre avant que ton père rentre, tu me déranges. »
Je baissai la tête, sans répliquer et montai dans ma chambre d'un pas lourd. C'était tous les jours comme ça. Je montai dans ma chambre, je faisais mes devoirs, apprenais mes leçons, descendait pour manger et remontai juste après, jusqu'à l'heure où je devais aller au lit. Et j'étais trop jeune pour répliquer. Mes parents, je leur devais une obéissance totale.
MY SECOND HOUSE
« Qu'est-ce que c'est encore que cette blague ?! Poudlard, une école de sorcier ? Qu'est-ce donc encore comme invention ! C'est idiot. »
Ma mère tenait une lettre dans sa main. Une lettre qui m'était apparemment destinée puisqu'elle m'avait appelée et quand je lui avais lue la lettre, elle s'était mise dans tout ses états, disant que les sorciers n'existaient pas. Elle se demandait qui osait nous faire une telle blague. Et moi, du haut de mes quatorze ans, je ne savais pas quoi dire, personnellement je croyais à la magie et tout ça. Une fois, j'avais tout de même fait exploser la tête d'une poupée d'une fille à l'école, ce n'était pas rien. Et d'autres choses tout aussi bizarres, mais je n'avais jamais rien dit à mes parents. Ils n'avaient pas besoin de savoir. De toute façon, cela faisait quelques années que je ne leur disais plus rien. Ils n'étaient même pas au courant de mes scarifications, j'étais toujours habillée avec des pulls à longues manches, ils ne voyaient rien, de toute façon, ils ne s'y intéressaient pas. J'avais appris à m'y faire, je n'avais de toute façon pas le choix.
« Va te coucher, je parlerai de cette lettre à ton père lorsqu'il rentrera. »
23h. Mon père n'était toujours pas rentré mais c'était de plus en plus habituel. Il restait de plus en plus longtemps au travail, revenait, discutait un peu avec ma mère, allait se coucher. Puis il se levait tôt, partait et ne pouvait plus le joindre avant son retour. Je m'endormis, le coeur serré en espérant que cette lettre soit vraie. Que Poudlard existe vraiment et que je quitte cette maison pour un bon bout de temps.
Je fus réveillée, le lendemain, par la sonnette de la maison. Je descendis, en pyjama et vit ma mère ouvrir la porte. C'était un homme, habillé d'une façon bizarre, il portait une robe, il demanda à entrer. Ce que ma mère voulut refuser au début avant de le faire entrer tout de même. Je les suivis lorsqu'ils entrèrent dans la cuisine. Je m'asseyais, prenant mon petit déjeuner alors que ma mère et cet homme se tenaient face à face.
« Que voulez-vous ? Qui êtes-vous ? »
L'inconnu ne répondit pas tout de suite.
« Un sorcier de Poudlard. Je suis ici pour vous expliquer à vous et votre fille.. « C'est une blague ? Poudlard n'existe pas, les sorciers non plus ! »
Et ma mère avait continué à crier sur le pauvre homme qui ne répliquait même pas. Il dû attendre vingt minutes avant que ma mère ne s'arrête de grogner, de râler, de gesticuler. Elle alluma d'ailleurs une cigarette pour se calmer.
Et quelques temps plus tard, je découvrais le magnifique château de Poudlard. Il avait fallu du temps pour persuader mes parents, mais j'y étais enfin. J'avais passé le voyage en train jusqu'au château à lire, un livre sur la mythologie. Depuis toujours, j'étais très intéressée par tout ce qui touchait la culture, les croyances et l'univers. J'aimais apprendre, c'était juste ça. En même temps, je ne pouvais faire que ça chez moi alors..
« Freckles, Solstice. »
Je m'avançais, assez stressée mais en même temps très curieuse. Un chapeau qui parle, c'est très intéressant. Je ne savais pas que ça pouvait exister. Je m'assis sur le tabouret et lorsqu'on posa le choipeau sur ma tête, je ne voyais la salle qu'à moitié, le choixpeau me recouvrait la moitié de la tête. Oui, j'étais petite et alors ? En même temps, c'était mieux pour moi. J'étais tellement gênée, après tout, je savais que toute la salle me regardait, attendant le verdict du choixpeau qui ne se décidait pas. Il hésitait entre deux maisons.. Avant de finir enfin par choisir, je n'aurais pas tenu plus longtemps.
« SERDAIGLE ! »
Je rejoins ma nouvelle maison, sous leurs applaudissements et ne dit plus rien, j'étais comme renfermée sur moi-même, il faut dire que je l'avais toujours été... On ne me changerait pas.
WHY ARE YOU HERE ? GO OUT !
Les gouttes de pluie, ces petites perles, explosaient dans un bruit sourd contre la pierre dure et froide du sol de la Tour d’Astronomie de Poudlard. Le vent soufflait comme jamais, le ciel était sombre, l’orage grondait autour du château. Autour de moi. Les battements effrénés de mon cœur résonnaient dans ma tête, battaient contre mes tempes. Mon sang bouillonnait, je le sentais partout dans mon corps, et un sourire sadique fleurit sur mes lèvres. Oui, très bientôt, les perles de mon sang exploseraient sur la pierre, telles de vulgaires gouttes de pluie. Ça me ferait tellement de bien, de sentir le métal froid de ce couteau contre mon avant-bras, de sentir mon cœur battre à tout rompre alors que le sang s’échappe de cette prison de chair qu’est mon corps. Ma main droite plongea dans ma poche, mes doigts se refermèrent doucement sur le couteau suisse. Ce petit objet moldu contenant tellement de choses. Dont une lame. J’ouvris délicatement la lame de couteau, pas très longue mais assez coupante pour ma peau. Un frisson parcourut mon corps lorsque le métal froid se posa sur ma peau, sans faire d’entailles. J’allais le faire, une nouvelle fois. Je léchais mes lèvres, désireuse de voir ce liquide si précieux couler. Alors que je m’apprêtais à faire une première entaille, j’entendis des pas. Qui ? Comment ? Il n’y avait pas cours aujourd’hui, et de toute façon, les cours ne commençaient jamais avant minuit. Alors qui ? Inconsciemment, j’écartais la lame de mon avant-bras, mais ne recouvrait mes cicatrices. Les mutilations faisaient partie de ma vie depuis quelques années, elles me faisaient du bien. Et toutes ces lignes sur mon bras, irrégulières et indélébiles feraient toujours partie de moi, sans elles je n’étais pas moi. Et s’il s’agissait d’un professeur ? Ou même du surveillant ? Non, s’il vous plait, non. Stressée, je fixais la seule entrée de la tour. Un soupir s’échappa de mes lèvres, sans aucune retenue lorsque je vis Tobias Lestrange apparaître devant moi. Je ne lui parle que lorsque cela s’avère nécessaire, et encore. En dehors de son nom, je ne sais rien de lui. Si ce n’est qu’il est dans ma maison et dans mon année, donc dans ma classe.
« Lestrange. Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu n’as rien à faire là, surtout à cette heure-ci. - Toi non plus à ce que je sache. »
Pas faux. Mais peu importe. Qu’il parte et me laisse continuer mes horribles pratiques. Folle. C’est comme ça que tout le monde me voit ici. Je ne suis que la folle de Serdaigle. J’ai appris à vivre avec cela, je ne suis pas folle, je sais que je ne le suis pas. Et quand ce n’est pas « folle », c’est « mentalement dérangée ». Le suis-je ? Ne le suis-je pas ? Je ne sais pas, je ne l’ai jamais su. Personne ne le saura jamais. Je ne sais même plus quand cela à commencer, quand ai-je commencé à ressentir du bien dans le mal ? Mes souvenirs me font défaut. Toujours peut-être ? Longtemps dans tous les cas. Je le vois lorgner le couteau, que je n’ai pas lâché, du regard, avant qu’il ne reporte celui-ci sur mon visage. Je ne rechigne pas. Qu’il pense ce qu’il veut, je ne m’arrêterai pas. De toute façon, pourquoi s’intéresserait-il à ce que je fais ? Je ne suis pas un danger pour les autres, seulement pour moi. Et encore. Puis-je vraiment me qualifier de dangereuse pour ma survie ? Je ne crois pas non.
« Fous le camp, Lestrange, je n’ai pas que ça à faire. - Non. Qu’est-ce que tu comptes faire avec ce couteau ? »
Un nouveau soupir, lasse. Pourquoi s’intéresse-t-il à ce que je compte faire ? Je ne suis personne pour lui. Nous ne nous adressons la parole que lorsque la situation nous y oblige, je ne compte pas lui dévoiler toute ma vie, tous mes problèmes, sous prétexte que monsieur s’intéresse légèrement à moi. Il se fout le doigt dans l’œil s’il croit que je ferais une telle chose.
« Ça ne te regarde pas que je sache, Tobias. »
Je connais son prénom, autant m’en servir au moins une fois. Et puis toujours « Lestrange », c’est répétitif. Quelqu’un de normal, quelqu’un d’autre partirait, normalement. C’est ce que je me suis toujours imaginée. Mais pas lui. Il reste là, sans amorcer un seul mouvement vers la sortie. Que du contraire. Il fait un pas vers moi, je recule moi-même pour me trouver le dos contre la rambarde.
« Fiche le camp.. »
Ma voix a perdu de son habituelle indifférence, si je puis m’exprimer de cette façon. J’entends dans mon intonation que je suis prête à lâcher tout ce poids. Mais je ne peux pas. De ma main libre, je griffe mon bras qui tient le couteau. Et je reprends conscience, jamais je ne pourrais me débarrasser de tout ça. Ça fait partie de moi, et ce n’est pas lui qui va m’aider. Personne n’a la force de m’aider, la patience de s’occuper de moi, ni même l’envie de le faire. Mes amis savent ce que je fais, ils s’en fichent. Tant que je ne meurs pas, je peux faire tout ce dont j’ai envie. Ils seraient bien étonnés de savoir que j’ai déjà tenté de me donner la mort. Celle-ci a l’air tellement plus simple que la vie…
« Pas question. Pas avant de savoir ce que tu comptes faire. - Tu ne pourrais pas comprendre. Personne ne le peut. Alors va-t’en, ne dis rien, à personne. De toute façon, tout le monde s’en fiche. Alors pars, reprends ta petite vie de sang-pur, entouré de ta famille et fiche moi la paix. - Non. - Mais pourquoi tu fais ça ?! - Lâche ce couteau, tout de suite, Solstice. - Pourquoi je t’obéirais ? »
Il ne me répond pas. C’est vrai, que pourrait-il me dire qui m’empêcherait de me faire du mal aujourd’hui ? De toute façon, s’il arrive à m’en empêcher aujourd’hui, il ne s’interposera plus les autres fois, j’en fais la promesse.
« Tu veux savoir ce que je veux faire ? Eh bien, regarde mes bras, tu comprendras tout de suite. »
J’aurais dû me taire. Je ferme les yeux et sent son regard sur moi. Un hoquet de surprise s’échappe de sa bouche. Il ne s’y attendait pas, personne ne pourrait s’attendre à une telle chose. D’une fille d’apparence si fragile que moi, surtout.
« Arrête de te faire des trucs pareils, lâche ce couteau tout de suite. - Jamais. Je préfère crever. - Mais qu’est-ce que tu dis ?! - Je. Préfère. Mourir. C’est clair ? - Non, non et non. Je ne vais pas te laisser faire. T’as pensé à tes amis ? - Ils s’en fichent complètement. - Tes parents ? Eux, ils ne s’en fichent pas. - Ont-ils déjà essayé de m’aider ? Tu ne sais pas. Alors ne me dis comment je dois agir, ou encore s’ils s’en fichent ou pas. Moi seule sais une telle chose. - Un parent n’ignorerait pas une telle chose. - Tu crois ça ? T’es plutôt mal placé, t’es le fils de Rodolphus Lestrange, quand même. Non, je ne connais pas ton père ou son histoire, mais j’ai entendu ce qu’on en dit. Alors, ne viens pas me dire ce que je dois ou ne dois pas faire. »
C’était méchant comme réplique ça. Enfin, il l’a mérité. Et pourtant, il ne recule pas. Mais pourquoi a-t-il fallu que je tombe sur le gars le plus têtu de ma maison ?! J’arriverais jamais à me débarrasser de lui ou quoi ?
« Ne mêle pas ma famille là-dedans. Ça n’a rien à voir. Alors tu vas lâcher ce couteau et retourner dans la salle commune. C’est ce que t’as de mieux à faire. Sinon, je peux toujours prévenir un professeur ? Et je n’aurais pas besoin de descendre, il existe plusieurs moyens de les prévenir, comme ça je pourrais aussi te surveiller, pour ne pas que tu fasses de bêtises sur le temps où je vais en chercher un. »
Non ! Je ne veux pas que les professeurs soient au courant, les élèves qui ne sont pas proches de moi ne sont eux-mêmes pas au courant. Et puis, si ça se sait, j’aurais très certainement des ennuis. Mes doigts se détendent sur le couteau et celui-ci glisse de ma main. Il rebondit sur le sol dans un bruit sourd.
« Content ? - Ouais. - T’es chiant. - Je sais. »
Il sourit en plus. Je vais le massacrer.
oOoOoOoOoOo
En fait, c’est ce jour-là qui a marqué le commencent de tout. C’est ce jour-là qu’on a appris à se connaître, c’était il y a dix mois, un petit peu plus ou un petit peu moins, je ne sais pas exactement. Et je regrette ce que j’ai pu dire sur sa famille sans le connaître, c’est un garçon bien. Mais ça ne veut vraiment pas dire que j’ai arrêté mes petites affaires. Je le fais, mais dans son dos. Je ne veux pas qu’il assiste à ce genre de chose. Néanmoins, je me vois mal vivre sans lui maintenant moi !
solstice freckles ◮ tobias lestrange
le moldu derrière tout ça
Pseudo : Appelez moi Sol. ♥ Âge : 16 yo. Bientot 17 d'ailleurs. Avatar : Brynja J. Fréquence de connexion : Ca dépend mais normalement 7/7 Comment as-tu connu le forum ?J'étais inscrite il y a encore peut-être une semaine. J'ai été absente et je l'ai annoncé dans la partie prévue à cet effet mais j'ai quand même été supprimée. Sauf que je suis tenace et que je reviens. Code : code validé par QuiggCopyright : Tumblr
Dernière édition par Solstice D. Freckles le Dim 3 Fév - 9:47, édité 4 fois
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Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 16:01
Rebienvenue miss ! Brynja's back
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 17:30
Welcome back
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 17:41
Tu l'as annoncé dans les absences ? O_O Oh. j'avais pas vu. Damn, faut vraiment qu'on arrange le système des absences. fock. Désolée en tout cas et contente que tu reviennes si c'était là une erreur que de te virer
Invité
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 17:54
Merci ♥.
Alesya : Aucun problème. (: Avec le nombre de membres, de nouveaux, de fiches et tout, je comprends bien que tu n'aies pas fait attention. ♥
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 17:55
Ta fiche est dans les archives de... fiches ( dans la partie présentation, les fiches refusées ) *répétition powa* si tu veux récupérer quoi que ce soit
Invité
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 18:08
Trois fois le même mot dans une phrase, pourquoi pas. :') J'ai déjà tout ce qu'il me faut -merci word- merci quand même. ♥
Invité
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 18:37
Re-bienvenue alors (:
Invité
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Dim 13 Jan - 18:52
Merci Kaëna. Et Skye
Invité
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Mar 22 Jan - 21:21
Rebienvenue alors!
Invité
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Jeu 24 Jan - 17:34
Re bienvenue alors
Invité
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Sam 2 Fév - 12:01
Merci Avalon ♥ & Re-merci Kaëna x) ♥
Invité
Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd.. Sam 2 Fév - 12:08
Félicitation & bienvenue
“ La passion de Serdaigle envers l'intelligence Animait son amour des bienfaits de la science. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.
TOUTEFOIS…
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Enfin, pour finir, si ce n'est pas la première fois que tu t'inscris sur HRI, n'oublie pas d'aller recenser ton deuxième (peut-être même troisième) compte ICI!
Bonne chance à toi
Jeune Serdaigle
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Sujet: Re: Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd..
Solstice ± La nuit se lève en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd..