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 OF FIRE AND BLOOD - (carokie)

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MessageSujet: OF FIRE AND BLOOD - (carokie)   OF FIRE AND BLOOD - (carokie) EmptyDim 2 Déc - 18:33

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La nuit était plus obscure encore que les prunelles de la sauvagesse. Un soir de plus, elle était emprisonnée dans ce foutu château où elle se sentait mal et n'arrivait pas à fermer l'oeil. Entre des murs, Caroline se sentait oppressée. Elle n'était tout simplement pas à sa place, elle suffoquait sous le poids qui pesait sur sa poitrine. Elle devenait agressive dans ses halètements. Alors que tous le monde étaient au lit, la féroce demoiselle n'avait pas suivit le troupeau comme une brebis. Restant assise dans la salle commune sur une chaise tout près des carreaux donnant sur le parc. De temps à autres, des sifflements rageurs s’échappaient de ses lèvres qu'elle mordillaient sans relâche. Elle n'avait pas le droit d'être debout à cette heure, mais elle ne supportait pas les innombrables règles sous lesquelles l'administration les étouffaient. Le cobra fixait l'extérieur en cherchant se qui la retenait de ne pas y aller. Peut-être se ferait-elle renvoyer de Poudlard si elle ne respectait pas le règlement une fois de plus ? Elle ne prenait même pas le temps de penser aux conséquences et de penser au pour et au contre de ce qu'elle allait faire. Se levant d'un bond, sa chase faillit se renverser. Pourtant, elle avançait vers la sortie de la salle commune des lions. Ce fut sans surprise qu'elle découvrir la préfète de gryffondor posté à la porte. « Caroline tu n'as pas le droit de sortir tu... » Avait-elle commencé en mettant son bras devant la jeune fourchelangue pour l'empêcher de l'avancer. Le regard de Caroline devint alors ébène avant qu'elle ne bondisse en s'emparant du bras de la demoiselle qu'elle serrait entre ses dents. Ses crocs s'enfonçaient dans sa peau malgré les hurlements de douleurs et de supplications émis par la sorcière. Ce ne fut que pour la pousser avec violence que Caroline relâcha sa proie avant de ne s'enfuir à toutes vitesse. Dévalant les escaliers pour se rendre jusqu'au rez-de-chaussée et être enfin libre. La bête en elle c'était réveillée, si quelqu'un d'autre croisait son chemin avant qu'elle n'ait atteint l'extérieur, il allait avoir le même traitement. Ce fut haletante qu'elle atteint enfin le parc, se laissant tomber sur le sol brutalement alors que ses genoux dénudés s'enfonçaient dans la pelouse glacée par cette nuit trop froide pour son accoutrement. Dans son besoin de sortir respirer à l'extérieur, Strang n'avait pas pris le temps d'enfiler une autre tenue que sa nuisette blanche avec un cardigan par dessus pou éviter la pneumonie. Ses pieds tout aussi nus que ses genoux ne promettaient certainement de l'aider à survivre. Pourtant, cette fraîcheur ne la faisait pas grelotter. Au contraire, elle se sentait parfaitement bien. Le calme était revenu à l'intérieur d'elle. Enfin, la solitude, la quiétude, l’apaisement. Tout près du saule cogneur alors que pourtant, celui-ci semblait s'être immobilisé, comme glacée par cette température. Caroline s’agrippait à son écorce pour s'y adosser tout en fermant les yeux et inspirant d'immense goulées d'air frais. Ses amis serpents de la forêt interdite devraient attendre qu'elle ait repris des forces avant de ne la retrouver ce soir. Elle doutait fortement que d'ici, elle puisse les appelés et qu'ils entendent le son de sa voix. Ses lèvres formaient malgré tout des paroles incompréhensibles et reptiliennes dans le silence venteux de cette soirée. « Venez... » Sa surprise fut immense alors qu'elle entendit un tout petit chuchotement, adorable et minuscule, que personne d'autre n'aurait pu entendre. « Je suis là...» Sur le ventre de la demoiselle, une minuscule couleuvre faisait son chemin sur son corps. Caroline ne bougeait pas, profitant des caresses de cette peau froide, mais affreusement réconfortante. La bête remonta sur son ventre, glissant sur son bras pour que la gryffondor effleure affectueusement la tête de cette minuscule chose du bout de ses doigts. Elle remonta ensuite au centre de sa poitrine pour venir se loger dans son coup dans un sifflement de satisfaction. Les deux bêtes restaient silencieusement, profitant de l’apaisement mutuel qu'ils s'apportaient.

Ce calme plat perdura quelque minutes avant qu'un craquement inhabituel fasse sursauter la demoiselle qui énerva également la couleuvre qui scrutait l'obscurité, sur ses gardes, prête à tout pour défendre Caroline qui n'en avait pourtant pas besoin. D'un bond, elle se mettait sur le bout de se pieds alors qu'elle s'avançant, se retournant pour scruter les ténèbres qui l'entouraient. Un feulement s'échappait de sa gorge en avertissement à la créature qui avait osée déranger sa tranquillité. Ce fut le serpent qui remarqua avant elle les yeux jaunes qui se cachaient non loin d'eux. « Je vais lui faire la peau s'il ose te toucher... » Lui murmura la bête qui se collait doucement contre le visage de la belle. Caroline lui tendit son doigt pour le glisser sous le menton du serpent et lui murmurer. « Je le connais, ça va aller. Rentre et dis à tout le monde que j'arrive sous peu... » Le loup ne devait pas comprendre ce que tout ses sifflements signifiaient. La jeune femme embrassa doucement le minuscule vouivre juste de ses lèvres trop grandes pour la minuscule bouche de la créature. Non sans des sifflements de mécontentement et de jalousie, son ami ondula jusqu'à la forêt tandis que e regard de Caroline se mirait dans les yeux ambrés de la bête que la nuit dévorait pour ne laisser que ses yeux luisant. La jeune femme ne bougeait pas, même si son envie de passer ses doigts dans la fourrure de la bête l'alléchait, elle voulait que ce soit lui qui l'approche en premier. Elle restait donc immobile, taciturne et avec ce sourire immanquables aux lèvres.
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MessageSujet: Re: OF FIRE AND BLOOD - (carokie)   OF FIRE AND BLOOD - (carokie) EmptyJeu 6 Déc - 22:40

L'homme avait laissé place à la bête lorsque le poids de la prison que représentait Poudlard s'était fait trop oppressant. Loup aussi noir que la nuit, puissante mâchoire de fer, regard d'ambre perçant les ténèbres de ses iris pénétrantes, la créature errante ressemblait au sinistros comme elle entrainait dans son sillage les effluves de la mort. En effet drapée d'une aura menaçante elle parcourait la forêt interdite et s'époumonait dans une course qui la revigorait, chassant parfois le gibier dans un élan d'amusement cruel, dans une bouffée d'instinct animal qui avait rendu l'homme primitif, dans un amour éperdu pour la liberté. Un jeune daim avait croisé la route de la bête qui s'était retirée de la carcasse le museau ensanglanté et le ventre repu, mais ce fut tout autre chose qui attira son attention lorsqu'elle crut bon d'aller se reposer après un si bon festin : un parfum, une présence, des manifestations inhabituelles de sifflements réguliers. Le loup releva la gueule d'une attitude farouche et scruta les alentours, alerte, il vint glapir d'insatisfaction menaçante avant de se lancer là où l'instinct le guidait. C'est là que très vite, il la trouva ; l'autre sauvage aux moeurs tout autant discutables, à la moralité elle aussi absente, au regard vide de toute lueur civilisée. Un ersatz d'être humain pour une créature maintenue en cage. Diable, comme il la comprenait.

Le loup s'était assis à quelques mètres, fier et droit il supervisait la scène de son regard sombre où coulait un or fondu et glaçant. La jeune fille l'avait remarqué, certes, mais c'était surtout l'invertébré qui attira son attention, saisissant que dans les sifflements qu'il ne comprenait pas se nichaient hostilité et menace. Aussi la bête noire vint rapidement se mettre sur ses gardes, crocs sortis et poils hérissés comme pour provoquer la vipère, ne sous-estimant guère l'adversaire car connaissant l'agilité et la traitrise des vils reptiles. Il n'y eut cependant pas de confrontation ; la bestiole à écailles n'avait pas cru bon de s'attaquer au canidé finalement, sans doute par respect pour la brunette qui avisait la scène avec admiration morbide. Et quand enfin ils se retrouvèrent seuls, le loup se drapa de toute son arrogance et nia farouchement être domestiqué. Il ne s'approcha pas, accrochant de son regard pénétrant les yeux mutins de la sauvage, et la toisa durant de longues minutes. Subissant la torture du silence comme ils soutenaient le regard de l'autre, ils restèrent ainsi à s'apprivoiser par une lutte rétinienne sans qu'aucun d'eux ne bougeât. Ce fut sans compter sur le loup qui soudain se redressa et s'élança au loin, quelque part dans les buissons drus, là où les derniers rayons lunaires ne parvenaient pas même à percer.

***

Un soupir passa la barrière de mes lèvres tandis que je me baissais vers le tas de vêtements savamment dissimulés, tapis sous des feuillages qui couvraient ainsi le moindre tissu. En tant qu'animagus non déclaré, j'appréciais ces sorties nocturnes mais redoutais tout autant les traques malencontreuses, aussi prenais-je toujours le soin de bien cacher ici et là quelques habits. Un grognement sourd vint succéder au soupir las ; Caroline connaissait mon secret depuis longtemps déjà mais je n'appréciais guère de le laisser entre les mains de quiconque. Aprilynne déjà, connaissait mon côté animal... du moins de façon purement physique, car il subsistait à l'intérieur de moi ce loup sanguinaire qui drainait jusqu'aux dernières gouttes de mon humanité. Ce n'était qu'une question de temps, avant que la bête ne prenne possession sur l'homme et que je ne perde le contrôle de mes pulsions. Fait dangereux et fascinant à la fois.

« Jolie robe. » Un signe de tête vers la nuisette terreuse de Caroline tandis que je m'affairais à reboutonner ma chemise dont le blanc immaculé n'était plus. J'avais fini par faire demi-tour afin de retrouver la brunette, apprécier ce pseudo sentiment de liberté aux côtés d'une sauvage tel que moi, parler un peu, peut-être, pour me désenclaver de cette solitude que j'appréciais tant, pourtant. J'essuyais mon menton comme je m'approchais de la Fourchelangue, en vain. Le sang séché du jeune daim avait laissé ses traces sur mes joues râpeuses comme sa barbaque avait rempli mon estomac. Un soupir d'aise agita ma gorge ; je me sentais bien. Avec cette excitation sous le joug de ces papilles jouissant du goût ferreux de l'hémoglobine, je ne pouvais guère le ressentir autrement. « Un peu courte, pour une jeune fille qui traîne dans les bois. »

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MessageSujet: Re: OF FIRE AND BLOOD - (carokie)   OF FIRE AND BLOOD - (carokie) EmptySam 29 Déc - 17:54

Caroline n'était ni humaine ni sorcière. Elle était une créature sauvage, une enfant qui s'était fait apprendre la vie par des bêtes au sifflement de cruauté poussant l'enfant à fracasser les cou de petites bêtes dont elle se délectait avec ses semblables pourtant si différent. C'était toujours avec un mépris et une impression de se dénaturer que Caroline avait de contacts humains. Parler leur langue qu'elle ne maîtrisait que brièvement, la rendant sauvage dans ses mots et ses attaques de phrases. Les plaisirs de la chair, c'était pourtant sans problèmes. Cet instinct de survie réveillant la bête féroce en elle, c'était dans des grognements qu'elle s'y adonnait avec qui lui tombait sous la main. Se fichant des liens qui pouvaient unir les personnes qui passait sous ses pulsions cannibales. Passant du professeur au mec en couple sans même n'avoir conscience que ce qu'elle faisait était mal. Ses impressions et ses impulsions guidaient sa vie, comme lorsqu'elle avait mordu violemment la préfète pour s'en échapper et se retrouver pieds nus et en nuisette dans la magnifique bête qu'elle fixait avec son regard olympien alors que le vent glacé courrait sur sa peau de marbre pour y laisser des frissons auxquels elle ne réagissait même pas, restant la statut qu'elle était depuis qu'était apparu le sombre canin aux iris électrisants.

La bête disparut sans que Caroline ne soit confuse. Son regard l'avait suivit dans son bon, sans pour autant qu'elle ne puisse l’apercevoir une fois de plus, dans toute sa nudité. N'ayant droit qu'à son torse qu'il s'empressait de couvrir d'un chemise ivoire de saleté alors qu'il se dénaturait comme les humains adoraient le faire. La gryffondor, pour sa part, n'avait qu'un faible morceaux de tissus blanchâtre la séparant de son état naturel le plus pur. Épave de vêtements que la bête devenue homme, complimenta avec un pointe de moquerie qui n'atteignait pas la vipère. « Jolie robe. » Un sifflement long s'échappait ensuite de lèvres de Caroline tandis que sa langue passait sur ses lèvres d'un coup rapide pour se cacher derrière ses lèvres immédiatement par la suite. Le ténébreux serpent s'approchait d'elle en frottant le sang séché sur son visage. Elle doutait que ce ne soit du sang des siens, trop vénéneux pour qu'il soit grandement apprécié par les plus féroces prédateurs. « Un peu courte, pour une jeune fille qui traîne dans les bois. » Caroline restait polaire, pas un sourire ni une expression alors qu'elle commençait à tourner autour de celui qui serait sa proie. Formant de doux cercles autour de lui alors qu'elle semblait le mesurer des hauts, le fixant de bas en haut tout en resserrant la circonférence de sa trajectoire autour de lui au fil de ses hanches qui ondulaient. Ses ongles glissaient sur la peau de son bras alors que son corps se collait au siens, son visage s'approchant dangereusement du sien, sans trop savoir ce qu'elle allait faire. Peut-être lui sauter au visage et le mordre pour lui transmettre de son venin qui semblait réellement couler dans ses lèvres. Un autre sifflement court s'échappait de ses lèvres avant qu'elle ne fasse qu'un avec la peau du jeune homme. Sa langue glissant à la commissure des lèvres du loup pour goûter au sang gaspillé contre sa fourrure devenue épiderme. Ses crocs ne purent s'empêcher de saisir le coin de ses lèvres dans un sourire alors qu'à l'unisson d'un geste sauvage et violent, elle enfonçait ses ongles dans son bras. Le lâchant brusquement sans lâcher son regard.

« Tu veux que je l'enlève ? » Demanda-t-elle, joueuse, accompagné d'un sourire et d'un rire cristallin. Penchant sa tête sur le côté avant de ne décider qu'elle en avait assez d'être debout, se laissant doucement tomber dans l'herbe alors que son corps se mouvait avec des geste sinueux et langoureux prouvant l'éducation qu'elle avait eut. Étendue dans l'herbe fraîche avec ses jambes interminables et ses bras étirés au dessus de sa tête qu'elle envoyait vers l'arrière, sifflant pendant qu'elle s'étirait pour ensuite balançait sa crinière infinie alors qu'elle relevait ses iris noirs vers lui. Ses lèvres s'entrouvrant pour que des mots humain en sortent enfin. « La chasse a été bonne ? » Son regard était brûlant, irradiant le jeune homme de son désir de savourer sa chair jusqu'à ce qu'il n'en reste plus pour personne d'autre sur son squelette incendié. Elle aurait voulu qu'il se donne à elle, sans pour autant se donner à lui. Attiser les flammes jusqu'au moment critique, puis s'enfuir dans une course sans fin où elle perdrait de toutes façons, parce qu'en réalité, elle avait envie de perdre et d'être le goûter du grand méchant loup.
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MessageSujet: Re: OF FIRE AND BLOOD - (carokie)   OF FIRE AND BLOOD - (carokie) EmptyVen 15 Mar - 22:10

La sauvage qu'elle était ne tarda guère à faire oeuvre de sa bestialité latente, ignorant le froid mordant sa peau et me contournant dans une danse macabre qui n'avait plus de fin. Car la jolie sauvageonne commença à me tourner autour, d'un regard de braise qui ne se détacha jamais du mien et sans que je ne m'en trouve déconfit. Peut-être était-ce bien parce que je la connaissais depuis longtemps, ou était-ce le loup en moi qui ne s'offusquait pas de son manque de civilité... En vérité j'appréciais ces moments-ci, que d'aucuns auraient qualifié d'étranges voire de glaçants quand je n'y voyais que légèreté et retour aux sources. La bestialité de Caroline apaisait la mienne, car elle se couvait contre la bête sommeillant en moi. Avec elle, je n'étais plus seul. Je pouvais à mon aise prétendre ne pas appartenir à l'espèce humaine et me gausser dans mes habitudes de loup, mains terreuses, cheveu hirsute, vêtements crasseux. Ainsi un sourire narquois lissa mes lèvres quoique s'estompa lorsque sa bouche tentatrice vint s'y abreuver, d'une morsure que je lui rendis bien volontiers. Et bien violemment, par ailleurs. Car ne nions pas la tension palpable surplombant nos têtes, comme si nous demeurions deux fauves prêts à bondir l'un sur l'autre. Séduction ou courroux des bêtes sommeillant en nous, les deux, probablement. Et puisque ses ongles vinrent lacérer ma chair, je ne privai guère de mon côté pour pétrir la chair de ses hanches de mes mains féroces devenues poignes virulentes, à en laisser quelques plaques rouges sur son épiderme. Jusqu'à ce que la belle, lasse de jouer, ne s'éloigne et ne jette quelques mots en pâture à ma lubricité. « Tu veux que je l'enlève ? » « Chiche. » soufflais-je d'une même rengaine qui se voulait enfantine, mais qui dissimulait bien des monts de vices et de stupre. Entre elle et moi, il n'y avait plus de tabous, plus de questionnements que puisse contourner cette société civilisée. Il nous suffisait de souffler un mot pour que toutes les convictions du monde ne s'ébranlent. « La chasse a été bonne ? » fit-elle d'un air las après avoir retrouvé la fraîcheur de l'herbe, regard incandescent braqué à mon encontre.

Et un sourire de nouveau, glissa sur le galbe de mes lèvres purpurines. Conscient des signaux qu'elle m'envoyait, sensuelle même dans la vulgarité de la bête, à se donner gestuellement avec tant de volupté. Je n'ignorais pas cependant que Caroline demeurait aussi sauvage que lunatique, aussi ne le pris que moyennement en compte et décidai de m'asseoir également près d'un tronc d'arbre. Imposant une certaine distance entre nous, mais n'hésitant guère à me repaître de son regard d'une oeillade pénétrante et fière. Cette flamme lubrique brillant dans l'alcôve de mes pupilles la testait alors, à moins que je ne mette à l'épreuve que la tension régnant entre nous. « Visiblement. » soufflais-je d'un timbre chaud, sous-entendant que la Gryffondor eut été ma proie. « Et toi alors ? Tu passes beaucoup de temps avec tes couleuvres ces derniers temps. Poudlard t'ennuie à ce point ? » Ah, question rhétorique bien sûr. Car la sauvageonne semblait se lasser perpétuellement de tout.

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