Nom : Nott ; Dans les manuels scolaires, ce nom est associé au Seigneur des Ténèbres. Moins entaché que les Malefoy ou les Lestrange mais il ne faut pas oublier non plus qu'ils étaient les premiers à rejoindre les rangs du Dark Lord. Prénom(s) : Ezechiel Mylhan ; Un prénom biblique comme pour adoucir le fardeau du nom qu'il porte. Quand au second, une totale invention de sa mère. Surnom : Ezy ou Ezé ; Cela dépend aussi du degré d'intimité qu'il partage avec la personne. Les gens s'amusent aussi à l'appeler par son nom. Âge : Dix-neuf ; Et autant d'années de conneries, de mauvaises blagues et de règles enfreintes. Date et Lieu de Naissance : 31 octobre 2002 à Sofia en Bulgarie ; Même si son père est de pur souche anglaise, sa mère (d'après les dires de son paternel) venait des contrées glacées de la Bulgarie. Nationalité : Bulgaro-Anglaise ; Même s'il n'a passé que les premiers mois de sa vie dans le pays d'enfance de sa mère, Ezechiel possède la double nationalité même s'il se sent beaucoup plus anglais que bulgare. Pureté du sang : Pur ; En ce qui concerne le côté sorcier, en revanche il sera coupé avec du sang de vélane. Année d'étude & Maison : Sixième & Serdaigle ; Ce fut un sacré choc quand le jeune Nott ne fut pas envoyé à Serpentard comme la majorité de sa famille mais il fallait s'y attendre quelque part... Orientation sexuelle : Bisexuel ; Ezy n'a jamais été très regardant pour tout dire. État civil : Marié à Alesya ; Même si personne d'autre n'est au courant.

Baguette : Aussi complexe que son propriétaire. Ce sont les mots qu'à prononcé Ollivander avant de tendre la future baguette à Ezé. Faite en bois de Lierre, qui symbolise le labyrinthe, de la recherche de l'individu et de l'errance de l'âme, elle contient un cheveu de vélane, prélevée sur la tête de sa défunte mère alors qu'elle était enceinte des jumeaux. Longue de 28 centimètres elle est très efficace pour les sorts de défense et la métamorphose mais est beaucoup moins coopérative quand il s'agit des sorts offensifs. Patronus : Un renard ; Représentant la malice, l'animal colle parfaitement au jeune homme. Pour faire apparaître son animal protecteur, Ezechiel se concentre sur différents souvenirs qu'il partage avec celle qu'il peut désormais appeler sa femme. Ce moment magique où elle a accepté de l'épouser, ces moments rares où elle laisse tomber le masque et où elle se met simplement à rire... Épouvantard : Avant de faire face à un véritable épouvantard, Ezechiel pensait que ce dernier prendrait la forme d'Alesya gisant dans une mare de sang à ses pieds mais finalement quand il affronta sa peur en cours de DCFM, ce dernier s'est transformé en lui-même, les yeux remplis de folie, l'ancienne marque des ténèbres gigotant sur son bras, perpétuant les crimes du passé. Particularité : Semi-veela ; Il est rare de voir ce genre de gênes passés chez un homme mais Ezechiel en est pourtant l'exemple même. Options choisies & métier envisagé : L'année dernière, Ezechiel a choisi la Divination ainsi que le Soin aux Créatures Magiques sans trop savoir pourquoi. Il ne sait pas quoi faire de sa vie, préférant se concentrer sur le présent mais s'il devait choisir un métier immédiatement, il se tournerait sûrement vers un métier avec les créatures magiques ou non car bien souvent il se sent plus proche des animaux que des humains. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Non, au grand damne de son père. Alors que sa sœur se fait un plaisir de tester ce genre de sorts sur tout les elfes de maisons qui osent croiser son chemin dans le manoir, lui arrive à peine à tenir sa baguette droite quand on lui demande de balancer un sort impardonnable. Quel est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ? Sincèrement, Ezé s'en fiche comme de sa première chocogrenouille. Si les gens veulent recommencer les erreurs du passé, qu'ils les fassent mais très peu pour lui. Ont-ils oubliés que la dernière fois que des jeunes sorciers ce sont rassemblés pour des motifs aussi noirs, ils ont déclenché une guerre ? Et si une guerre devait se déclarer, il ferait tout pour se tirer d'ici en vitesse. Les gueguerres pour le pouvoir très peu pour lui.

Pseudo : Hindy et seulement Hindy pour vous Âge : Vingt ans (dire qu'il n'y a pas si longtemps j'en avais encore dix-huit...) Avatar : Max Supersexy Irons Fréquence de connexion : Plutôt geek collé à son clavier. Comment as-tu connu le forum ? C'est la faute à Mary ! (c'est toujours la faute à Mary ) Code : Auto-validation. Héhé. Copyright : Les bannières viennent de Tumblr.

Naître dans une famille avec un lourd passé n'est jamais chose simple. Mais lorsque le chef de famille, votre propre père porte encore cette rancune au fond de lui, une envie de vengeance qu'il traîne depuis plus de deux décennies, alors vivre dans ce genre de famille devient un enfer permanent.

Les mains tremblantes, le jeune garçon déglutit difficilement et essuya la sueur qui perlait à grosses gouttes sur son front. Sa bouche était pâteuse et ses jambes menaçaient de se dérober sous son poids mais rien ne sortait. Il lui suffisait pourtant d'un peu de courage, de cracher ce foutu mot et d'en être débarrassé mais il ne pouvait se résoudre à faire souffrir une innocente créature. Pour achever sa détermination bien effritée, la jeune femme lui lança un regard implorait de pitié et Ezechiel baissa sa baguette et tomba à genoux dans la poussière de la cave dans laquelle son père les avaient enfermés. Alors qu'il sentait son cœur battre à cent à l'heure, il entendit son père soupirer dans son dos et ce simple son lui glaça le sang. Il savait que la punition pour ne pas avoir obéit à son paternel, pour ne pas avoir tué cette moldue allait être bien pire que les remords que le jeune homme aurait éprouvés mais il ne pouvait simplement se résoudre à ôter la vie à un être innocent. Il entendit les pas de son père se rapprocher de lui et il n'eut pas le courage d'affronter son regard alors il ne fit que fixer les chaussures impeccables de son paternel, attendant la sanction comme un condamné à mort. Finalement une force invisible le souleva de terre et le plaqua contre le mur, l'immobilisant, lui coupant presque le souffle mais pire que tout, l'empêchant de fermer les yeux. Bien vite il comprit ce qui allait se dérouler ici et les larmes commençaient déjà à monter alors que rien n'avait commencé.

Puis un éclair rouge s'abattit sur le minuscule corps de la jeune femme et il se mit à convulser et à se tordre de manière presque inhumaine. Un cri, comme celui d'une banshee à l'agonie résonna dans la pièce et le blondinet ne put retenir ses larmes une seconde de plus. Il ne savait pas ce qui était le pire à regarder, cet être recroquevillé sur lui-même souffrant le martyre à cause de lui ou bien son père aux traits durs et impassibles qui regardait ce spectacle avec un plaisir sadique et totalement déplacé. De là où il se tenait, Ezechiel pouvait presque distinguer un rictus amusé alors que ces yeux d'obsidienne ne lâchait pas sa victime du regard. Finalement, après un temps qui lui paru interminable, un éclair vert traversa la pièce et le corps cessa de gesticuler tandis que les cris cessèrent de résonner dans l'étroite pièce où ils se trouvaient mais sûrement pas à l'intérieur de la tête du garçonnet. Alors qu'un autre sanglot remontait dans sa gorge, Théodore, le paternel, se dirigea vers son fils et annula le sort qui le maintenait prisonnier ce qui eu pour effet de le faire tomber à plat ventre dans la poussière. « Regarde ce que tu as fait Ezechiel. À cause de toi cette moldue à souffert alors tu aurais pu abréger son sort d'un simple geste. Elle est morte en te détestant Ezechiel. » Et alors que la terre se collait sur ses joues trempées de larmes, le jeune homme sentit une brûlure dans son dos, puis une autre, et encore une. Comme des coups de fouets sur son corps enfantin, mettant ses nerfs à l'épreuve, bleuissant sa peau de lait, voilà comment on fait rentrer une leçon dans la tête d'un gamin chez les Nott.

« Je pense que je me souviendrais toujours du jour de mes onze ans. Mon père m'avait préparé une surprise dans la cave, pour que je teste ma nouvelle baguette. Et dire que j'étais excité à propos de cette surprise... On peut dire que ça en fut une, pour nous deux. »

Serdaigle. Quand il y repensait, il en avait des sueurs froides. Pourquoi a-t-il fallu que ce vieux bout de chiffon qui se prétendait être un chapeau avait eu l'audace de l'envoyer dans cette maison ? Certes il savait qu'il n'avait pas sa place chez les Serpentard, mais à présent il était rejeté non seulement par ses camarades -ils étaient tous effrayés de son héritage et de ses sautes d'humeur- mais il ne pouvait même pas chercher un semblant de réconfort chez les autres parias car même eux, les rejetons des traîtres, le repoussait pour ne pas avoir été envoyé dans la même maison qu'eux. Dans cet enfer il n'y avait qu'Alesya qui le soutenait, qui empêchait les autres vert et argent de se jeter sur lui à chaque détour d'un couloir, qui le faisait rire et réciproquement il n'hésitait pas à courir à chaque fois qu'elle avait besoin de lui. Mais ce soir, elle n'était pas là et il devait faire le chemin de la bibliothèque jusqu'à son dortoir seul dans les couloirs sombres du château. Certes il n'était plus un enfant mais avec les années, il était devenu légèrement paranoïaque et ce soir n'échappait pas à cette règle.

Baguette à la main éclairant son chemin d'un lumos, il retenait son souffle au moindre craquement de planche qu'il pouvait entendre. Finalement il referma sa prise sur sa baguette et inspira un grand coup. Il fallait qu'il arrête de jouer les fillettes et qu'il se conduise en homme pour changer ! Alors qu'il repartait d'un pas beaucoup plus assuré, une ombre surgit du néant pour se planter sur son chemin et il ne put s'empêcher de sursauter et lâcha les bouquins qu'il tenait contre son torse comme pour se protéger. D'un geste rapide il éclaira l'intrus qui venait de lui faire manquer des battements de cœur et découvrit une Gryffondor qu'il avait déjà croisé plusieurs fois en compagnie de son petit-ami qui n'était pas vraiment un fan d'Ezechiel. « Qu'est-ce que tu veux ? » demanda-t-il d'un air très aimable. La jeune femme esquissa un sourire et fit un pas en avant tandis que le jeune homme restait de marbre face à elle. Il n'allait tout de même pas reculer face à une fille -certes cette pensée pourrait paraître sexiste aux yeux de certaines jeunes femmes mais il ne fallait tout de même pas pousser. Puis finalement d'un bond, la rouge et or se jeta sur lui et l'embrassa.

Sur le coup le jeune homme ne comprit pas exactement pourquoi elle faisait ça et encore moins pourquoi elle s'arrêta la seconde d'après pour lui coller une baffe exemplaire et recommencer à l'embrasser. « Qu'est-ce que tu m'as jeté comme sort Nott ? Un truc de mangemort appris de ton père ? C'est avec ce genre de trucs qu'il a engrossé ta mère c'est ça ? » La jeune homme se reprit une baffe -pas littéralement cette fois-ci- quand les mots eurent atteins son cerveau et il repoussa la jeune femme immédiatement. « T'es complètement cinglée ma pauvre. Je ne t'ai jamais jeté de sort. » En effet, en plus de devoir porter un patronyme maudit, Ezechiel devait porter le fardeau de sa mère morte en couche, celui d'être à moitié vélane, enfin plutôt veela dans son cas. Il attirait la gente féminine sans vraiment trop savoir comment le contrôler et ce n'était pas toujours des plus agréables quand il s'agissait par exemple des femmes mûres comme la bibliothécaire qui lui faisait des œillades absolument pas discrètes. Après s'être essuyé la bouche avec sa manche, il avança sa baguette et la pointa juste sur le cœur de la Gryffondor en ajoutant. « Parle encore une fois de ma mère et je te jure que je te montrerais quelques sorts que mon père m'a appris. Il m'a dit que c'était Tu-Sais-Qui qui lui a lui-même enseigné ça. »

Une lueur de peur traversa ses yeux et elle recula complètement apeurée. Il n'y avait pas que des mauvais côtés à être le fils d'un paria tout compte fait. Alors qu'elle s'apprêtait à partir, des bruits de pas retentirent de l'autre côté du couloir et il savait que c'était le copain de la rouge et or et il soupira rien qu'en entendant son raclement de gorge. « Qu'est-ce que tu crois faire là, Nott ? » Le désigné Nott se retourna et pointa sa baguette en direction des trois intrus qui venaient d'arriver. « Si tu veux tout savoir, je compte apprendre à ta petite-copine la politesse mais t'inquiètes pas, je te ferais la leçon juste après. » Un sourire sarcastique et il balança un expelliarmus qui le fit valser à l'autre bout de la salle. Il avait beau être seulement de deuxième année, il savait se débrouiller avec les sorts de défense, mais malheureusement, toute la maîtrise du monde ne servait à rien face à trois baguettes contre une. Au final, il fut projeter contre le mur et la panique s'empara de lui. Les années d'enfermement dans la cave de son père lui revinrent en mémoire et il commença à faire une crise de panique, banda tout ces muscles pour se sortir du piège invisible mais rien ne fut efficace. Alors que ces quatre adversaires ricanaient de son sort, l'un des rouge et or se paralysa et tomba en arrière. Une petite bouille brune apparut derrière et pointa sa baguette en direction des autres. « Quelqu'un d'autre veut goûter à un p'tit petrificus ? » Apparemment personne ne fut volontaire et bien vite ils détallèrent comme des lapins, proférant des menaces, des "un autre jour Nott" et ce genre de trucs... Quand ils furent partit, le Serdaigle fut délivré de sa prison invisible et tomba à genoux devant sa sauveuse. Il lui adressa un simple sourire tandis qu'elle lui tendit la main. « Moi c'est Saffra et toi ? »

Ou comment devenir des meilleurs amis en l'espace d'une simple nuit.

Plus il fixait son reflet dans le miroir, plus il perdait confiance en lui. Si lui-même n'arrivait pas à croire en lui, comment pourrait-il un jour penser affronter son père directement dans les yeux ? Il soupira, secoua la tête puis essaya de nouer sa cravate seul, chose qu'il n'avait jamais réussi à faire -et qu'il n'arrivait toujours pas à faire. Alors qu'il était concentré à sa tâche, sa sœur apparut dans le miroir et ce ne fut qu'en l'entendant ricaner de sa mauvaise aventure avec sa cravate qu'il la remarqua enfin. « C'est ça, moque-toi ! J'aimerais t'y voir à ma place. Tout ce que tu as faire toi c'est de mettre une robe et ça passe, moi je dois lutter avec cet espèce de bout de tissu qui va m'étrangler toute la soirée... » Elle rigola de plus belle et lui-même ne put résister à ce son si merveilleux. Son reflet se trouvait juste au-dessus de son épaule et son regard passait du visage de sa sœur au sien, il n'y trouvait presque aucune différence. Ce n'était pas pour rien qu'ils étaient jumeaux après tout. Elle aussi avait tout pris de leur mère, ses grands yeux de biche d'un couleur bleu éclatant, ses longs cheveux blonds tirant sur le roux au soleil, ce sourire rassurant. Depuis plusieurs années, disons le clairement depuis qu'il avait été envoyé à Serdaigle, ils avaient perdus leur complicité enfantine. Mais là, à ce moment-même, il venait de la retrouver, sa petite sœur qui lui manquait tant.

Glissant sa main sur son épaule, la jeune femme força son frère à lui faire face et commença à noyer sa cravate à sa place. « Mon pauvre Ezy. Tu ne tiendrais pas cinq minutes dans mes talons. » Connectés par un lien bien spécial que seuls les jumeaux partagent, ils s'imaginèrent tout les deux le jeune homme avec les talons d'Althea et ils éclatèrent de rire en même temps. Quand leurs regards se croisèrent il eu envie de la prendre dans ses bras pour ne plus jamais la laisser partir, pour qu'elle reste sa petite sœur au magnifique sourire pour toujours. Mais le moment fut bien vite brisé par un elfe de maison qui annonçait que le dîner était prêt. Presque aussitôt, Althea changea, elle redressa la tête, perdit son sourire et alors qu'elle serrait le nœud de sa cravate, il avait l'impression qu'elle allait l'étrangler avec. D'une démarche de princesse, elle fit demi-tour et descendit dans le salon. Le silence qui suivit fut seulement brisé par le bruit de son cœur qui partait en charpie dans sa poitrine. Dans un long soupir, il se décida à la suivre et vivre la soirée la plus de son existence depuis un bon moment. Aujourd'hui c'était le retour du paternel au manoir.

À part le bruit crissant des couverts cognant contre les assiettes en porcelaine, aucuns sons ne venait perturber le repas. Chacun des convives prenait un malin plaisir à fixer ce qui traînait dans son assiette, bien gentiment, évitant du mieux que possible de croiser le regard noir du chef de famille qui trônait au bout de la table. Ils étaient presque arrivés au dessert quand une lumière blanchâtre qu'il connaissait bien passa devant la baie vitrée qui lui faisait face. Sans se rendre compte de ce que son corps faisait -sans la permission de son cerveau-, il était déjà debout et marchait même vers la portée d'entrée, qui faisait là office de porte de secours pour lui. Alors qu'il allait poser la main sur la poignée de l'entrée la voix de ténor de son père résonna dans le hall et dans les entrailles du jeune homme. « Ezechiel, reviens à table. » La voix était posée, il n'avait pas crié, ne s'était pas énervé. Le jeune homme aurait préféré qu'il se mette à lui courir après, qu'il le plaque contre le mur et qu'il le frappe comme il savait si bien le faire plutôt que de le voir si calme et si serein. Le descendant Nott empoigna la clenche et ouvrit la porte en grand avant de dire. « Non, j'ai quelque chose de plus urgent à faire. » puis il s'engouffra dans la nuit noire et froide sans laisser le temps à son père de lui répondre. Le retour allait être marrant tiens.

« Quand j'ai vu le patronus d'Alesya j'ai tout de suite compris que quelque chose n'allait pas. Elle ne l'envoyait que dans des cas d'extrêmes urgences, sinon elle ne se gênait pas pour emprunter le réseau des cheminées qui reliaient leurs maisons entre-elles. Sans attendre j'ai transplané jusqu'à chez elle et nous sommes partis dans la seconde maison de mon père en Bulgarie. On a bu, je l'ai fait rire, on a parlé de tout et de rien, elle a pleuré, on s'est embrassé et puis je lui ai demandé de m'épouser. Elle a dit oui, à ma grande surprise je dois bien l'avouer mais ce fut le plus beau jour de ma vie. Elle ne le sait pas encore mais mon côté veela ne me laisse pas le choix. Je ne peux tomber amoureux que d'une seule personne et cette personne c'est Alesya. »

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