Nom : Weasley(vous parlez d'une tuile). Prénom(s) : Adelaïde Jean. Surnom : Ade. Âge : 18 ans. Date et Lieu de Naissance : Née le 31 Octobre il y'a 18 ans (eeeh oui, comme si ce fût le reflet d'un mauvais présage ) à Ste. Mangouste .Nationalité :Anglaise à tous les coups. Pureté du sang : Née de l'union de Ron Weasley, de loin Sang Pur et d'Hermione Granger, née de parents Moldus, Adelaïde est alors de Sang Mêlé.(comme si cela ne suffisait pas d'être née Weasley) Année d'étude & Maison : 5ème année dans la maison de... TADADAAAAAM.... SERPENTARD!!!(surprise les amis? eh oui, mon nom jure avec ma maison et mes parents pestent contre mon blason). Orientation sexuelle : Hétérosexuelle et pas du tout tolérante des déviances sexuelles. État civil : Célibataire, pour le moment.

Baguette ::« Ma baguette ? Pourquoi tant de bruit autour de la composition d’une baguette ? Comment est la mienne ? Il me semble avoir entendu chez Olivender, il y’a de cela 5 ans, que ma baguette était en bois de houx avec à l’intérieur un ventricule droit de dragon à poils durs. Elle mesure 25.7 centimètres et est sublimée de bas en haut par un fin fil d’écorce de houx noir, qui, en spirale lui donne une allure assez hors du commun. J’ai cru remarquer qu’elle était très rigide, comme mon caractère, avait dit ma mère, et qu’elle était parfaite pour lancer des sorts avant même un clic d’appareil photographique n’ait pu retentir. » Patronus :La forme lumineuse qui sort de la baguette de la jeune Adelaïde lorsqu’elle prononce la célèbre formule de « spero patronum » est un… serpent. Pourquoi un serpent ?étrange... pour cela il faut connaître son histoire. Lorsqu’elle avait peur, le soir dans ses cauchemars, Adelaïde parlait avec un serpent. Certains enfants s’inventent un fantôme en ami imaginaire lorsqu’ils ont peur… Pour Adelaïde, son ami imaginaire était Balthazar le serpent à sonnettes.Épouvantard :L’épouvantard d’Adelaïde est un poisson. Pourquoi un poisson ? Petite, Adelaïde en se baignant dans la mer en vacances a du affronter une marée de poissons morts flottant à la surface, sûrement tués par un vieux bateau de pêche à l’horizon. Ces yeux tournés vers elle, ces êtres sans vie qui peu à peu s’approchaient d’elle lui ont rendu leur vue insupportable. Elle ne s’est d’ailleurs depuis plus jamais baignée dans la mer et n’est jamais rassurée lorsqu’elle doit avoir le moindre contact avec de l’eau. Particularité :Pour ce qui s’agit d’un don… peut-on appeler ça un don ? Adelaïde est née avec la capacité de parler aux serpents, d’où également son patronus en forme de serpent. L’apprenti sorcière a toujours eu une forte attirance pour les serpents et s’est toujours amusée de la peur que cette capacité pouvait faire naître chez les autres. Les serpents ont souvent été sa voie de secours dans ses cauchemars, ils l’ont aidée à vaincre ses peurs et à être courageuse. Options choisies & métier envisagé :Adelaïde a choisi l’Arithmancie en première option, car étant une très médiocre étudiante, cette option lui permettait de s’assurer la moyenne (oui, en effet, c’était la seule option dans laquelle Ade pouvait se distinguer quelque peu) sans trop d’efforts. En deuxième option elle a choisi le soin aux créatures magiques, car elle a toujours ressenti une profonde alchimie entre elle et les animaux, sûrement en lien avec son attirance pour les serpents. Son plus grand rêve de carrière a toujours été de devenir briseuse de sorts et elle est prête à tout pour y arriver.Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ?? Magie noire ? C'est-à-dire ? Lors de ses premières années, Adelaïde aurait rêvé d’infliger un sortilège Doloris a tous ceux, surtout à la plupart de ses cousins, qui la traitaient de sorcière ou de fille de Satan à cause de son don de Fourchelangue. Cependant, à part quelques enchantements trop vite classés dans les livres de magie noire, elle n’a pour le moment jamais utilisé de magie noire pure et dure, bien que parfois… elle meurt d’envie de s’y dévouer corps et âme pour décourager ses détracteurs .Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ?Adelaïde a toujours plus penché vers le mal que vers le bien. Si rébellion il y a, elle se ferait un plaisir d’y participer rien que par plaisir de s’opposer au système. Si elle irait jusqu’au bout ? Alors ça... c’est une autre question, la jeune Weasley étant très lâche il est difficile d’en être convaincus.

« On était en été, ou au printemps, comment s’en rappeler ? Cela fait si longtemps…Je suis la fille de Ronald Weasley et d’Hermione anciennement Granger, je m’appelle Adelaïde. Un jour, ma vie a basculé. Je devais avoir 7 ans, 8 ans tout au plus »

Les enfants Weasley jouaient dans un grand parc de Londres, où, une fois par année la famille Weasley-Potter au complet se réunissait pour un gargantuesque pic-nic de rires et d’amitié. Adelaïde était la deuxième enfant de Ron et d’Hermione, parents héroïques desquels elle ne pouvait, et ne devait, hériter que de leur courage. Les adultes papotaient, ils parlaient avec ferveur et mélancolie de leurs temps passés en termes de « héros » et, heureux de pouvoir parler de l’avenir, prévoyaient pour leurs enfants de grandes carrières. Dans la progéniture Weasley, rien ne laissait remarquer une quelconque déviance, mise à part peut être cette petite brune pleine de tâches de rousseur, sûrement héritées de son père. Adelaïde donnait du fil à retordre à sa famille. Les parents Weasley étaient convoqués 5 fois le trimestre pour cause d’insolence ou de mauvais comportement de leur fille. Ron et Hermione s’inquiétait du comportement d’Adelaïde, qui, bagarreuse rentrait souvent à la maison couverte de bleus des pieds à la tête. Ils la savaient solitaire, le plus inquiétant était qu’elle n’avait aucun ami et qu’elle ne parlait jamais de ses malheurs. En souffrait-elle ? Revenons-en à nos moutons. Les enfants Weasley jouaient au ballon dans le parc. A les voir tous ici, on aurait pu croire à une sortie de classe (si les âges n’étaient pas aussi dispersés. Oui, car à eux seuls les enfants Weasley devaient bien être une quinzaine). Comment ne pas remarquer la petite fillette recroquevillée qui ne jouait pas avec les autres. On pouvait lire sur son visage un profond mal-être, un sentiment de ne pas être à sa place dans ce tableau idyllique. Adelaïde avait toujours été, de ses trois sœurs, le mouton noir, celle qui faisait mauvaise impression. Elle les regardait envieuse de leur bonheur jusqu’au moment où un cri perçant vint briser l’harmonie mise en place par le cercle de rouquins :

UN SERPENT !!!!!! ADELAÏDE, ELOIGNE TOI, UN SERPENT S’APPROCHE DE TOI !!

C’était l’une des sœurs d’Adelaïde qui avait crié. La jeune Weasley releva doucement la tête sous le regard apeuré de ses cousins. Un fin rictus vint se poser sur le délicat visage de la sorcière. Elle commença alors une timide conversation avec le serpent, c’est alors que ses cousins comprirent ; Adelaïde était Fourchelangue. Effrayés, l’intégralité de la fratrie Weasley partit en courant vers leurs parents respectifs, pendant que, d’une main soigneuse, l’unique petite silhouette qui entachait encore le tableau se baisait et soulevait tendrement son nouvel ami pour le présenter à ses parents. Adelaïde arriva vers le reste de la famille tout sourire sous le regard effaré de Ron et d’Herminone, de ses oncles et de ses tantes, mais surtout… devant le regard méfiant et curieux du célèbre Harry Potter, qui, craignait dès lors le pire pour sa nièce.

La salle était déjà parée et les élèves s’étaient déjà installés. Les élèves avaient été appelés dans l’ordre et le bruit qui assourdissait l’immense salle de banquet manquait souvent de faire tressaillir les oreilles les plus frêles. Première dans l’ordre alphabétique des cousins de sa génération Adelaïde tremblait sur sa chaise. Où serait-elle envoyée ? Ron et Hermione avait tenu à ce qu’elle leur envoie un hibou dès que le verdict du Choixpeau serait tombé, car depuis la découverte du don d’Adelaïde, ils étaient inquiets quand à l’orientation de leur fille. Acideen, la sœur aînée d’Adelaïde n’avait pas entaché le blason des Weasley, qu’en serait-ce pour ’Adelaïde ?

Pendant que ses camarades se faisaient répartir, la petite gourmande grignotait des dragées surprise(qu’elle avait volé à l’un de ses cousin dans le Poudlard Express). Lorsque tout à coup, à travers les applaudissements et les rires, son nom fût prononcé. Manquant de s’étouffer avec ce succulent bonbon, la brunette se leva, recrachant par la même occasion la vilaine dragée en plein dans la tête de l’élève qui, par mégarde, se trouvait en face d’elle. D’un pas hésitant, Adelaïde s’avançait vers cet immonde, ce visqueux et puant chapeau qui devait avoir survécu à un torrent d’urine de troll tant il odorait se disait Adelaïde.

L’assemblée, curieuse de savoir où serait envoyée la jeune Weasley s’était tût. Les cousins d’Ade, au comble de la curiosité, ne savaient que penser. Adelaïde avait toujours été étrange, renfermée et solitaire, ils avaient du mal à s’entendre avec leur cousine, mais surtout, beaucoup de peine à la comprendre. Elle s’avançait donc, peu confiante, vers le tabouret de répartition et s’assit maladroitement en manquant de tomber ce qui déclencha une tornade de rires dans la salle de répartition.

« Faîtes que tout ce passe au plus vite monsieur le Choixpeau, je ne vous supporterai pas sur ma tête très longtemps. » Avait-elle silencieusement murmuré afin que personne, ni même le Choixpeau, ne puisse l’entendre.

Tiens, une Weasley, encore. A croire que cette famille est issue d’un vrai terrier. Mais soyons un peu sérieux ! Adelaïde c’est ça ? Je vois dans ton âme le poids que représente pour toi les exploits de tes parents. Tu ne te sens pas à ta place dans cette famille c’est ça ? Bien, bien… je comprends ! Tu n’as effectivement rien d’une Weasley…Ta place est à ….

Avait-elle bien entendu ? Ce silence dans la salle démontrait-il l’aberration de la décision du Choixpeau ? Personne n’osait dire un mot… c’était tout de même une Weasley. Les seuls qui, amusés se permettaient des blagues firent bouillir Adelaïde de colère :

« Le prochain qui ose faire une remarque, il se prendra mon poing dans la geule ! »

Mais un certain « Miss Weasley » du directeur de l’école calma les ardeurs de la jeune sorcière, qui tête baissée alla s’asseoir à la table de sa maison.

Il faisait froid, on était en Octobre, le 31 exactement, c’était l’anniversaire d’Adelaïde. La grande salle était parée pour la fête tant attendue d’Halloween. Personne n’avait pris la peine de souhaiter sa fête à la jeune sorcière, mise à part ses sœurs et cousins bien entendu qui en avaient profité pour se moquer d’elle et de son manque de maturité. Adelaïde avait 16 ans ce jour-là et était véritablement en pleine crise d’adolescence. Elle ne supportait pas les bains de foule que lui offrait la salle du banquet à diverses occasions, c’est pourquoi, prise d’un énorme besoin de solitude, l’adolescente était partie à l’orée de la forêt interdite pour trouver un peu de calme et de solitude.

Arrivée dans la fraîcheur procurée par l’ombre des arbres calquée sur le sol, Ade pût enfin respirer. Elle s’assit sous l’ombre d’un grand saule et se mit à chantonner jusqu’à ce qu’une jolie vipère vienne poser sa tête sur ses genoux. Adelaïde commença à caresser l’animal et se mit à pleurer. Elle pleurait de sa différence, de sa solitude et de la distance qui s’était tissée entre elle et sa famille. Elle voyait en ce serpent le seul être qui, à cet instant, se souciait un tant soit peu d’elle. Elle chantonnait une chanson triste jusqu’à ce qu’une voix résonne. C’était un Serpentard qui répétait en boucle:

Miss Weasley veut jouer les durs, mais en vrai c’est une chochotte

Adelaïde s’essuya alors rapidement les joues et se mit en colère en lui criant d’arrêter. Cependant, le jeune Serpentard semblait ne pas vouloir mettre un terme à ses moqueries. Hors d’elle et guidée par la haine, Adelaïde ordonna au petit serpent d’attaquer son détracteur. Le serpent qui, loin d’être venimeux, s’attaqua au Serpentard lui mordit violement le mollet et le fit ainsi tomber et se tordre de douleur, à terre et en pleurnichant. Adelaïde embrassa son serpent, sourit, se leva et fit volte face pour rejoindre le château, ne s’inquiétant pas des conséquences que pouvait avoir son acte, elle balbutia à travers un sourire satisfait :

«Tu l’auras cherché. Vieux Troll! »

Et c’est ainsi, que sans se retourner elle rejoignit le château, peu soucieuse de découvrir les sanctions qu’auront son acte. Une chose était sûre, la rumeur disant qu’elle était Fourchelangue allait courir, et les gens la laisseront enfin tranquille. Pour elle, la tranquillité était déjà une grande victoire.

Depuis ce jour, Adelaïde devint encore plus solitaire. Les gens avaient peur d'elle et elle ne s'en plaignait pas. Elle était enfin tranquille. Plus de moqueries, plus de jérémiades, le calme. Le calme de la solitude et de la crainte. Elle alignait les altercations violentes et les transgressions de règlement et jubilait à l'idée des tracas que ses mauvais pas pouvaient laisser au personnel de Poudlard et à ses parents. Adelaïde voyait son goût pour la désobéissance croître de jour en jour, et c'est ainsi qu'elle commença à fumer, à pratiquer (bien que très peu) la Magie Noire et à martyriser quiconque essayait de se créer une place dans son entourage et dans son cœur.

Cependant, ce que personne ne savait, et que personne ne devait savoir, c'était que sous cette carapace de crapule, Adelaïde rêvait de trouver un jour l'amour. Elle espérait retrouver un jour ses sœurs, ses cousins et rompre ainsi le fil noir qui la séparait de sa famille. Elle mourrait d’envie d'entretenir de vrais relations et non des relations de crainte. Son grand mal était de ne pas se sentir à sa place dans une famille de vainqueurs ce qui la contraignait à vivre dans l'ombre de ses parents, dans l'ombre de son nom. Vous l'aurez compris ; les apparences sont parfois trompeuses.

Pseudo : KiriÂge : Bientôt 19 (oui, je me fais vieille :/). Avatar : Kaya Scodelario Fréquence de connexion : Plutôt tous les jours durant la journée, un peu moins le soir. Le week-end de temps en temps quans le sport me le permet. Au niveau de la fréquence de Rp, j'en poste parfois une dizaine par semaine, parfois 2, cela dépend. Comment as-tu connu le forum ? Aucune idée, en pianotant sur mon clavier, gambadant de forum en forum afin de trouver chaussure à mon pieds, je suis restée bouche bée devant celui-ci. Code : Validé par Hindy ! Copyright : Tumblr.

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