MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S.
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Sujet: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Lun 31 Mar - 13:58
Maksimilian Sasha Lovecraft
W. Shakespeare ▽ « Avoir beaucoup vu et ne rien avoir, c’est avoir les yeux riches et les mains pauvres. »
carte d'identité
→ Nom : Ignorant celui de mes parents biologiques, je porte celui de mes parents adoptifs, LovecraftPrénom(s) : A l'origine, je ne suis même pas sûr que mes parents aient pris la peine de me nommer, ils se sont contentés de me poser négligemment devant les portes de l'orphelinat de la ville. Ceux qui m'ont recueilli m'ont nommé Maksimilian. Sasha est le prénom de mon grand-père ou plutôt du père de mon père adoptif. Surnom :Maks, pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple ? Âge : 19 ans Date et Lieu de Naissance : Cela m'est un peu difficile d'être très précis quand au lieu de ma naissance et il m'est encore plus difficile de vous dire quand exactement j'ai poussé mon premier cri. A l'orphelinat, ils ont déclaré sur mon acte de naissance que j'étais né le 1er Janvier, jour où ils m'ont découvert devant leurs portes. L'orphelinat se trouve à Saint-Petersbourg alors c'est devenu mon lieu de naissance, mais je peux être né n'importe où ... Nationalité : Supposé russe par ma naissance et anglais d'adoption. Pureté du sang : Comme le reste de mon existence, je n'en ai aucune idée. Je pourrais être issu d'une famille de sorciers de sang-pur, comme de simples moldus. Je me contente donc de dire que je suis un sang-mêlé, puisque ma mère adoptive était une sorcière, tandis que mon père adoptif est un moldu.Année d'étude & Maison : 5ème année, à Poufsouffle, la maison dont on ne parle pas ou très peu, celle qui, pour beaucoup de personne, n'est là que pour récupérer ceux qui sont incasables. Je ne saurais dire si c'est vrai ou si ce n'est que médisance, mais je trouve que cette définition me correspond bien. Orientation sexuelle : Hétéro État civil : Célibataire même si j'aime autant que je déteste cette fille ...
le sorcier en toi
Baguette : Je me souviendrais toujours du jour où j'ai acheté ma baguette. Ignorant ce qu'il allait se produire si je prenais une des baguettes que cet homme, Ollivander, me tendais, je n'osais esquisser un geste. Pourtant il fallait bien que j'en achète une et la seule solution pour ça était de les tester pour savoir laquelle me serait destinée. Ici pas de place aux goûts de chacun, c'est la baguette qui te choisit et non l'inverse. J'ai fais quelques essais avant de tomber sur la bonne. Bois de Châtaignier qui possède en son coeur un poil d'hippogriffe, 28 cmPatronus : Mon patronus est un ours. Ma soeur trouve qu'il me va à merveille, grand, fort, prêt à tout pour protéger les siens ... Je n'ai pas souvent l'occasion d'en former, mais je me suis beaucoup entrainé pour pouvoir y parvenir, je ne veux pas qu'il puisse arriver quoi que ce soit à ma soeur, même si aucun lien du sang ne nous uni, je la considérerais éternellement comme ma soeur. Je pense à elle, à tous les moments que nous avons vécu ensemble, je pense aussi à mon amie d'enfance et au mille et une conneries qu'on a pu inventer. Épouvantard : Le cadavre de ma soeur, c'est la seule chose qui me mettrait à terre je crois. Je n'ai pas peur de la mort, pas de la mienne du moins mais je n'arriverais pas à avancer sans elle à mes côtés. Particularité : Aucune. Options choisies & métier envisagé : Astronomie, Botanique, Défense contre les forces du Mal, Métamorphose, Potions, Sortilèges, Soins aux créatures magiques, Étude des runes et Vol sur balai Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Non, pourquoi faire ? Je ne touche pas à ce genre de choses, je préfère une bonne vieille bagarre de façon traditionnelle plutôt que de blesser les gens de cette façon là. Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? Je n'ai aucune aspiration à faire du mal à qui que ce soit et si je pouvais vraiment choisir, je choisirais de me mêler ni à un groupe, ni à un autre, mais puisqu'il faut choisir alors ça sera Ordre. Je ne suis pas pour qu'on juge les enfants d'anciens Mangemorts, ils n'ont pas choisi de naître dans leur famille, mais je ne cautionne absolument pas leurs actes, ils tendent à prouve que finalement, ceux qui les jugeaient par le passé avaient peut-être raison ... Que pensez-vous de l'attentat de Poudlard ? Scandaleux, ça n'aurait jamais dû se produire. On est ici pour étudier, on arrête pas de nous dire que c'est l'endroit le plus sûr et finalement on se rend compte que ça l'était peut-être par le passé mais que depuis, c'est loin d'être ça. C'est ça aussi de se reposer sur ses lauriers ... Le Chicaneur affirme que les mangemorts seraient de retour, quand le Ministère le nie farouchement. Qu'en pense votre personnage ? Je crois que d'une certaine façon, il s'en fout. Il n'a appris que sur le tare qu'il était un sorcier et même si sa mère adoptive lui a appris un maximum de choses sur ce nouveau monde qui s'offrait à lui, elle ne s'est pas trop attardée sur ce genre de détails. Je crois qu'elle ne voulait pas l'inquiéter et espérait que toutes ces histoires étaient terminées depuis longtemps, ignorant ce qu'il se passait dans ce monde dont elle s'est coupée à son mariage. Que pensez-vous de Kingsley Rosenbach et de l'arrivée des aurors au sein de l'école ? Même si je n'apprécie que moyennement qu'on me dise ce que je dois faire, je pense que ça devenait franchement n'importe quoi. Je ne veux pas à avoir à vivre dans la peur juste à cause de désaxés qui ont pété une durite à force de s'entendre reprocher les erreurs de leurs parents. Je peux comprendre qu'ils en aient eu marre, mais je n'ai pas à payer pour ça, moi j'ignore qui sont les miens et je n'en fais pas tout un fromage. Le sortilège du Ligare Carcerum a été un choc pour beaucoup d'élèves et professeurs... Qu'en est-il pour vous ? Je déteste ! Je me suis toujours débrouillé seul et je déteste l'idée d'être lié à quelqu'un ...Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? Si Kingsley et sa bande sont à Poudlard aujourd'hui, je pense que ça tend à prouver qu'on a touché le fond. Si ce qui se passait n'était pas grave, ils ne seraient certainement pas là aujourd'hui. Je ne sais pas ce qu'il va se passer, je ne sais pas comment cette histoire va finir, mais il va y avoir des pertes, j'en mettrais ma main au feu, j'espère juste que ma soeur et moi n'en ferons pas les frais.
le moldu derrière tout ça
Pseudo : Naïa Âge : La vingtaine Avatar : Aaron Johnson Fréquence de connexion : Régulière Comment as-tu connu le forum ? C'est Julou qu'y a tenté de me corrompre il y a un baille de ça, mais je préfère me laisser désirer ... du coup je débarque que maintenant Code :Code validé par Sixtouchat.Copyright : Parce qu'on ne veut pas d'histoire avec les créateurs des bannières, icônes, musique que vous utilisez, mettez ici les artistes à qui vous avez piqué tout ça. (bannières de tumblr, avatar de edenmemories, icônes de meteorus). Personnage : [X] Inventé, [ ] Scénario, [ ] Poste Vacant Pseudo et aval du créateur : (cette section ne concerne que les membres ayant choisi un scenario. Une fois que votre fiche est terminée, veuillez contacter le créateur dudit scénario afin de recueillir son avis. Cette étape est primordiale pour votre validation donc ne l'oubliez surtout pas!) [] Oui, [] Pas encore
Dernière édition par Maksimilian S. Lovecraft le Mar 1 Avr - 20:14, édité 8 fois
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Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Lun 31 Mar - 13:58
il était une fois
W. Shakespeare ▽ « Gémir sur un malheur passé, c’est le plus sûr moyen d’en attirer un autre. »
Ici, l'histoire de votre personnage tout simplement. N'hésitez pas à mettre de la musique ou des images (on aime bien ça ici les images). Racontez nous les passages les plus importants dans le passé de votre petit bonhomme, qu'on puisse un peu le cerner le petit. Minimum 1600 mots.
Vous raconter ma vie ? Je ne saurais par où commencer et je doute qu'elle vous intéresse vraiment ... mais puisqu'il le faut alors, soit, j'accéderais à votre requête, mais de mauvais gré, soyez-en sûr.
Je sais qu'en général on commence souvent l'histoire de sa vie en parlant de sa naissance, de ses parents, du lieu où l'on a poussé son premier cri, de la joie de nos parents à nous accueillir dans ce triste monde. On continue ensuite en racontant quelques anecdotes intéressantes de son enfance, ses premiers pas, ses premiers mots ... évidemment ce ne sont pas vraiment nos souvenirs, mais ceux de nos parents mais en quoi est-ce différent puisqu'ils nous concernent ? On parle de notre enfance heureuse, de nos jeux, de nos amis, pourquoi pas de notre premier amour. On parle de l'école, des cours, des amis, des différents sports que l'on a pratiqué, de la belle maison où l'on a grandit, pourquoi pas même de la rencontre de nos parents, de comment ils sont quand ils sont ensemble ... Bref, on parle de nous, de notre vie de famille, de tout ce qui nous touche de près ou de loin.
J'aimerais vraiment pouvoir vous faire ce genre de récit, seulement ce serait vous mentir et ce n'est pas le but de cette histoire. Je ne vous dis pas que je vais raconter la vie du petit poney, on est pas là pour ça, mais ma vie est un peu plus compliquée qu'une histoire classique, elle va prendre un peu plus de temps. J'ignore où j'ai poussé mon premier cri et pour tout vous dire, j'ignore même quand je l'ai poussé pour la toute première fois. En fait, j'ignore beaucoup de choses sur mon passé et j'aimerais vous dire que ça ne change rien à ma vie, mais ce serait un mensonge, au fond ça change tout. J'ai été élevé dans un orphelinat, en plein coeur de Saint-Petersbourg. On m'a dis que j'ai été trouvé un 1er janvier, emmailloté dans une vieille couverture, devant les porte de l'orphelinat. La ou les personnes qui m'ont déposé n'ont même pas pris la peine de frapper à la porte pour qu'on vienne m'ouvrir. Ils n'ont pas laissé de lettre expliquant pourquoi ils m'abandonnaient, ni un mot à mon attention, ni un indice quelconque sur leur identité. J'étais dans une vieille couverture, loin de la belle couverture brodée que l'on voit parfois dans les films moldus ou décrite dans les livres. Elle pouvait très bien appartenir à une riche personne comme au premier clodo du coin. Si mes cris n'avaient pas attiré l'attention des passants, je serais mort gelé à coup sûr. On m'a assuré que ça arrivait bien plus souvent qu'on ne le croyait - d'être abandonné par ses parents, pas de mourir gelé ... même si ça arrive souvent dans notre pays, les hivers sont rudes - et que parfois c'était préférable, que finalement il valait mieux voir ça comme un geste charitable de leur part car ils n'avaient peut-être pas les moyens de m'élever. J'ai accepté cette idée, de toute façon il n'y a aucun intérêt de se mettre martel en tête, s'ils ne m'ont pas voulu c'est qu'ils avaient bien une raison, raison qu'ils auraient au moins pu avoir le respect de me donner, même si c'était juste parce qu'ils ne voulaient pas de moi, me voyant plus comme un futur boulet accroché à leur cheville que comme une source de bonheur intarissable. J'aime la franchise et la sincérité, même si parfois la vérité est plus blessante que tous les mensonges du monde. Je ne juge pas leur décision de m'abandonner, mais je méritais au moins un semblant d'explication, même s'ils pensaient que je ne l'aurais pas supporté, qu'il valait mieux ne rien dire et laisser mon imagination fertile faire le travail. Pensaient-ils qu'il était préférable que je ne sache pas d'où je viens ? Qu'il était plus intéressant pour moi de me laisser croire que peut-être je venais d'une riche famille ou tout du moins que je suis la progéniture d'un homme riche qui a pêché avec l'une de ses servantes ? Ou alors s'en foutaient-ils complètement de ce que je pourrais penser ou de comment j'allais vivre cet abandon, ne pensant égoïstement qu'à eux, comme beaucoup de gens ? Hé oui, j'ai beau en parler aujourd'hui de façon très calme, comme si ça ne m'atteignais pas, il faut bien se dire que ça m'a atteint un jour et que d'une certaine façon, ça m'atteint toujours aujourd'hui. J'ai rêvé plus d'une fois de mes parents, de là où ils vivaient, des enfants qu'ils avaient pondu avant ou après moi. J'ai visualisé mille et un scénarii possibles et encore aujourd'hui, parfois ça me prend de penser à eux. Sont-ils toujours en vie ? Si oui pensent-ils à moi de temps en temps ? Pourquoi m'ont-ils abandonné ? Sont-ils morts ? Ont-ils été contraint à le faire ? Si oui, pourquoi ? Etre l'enfant de personne, ce n'est pas facile tous les jours, vous pouvez me croire, même si on s'y fait à la longue.
A l'orphelinat, ils m'appelèrent Maksimilian, ne me demandez pas pourquoi, une envie du moment, le prénom à la mode, une envie de me faire chier, il existe mille et une raisons à ce choix de prénom. A ce qu'il parait beaucoup de gens n'aiment pas leur prénom, c'était ce qu'ils me disaient pour me rassurer ou juste me faire taire, qu'il suffisait que j'attende d'être adopté ou d'avoir 18 ans pour le changer. J'ai vécu dans cet orphelinat jusqu'à mes 6 ans et sincèrement, même si mon enfance n'a pas été idyllique, elle n'a pas été si catastrophique que ça. J'ai rencontré Anastasiya là bas, du plus loin que je m'en souvienne elle a toujours fait parti de ma vie et ça a été difficile de devoir être séparé d'elle. Ana & moi on était comme les cinq doigts de la mains, inséparable. Quand on cherchait Ana, il suffisait de me trouver et elle n'était jamais bien loin. Elle est arrivée quand elle devait avoir 3 ou 4 ans, ses parents sont morts dans un incendie il me semble et manque de bol pour elle, ils n'avaient aucune famille proche. Je ne me souviens pas vraiment de son arrivée, on était encore jeune et je dois avouer que je ne pourrais pas me remémorer très précisément toutes les conneries qu'on a fait tous les deux. En fait de cette époque, je ne me souviens que de quelques détails qui sont gravés dans ma mémoire. Je me souviens de ces vieilles couvertures qui sentaient le renfermé, cette odeur me suivra toute ma vie et c'est con à dire mais elle me rassure, certainement parce que c'est un des rares vestiges de mon passé. Je me souviens de cette bouillie qu'ils appelaient nourriture et de ce pain qui n'était pas toujours très frais. Je me souviens des courants d'air, des douches pas toujours très chaudes, mais loin d'être complètement glaciales. Je me souviens de la responsable de l'orphelinat, de son regard sévère et de son visage fermé. On racontait mille et une histoire sur elle aux plus jeunes pour les effrayer, tantôt c'était la fille d'un troll ou d'un ogre, tantôt c'était une dangereuse psychopathe qui découpait les enfants pas sage pour les mettre dans la bouillie ... Je me souviens du rire d'Ana, cristallin, de ses petites mains, de sa peau claire. Je me souviens qu'il ne fallait pas trop la chercher, qu'elle avait beau avoir l'air fluette, elle savait se défendre, bête comme une fille et vulgaire comme un garçon. Je me souviens ... je me souviens du jour de son départ, comme si c'était hier. Je revois ces gens, debout devant la porte du bureau de Mme Oudinov, ce n'était pas la première fois qu'on les voyait, ils étaient venus il y a quelques mois, ils avaient regardés les enfants et leurs regards n'avaient pas pu quitter Anastasiya. C'était elle qu'ils voulaient, qu'importe qu'elle est 6 ans, elle était parfaite. Ils étaient revenus à plusieurs reprises et puis finalement ils avaient obtenu l'autorisation pour l'adopter. La valise d'Anastasiya était prête mais elle ne voulait pas partir, pas sans moi. Je la vois encore en larmes et je crois que je pleurais aussi. On s'est promis de s'écrire, elle m'a promis qu'elle ne m'oublierait pas et on se l'est juré, à la vie, à la mort ... C'est beau la naïveté enfantine, ne trouvez-vous pas ?
Ana est partie la première et son départ a créé un vide dans ma poitrine et dans ma vie. J'avais l'impression qu'on venait de m'amputer d'un membre, mais que je le sentais encore, ils appellent ça des "douleurs fantômes" ... A chaque fois que je me retournais, je croyais qu'elle allait être là, derrière moi, comme toujours et qu'elle me presserait de me dépêcher, qu'on allait nous piquer nos places au réfectoire. Parfois j'avais l'impression d'entendre encore son rire résonner dans les couloirs. Je recevais une lettre toutes les semaines, comme promis elle m'écrivait et me racontait comment se passait sa nouvelle vie. Au début l'adaptation n'était pas facile, mais au fil du temps, elle se faisait à sa nouvelle vie. Des gens sont venus souvent, ils passaient du temps avec moi et il ne m'a pas fallu longtemps pour comprendre qu'ils voulaient m'adopter. Ils m'apprirent qu'ils vivaient en Angleterre et je me suis dis que c'était parfait, qu'Ana y vivait aussi, qu'on allait pouvoir se voir. L'Angleterre ... à mes yeux c'était une ville, rien d'insurmontable donc pour nous ... quel ne fut pas mon étonnement de réaliser que c'était bien plus que ça et que ce n'était pas demain la veille que je la reverrais. Mon départ de l'orphelinat fut moins "tragique" que celui d'Ana, j'étais certes triste de quitter ce lieu qui m'avait vu grandir, qui m'a tout enseigné, tout apporté, sauf peut-être l'amour d'un père et d'une mère, mais je savais que j'étais chanceux, un privilégié. Combien d'enfants passent leur vie dans l'orphelinat sans jamais que l'on pense un instant à les adopter ? Pas une larme, pas une once de réaction de ma part quand je prenais dans mes bras les autres orphelins pour leur dire adieu. On ne se reverrait plus, autant ne pas gâcher ces derniers instants en leur compagnie en leur mentant, prétendant qu'on se reverrait un jour ou que je ne les oublierais pas. Leurs noms sont restés mais leurs visages ont disparu de ma mémoire depuis longtemps. Il reste de-ci, de-là quelques images furtives de souvenirs presque oubliés, mais rien de plus. Le trajet jusqu'à l'Angleterre fut long, mais c'était la première fois que je prenais l'avion et malgré ma tristesse de quitter mon pays d'origine, je fus excité par cette nouvelle expérience. A cette époque, je n'avais aucune idée qu'on pouvait voler sur des balais ... j'étais tellement loin de me douter que la magie existait pour de vrai. Quand je débarquais enfin en Angleterre, je réalisais qu'il nous serait plus difficile que prévu de nous voir, Ana et moi, mais je ne perdais pas espoir, cela faisait des mois qu'on ne s'était pas vu, on pouvait encore attendre quelques mois de plus pour trouver une solution, à cet âge, on croit encore au miracle. Je découvris que mes nouveaux parents faisaient partis d'un cirque. Ils ne pouvaient pas avoir d'enfant, quand le verdict était tombé, ma mère adoptive s'était effondrée. Elle qui rêvait d'une famille nombreuse ne pourrait jamais enfanter. Au bout de quelques temps, l'adoption fut leur dernière recours pour fonder une famille. Le père de mon père adoptif était Russe ou en tout cas c'était ce qu'il leur avait toujours dis, mais tout comme moi, il ignorait tout de sa naissance, de sa famille, les gens du cirque l'avaient trouvé, errant dans les rues d'une petite bourgade, à la frontière de l'Ukraine. Ils l'avaient recueilli et l'avaient élevé comme un membre de leur famille. Il était donc normal finalement pour eux de revenir aux sources et de trouver un nouveau Sasha ... et voilà pourquoi ils m'ont choisi moi et pourquoi je porte son prénom. Quand on connait mon grand-père - même si nous n'avons aucun lien de sang, il s'est toujours comporté comme tel depuis que je le connais et je le considérais toujours comme un membre de ma famille - on comprend que ce soit un véritable honneur de porter son prénom et même si j'ai gardé mon prénom de "naissance", j'aime parfois à m'entendre m'appeler par ce prénom, je trouve que c'est un privilège de pouvoir le porter.
La vie au cirque s'écoule lentement. Je ne suis pas scolarisé, je suis les cours "à la maison" comme les autres enfants du cirque. Nous vivons dans une roulotte, elle n'est pas très grande, mais douillette et tout y est, nous ne manquons de rien. Certes on est loin des beaux manoirs ou de beaux habits dont me parle Ana dans ses lettres, mais j'aime la vie que Simon & Emily m'offrent. Moi qui ne reste pas en place un instant, le cirque est un endroit idéal pour m'épanouir. Mon père me demande de choisir une discipline et de m'y entrainer afin de pouvoir présenter un numéro un de ses jours. J'adore voir les dompteurs avec leurs animaux, mais je sens que ma mère aurait une angoisse à chaque fois que je rentrerais dans la cage. L'idée de me faire dévorer par une de mes bêtes la hanterait, je commence à la connaître. Je choisis trapéziste, comme mon père adoptif, je crois qu'inconsciemment j'avais envie de lui faire plaisir en choisissant de passer plus de temps avec lui. Il faut dire que je ne suis pas très bavard, certains ont même cru au début que j'étais muet. Ils ont mis ça sur le compte de la barrière de la langue, ce qui n'est pas complètement faux, moi qui ne parlais que russe, j'ai eu du mal à comprendre ce qui se passait autour de moi durant de long mois. Mais ce n'est pas la seule raison de mon mutisme, j'avais le mal du pays, même si je savais qu'Ana et moi foulions le même sol, Saint-Petersbourg me manquait. Moi qui avait rêvé presque toute ma vie de quitter l'orphelinat, je n'aspirais qu'à le retrouver, je m'y sentais en sécurité, entouré des miens, nous étions une famille ou ce qui s'en rapprochait le plus tout du moins. Il n'y avait qu'avec Sasha, mon grand-père, qu'on pouvait m'entendre parler pendant des heures. Il était content de pouvoir pratiquer de nouveau le russe, il avait beaucoup perdu, mais c'était agréable d'entendre quelques mots - au début - puis des phrases entières dans ma langue natale. Il me racontait mille et une anecdotes, toutes très certainement fausses ou exagérées, mais qui me faisaient rêver. Je passais beaucoup de temps avec mon père, ce n'était pas un homme facile, il était très exigent, il fallait s'entrainer jusqu'à l'épuisement pour que tout soit parfait. Evidemment, notre premier numéro "Père-fils" était assez facile, voir enfantin, mais j'avais à peine 7 ans et j'étais inexpérimenté.
La famille de ma mère adoptive l'avait renié quand elle avait épousé mon père. Il était hors de question pour eux de voir leur fille fréquenter un nomade, très certainement voleur et délinquant en tout genre. Des escrocs, voilà ce qu'ils pensaient de la grande famille de mon paternel. Ma mère soupçonnait aussi ses parents de ne pas approuver cette union parce qu'il était moldu et ignorant sur le monde de la magie. Ils avaient certainement espéré qu'elle accepterait d'épouser son "amour d'enfance", un sorcier de sang-mêlé comme elle, bien sous tout rapport, qui hériterait à la mort de ses parents d'une petite usine qui fabriquait ... en fait j'ignore dans quel domaine ils étaient et sincèrement je m'en contre fous royal. Tout ce que je sais, c'est qu'Emily était tombée amoureuse de Simon et qu'il n'y avait plus que lui qui comptait. Elle aimait l'univers dans lequel il vivait et était prête à vivre sa vie à parcourir les routes d'Angleterre et d'ailleurs, dans une roulotte et à admirer chaque weekend l'homme de sa vie virevolter dans les airs. Elle était peinée de devoir se couper de sa famille, de sa soeur en particulier avec qui elle était très proche, mais elle avait fait un choix et elle ne le regrettait pas, selon elle du moins. La vie continua tranquillement pour nous, je recevais de moins en moins de lettres d'Ana, au départ elle s'excusait de son retard et puis au fil du temps, elle se contentait juste de banalités. Et puis un beau jour, je ne reçus plus rien, notre lien était rompu, elle avait failli à sa promesse, elle m'avait oublié. J'aurais dû jeter le pendentif que nous avions fait quand nous étions encore à l'orphelinat. D'une, il n'était pas franchement très beau, il ne ressemblait pas à grand chose et de deux, à quoi cela servait-il de le garder si la personne qui portait son double l'avait déjà certainement jeté depuis longtemps ? Mais je ne pus m'y résoudre, je tentais un nombre incalculable de fois, mais jamais je ne parvins à m'en débarrasser. Je le lançais dans les airs, le piétinais, y tapais dedans et même je l'ai jeté dans un lac une fois ... mais j'ai risqué la noyade pour aller le récupérer. Oui parce que sur le coup je n'y avais pas franchement réfléchie, mais je ne sais pas nager. Je n'ai jamais appris, on en a jamais vu l'intérêt et je crois que mon père non plus ne sait pas faire. C'est les gens du cirque qui m'ont secouru, sans eux je serais encore au fond du lac à l'heure qu'il est, reposant au côté de ce maudit pendentif. La lanière du collier s'est cassée une fois en plein spectacle. Je me suis précipité à la fin du numéro pour aller le récupérer en bas, vérifiant paniqué s'il n'avait subi de quelconques dommages. J'ai fais un noeud et je le porte maintenant en bracelet. Je sais, ce n'est pas très beau, mais je m'en fous, il vaut tout l'or du monde à mes yeux, il est le dernier vestige de mon passé.
Je devais avoir 8, peut-être 9 ans, quand ma mère appris que sa soeur avait un cancer. Elle trépassa en 6 mois, cancer fulgurant. Leurs parents étant mort l'année d'avant, elle était la dernière famille qui lui restait et c'est elle qui obtint la garde de sa nièce. Elle ne l'avait jamais vu, de temps en temps sa soeur lui envoyait des photos, mais rien de plus. On avait 1 an d'écart tout les deux. Je ne savais pas si c'était une bonne ou une mauvaise nouvelle de voir débarquer une "petite soeur", puisque finalement c'était d'une certaine façon ce qu'elle allait devenir. On était des pseudos cousins mais on allait devoir vivre comme une famille unie à présent. Elle nous rejeta, elle avait entendu toute sa vie des choses horribles sur nous de la part de ses grands parents, il ne fallait donc pas s'attendre à un accueil chaleureux de sa part. Et puis la mort de sa mère fut difficile pour elle, son père s'étant suicidé quelques années plus tôt, elle ne l'avait pas franchement connu, il ne lui restait que quelques souvenirs de lui, mais sans plus, tous les autres concernés sa mère. On la laissa bouder dans son coin, personnellement ça ne me dérangea pas le moins du monde de l'ignorer. Je continuais à m'entrainer avec mon père ou seul, je devenais de plus en plus doué et de plus en plus téméraire. Ca ne portait pas toujours ses fruits mais il fallait être audacieux parfois pour obtenir des numéros intéressants. Je sais qu'elle assistait souvent à mes entrainements, elle faisait semblant de trainer, mais elle restait fascinée par le cirque, comme beaucoup d'enfants de son âge. Petit à petit on s'est rapproché, on ne parlait pas spécialement, on appréciait juste la présence de l'autre. Je l'emmenais voir les animaux et on passait beaucoup de temps avec les dompteurs. Le cancer était visiblement une tare génétique, je sais qu'on prétend qu'on en a tous un en soit, mais qu'il ne se déclare pas toujours. Pour le coup, dans la famille de ma mère, c'était immanquable. Ma grand-mère était morte d'un cancer, ma tante et maintenant ma mère. Toutes les femmes de ma famille étaient vouées à subir cette malédiction et ma "soeur" et moi étions conscient qu'elle l'avait hérité elle aussi et qu'un jour, il se déclarerait. En six mois, le cancer emporta ma mère et ce fut les pire 6 mois de ma vie. C'était difficile de voir une personne à laquelle on tenait s'éteindre de cette famille. La douleur arriva rapidement et presque rien n'arrivait à la calmer. A sa mort, je suis resté muet 1 mois entier, déjà que je n'étais pas un grand bavard, mais là je battais tous les records.
Nos pouvoirs, à ma soeur et à moi se déclarèrent presque en même temps. C'était quelques mois avant que son cancer soit diagnostiqué, j'avais à peine 10 ans et ma soeur en avait 9. Je ne compris pas ce qu'il m'arrivait, je croyais être possédé, mais heureusement ma mère était là pour me rassurer, m'expliquer la situation. Mon père savait pour ma mère mais c'était un sujet un peu tabou, jamais il n'abordait le sujet. En épousant mon père, elle savait qu'elle ferait une croix à jamais sur ses pouvoirs et elle l'avait accepté, par amour. Quel ne fut pas son étonnement de voir que j'étais un sorcier moi aussi, combien de chances y avait-il pour que j'en sois un ? Autant ma mère attendait impatiemment de voir si ma soeur serait une sorcière à son tour, autant moi, elle n'y songeait pas un seul instant. Même s'il y avait 2 sorciers de plus dans la famille, le sujet resta tabou. Mon père savait ce que nous étions mais n'était pas prêt à l'accepter et ce fut pire quand ma mère partie. Ce fut une longue descente aux enfers pour tout le monde. Mon père ne s'entrainait plus, il se contentait de boire toute la sainte journée et jouer. Il était certes d'un tempérament colérique, mais pas violent, il ne nous a jamais frappé, par contre il nous réveillait en pleine nuit pour nous traiter de tous les noms et je peux vous assurer qu'on a rapidement compris qu'il ne supportait pas qu'on soit des sorciers, que pour lui c'était cette "maudite magie" qui avait empoisonné le sang de sa femme et qu'on était que des monstres, rien de plus. Nous étions scolarisé depuis nos 10 ans et je peux vous dire que c'était un soulagement de pouvoir aller à l'école plutôt que de voir notre père se détruire de cette façon. Pendant nos temps libre, je m'entraînais avec ma soeur, elle était très souple, du coup on s'amusait à faire des figures au sol, elle était légère comme une plume, je pouvais la porter facilement. L'année de mes 14 ans, une personne du ministère de la Magie est venue nous rendre visite pour me donner ma lettre de Poudlard. Elle m'expliqua tout en détails et c'est en sa compagnie que ma soeur et moi sommes allés acheter ma baguette. Je ne voulais pas laisser ma soeur seule avec mon père, je savais qu'il ne lui ferait rien, mais je n'étais pas tranquille pour autant.
Je n'ai jamais été quelqu'un de très social, mais cela ne fait pas de moi un total asocial, juste quelqu'un qui ne va pas forcément facilement vers les gens mais qui se laisse approcher. Je ne sais pas trop ce que pensent les gens de moi, je crois qu'ils me trouvent un peu étrange, spécial, mais sans vraiment pouvoir dire si c'est franchement négatif ou positif. J'ai atterri chez les Poufsouffles, n'ayant aucun apriori sur les différentes maisons de Poudlard, je m'en accommodais plutôt bien. Je compris assez rapidement que ce n'était pas la maison la plus populaire mais je trouvais qu'elle me convenait plutôt bien. Si comme certains le prétendent, elle ne recueille que ceux qui n'avaient leur place nulle part, alors c'est que j'ai forcément ma place dans cette maison. Je suis loin d'être un érudit, je fonce dans les problèmes sans franchement réfléchir, ce qui ne fait pas de moi quelqu'un de courageux, juste stupide et impulsif et je déteste les hypocrites qui manipulent le monde pour parvenir à leurs fins. J'aime ma tranquillité et si cela n'avait tenu qu'à moi, je serais resté en retrait de toute la merde qu'y s'est accumulée à Poudlard durant ces dernières années. Mais voilà, la neutralité n'a plus franchement sa place ces temps derniers et il faut choisir son camp et vu qu'il est hors de question que je rejoigne l'ombre, il était évident que je ferais parti de l'ordre, sans pour autant m'y impliquer réellement. Au départ, je pensais pouvoir faire une scolarité normale, ne pas attirer l'attention sur moi, rester dans mon coin bien sagement à attendre la fin de mes études, mais c'est impossible quand on vit dans cette école et qu'on a mon tempérament. Je déteste les injustices, les préjugés et la connerie. Je suis loin d'être un génie et mes notes ont tendance à le prouver, mais cela ne fait pas de moi un demeuré pour autant. J'ignore si mon tempérament colérique vient de mon père adoptif ou si ça vient d'autre chose, mais ce qui est sûr c'est que j'ai bien dû mal à rester à ma place. Plus je prends de l'âge et plus j'ouvre ma gueule. C'est triste, mais c'est comme ça. Et plus je vieillis et plus j'aime prendre des coups et en donner. Je crois que toute ma vie j'ai laissé les choses m'atteindre sans rien dire et aujourd'hui j'ai un trop plein de colère, de haine envers la terre entière, faut que ça sorte sinon ça va me rendre dingue.
Je n'ai jamais été un tombeur, ni même un coureur. Pendant longtemps les filles me passaient un peu au dessus, ça ne m'intéressais pas de me prendre la tête avec elles constamment. Pourtant y'a cette fille, Victoria, on est arrivé en même temps. Son visage me paraissait familier, mais sans plus, je n'y ai pas prêté beaucoup d'attention. De toute façon je ne connaissais aucune Victoria et on ne peut pas dire que j'avais des tonnes d'amis, du coup la liste était plus que rétrécie. Durant notre première année, je ne réalisa pas qu'elle tentait d'attirer mon attention. Par contre, il m'a été plus que difficile de l'ignorer lors de notre deuxième année. Ce n'est pas tant parce qu'elle était jolie, mais parce qu'après quelques temps, je réalisais que je connaissais cette fille, mais qu'elle portait un autre nom, Anastasiya. Je n'en revenais pas, elle était là, à quelques mètres de moi, à suivre les mêmes cours, à respirer le même air, à manger la même chose durant plus d'un an, sans que je sache que c'était elle. Toute mon enfance j'ai espéré que ce jour arriverait et maintenant qu'elle se trouvait devant moi, je réalisais que peut-être il aurait mieux valu qu'on ne se revoit jamais. Elle avait tellement changé. Déjà pourquoi avoir renié ses origines en changeant de nom ? Son prénom était magnifique à l'origine, là il est plus que quelconque. Et puis c'était quoi ces manières, cette façon de parler, de rire, de regarder les autres ... ? Je comprends assez vite comment j'ai pu passer à côté d'elle sans même la reconnaitre, ce n'était juste qu'une pâle copie de mon amie d'enfance. Durant 3 ans, on sait fait la guerre. Dès que je le pouvais, je lui rendais la vie impossible, lui faisais des remarques désobligeantes, j'étais immonde avec elle, sans même lui donner un semblant de raison. Mais je vous rassure, elle me rendait bien la pareille. J'étais tellement en colère contre elle, moi j'avais gardé mon prénom, j'étais resté le même et elle ne m'avait pas reconnu - c'est ce que je crus durant 5 ans, bien naïvement - elle n'avait aucune excuse. Et puis elle était tellement différente, à croire que l'argent change tous, même les gens et surtout eux. Aujourd'hui on avait plus rien en commun, en dehors de la magie. Je savais qu'elle ne méritait pas mon attention, ma soeur me le répétait si souvent, mais je n'arrivais pas à l'oublier. J'ai essayé, je le jure, j'ai tout fait pour l'oublier mais je revenais toujours vers elle, comme un aimant. A l'instar de mon pendentif, je n'arrivais pas à me résoudre à la laisser derrière moi, c'était plus fort que moi. Je la détestait tellement et en même temps ...
Dernière édition par Maksimilian S. Lovecraft le Mar 1 Avr - 20:42, édité 8 fois
Lou-Sixte Levski
HRIen depuis le : 26/01/2013 Parchemins écrits : 1758 Statut : Un joli bordel désorganisé.
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Lun 31 Mar - 14:40
Bienvenue !
J'ai cru comprendre que tu étais la copine de Charlou (et qu'on s'est peut-être croisé sur vs un jour je ne sais pas trop) ! Encore une fois désolé pour le changement d'avatar de dernière minute et content que tu aies pu trouver un remplaçant digne de ce nom !
Si tu as la moindre question les membres du staff sont là pour te conseiller, même si je suis sûr que Charles se fera un plaisir de répondre à toutes tes questions
Le code du règlement n'est pas le bon va falloir chercher un tout petit peu plus !
Bienvenue encore une fois et bon courage pour ta fichette
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Lun 31 Mar - 14:47
ENFIN TE VOILA Comment j'suis trop content de te voir sur HRI Et ton deuxième prénom Ca me rendrait presque nostalgique de VS tout ça
En tout cas, bienvenue sur HRI et bon courage pour ta fichette Et comme l'a dit Sixte (aka Lune Saint-Clair de VS, un spécial, j'sais pas si tu te souviens ^^), jesuis là pour n'importe quelle question N'hésite pas à me harceler
Et Aaron, bon choix
Zane E. Goyle
HRIen depuis le : 13/04/2012 Parchemins écrits : 1281
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Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Lun 31 Mar - 15:13
Un clin d’œil à l'écrivain Howard Phillips Lovcraft ? Ou j'ai un grand moment de solitude et tout le monde va croire que j'ai roulé ma tête sur le clavier ? XD
ANYWAY, bienvenue ici *-*
Invité
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Lun 31 Mar - 15:20
Merci les garçons J'ai pas pu m'empêcher de faire un clin d'oeil à ma Sasha de VS, c'était un boulet de première catégorie, mais c'était mon boulet J'ai en effet un vague souvenir de Lune, 'fin surtout du pseudo en fait parce que je serais bien incapable de dire quel avatar tu avais Sixte ^^' Sinon je vous déteste toujours autant de m'avoir fait de faux-espoirs avec Will, mais bon je vous pourrirais la vie avec deux fois plus de plaisir du coup
Et Charles ... Contente aussi de pouvoir de nouveau RP avec toi
Oui Zane, c'est en effet un clin d'oeil à l'écrivain
Invité
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Lun 31 Mar - 16:23
Aaron Johnson
Bienvenue Et bon courage pour ta fiche
Etna E. Maugrey
HRIen depuis le : 07/04/2013 Parchemins écrits : 520 Statut : C'est compliqué
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Lun 31 Mar - 18:46
Tu gagnes au change avec Aaron ma foi *senoiedanssabave* Bienvenue parmi nous en tout cas
Invité
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Lun 31 Mar - 22:20
Merci à vous deux J'ai créé Maks' avec l'envie d'incarner Will, mais bon Aaron fait tout autant l'affaire et ça faisait un moment que j'avais envie de le tester, donc on verra bien . Ravie que mon choix vous plaise en tout cas
Invité
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Mar 1 Avr - 6:54
Bienvenue! Il nous faut de la résistance à l'Ombre, c'est bien, invitez vos potes!
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Mar 1 Avr - 8:59
Hey ! Alors ça va être Aaron, au final En plus un jaune, c'est bien, il en manque J'en connais à qui ça va plaire N'hésite pas si tu as la moindre question / besoin de quoi que ce soit, nos boites à MP sont toujours ouvertes Comme Sixte l'a dit, le code du règlement n'est pas le bon mais en dehors de ça : bon courage pour la suite de ta fiche !
Invité
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Mar 1 Avr - 9:59
J'ai vu qu'il manquait des Pouf' et vu que ça ne me dérange pas d'envoyer Maks là bas, j'ai choisi cette maison. Et puis à dire très franchement, je crois que c'est la maison qui lui conviendrait le mieux ^^
Pour le code, je m'y replongerais dedans quand j'aurais terminé ma fiche, en espérant qu'elle vous plaira
Invité
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Mar 1 Avr - 17:08
Oh ! OwO Lovecraft = Cthulhu =
Bienvenue en tout cas ! En dehors du patronyme je connais pas la bouille du monsieur mais il est pas mal ^^
Courage pour le reste de ta fiche !
Invité
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Mer 2 Avr - 19:01
Bienvenue parmi nous et bon courage pour la fin de ta fiche
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Mer 2 Avr - 19:11
Et un camarade pour Lucifer, un ! Bienvenue officiellement sur HRI Je te valide mais il faudra faire attention aux petites fautes ( accord du participe passé ; imparfait ) - en dehors de ça, tout semble en ordre
Félicitation & bienvenue
“ Poufsouffle avait le goût du travail acharné Tout ceux de sa maison y était destiné. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y compris le flood et les jeux.
TOUTEFOIS
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Et histoire de t'en sortir dans les bruits de couloir, n'hésite pas à consulter régulièrement la gazette qui se trouve ici ICI. Enfin, ton personnage peut rejoindre l'Ordre ou l'Ombre selon ses idéaux.
Enfin, nous t'invitons à checker régulièrement le tumblr de HRI
Bon jeu parmi nous
Bonne chance à toi
Jeune Poufsouffle
Invité
Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Mer 2 Avr - 19:42
Merci à tous pour votre accueil Et oui je me doutais bien qu'il restait des fautes vu le nombre très restreint que j'ai trouvé en me relisant, y'avait forcément hippogriffe sous grain de sable
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S. Mer 2 Avr - 19:43
Ah, ces hippogriffes, toujours là pour foutre le bazar *zbaff*
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Sujet: Re: MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S.
MAKS >> « Mieux vaut être méprisé et le savoir qu’être méprisé et s’entendre flatter. » W.S.