Sujet: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 16:58
ciarán ò’righbardain
(doctor who)▽ we are all stories in the end, just make it a good one.
carte d'identité
→ Nom :ò’righbardain. il s’agit d’un nom peu courant, mais celui-ci est pourtant usité depuis de nombreuses années. en effet, cette famille d’ascendance irlandaise a été établie au XVIIIe siècle, et s’est longtemps montrée fidèle aux royaume d’irlande, royaume de grande-bretagne, jacobites et royaume de france afin de fuir l’oppression d’une autre famille de sang-purs. depuis une centaine d’année, la paix étant rétablie entre les deux lignées, c’est de façon naturelle que la totalité de la descendance ò’righbardain est venue s’installer en irlande, terre natale du plus vieil ancêtre présent dans leur généalogie. ils n’en ont pas bougé depuis. Prénom(s) :ciarán, prénom irlandais signifiant « petit brun », il est le quarante-et-unième prénom le plus distribué en irlande. il a pour habitude de désigner un homme rêveur et étourdi, hypersensible et s’épanouissant dans le monde de l’art, ainsi qu’un homme pouvant rapidement devenir dissipé et bavard. ce sont des traits de caractères qui collent plutôt bien à ciarán, qui ne cherche pas à s’en cacher. malgré le fait que celui-ci soit très présent en irlande, ses parents n’ont pas jugé utile de lui en attribuer un second, jugeant celui-ci suffisant. il s’agit donc de son unique prénom. Surnom : certains se plaisent à le surnommer cici mais c’est un surnom qu’il juge comme étant trop féminin et qui a tendance à le faire grimacer. il ne prend pourtant jamais la peine de le souligner, par lassitude certainement. après avoir passé de trop nombreuses années à demander que l’on n’arrête de l’appeler ainsi – sans succès –, il a préféré abandonner l’idée de convaincre les gens de l’appeler autrement. aussi, seuls ses plus proches amis connaissent ce détail et y portent attention. Âge : il a soufflé sa vingtième bougie récemment, dans le courant du mois de décembre. Date et Lieu de Naissance : c’est dans la ville de an cóbh dans le comté de cork en irlande que ciarán est né, un certain vendredi treize décembre deux mille trois, devenant ainsi le premier fils – et le seul, au final – de ses parents. Nationalité :irlandaise, comme le laisse entendre son prénom et son nom. après tout, sa famille appartient à ce territoire depuis bon nombre d’années à présent et il est sans doute normal que ses racines irlandaises se fassent ressentir. c’est quelque chose dont ciarán se montre assez fier à vrai dire, les traditions de cette portion de territoire ne lui déplaisant pas particulièrement, bien au contraire. Pureté du sang : sa famille a toujours veillé à conserver un sang-pur et malgré quelques branches – bien évidemment reniées de l’arbre généalogique familial – ayant souillé le sang de cette longue lignée, ciarán n’en reste pas moins un sang-pur, ses parents ayant veillé à conserver la pureté de ce sang dont ils se montrent si fiers. il n’en a, quant à lui, que peu de choses à faire. on lui demande cependant de se montrer honoré pour cela, aussi veille-t-il à faire semblant de s’en montrer flatter, bien que les sangs-mêlés ou les nés-moldus ne le rebutent pas pour autant – chose qu’il se garde bien de faire savoir au reste de sa famille. Année d'étude & Maison : bien que ses parents auraient préféré le voir prendre place à serpentard, c’est bien à gryffondor qu’a été envoyé ciarán lors de la cérémonie de répartition. à bien y réfléchir, cela n’est pas réellement étonnant étant donné qu’il ne s’est jamais montré très sournois ou manipulateur. de nature plutôt conciliante, il s’est pourtant toujours montré très aventurier et protecteur envers les personnes de son entourage ; gryffondor lui allant donc à la perfection. et si ses parents se sont tout d’abord montrés assez réticents à l’idée de le laisser intégrer cette maison, ils ont pourtant fini par l’accepter – ils n’avaient pas réellement le choix à vrai dire. aujourd’hui, il se trouve être en septième année. Orientation sexuelle : il se trouve être parfaitement hétérosexuel. État civil :fiancé, après l’organisation d’un mariage arrangé destiné à rapprocher la famille kepingski et ò’righbardain, ces deux familles voisines de sang-purs, perchées sur une colline d’irlande. cela ne le dérange en rien, étant donné qu’il aime briseis d’un amour sincère.
le sorcier en toi
Baguette : ciarán se souvient parfaitement de l’excitation qui l’a gagné lorsqu’il est entré chez ollivander ce jour-là. c’est plein d’entrain qu’il est venu chercher sa première baguette – la seule qu’il ait jamais eue, étant donné qu’il veille à en prendre bien soin –, son père flanqué à ses côtés. c’est à la treizième baguette lui étant passé entre ses mains, qu’il a senti que la baguette l’avait choisi. son cœur s’est mis à tambouriner plus rapidement au creux de sa poitrine, l’extrémité du morceau de bois magique s’est illuminé et soudainement, il ne lui ai semblé n’y avoir plus que cela. plus que sa baguette en bois de cèdre, crin de licorne, rigide, vingt-sept centimètres et huit millimètres, spécialisée en enchantements. il n’en a jamais eu à s’en plaindre depuis ce jour, remettant généralement sur sa propre faute, les quelques enchantements ratés qu’il lui a été donné de faire – après tout, il faut bien commencer à apprendre avant de devenir un grand mage ; ce qu’il ne souhaite toutefois pas forcément devenir. Patronus : ses nombreuses tentatives de produire un patronus se sont toujours trouvée être sans succès, à son grand désarroi. il n'est jamais parvenu à faire plus qu'à produire un mince filet argenté sans forme bien précise. il a pourtant tenté de penser à des choses heureuses, des choses le rendant profondément heureux : la présence de briseis à ses côtés, les livres cachés au-dessous de son placard, les longues balades en forêt, son lit même... rien n'y fait, il n'y parvient pas. peut-être parce qu'il ne pense pas aux bonnes choses ou parce que les autres membres de sa famille ne sont pas non plus capables d'en produire un. cela est très certainement dû à leur allégeance envers l'ombre, allégeance qu'il ne partage pourtant pas, mais qui semble pourtant prendre une part importante dans sa vie étant donné son absence de patronus. qu'importe, il n'estime pas en avoir besoin étant donné qu'il n'a jamais eu à faire face à un détraqueur. Épouvantard : son épouvantard prend la forme d’un simple coffre en bois, pouvant ressembler à un coffre à trésors ou simplement un coffre à jouets, en format miniature. une boite à secrets. enfant, il n’a jamais apprécié l’appellation de « journal intime » et c’est inconsciemment qu’il s’est tourné vers un dérivé de ce journal, dans lequel il a tenu enfermé durant des années, les bouts de parchemins sur lesquels il a toujours consigné sa vie. c’est sans doute pour cela qu’il ne se trouve pas étonné que c’est la forme que prend son épouvantard aujourd’hui. après tout, ce coffre contient toutes ses peurs, toutes ses pensées concernant les idéaux de ses parents – idéaux avec lesquels il ne parvient pas à se mettre d’accord, les désapprouvant totalement bien qu’il ne soit jamais parvenu à délivrer le fond de sa pensée à ses géniteurs –, tous ses souvenirs, mais aussi tous ses rêves. mettre la main dessus serait comme mettre la main sur sa vie, et autant dire que cette boite n’est pourtant pas très bien cachée. Options choisies & métier envisagé : ciarán a décidé de garder la défense contre les forces du mal, matière qu’il affectionne particulièrement malgré les critiques que lui administrent ses parents – ils n’ont jamais réellement été pour le fait que « des professeurs de pacotille s’amusent d’un sujet aussi sérieux que celui-là » – ainsi que la métamorphose, qui est une matière qui l’a toujours fasciné. il continue également à se rendre aux cours de sortilèges, qu’ils jugent être importants pour les études supérieures qu’il envisage, ainsi que potions, pour les mêmes raisons, quand bien même il n’excelle pas en cette matière. à cela, il a ajouté l’histoire de la magie, matière pour laquelle il a reçu de nombreuses moqueries, et l’étude des runes, qui l’a tout de suite attirée. comme tous les enfants, il a longtemps rêvé de devenir auror, mais c’est une envie qu’il a rapidement abandonné. et si ses parents lui disent souvent qu’il ne peut pas prétendre à quoi que ce soit de mieux qu’un malheureux poste dans un pub – toutefois pas aussi glorieux que le chaudron baveur –, au sein du magicobus ou du poudlard express, il n’en reste pas moins qu’aujourd’hui, il aspire devenir langue-de-plomb. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? ses parents ont déjà essayé de l’y pousser, notamment lorsqu’il était encore enfant et cela a quelque peu amené de légers problèmes. incapable de venir à bout des sortilèges qu’on lui demandait de réaliser, ciarán est d’abord passé pour un cracmol aux yeux de ses parents complètement apeurés par cette éventualité, avant qu’il ne parvienne finalement à créer une légère brise faisant à peine frémir une plante – forme de magie s’écartant pour le moins beaucoup de la magie noire à laquelle il avait d’abord été destiné. depuis, il ne s’y est jamais intéressé lui-même et a déjà oublié ce passage de sa vie. ses parents, quant à eux, n’ont pas oublié cet échec cuisant et n’ont jamais laissé entendre leur envie de réitérer leur essai avec ciarán, sans doute de peur de se frotter à de mauvais souvenirs. Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? sa famille n’a jamais réellement caché son appartenance à l’ombre, le sous-entendant souvent lourdement et surtout, ouvertement. ciarán, lui, ne possède pas les mêmes idéaux, puisqu’il n’a rien d’un grand conservateur et qu’au final, la nature de sang lui importe peu. son meilleur ami se trouve lui-même être un né-moldu après tout, bien qu’il se trouve être obligé de le cacher, afin de ne pas lui attirer d’ennui et de ne pas rendre furieux ses géniteurs. tout comme il se trouve contraint de cacher le fait qu’il se situe plus du côté ordre, par la même occasion. aussi se fait-il passer pour quelqu’un de neutre, bien qu’il soit loin de l’être, à la vérité. Que pensez-vous de Kingsley Rosenbach et de l'arrivée des aurors au sein de l'école ? il n’a jamais remarqué de réelles tentions au sein de poudlard, n’a jamais remarque de tentions nulle part d’ailleurs. pour lui, si ses parents se trouvent être pro-ombre, cela ne dérange personne dans le sens qu’ils ne font pas de mal à quiconque et qu’ils se contentent de parler sans agir. ils ne sont que des êtres vieux jeux, un peu isolés. aussi est-il quelque peu tombe de haut lorsqu’il a compris ce pourquoi les aurors s’étaient mis à patrouiller dans les couloirs de l’établissement magique ; vivant dans sa petite bulle, il n’avait même pas réellement eu vent qu’une guerre se préparait. un peu déboussolé et toujours aux portes de l’incompréhension, il s’est ainsi juré de ne plus jamais se laisser ainsi perdre par l’actualité et de se mettre réellement au courant des choses se passant dans le monde magique – et aussi de faire un peu plus attention aux dires de ses parents, qui ne se trouvent peut-être pas être des cas si isolés que cela, finalement. Le sortilège du Ligare Carcerum a été un choc pour beaucoup d'élèves et professeurs... Qu'en est-il pour vous ? ciarán ne s’est jamais attendu à la mise en place d’une telle chose, d’abord un peu perdu par toutes ses nouveautés et toutes ces agitations, il n’a pourtant pas réellement protesté contre celles-ci, se contentant de les observer d’un œil rieur. cela allait encore lorsqu’il se contentait de commenter cette nouveauté aux côtés de briseis, sans se douter un seul instant de la sorte de douleur qu’il allait commencé à ressentir en s’écartant quelque peu d’elle. peu habitués à être tout le temps collé ensemble, préférant tous deux garder une certaine forme d’indépendance malgré leur statut, c’est surtout briseis qui se trouve être agacée d’avoir tout le temps ciarán dans les pattes, lui ne se trouvant pas réellement gêné d’avoir à passer plus de temps avec elle. il n’en reste pas moins qu’il a peur que sa promise se lasse peu à peu de lui ou finisse par s’énerver sur lui en raison de son agacement de toujours le voir trop près d’elle – chose qu’elle ne lui a jamais présenté ainsi, mais il possède un certain don pour se faire des films du genre –, aussi tente-t-il souvent de se faire le plus discret possible pour ne pas trop importuner sa fiancée. Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? il ne se trouve pas réellement inquiet pour qui que ce soit : ses parents se trouvent être adeptes de magie noire et assez grand pour se défendre, et le lien l’oblige à être en permanence aux côtés de briseis, ce qui devrait lui permettre de toujours être là pour la protéger, lors d’éventuels éclatements au sein du monde magique ou autres dérapages dans l’enceinte de poudlard. cela est sans doute un peu prétentieux de sa part de prétendre ainsi pouvoir défendre sa fiancée sans avoir besoin de l’aide de quiconque, mais c’est une chose à laquelle il préfère se rattacher afin de ne pas sombrer dans la peur et la détresse. ansi préfère-t-il rester confiant que de se perdre dans un nombre incalculable de craintes.
le moldu derrière tout ça
Pseudo : croco, de mon pseudo, mais vous pouvez m'appeler noémie, c'est plus convivial on va dire. Âge : seize piges, mais j'ai hâte du retour à l'âge au chiffre impair (c'est mieux, les chiffres impairs, non ?). Avatar : andrew garfield, le magnifique. Fréquence de connexion : plutôt vieux geek collé à l'ordi, mais - car il existe un "mais" - j'ai une connexion internet de merde qui saute et.. des parents. entendez par là des jours sans internet et un couvre-feu à vingt heures. donc on va dire entre un passage quotidien et quatre jours sur sept. Comment as-tu connu le forum ? par briseis, genre elle abandonne des liens comme ça, l'air de rien, sur skype (ily). Code :Code validé par Sixtouchat.Copyright : moi-même (bannière) ; cristalline (avatar) ; eden memories (icons). Personnage : [X] Inventé, [ ] Scénario, [ ] Poste Vacant
Dernière édition par Ciarán Ò'Righbardain le Dim 23 Mar - 17:21, édité 9 fois
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 17:00
il était une fois
hold me in your arms, love me like your best friends did, promise i won't hurt you kid, hold me really tight until the stars look big, never let me go. cause baby we were born to live fast and die young, born to be bad, have fun, honey, you and me can be one, just believe, come on.
Le bruissement des feuilles se transforme en mugissement alors que la brise se met à souffler plus fort. Le pas trainant, mes pieds propulsent les feuilles mortes de part et d’autre du chemin, alors que je continue à m’enfoncer au milieu des bois berçant les flans de la colline sur laquelle est perchée le manoir. Je ne vois même pas où je vais, me contentant de me laisser porter par mes songes, eux-mêmes perdus dans une contrée lointaine, peuplée de dragons et autres créatures fantastiques. C’est un craquement sur ma gauche qui me fait soudainement revenir les pieds sur terre alors que, le cœur battant à présent à tout rompre – de quoi ai-je peur au juste ? il ne s’agit peut-être que d’une branche venant de s’écraser au sol, ou un lapin, oui, c’est même très certainement un lapin –, je tourne brusquement la tête vers l’endroit d’où provient le bruit. Je dois me faire peur tout seul, peut-être bien même avoir eu une allusion auditive ou que sais-je… Mais non, après seulement quelques pas en direction de la forêt peu épaisse séparant notre domaine de celui des Kepingski, je finis par apercevoir une jeune fille qui se fige aussitôt à mon approche, laissant ses paupières se clore. « Eh ! Tu vas bien ? » je l’interpelle, me souciant soudainement de savoir si le bruit m’étant parvenu, ne correspond pas à une chute de la demoiselle. Aucune réponse. J’arque légèrement un sourcil, me demandant si elle ne m’a juste pas entendu. Mais elle n’est qu’à quelques mètres de moi alors que j’ai parlé haut et fort, et ses bras restent fermement collés le long de son buste, alors que se traits affichent une expression crispée. « Tu ne t’es pas fait mal ? » je demande tout de même une nouvelle fois, espérant cette fois obtenir une réponse. Toujours rien. Les sourcils un peu plus froncé, j’arbore aussitôt une expression un peu plus soucieuse alors que je finis de parcourir la distance me séparant d’elle. M’entendre me rapprocher grâce au bruit des feuilles mortes se mettant à crisser sous mes pieds, doit la sortir de l’espèce de torpeur dans laquelle elle s’est enfermée et je ne peux m’empêcher de sursauter légèrement, lorsqu’elle finit par ouvrir brutalement les paupières. « Est-ce que tu aurais vu un écureuil ? » Question soudaine et pour le moins inattendue, il me faut bien l’avouer. « Un… Quoi ? » Elle semble arborer une expression quelque peu agacée, au travers de laquelle je parviens néanmoins à distinguer une certaine pointe d’amusement. Cela ne l’empêche pas de répondre d’un ton quelque peu pincé. « Écureuil ? Tu ne sais pas ce qu’est un écureuil ? Je cherche mon écureuil. » répète-t-elle d’un ton fier. Je n’apprécie pas trop la façon dont elle me prend de haut, mais pourtant, je ne relève pas, me contentant de laisser un sourire vaguement narquois, s’afficher sur mes lèvres. « Il n’y a aucun écureuil par ici. Tu t’es fait mal ? » J’essaye de la faire mettre sa fierté de côté, mais pourtant, il n’y a qu’une pointe d’agacement qui perce dans sa voix alors que je lui réponds. « Mais pas du tout ! Je cherche mon écureuil je te dis. » Bornée. Je laisse un léger rire s’échapper d’entre mes lèvres, avant de me rendre compte qu’il s’agit sans doute là d’une action quelque peu déplacée, surtout envers une jeune fille issue de noble naissance – du moins en est-ce une, de noble naissance, dans le monde sorcier – aussi je place rapidement une main devant ma bouche, arborant un air quelque peu honteux. « Pardon, je ne voulais pas me moquer. Je vais t’aider à le chercher. » Je lui adresse un sourire, avant de m’écarter, zigzaguant entre les troncs à la rechercher d’un éclat roux.
Le plafond de la Grande Salle ne ressemble en rien à ce que mon paternel m’a décrit ; non, ce qui se présente face à moi se trouve être au dessus de tout ce que je pouvais m’imaginer auparavant. Les bougies flottant au niveau du plafond magique et les couverts d’argent et gobelets d’or, sont pourtant bien présents sur les tables, comme me l’avait conté mon père. Mais ce n’est pas ce qui attire le plus mes prunelles sombres. Les yeux plissés, je contemple ce qui se déroule face à moi, sans détourner une seule fois le regard du choixpeau. Mon cœur bât à tout rompre au creux de ma poitrine, alors que je me fais à l’idée que ce jour est certainement l’un des plus importants de ma vie. Cela se perçoit, rien qu’aux murmures affolés que laissent échapper les personnes qui m’entourent de part et d’autre. Sans compter que je n’attends que ça, depuis que je ne suis qu’un bambin dont les histoires pour s’endormir le soir, n’étaient que récits des péripéties – pas très épiques – racontées par mes parents et prenant place dans l’enceinte même du château. Mon envie de rentrer dans l’école magique, n’a fait que s’accentuer alors que m’est parvenu le hibou dont l’entête indiquée « Collège Poudlard, école de sorcellerie ». Et alors que je perçois enfin le fameux bout de tissu, encrassé par les ans ; ce fameux choixpeau magique dont j’ai de trop nombreuses fois entendu parler, je sens mon excitation atteindre son comble. C’est alors que mes yeux se trouvent toujours attirés vers le tabouret, que j’entends alors qu’on m’appelle. « Ò’Righbardain, Ciarán. » Un frémissement me parcourt alors la colonne vertébrale alors que je parcours les quelques mètres me séparant de l’estrade, prenant bien garde à ne pas me prendre les pieds dans l’escalier qui permet d’y accéder – il ne s’agit pas de faire mauvaise impression dès le premier jour – avant de venir m’asseoir sur le tabouret. Aussitôt, je sens que l’on pose le choixpeau sur le sommet de mon crâne et je dois avouer qu’il y a quelque chose de gênant dans le fait de sentir cet objet pensant, venir prendre place sur ma tête. Je parviens à capter le regard de Briseis, déjà confortablement installée à l’un des bancs entourant la table des serpentards, à peu près au même moment que celui que choisi le choixpeau pour annoncer sa décision. « Gryffondor ! » Aussitôt, mon cœur fait un raté alors que mon visage se décompose. Gryffondor ? Ai-je bien entendu ? Je ne me serais jamais attendu à ça. Ainsi je rejoins la table des rouge et or, avec une sorte de poids sur le cœur.
C’est d’un revers de main furieux que j’essuie les larmes qui inondent mon visage, alors que je recommence à frôler les murs tel une ombre, fuyant la Grande Salle pour rejoindre ma salle commune – celles des Gryffondors. Cette fois, la missive que contient la poche de ma robe, n’a rien d’un témoignage de fierté. Elle est simplement l’annoncé d’une déception profonde et c’est sans doute pourquoi le bout de papier, me donne l’impression de me brûler la peau. Tu n’es pas un Serpentard, disent les mots, sans aucun tact. Je peux ressentir la fureur de mon père jusque dans sa calligraphie. Je sais qu’il m’en veut pour ne pas avoir été envoyé dans sa maison de prédilection, qu’il comptait sur moi pour y faire mes études ; c’était la seule chose qu’il attendait de moi et je l’ai déçu. Je laisse mon dos s’échouer violemment contre un mur, créant une onde de choc – dont je n’ai que faire – dans ma colonne vertébrale, avant de me laisser glisser sur le sol. Ramenant mes genoux contre mon torse, j’y plonge mon visage, peu soucieux des personnes qui passent en me jetant des regards inquiets et étonnés. Après tout, tout le monde a déjà bien craqué un jour. « Eh ? » D’abord, je crois que ce n’est pas moi que l’on interpelle, mais lorsque l’apostrophe est répétée une seconde fois, je me trouve contraint de relever la tête pour découvrir le visage d’un jeune homme arborant lui-aussi l’uniforme aux couleurs de Gryffondor. Tout d’abord, je crois qu’il va me demander si je vais bien, comme beaucoup auraient fait, mais ce sont toutefois des mots complètement différents qui s’échappent d’entre ses lèvres. « Je crois que la fille là-bas te fixe depuis tout à l’heure et que ce qu’elle voit lui fait mal au cœur. » Il me désigne un endroit à sa gauche d’un simple signe de tête et en y regardant bien, je parviens sans mal à distinguer Briseis. Un rire gêné, accompagné d’un léger sourire, s’échappe d’entre mes larmes. Je passe un revers de manche sur mes yeux rougis avant de laisser échapper : « Merde ! » Gentiment, l’autre Gryffondor vient se placer devant moi, pour me cacher de la jeune femme. Se redressant légèrement, il époussète un instant sa robe avant de me tendre la main. « Seán. » Un irlandais. Je ne peux m’empêcher de sourire alors que je me saisis de sa main et qu’il me remet sur pieds. « Ciarán. » Aussitôt, ses yeux se mettent à pétiller. Je crois bien que c’est le premier ami que je me fais ici, à cette pensée, mon sourire s’étend un peu plus sur mes lèvres.
i took the stars from our eyes, and then i made a map and knew that somehow i could find my way back. then i heard your heart beating, you were in the darkness too, so i stayed in the darkness with you. the stars, the moon, they have all been blown out. you left me in the dark, no dawn, no day, i'm always in this twilight. in the shadow of your heart.
« Briseis ! » mon cri se répercute contre les murs du couloir de Poudlard et le rouge me monte tout de suite aux joues, tellement j’ai l’impression de percer le silence. Il n’y a pourtant personne, personne d’autre que Briseis et moi. Aussi je ne sais pas réellement pourquoi je me sens ainsi gêné de l’interpeller, alors qu’aucune autre âme n’a pu m’entendre l’appeler. « Désolé, je ne voulais pas te faire peur. » je balbutie alors qu’elle s’approche de moi. « Tu ne m’as pas fait peur. » lâche-t-elle, presque vexée – du moins est-ce ce que je crois percevoir. Je me mordille un instant la lèvre inférieure, me sentant un peu idiot de l’avoir vexée ainsi. « C’est pas ce que j’ai dit ! Enfin, si, mais… Non. C’est juste que… » Je m’arrête là, déglutis, ne sachant pas pourquoi je me sens si nerveux. Je crois que je cherchais Briseis, mais je n’en suis même pas sûr. Je ne sais même plus ce que je faisais dans ce couloir avant de la voir passer. Il n’en reste pas moins que je n’ai jamais remarqué auparavant à quel point elle est belle. Je secoue la tête, chassant cette pensée de ma tête, juste avant de me mettre à rougir une nouvelle fois. Je ne sais pas pourquoi je me mets à divaguer ainsi. « Je l’ai trouvé, ton écureuil. » je laisse finalement échapper alors que je lui présente un écureuil un chocolat, que mon paternel m’a envoyé par hibou le matin même. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à la jeune femme en le voyant, ce qui n’est pas difficile à comprendre lorsque l’on se remémore notre rencontre. Elle se saisit de la pièce de chocolat, la couvant un instant de ses prunelles. Et lorsqu’elle relève finalement le visage dans ma direction, je ne peux m’empêcher de me pencher vers elle pour poser mes lèvres sur les siennes – ainsi je ne saurais certainement jamais ce qu’elle s’apprêtait à me dire. Je me demande aussitôt pourquoi j’ai fait une telle chose, craignant qu’elle s’écarte brutalement, me qualifiant de toutes les insultes comprises dans son vocabulaire. Mon cœur rate finalement un battement, lorsqu’elle me rend mon baiser.
Assis sur mon lit, le dos appuyé sur le sommier, je suis en train de plancher sur mes devoirs, mon bout de parchemin posé sur mes genoux alors que ma plume en gratte la surface à toute vitesse pour y apposer une écriture assez peu soignée. Tant pis, du moment que je parviens à rendre mon devoir à temps, j’imagine. C’est pourtant sans compter sur l’un des autres gryffondors, venu me secouer par le bras. Ma plume part sur le côté, créant alors une rature ajoutant un aspect peu soigné supplémentaire à mon devoir. Aussi je laisse échapper un grognement quelque peu agacé. « Mais je travaille ! Que se passe-t-il encore ? » Pas l’air gêné le moins du monde, celui-ci semble même être encore plus agité, comme si ma réponse lui procure une énergie nouvelle. Il revêt l’air important de l’enfant à qui un adulte a confié une tâche dite importante. « Il y a un nouveau bibliothécaire à Poudlard et- et- et, il te demande ! » parvient-il à bégayer d’un ton rapide, mais par conséquent, saccadé. Je me redresse légèrement, alors que je glisse mes jambes à l’extérieur du lit, passant une main dans mes cheveux – geste désormais habituel lorsque je suis stressé –, tout en haussant un sourcil, intrigué. « Il t’a dit ce qu’il me voulait ? » L’autre gryffondor hoche vigoureusement la tête en signe de négation, alors qu’il hausse les épaules. Après quoi, il part en courant, me laissant seul. Il me faut quelques minutes pour réajuster ma cravate, faire attention à bien avoir déplissé les pans de ma veste et avoir vérifié que j’affiche une coupe de cheveux à peu près correcte après m’être avachi durant de longues heures sur mon lit, pour enfin décider de me mettre en route. Peu de personnes se trouvent être présentes dans les couloirs, ce qui n’a rien de rassurant finalement. Mais le moins rassurant se présente uniquement lorsque je pousse finalement la porte de la bibliothèque. « Ciarán ? » m’appelle une voix non loin. « Oui ? » je réponds après avoir fini de clore la porte, pivotant sur mes talons pour faire face à mon interlocuteur. Et la première chose qui me frappe chez ce nouveau bibliothécaire, cachée derrière un sourire énigmatique me donnant presque froid dans le dos, c’est sa ressemblance avec… « Icarus Kepingski, je suis le frère de Briseis. Enchanté de faire votre connaissance. »
Mes pieds claquent avec violence contre le marbre de l'escalier menant au salon, alors que je m'empresse de descendre les marches quatre à quatre. Il me faut profiter du fait de savoir mes parents ensemble, dans la même pièce, et tout disposés à m'écouter, afin de leur exposer mes plans. Mais si je rentre dans la pièce avec un air déterminé, il n’en reste pas moins que tout mon courage semble s’être envolé, juste après que j’ai fini de les interpeller. « Papa ? Maman ? » Leurs regards convergent vers moi, adoptant un aspect tout de suite froid et presque antipathique. Je les dérange. Un instant, je réfléchis à l’éventualité de leur dire que ce n’est rien, que je vais cesser de les importuner et que je vais partir un peu plus loin pour les laisser tranquilles. Pourtant, je reste planté là avec cette sensation d’être un peu de trop, alors que sans avoir aucunement ouvert la bouche, ils m’intiment tout deux d’un simple coup d’œil, de leur exposer ma requête. « Vous vous souvenez de quand vous avez parlé de mariage arrangé ? D’un mariage entre sang-purs… ? » C’est mon paternel qui me coupe, d’un simple geste – paraissant agacé – de la main. « La question ne se pose plus, nous avons déjà trouvé quelqu’un pour toi. » Quelque peu paniqué, je lève un sourcil, tout en essayant de prendre un air détaché. Mon paternel me dévisage d’un air grave alors que derrière-lui, ma génitrice lève les yeux au ciel avant de tourner les talons et de s’éloigner en direction d’une autre pièce du manoir – à moins qu’elle n’ait tout simplement décidé de sortir d’ici –, signe que l’on approche ici d’une question hasardeuse. La gorge nouée, je regarde mon paternel sans dire un mot, attendant simplement qu’il daigne en venir aux faits. « Nous avons vu ça avec les Kepingski. Leur fille, Briseis… » Il n’a pas le temps de finir sa phrase que déjà, je me précipite vers lui pour me jeter à son cou. Restant d’abord les yeux écarquillés, celui-ci ne semble pas comprendre avant de juger que cela ne vaut certainement pas la peine de se triturer trop longtemps l’esprit, il clôt alors ses paupières pour m’attirer à son tour contre lui.
in the darkness i will meet my creators and they will all agree, that i'm a suffocator. i should go now quietly, for my bones have found a place to lie down and sleep. where all my layers can become reeds, all my limbs can become trees, all my children can become me. what a mess i leave, to follow.
« Donc tes parents détestent les gens n’étant pas de sang-pur ? » laisse échapper pensivement Seán. Et dans sa voix, je jure entendre une espèce de tremblotement, comme une sorte de peur qu’il ne se serait jamais permis de laisser passer auparavant. Aussi, je comprends qu’il se trouve être affecté par la nouvelle, assez pour que celle-ci lui ôte son assurance habituelle. « Oui. » je finis par répondre, après quelques longues secondes de silence, durant lesquelles je me suis contenté d’analyser le visage de mon ami – mon meilleur ami même. « Mais ils ne te connaissent pas, alors le problème ne se pose pas. » je tente de le rassurer, doucement. Il garde un instant son regard perdu en direction du parc de Poudlard, toujours perché sur le rebord de la fenêtre de la volière, une lettre de mon paternel fermement enserrée entre ses doigts noueux, avant de finalement se tourner vers moi, les yeux légèrement brillant. « Tu savais ce qu’ils feraient à un ami n’ayant aucune pureté de sang ? » Je pince les lèvres, le fixant encore un moment sans rien dire. Je ne peux pourtant pas me résoudre à lui mentir. « Oui. Mais ce ne sont que des paroles en l’air ! Ils ne feront rien. Et pour cause, ils ne connaissent même pas ton existence. » Pendant un instant, le temps semble rester un suspens, alors que, complètement crispé, il ne semble pas du tout décidé à bouger. Il passe finalement sa langue sur ses lèvres, avant de se laisser glisser du rebord de la fenêtre, ses pieds atterrissant sur les dalles en pierre, dans un bruit sourd. Il se tourne alors vers l’extérieur, sans se soucier des quelques hiboux passant au dessus de lui alors qu’il dépose la missive à l’endroit exact où il se trouvait précédemment assis. « Incendio. » murmure-t-il, ses mots se mêlant à la clameur du vent alors que le morceau de parchemin s’enflamme rapidement pour ne plus laisser qu’un tas de cendre, qu’il s’empresse de pousser dans le vide. « Alors arrange-toi pour qu’il ne la connaisse jamais. Je ne veux pas que tu aies d’ennuies par ma faute. » Sa voix fouette l’air à la façon d’une gifle, juste avant qu’il ne tourne les talons pour me laisser seul dans la volière.
Nos deux familles rassemblées ici, c’est tout de même quelque chose de quelque peu stressant, finalement. Je n’imaginais pas les choses ainsi, aussi peu intimistes et surtout… Avec tant de gens tout autour de nous. Mes fiançailles, je les ai toujours vu comme quelque chose d’intimiste, pas comme un rassemblement de l’ensemble de la population irlandaise, ralliant nord et sud, à laquelle on aurait ajouté quelques branches de familles venues d’Angleterre, de France ou je ne sais quelle autre contrée éloignée. J’en arrive à ne plus savoir à qui appartiennent les mains que je sers ou encore si les personnes que je rencontre se trouvent être liées à la famille de Briseis ou encore à la mienne. Je ne compte même plus le nombre de personnes venues me dire « la dernière fois que je t’ai vu, tu étais haut comme trois pommes et tu tenais à peine debout », alors que je n’ai aucun souvenir de leurs visages – peut-être est-ce des Kepingski, tellement éloignés qu’ils ne savent même plus que c’est pour la fiancée qu’ils se trouvent là, et non pas pour moi. C’est finalement mon père qui vient me secourir, lorsqu’il fend la foule des quelques personnes réunies autour de moi pour m’agripper par le bras et m’emmener avec lui un peu plus loin. « Ciarán, il est l’heure. » laisse-t-il échapper d’une voix se trouvant certainement être un peu trop solennelle à mon goût. Un frisson me parcourt l’échine tandis que je hoche la tête en déglutissant lentement. D’un simple geste de la main, il m’indique la direction d’un kiosque – installé là pour l’occasion ou pas, je ne sais même plus –, vers lequel je m’avance d’une démarche lente, peut-être même un peu trop. Il n’en reste pas moins que tous les regards convergents vers moi tandis que je m’approche, me mettant quelque peu mal à l’aise. Pourquoi n’avons-nous pas pu nous fiancer simplement, en toute intimité ? J’ai l’impression de participer à quelques obligations diplomatiques, quand bien même j’aime réellement Briseis, alors que je viens me placer sous la sorte de coupole blanche. Les regards se détachent pourtant bien rapidement de moi alors que c’est à son tour d’arriver. Je ne l’avais pas encore croisée, avec tout ce monde et je suis bien obligée d’admettre qu’elle se trouve être réellement élégante. Elle porte la robe la plus ravissante du monde. A moins que ce ne soit-elle qui embellisse la robe, je ne saurais le dire. Il n’en reste pas moins que mon cœur rate un battement, peu avant que je pose un genou à terre tout en sortant un écrin de l’une de mes poches. « Mademoiselle Briseis Evdokia Kepingski, voulez-vous m’épouser ? »
Dernière édition par Ciarán Ò'Righbardain le Dim 23 Mar - 16:43, édité 5 fois
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 17:18
Bienvenue sur HRI et bon courage pour ta fichette
Si jamais t'as une question (ou plusieurs ), n'hésite pas à solliciter le staff, nous sommes là pour ça Oh et tu t'es trompé dans le code ! J't'invite à relire le réglement pour trouver le bon
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 17:33
Ouch, le côté boulet qui ressort dès le départ, excellente entrée en matière, ahem. J'avais oublié de changer ça en postant ma fiche, mais voilà qui est fait du coup, désolée du dérangement. Et un grand merci à toi du coup !
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 17:35
Ya pas de soucis J'te valide ça, bonne fifiche
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 17:48
Bienvenuuuuue
Ah, ces gens qui lâchent des liens sur skype, impardonnables moi je les lâche sur tumblr, c'est plus rigolo
Je vais m'avancer un peu et partir du principe que ton personnage est Irlandais ( j'ai l'air fine, si c'est pas l'cas ) mais woot woot, copain lutin shamrock tout ça
Nous avons récemment changé les profils donc n'hésite pas à aller mettre le tiens à jour pour pouvoir afficher la pureté du sang et l'allégeance de ton personnage et euh, comme l'a dit Charlou, en cas de souci, n'hésite surtout pas
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 18:04
CHARLES + Merci encore !
ALESYA + Mais ouais, genre on leur a jamais appris que c'est vilain de tenter les gens comme ça, alors qu'ils sont en train de venir répondre innocemment ? Roh la la hein, faut tout leur apprendre. (Ton tumblr fonctionne bien, c'est comme ça que Briseis vous a trouvé. ) Je ne vois ABSOLUMENT pas pourquoi tu le rattaches à l'Irlande, voyons. (Les irlandais c'est la vie punaise. Mon leprechaun viendra t'offrir un trèfle de ma part. ) Et merci ! C'est édité du coup.
(Oui, j'ai une légèèère tendance au flood, ne me tuez pas s'il vous plaît. )
Thaddeus E. Willoughby
HRIen depuis le : 11/01/2014 Parchemins écrits : 146 Statut : I'M SCARED TO GET CLOSE AND I HATE BEING ALONE I LONG FOR THAT FEELING TO NOT FEEL AT ALL.
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 18:10
Bienvenue ici sexy boy mon dieu, j'adore le pseudo que tu as choisit *-*
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 18:40
Bienvenue à toi, au plaisir de te croiser IRP et la Chatbobox
Harvey S. Potter
HRIen depuis le : 24/06/2013 Parchemins écrits : 207 Statut : ϟ LOVE, FOR YOU, IS LARGER THAN THE USUAL ROMANTIC LOVE. NO ONE WILL EVER WANT TO SLEEP WITH YOU. (célibataire)
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 18:57
andrew. bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 19:27
oooh Andrew Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 20:07
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 21:18
Bienvenue sur le fofo tit croco :) Bon courage pour ta fiche ^^
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 7 Mar - 22:34
Bienvenue parmi nous, courage pour ta fiche !
Rohàn D. Lestrange
HRIen depuis le : 26/10/2012 Parchemins écrits : 676 Statut : Fiancée enfuie, largué par son petit copain, en relation extra-incestueuse avec sa cousine d'amour
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Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Dim 9 Mar - 12:20
j'arrive pas à prononcer le nom, mais bienvenue sur le forum !
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Dim 9 Mar - 12:32
Merci à tous ! Et le prénom se prononce keer+awn (je viens de changer votre perception du monde, je sais). Puis mince, y a des avatars de fou dans le coin quoi.
Etna E. Maugrey
HRIen depuis le : 07/04/2013 Parchemins écrits : 520 Statut : C'est compliqué
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Mer 12 Mar - 21:07
ANDREEEEEW!!!
Bienvenue par mi nous je t'aime déjà, en plus avec un nom irlandais
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 14 Mar - 10:38
Oh, je crois que je viens d'avoir un petit coup de coeur pour ta plume Anyway, bienvenue parmi les papuches et bon courage pour le reste de ta fiche.
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Ven 14 Mar - 14:33
A.G
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fichette
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Sam 22 Mar - 14:11
Hey, des nouvelles ? Sans signe de vie d'ici trois jours, ta fiche risque de partir aux archives, n'hésite pas à me demander un petit délai pour terminer ta présentation
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Sam 22 Mar - 17:22
ETNA + Zoella, omg. J'aime ton avatar. Merci beaucoup.
LULLABY + Ton pseudo fait un mixte entre les pseudos de deux de mes personnages, j'ai beugé. Inutile de te préciser que j'adore ton pseudo du coup. Et merci, mais j'ai peur de te décevoir du coup, j'écris pas si bien que ça.
CHARLES + Marlon dans ta signature. Et Lucas pour avatar. Merci beaucoup.
ALESYA + Oui, désolée, je compte bien finir ma fiche ce week-end, j'ai juste un peu mal calculer les choses avec les réunions de voyage au bahut, et la préparation des TPE, pour finir dans les délais impartis, mais je devrais avoir fini d'ici demain soir. Est-ce qu'il serait dérangeant de me donner un court délai ?
Lou-Sixte Levski
HRIen depuis le : 26/01/2013 Parchemins écrits : 1758 Statut : Un joli bordel désorganisé.
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Sam 22 Mar - 17:58
HELL YEAH ANDREW GARFIELD
Bienvenue, shame on me de ne pas t'avoir accueilli plutôt ! Bon pour me faire pardonner j'ai quand même lu le début de ta fiche et j'attends la suite
On t'accorde un délai supplémentaire de dix jours, histoire que tu sois à l'aise quand même et que tu n'aies pas à te précipiter pour finir tout ça Tu peux ajouter dans la description de ta fiche délai accordé jusqu'au 01/04 par Sixtouchat.
Encore une fois : bienvenue et bon courage
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Dim 23 Mar - 16:08
Bienvenue parmi nous Monsieuraunomimprononcable et bon courage pour ta fiche
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Dim 23 Mar - 17:23
LOU-SIXTE + Merci beaucoup. Je viens de finir ma fiche, du coup je n'ai pas mis le délai dans la description de mon sujet (j'espère que ce n'est pas trop dérangeant) mais merci tout de même pour le délai que tu m'as accordé.
PANDORA + Merci bien.
Invité
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart. Dim 23 Mar - 20:23
woot woot, je viens t'valider garde moi une place pour Pride, je vais venir te casser les pieds pour un lien
Félicitation & bienvenue
“ Aux yeux de Gryffondor, il fallait à tout âge Montrer par-dessus tout la vertu du courage. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y compris le flood et les jeux.
TOUTEFOIS
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Et histoire de t'en sortir dans les bruits de couloir, n'hésite pas à consulter régulièrement la gazette qui se trouve ici ICI. Enfin, ton personnage peut rejoindre l'Ordre ou l'Ombre selon ses idéaux.
Enfin, nous t'invitons à checker régulièrement le tumblr de HRI
Bon jeu parmi nous
Bonne chance à toi
Jeune Gryffondor
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: + cause you're my king and i'm your lionheart.