Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past.
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Sujet: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Jeu 27 Juin - 14:00
Zachary Isaak Longfellow
Hell▽ Me dis pas de la fermer ! Y a des femmes qui ont brulé leurs soutient-gorge c’est pas pour que trente ans après y ait des petits machos comme toi qui nous traitent comme de la merde !
carte d'identité
→ Nom :Longfellow. Non. Pas la peine de chercher dans les registres, je ne suis pas anglais, pas même européen. Et aux dernières nouvelles, ma soeur et moi étions les premiers sorciers des Longfellow; parce que vous voyez, je doute qu'on puisse qualifier de sorcière une vieille dame à moitié folle qui pense que piquer des aiguilles dans une poupée c'est de la magie. Elle peut bien se prendre pour une sorcière vaudou, nous savons, vous et moi, que ça ne fonctionne vraiment que si on à l'étincelle de magie en nous. Dommage, je suis à peu près certain que ma grand-mère aurait été dix fois plus heureuse que moi de découvrir qu'elle était une sorcière. Tant pis pour elle. Tant pis pour moi.Prénom(s) :Zachary Isaak. Mais Zachary suffira. Me regardez pas comme ça, ce sont des noms qui me viennent tout droit de mes grands-pères, enfin je vous direz c’est toujours préférable de s’appeler comme ses grands-pères que de prendre le nom de son père. Je n’aurais pas vraiment aimé qu’on m’appelle John, et encore moins Junior. Alors finalement porter le nom du mari d’une femme complétement folle, et celui d’un homme qui ne jure que par la religion c’est un moindre mal. Un prénom ne fait pas une personne. Une personnalité n’a jamais été déterminé par un prénom. Surnom : Zak. C’est simple et ça colle aussi bien avec Zachary que Isaak, il est d’ailleurs assez rare qu’on m’appelle Zachary. Trois syllabe, Za ,Cha , Ry, trop long, et on est dans un monde où tout le monde est pressé, alors Zak. Zak c’est simple, c’est court, et tout le monde le retient. Âge : J’ai actuellement vingt-ans, mais je me rapproche à grands pas, à très grands pas de la majorité absolue, vous savez celle où vous pouvez faire ce que vous voulez sans avoir à rendre de compte à qui que ce soit. Cette majorité qui vous permet de tout balancer par la fenêtre de votre voiture, et de continuer votre chemin en oubliant votre passé, vos emmerdes, et surtout tous ceux qui ont tenté un jour où l’autre de vous forcer à faire quelque chose parce qu’on était trop jeune, et souvent jugé trop con pour prendre une décision par nous-même. Voilà. J’ai vingt ans, je suis aux portes de la vie adulte, et j’attends avec une certaine impatience, mêlée à une petite goutte de naïveté qu’elles s’ouvrent pour moi. Date et Lieu de Naissance :Je suis né à une époque où tout allait encore très bien en Louisiane, et nous habitions à Lafayette. Mais ça n'a pas duré, vous savez la récession économique, les pertes d'emplois, la crise... Je sais, vous sorciers, vous ne vous intéressez pas tellement à notre économie à nous, ça vous passe au dessus de la tête, mais ça a été néanmoins assez grave pour forcer mes parents à déménager. Ca explique entre autre pourquoi ma sœur et moi ne sommes pas nés au même endroit. Sinon?! Je suis né le deux novembres, le jour même de la fête des morts. Je trouve ça assez amusant. Nationalité : Américaine. Comment je suis arrivé ici?! C'est un peu compliqué à expliquer, et je dirais que tout part de ma soeur, de ses relations dans le cadre scolaire, de ce qui en a découlé, du fait que nos parents aient moyennement supporté d'être grands-parents avant l'heure qui leur semblait le plus acceptable, et finalement le fait que l'école dans laquelle nous étions nous poussent un peu vers la sortie. Tout ces éléments, ont fait qu'on s'est retrouvé ici. La faute à pas de chance.Pureté du sang : Il me semble vous l'avoir déjà dit, non?! Vous savez en Amérique, et plus particulièrement en Louisiane, peut être à cause de nos ancêtres français, on dit que les anglais n'ont clairement pas inventé le fil à coupé le beurre. Je commence à me dire que les dires des gens du pays sont fondés. Donc, non, je n'ai pas de sorciers dans ma famille, et pour cause, je fais parti d'une famille de nés-moldus. Né Moldu. Voilé écrivez ça. Année d'étude & Maison : L'année dernière j'aurais pu me vanter d'être dans une bonne école où je connaissais à peu près tout le monde. Cette année c'est terriblement différent, totalement même. Quand vous arrivez à Poudlard, déjà, on vous pose un immonde chapeau tout râpé sur la tête, et il se met à fouiller votre esprit d'une façon très dérangeante avant de hurler à tout le monde que vous irez dans telle ou telle maison. Pour ma part, il m'a envoyé à Poufsouffle, en me glissant à l'oreille qu'un jour je trouverais quelque chose de plaisant dans la magie. Enfin, bref, voila, c'est comme ça que j'ai atterri dans un sous-sol, tout froid, et où doit pas souvent passer l'aspirateur, avec des gens de septième année tous un peu étranges. Je crois que cette année va être longue. Très longue. Orientation sexuelle : Aux dernières nouvelles, j'avais une passion pour les poitrines opulentes et les petit maillots de bains, riquiquis, portés par les femmes. Donc, sans trop m'avancer, et au vu de mon expérience à caractère sexuel, je dirais que je préfère, et de loin le genre féminin. Après, je dis pas que ça peut pas changer, notre voisin à bien fini par quitter sa femme parce qu'il disait avoir trouver le grand amour en la personne d'un autre homme. Mais je pense, sincèrement, que pour moi c'est déjà bien réglé, et qu'à moins d'un violent coup sur la tête, je suis pas prêt de changer d'orientation. État civil : Avant de vivre ici, j'avais une copine. Si je vous assure, ça faisait même trois ans qu'on était ensemble. Mais voila, avec une petite soeur qui tombe enceinte au sein même de son école ça a tendance à ternir toute une réputation. Bref, ça c'est fini avec pertes et fracas. Maintenant? Au vu de mes connaissances au sein du château, je dirais que je suis seul et pour encore longtemps.
le sorcier en toi
Baguette : Ollivander ? Connais pas. Désolé. En revanche, moi je ne me rappelle pas tant du moment où on m’a tendu cette baguette de bois, mais j’ai le souvenir des yeux brillants de ma grand-mère. Ils avaient cette lueur qu’on tous les petits enfants émerveillés, elle était bien plus heureuse que moi à ce moment, et elle n’a jamais cessé de l’être pour moi à partir de cet instant. Elle connaissait mieux la composition de ma baguette, moi je la gardais enfermée dans sa boîte, j’étais pris d’une certaine honte communiquée par la crainte de mes parents. Et elle répétait à voix haute, toute enjouée, « Bois d’If, crin de licornes, et elle mesure trente-quatre centimètres ! Tu te rends comptes Zachary ! Tu es un vrai sorcier maintenant !», ça n’avait pas d’importance pour moi, je crois que ça n’en a toujours pas. Au final, je pense que si je souriais ce jour-là c’était parce que j’aimais surtout voir ma grand-mère dans cet état-là, elle donnait l’impression d’avoir rajeunit, et son visage ridé irradié d’une joie réelle. Patronus : Un patronus. La première fois qu’on m’a parlé de ça, j’ai trouvé ça drôle, je pensais qu’il s’agissait d’une sorte d’animal de compagnie qui sortait tout simplement de notre baguette magique pour faire un petit tour puis disparaitre. Il m’a fallu du temps pour comprendre que ça ne servait pas juste à faire joli, mais que ce sort avait une véritable utilité, qu’il y avait dehors des créatures que l’on pouvait repousser grâce à ce sort. Ce n’était pas uniquement de la poudre aux yeux, et ce sort qui semblait être si simple à lancer s’avéra être le plus compliqué qu’il me fut donner de lancer. Visualiser quelque chose d’heureux, d’y penser, de se focaliser dessus, c’était quelque chose de profondément difficile, pas parce que je manquais de souvenirs heureux, mais surtout parce que j’avais d’avantage de souvenirs malheureux et que faire un tri demandait une concentration des plus douloureuse. Encore aujourd’hui, quand on me demande de faire apparaitre un patronus cela me demande beaucoup d’efforts, beaucoup trop d’ailleurs, et je refuse de le lancer, tout simplement. Comment ? A quoi je pense quand je le lance ?! Et à quoi il ressemble ?! Vous n’avez pas l’impression d’être un poil intrusif là ?! C’est pas une interview, c’est un questionnaire pour rentrer à l’école… Oui, oui, c’est bon. Mon souvenir c’est celui de ma grand-mère dans son rocking-chair en train de se balancer sur la terrasse, il y a une radio dans un coin, ça parle dans un français cajun que je ne comprends pas, elle ne doit pas le comprendre non plus, mais si elle écoute ça c’est pour le blues qui y passe. Elle se lève, avec un peu de difficulté, elle passe à côté de moi en caressant mes cheveux, et elle suit le petit chemin qui traverse le jardin. Je la regarde faire, lâchant le temps d’un instant les petites voitures en ferrailles avec lesquelles j’étais en train de jouer. Le soleil passe entre les branches des grands arbres qui y ont poussé et y sont toujours, elle baigne dans des taches de lumières éparses, fixant un point sur cet arbre géant. Puis, elle se tourne vers moi, me fait signe de la main de venir la rejoindre avant de porter un index à ses lèvres qui impose le silence. Je ne dois pas avoir plus de six ans, mes pas son tout petits, et encore assez incertains, mais je la rejoins, me mettant sur la pointe des pieds alors que l’herbe verte étouffe déjà le moindre bruit de mes pas. Sur les lèvres de ma grand-mère, il a un grand sourire qui fait ressortir les rides qui cernent ses yeux, je la trouve belle dans cette lumière joueuse. Elle ne dit rien, me prend par l’épaule avec douceur, et elle me montre un petit trou entre les racines de l’arbre, là, il y a une petite balle de fourrure blanche, roulée en boule, et qui semble d’être assoupi du sommeil du juste. La voix de ma grand-père, dans un murmure vient chatouiller mon oreille, je rentre la tête en tentant de m’extirper de son souffle chaud tout en pouffant de rire. C’est une petite furette, me dit-elle, elle vient dormir là tous les après-midi, et elle mange les croquettes de Stein, le chat qui n’apprécie pas tellement cette compagnie sauvage. Voilà, c’est ça, mon souvenir, et il ne parait dès lors pas tellement étonnant que mon patronus soit un furet tant il est étroitement lié à cette petite bribe de mémoire. Épouvantard : Ah ! L’épouvantard maintenant ?! J’aurais dû m’en douter, c’est une suite tout ce qu’il y a de plus logique pour cet enchainement un poil trop long. Bref. A dire vrai, je crois bien qu’avant d’être mit en présence d’un épouvantard je n’avais jamais pensé à ce que pouvait être ma plus grande peur. J’avais comme tout enfant, et même adolescent, cette peur de l’inconnu, j’avais, même si je n’osais l’avouer, encore peur des monstres qui pouvaient se cacher derrière les rideaux ou sous les lits. Mais ce n’était que des peurs enfantines dont les racines étaient implantées en nous, comme dans une sorte d’instinct de survie hérité de nos lointains ancêtres. Mais jamais je n’aurais pensé qu’à la sortie de ce placard, s’avancerait mon propre portrait. Moi-même. Ma peur la plus intestine n’était autre que moi. C’est terrible n’est-ce pas ? D’apprendre que l’on se craint, et que quoi que l’on fasse on vivra toujours dans une certaine mesure pour éviter de se perdre puis de perdre son contrôle. Finalement, c’était évident, à force de voir la peur dans les regards que mes posaient sur moi, la même peur, comme une maladie contagieuse, avait fini par m’affecter. C’est un comble non ?!Particularité :Une particularité ? Vous voulez parler de ma tâche de naissance ? Ma grand-mère dit qu’elle a la forme de l’état du Texas, personnellement je trouve juste que c’est une tache noire au-dessus de mes reins. J’ai des taches de rousseurs partout sur le corps alors qu’il n’y a pas un seul roux dans ma famille, et au vu de la couleur de mes cheveux, noirs, je doute d’avoir un jour été rouquin, mais qui sait… Un jour je jetterais un coup d’œil dans les vieux albums photos, si ma mère ne les a pas bruler entre temps. Sinon, j’ai trois tatouages, démerdez-vous avec ça, je ne vous dirais pas ce qu’il représente et encore moins où ils se trouvent. Et pour finir je n’ai pas la moindre capacité magique hors du commun. De toutes façon je ne sais pas d’où j’aurais hérité ça. Options choisies & métier envisagé : Jusqu’à la rentrée de l’année dernière je pensais que tout été joué, qu’il me suffirait encore d’une année et que je pourrais partir libre, faire le tour du monde pour oublier que mon rêve n’est plus à portée de main depuis déjà bien longtemps. Mais en attendant, je reste là. J’attends. Et je suis même obligé, depuis que je suis arrivé à Poudlard, de suivre des cours dont je n’avais jamais entendu parler. Non mais franchement, vous pensiez à quoi en me mettant dans un cours qui s’appelle « études des moldus » ?! Je dois vous rappeler que j’ai grandi dans une famille sans sorcier ? Je sais très bien ce qu’est une télévision, et je sais aussi me servir d’un balais autrement que comme un moyen de locomotion ; je pense même être meilleur que le professeur qui dispense ce cours d’ailleurs. Mais ça… Et études des runes, vous n’aviez pas un cours dans ma langue maternel, comme anglais ?! Je ne sais pas décrypter l’égyptien pharaonique, et j’y connais pas plus en matière de tracés de pentagramme celtique avec du sang de gobelins. L’un dans l’autre, je ne sais pas ce qu’est mon parcours, je crois qu’il sort carrément de l’ordinaire, et qu’on m’a un peu casé là où il y avait de la place. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? La magie noire? J'ai déjà du mal à utiliser la magie en temps normal, et vous me demandez si j'ai déjà fait usage de la magie noire? Un peu de jugeote, et vous trouverez la réponse à votre question tout seul. Néanmoins, si vous pensez que les envoûtements et le vaudou sont matière à magie noire alors il y a possibilité que je trempe quelque peu là-dedans... Mais j'ai quelques doutes au vu du nombre de sorciers de Louisiane œuvrant dans ces sphères.Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? Je n'oeuvre ni pour l'un, ni pour l'autre, la guerre entre sorciers ne m’intéresse pas. Éternel spectateur, je préfère de loin mener ma propre petite révolte face à ceux qui, selon moi, ne mérite pas le statu de pureté qu'ils se donnent qu'importe qu'ils soient de l'ombre ou de l'ordre. Tout ce qui compte c'est l'impureté de mon sang.La disparition d’un élève de Poudlard vous perturbe-t-elle ? Sérieusement? Je n'en avais pas la moindre idée, et je m'en fiche quelque peu. Je doute que je l'aurais de toute façon fréquenté, et je ne doute pas, que comme la plupart des adolescents en crise, il finira par faire son grand retour. Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? Nevaeh ne sera jamais en sécurité tant qu'elle ne saura pas réfléchir correctement à la portée de ses actes, mais qu'elle soit à Poudlard, ou ailleurs cela ne change pas grand chose. Quant à Poudlard, il y a tant de rumeurs, et de vérités obscures sortant de cette école que je ne l'ai jamais vraiment considéré comme un endroit sûr. Bien au contraire, pour qu'une école engendre la base d'une guerre il faut bien que quelque chose cloche quelque part.Que pensez-vous des attaques de Pré-au-Lard ? Pas au courant non plus, mais je suppose que pour cela il faut prêter un minimum d'attention à la vie extérieur, à la presse des sorciers ou encore écouter tout ce qui se raconte dans les couloirs. Ne pas faire comme je le fais, attendre que le temps passe en se morfondant tout bonnement.Le gouvernement et les médias nient l’existence d’une force semblable aux Mangemorts. Et vous, vous en êtes où à ce sujet ? Ce n'est pas mon gouvernement, je m'en fiche complètement, je n'ai désormais plus que quelques mois à tirer dans cette foutue école, il en est de même pour Nevaeh, qui sans nuls doutes me suivra quand je quitterais ses lieux. Alors à quoi bon s'attacher aux rumeurs, à quoi bon me lancer dans une guerre qui ne me regarde pas. Les problèmes anglais sont du ressorts de l'Angleterre, pas du mien, pas des miens, alors que Dieu sauve la reine et les autres avec.
le moldu derrière tout ça
Pseudo :TchapalowÂge : 23ans et demi. Avatar : Lucho JacobFréquence de connexion : Au moins une fois par jour Comment as-tu connu le forum ? Je suis déjà membre, Ambroise c'est moi Code : validé par Loki Copyright : Tumblr, Tchapalow et icônes de meteorus (parce que j'avais pas envie de les changer).
Dernière édition par Zachary I. Longfellow le Dim 1 Sep - 12:22, édité 13 fois
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Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Jeu 27 Juin - 14:00
il était une fois
La Boum ▽J’ai peut-être un pied dans la tombe, mais je ne veux pas qu’on me marche sur l’autre !
Quand vous arrivez dans une école de sorciers, vous avez le droit de vous poser toutes les questions les plus étranges comme « est ce qu’ils mangent vraiment des chauves-souris ?! Est-ce qu’il vole vraiment sur des balais ?! Et le chapeau pointu c’est un mythe ou une réalité ?! », et vous êtes bien forcé de vous rendre compte que le mythe du sorcier tient en grande partie de la réalité. En partie, bien sûr. Parce qu’il faut vite effacer l’idée que l’on s’est fait de la sorcière en regardant celle qui traumatisé Bugs Bunny, ou encore celles que l’on pouvait rencontrer dans les contes de fées de notre enfance. Exit la peau verte, exit la vilénie caractérisée. Non, pas qu’il n’existe pas de vilains sorciers, mais ce n’est pas la magie qui vient caractériser la personne, c’est juste qu’au fond, quoi qu’ils en disent, quoi qu’ils puissent se penser être supérieur à l’humanité, ils restent humains et soumis à nos foutues émotions. Mais moi, quand je suis arrivé à l’institut de Salem, je ne savais rien de tout ça, je ne connaissais rien à la magie si ce n’était le dernier spectacle qui avait donné par un magicien pas tellement doué à la kermesse de l’école de ma sœur. En somme j’étais seule dans un monde inconnu, largué au milieu d’une foule de choses que je n’avais jamais vu, et que je n’avais jamais vraiment souhaité voir d’aussi près. Parce que quoi que l’on dise, quoi que l’on espère, quand on vous apprend du jour au lendemain que vous êtes un petit sorcier de quatorze ans, et que vous allez devoir tout quitter pour aller vivre avec des gens que vous n’avez jamais vu, ça n’a pas le don de vous rassurer. Au contraire. Et ce que j’ai pu voir dans les yeux de mes parents, cette lueur de soulagement en me voyant monter dans ce train qui me menerait vers des terres aux noms incongrus, termina de m’achever. Je n’ai pas honte de dire que dans ce train, assis sur un de ces fauteuils recouverts d’un vieux cuir brun abimé jusqu’à la corde à certains endroits, j’ai laissé coulé quelques larmes sur mes joues encore enfantine.
La nuit venait à peine de tomber, et le ciel pas encore d’encre révélait, pourtant, déjà ses plus belles étoiles. Hautes dans le ciel, elles brillaient de leur plus bel éclat dans l’obscurité qui avait pris la ville qu’elles surplombaient. Un transformateur avait explosé un peu plus tôt dans la journée, plongeant toute la ville dans les ténèbres, et aux fenêtres, parfois, on pouvait voir se découper des ombres vacillantes à la lueur des bougies sommaires que les habitants avaient trouvées dans les fonds de leurs tiroirs. Si l’on suivait la rue à peine illuminée par les lucioles promeneuses qui passaient aux travers des fines branches tombantes des saules pleureurs, on pouvait arriver devant une simple petite maison aux murs blanchis à la chaud qui semblait s’être perdu entre les âges. Partout, brillaient des lanternes aux couleurs chatoyantes que l’on avait accrochés aux arbres et aux gouttières qui entouraient cette curieuse maison. Dans le jardin, se découpait entre les herbes folles, deux silhouettes qui, assises sur une nappe damassée pointée du doigt le ciel sans nuage. Un rire d’enfant passait outre les hululements d’une chouette qui s’était nichée dans un chêne non loin de là. « Et là tu vois c’est l’étoile du berger ! », disait une voix douce un peu vieillie par des années déjà bien vécue. « Mais contrairement à ce que l’on croit, l’étoile du berger n’est pas une étoile ! », la vieille dame caressait les cheveux de son petit-fils, emmêlant ses doigts noueux dans les cheveux noirs et bouclés de cette enfance captivée. « C’est en fait la planète Vénus ! Elle est belle non ?! ». La lueur colorée des lanternes, mêlée à l’émerveillement faisait briller de mille feux les grands yeux verts de Zachary. Il souriait de toutes ses dents, tout du moins, de toutes les dents qui n’étaient pas encore tombées ; s’abreuvant des paroles pleines de savoir de son ainée. Parfois, il levait les yeux vers elle avec ce grand sourire innocent, et tout aussi vite il retournait la tête vers les étoiles. « Un jour je vivrais dans les étoiles, mamie ! », s’écriait-il en se mettant debout. Il écartait alors les bras, et se mettait à courir autour de sa grand-mère, mimant un avion en sautillant par-ci par-là effrayant le chat en frôlant presque ses longues moustaches.
Mais c'était un autre temps, un temps fait d'insouciance et de rêves, un temps où la magie n'avait pas encore faire son œuvre. Un temps où l'innocence me laissait croire que tous les enfants du monde pouvait rejoindre l'espace, s'amuser avec les étoiles et toucher du bout des doigts les rayons du soleil. Seulement de ses rêves, il n'en resta plus qu'une simple poussière d'étoile balayée par un funeste vent. Brisé. J'étais brisé par la fatalité d'un destin que l'on ne choisi pas mais qui s'impose à vous. Alors, on me cacha de la vu de tous, fermant les rideaux sous mon nez pour m’empêcher d'être vu par l’extérieur, alors que je ne voulais qu'être vu par la voûte céleste. Silencieusement, je me glissais, nuit après nuit, hors de mon lit, évitant les planches du parquet qui craquaient toujours sous mon poids, à pas de loup, je bravais les interdits dictés par les volontés supérieures, et je grimpais les marches poussiéreuses du grenier pour mieux voir au travers de la fenêtre en chien de fusil, ses étoiles que j'entendais chanter. Leur chant m'envoûtait et pourtant me rendait chaque nuit un peu plus triste, dégoutté de cette vie infernale qui m'avait enfermé dans la peau d'un sorcier. Je me fâchais contre moi-même, m'abandonnais aux vices des vertus peu avouables, et laisser déferler ma déchéance aux airs de fureurs éternelles. Le petit garçon brisé, devint un jeune homme perdu, éperdu face à cette simple erreur de trajectoire. Apeuré à l'idée que je ne pourrais jamais réalisé ce pourquoi, je le pensais, avoir été un jour façonné. Que pouvais-je devenir si je n'avais plus de rêve ? Que pouvais-je bien faire si plus rien ne venait s'imposer à moi ? Rien. Rien du tout, et je me laissais emporter par le vent d'une destinée sans me préparer à l'idée que j'allais être embarquer dans quelque chose de trop grand pour que ma nonchalance s'y prête sans que je m'y accroche.
Dans les grands escaliers de bois de la maison, elle était assise, presque recroquevillée sur elle-même, ses cheveux bruns tombant sur son visage aux airs attristés. Étouffée, on pouvait entendre les cris de leurs parents qui hurlaient leur mécontentement en se lançant dans une bataille injurieuse. Désœuvré, il ne savait que faire, arpentant les couloirs, tentant de fuir le raffut de cette dispute incessante, ne pouvant soulever le regard apeuré d'une sœur en émois. D'entre eux, quoi qu'il puisse dire, elle avait toujours été la plus forte, et lui n'avait jamais été en mesure de la protégé, il se trouvait toujours trop mauvais, trop lointain, pas assez démonstratif pour s'approcher ne serait ce qu'un peu d'elle. Mais il ne pouvait s’empêcher de penser que s'il s'était fait plus présent dans sa vie, s'il s'était imposé à elle rien de tout cela ne serait arrivé, jamais on ne l'aurait approché de la sorte. La culpabilité se faisait ressentir à ce moment critique, et plus que jamais, il avait envie de se rapprocher d'elle, de se montrer fraternel, de resserrer ce lien qui les avait un jour uni puis désuni. Lentement, plein de doutes, les mains enserrant un verre de lait dans lequel il avait dilué un peu de sirop de fraises, comme il le faisait déjà pour elle quand elle était petite fille ; il avait gravit deux marches le mettant ainsi à sa hauteur. Sans s'en rendre vraiment compte, il avait dégluti bruyamment ce qui avait attiré l'attention de sa sœur qui avait levait les yeux sur lui. Ils avaient tous deux les mêmes yeux, clairs tantôt verts parfois bleus, ce n'était qu'une question d'émotions, de temps, de tempérament pour qu'il vire de l'un à l'autre. Ses yeux à elle sont verts ce jour là, remplis de regrets, de hontes et de tristesse, tout autant que les siens à lui sont remplis de culpabilité. Il tend déjà ce verre remplit du liquide laiteux et rosé en sa direction, qu'elle regarde durant un instant qui semble interminable avant de le prendre dans une de ses petites mains tremblantes. « Je suis vraiment désolé. », clame-t-il avait qu'elle n'ai pu ouvrir la bouche pour le remercier de son geste. « Tu peux. Tu ne m'as pas aidé. », son ton était rempli d'amertume, et d'un geste impulsif elle lui avait jeté le verre de lait à la figure avant de se lever et de gravir le reste des marches de l’escalier. « J'avais besoin de toi Zack, et toi, comme d'habitude, tu n'as fais que regarder sans rien dire. ». Puis elle avait disparu, claquant la porte de sa chambre derrière elle, le laissant là, seul, dégoulinant de ce seul geste fraternel qu'il avait été en mesure de faire et qu'elle lui avait jeté à la figure.
L'annonce de la grossesse de Nevaeh, la désertion la plus totale de celui qui l'avait mise dans cet état, la haine de nos parents pour le mystique, et le regard des autres, tout cela m'avait propulsé moi ainsi que tout mon entourage dans un tourbillon, puissant, dont nous ne pouvions nous extirper. Caché derrière les lourds rideaux, nous attendions juste que le temps passe, admirant les gens passer dans la rue, joyeusement, dansant au son du carnaval qui se préparait dans la grande ville. Je pouvais admirer la joie de cette prison dorée, je pouvais goûter à l'horreur qui s'installait dans notre quotidien. Elle, ma sœur, me reprochait de ne pas l'avoir aidé, et eux, mes parents, me reprochaient de ne pas avoir assez veillé sur elle. Je m'effondrais dans la culpabilité, alors que mon rôle dans cet affaire n'avait été que mineur, voir, inexistant. Pourtant, je restais ainsi, assis sur le fauteuil prostré dans mon silence, embaumé par cette aura pesante, il n'y avait que des larmes et des cris dans cette maison. Plus personne pour rire aux éclats, et même grand-mère, dans sa bonhomie naturelle préférait fuir cette maison. Je l'entendais encore dire à mon père que la vie n'apportait pas toujours ce que l'on en attendait, mais qu'il fallait la prendre comme elle venait, ne pas contrarier le destin. Grand-mère était certes un peu étrange, même très originale, mais elle avait néanmoins raison, les choses étaient ainsi faites. Le ventre de Nevaeh ne cesserait de grossir, de s'arrondir et un jour elle serait mère. D'un jour à l'autre, les rouages s'enclencheraient et cet instant de calme, bien que pesant, serait briser. Elle se noyait encore dans l'espoir qu'ils lui laisseraient son enfant, qu'ils lui permettraient de vivre avec le fruit de ses entrailles... Mais elle ne faisait que se bercer de bien douces illusions, cruelles et perverses. Ils avaient décidé de la tournure des événements bien avant que sa grossesse ne puisse se voir, ils camperaient sur leur position, ne se donneraient pas la peine de l'écouter, de prendre en compte ses droits sur cet enfant à naître, ils n'en feraient rien parce qu'ils étaient ainsi. Parents indignes, aux regards indifférents à l'égard de leurs enfants qu'ils considèrent encore comme la plus grande erreur de leur vie, leur imperfection indéfectiblement rattachée à leur supposée perfection. Ils ne m'ont pas écouté, ils ne l'ont jamais fait, alors je crains que tout cela soit peine perdue. L'espoir n'est rien d'autre qu'un miroir aux alouettes.
Infâmes étaient le mot le plus appropriés pour les désigner, à peine fut elle délivré des affres de la grossesse qu'on lui retirait son enfant des bras. On lui avait assuré qu'on le garderait, mais qu'elle ne pouvait s'afficher avec lui, qu'il fallait faire avec le regard des gens, on lui avait dit qu'elle n'avait pas encore la force d'affronter leur méchanceté. Mais tout cela n'avait été que mensonges, mensonges enrobés de sucres, seulement même le plus doux des miels n'avaient pu faire taire la colère qui grondait. Elle hurlait encore qu'elle voulait son enfant, qu'elle s'enfuirait avec si il le fallait, mais les portes s'étaient refermé derrière eux, l'enfant babillant entre leurs bras. Seul Zachary était resté, debout dans un coin, la mine fermé, la bouche close, il n'avait rien trouvé à dire, il n'y avait de toute façon, absolument rien à rajouté. Pourtant, lui aussi était furieux, non pas contre elle, pas contre lui-même, ni contre leurs parents, ils étaient furieux contre le père de cet enfant qui la laissait dans l'embarras, qui ne répondait à aucune missive. Il faisait le mort, et semblait vouloir ignorer tout de cet enfant qui avait été le fruit d'un amour qui semblait de plus en plus imparfait. Assise au fond de son lit, les larmes coulaient sur ses joues encore rosies par l'effort, assise sur son lit elle se morfondait. Elle priait d'une voix à peine audible, cherchait de l'aide là où il ne pouvait y en avoir. Et lui, muet, muré dans un mutisme incontrôlable, s'était enfin décidé à faire un pas vers elle, il s'était assis sur le bord du lit. Un lit dur, inconfortable comme on en trouvait dans tous les hôpitaux, empêchant qui conque de s'y attacher au point de vouloir y rester. S'imposant par delà les limites qu'il s'était jusque là imposait, il la prit dans ses bras, et la réaction ne se fit pas attendre, elle cria, le frappa de toutes ses forces le blessant autant dans son égo que dans sa chair, mais jamais il ne la lâcha. Plus jamais il ne la laisserait retomber dans les pièges qui l'avait conduite à cette vie pleine de tristesse, à cette vie dont lui-même n'arrivait pas à se soustraire.
Tout avait été calculé depuis la grossesse jusqu'à ce qu'elle accouche. J'imaginais ma mère écrire de longues lettres expliquant la situation, et me demandais où était passé cet enfant que me sœur avait fait naître au sein de notre famille. Je me posais mille question mais n'obtenait que trop peu de réponses. La seule explication que l'on accepta de me donner vint à traverser les lèvres de ma grand-mère. Londres. Londres semblait avoir été la solution la plus propices aux Evénements que nos parents avaient trouvé. Ils nous expédiaient purement et simplement à des milliers de kilomètres, tentait de nous oublier et de nous faire oublier. On nous enterrait nous et les problèmes qui suivaient notre quotidien de sorcier, d'enfants indignes. Poudlard. Oui, Londres et Poudlard étaient deux noms propres qui résonnaient à l’unisson dans nos esprit avec le mot punition. Nous étions punis, et condamnés à vivre là-bas. Je n'y ferais qu'une année, une simple année passée à la surveiller, elle cette sœur qui ne supportait plus ma présence. A me supporter moi et ma haine grandissante envers le monde sorcier, et mon dégoût le plus totale pour ces êtres qui se disaient "purs", trop pour accepter de se mêler aux autres, trop pour accepter pour leurs propres erreurs. Mais ce que je devais surtout supporter, c'était moi-même, et mes erreurs constantes, ma déception ambiante.
Dernière édition par Zachary I. Longfellow le Dim 1 Sep - 11:55, édité 11 fois
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Jeu 27 Juin - 14:09
Enfin le Lucho Reuh bienvenue et Bon courage pour ta fichette Tu connais la maison si t'as une question
Invité
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Jeu 27 Juin - 14:10
Le Lucho! GENRE! Ca fait même pas six mois que j'en parle... Si? Ah bah... Si alors.
Invité
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Jeu 27 Juin - 17:04
Rebienvenuuuuuue.
Etna E. Maugrey
HRIen depuis le : 07/04/2013 Parchemins écrits : 520 Statut : C'est compliqué
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Jeu 27 Juin - 17:43
Lucho Jacob Toi je t'aime!
K. Lucifer B.-Lestrange
HRIen depuis le : 06/02/2013 Parchemins écrits : 1066 Statut : » The City looks so pretty, do you wanna burn it with me ? (Lilith Ogden)
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST: They Are Coming To Take Me Away ; Neuroticfish - Burn ; Hollywood Undead - I'm Not Jesus ; Apocalyptica ft. Corey Taylor - I'm A Fake ; The Used - River Below ; Billy Talent - Reincarnate ; Motionless in white - Lucifer Rising ; Rob Zombie - Rock'n'roll Nigger ; Marilyn Manson
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Jeu 27 Juin - 20:48
re bienvenue hate de voir tout ça
Invité
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Jeu 27 Juin - 22:24
Re bienvenue
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Ven 28 Juin - 7:41
Rebienvenue ! Tu connais la maison, tu sais où venir nous embêter en cas de question Le code du premier post a plantééééé avoue, ça fait ton bonheur
Invité
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Ven 28 Juin - 10:59
Il a planté? Ah bon?!
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Sam 29 Juin - 11:36
Je te l'ai corrigé . Et va dans les cadeaux ( ICI ) parce que Roro a une surprise pour toi
Invité
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Dim 1 Sep - 12:23
Bon bah j'ai terminé quoi!
Invité
Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past. Dim 1 Sep - 18:30
Tout est ok pour moi, rebienvenue parmi nous !
Félicitation & bienvenue
“ Poufsouffle avait le goût du travail acharné Tout ceux de sa maison y était destiné. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y compris le flood et les jeux.
TOUTEFOIS
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Enfin, pour finir, si ce n'est pas la première fois que tu t'inscris sur HRI, n'oublie pas d'aller recenser ton multi-compte ICI ! Bien sûr, dans l'histoire, les nouveaux ne sont pas oubliés non plus, c'est pour quoi nous avons mis en place un système de parrainage que vous pouvez consulter ICI
Bonne chance à toi
Jeune Poufsouffle
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Sujet: Re: Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past.
Zachary I. Longfellow ♣ Live your life, dream your dreams and forget the past.