Nom : Roederer. Prénom(s) : Lune Pacôme. Surnom : Moon ou Moony, pour les anglophones, lorsqu'ils comprennent le sens de son prénom. Âge : 19 ans. Date et Lieu de Naissance : Un 3 Janvier à Paris. Nationalité :Franco-britannique.. Pureté du sang : Issu d'une très vieille famille de sang-purs français, certaines de ses ancêtres, un peu trop démonstratives, sont mortes sur le bûché. Année d'étude & Maison : Sixième année. Orientation sexuelle : Homosexuel convaincu, il a des goûts assez divers et parfois on l'accuserait presque d'être gérontophile, mais 15 ans de différence c'est si important ? État civil : Célibataire.

Baguette : Elle est longue de 28 centimètres, bois de pommier et cheveu de vélane. Sur toute la longueur de la baguette une sorte de liane de marbre est incrustée dans le bois. Patronus :La crainte de Lune a longtemps été de ne pas aller à Poudlard, mais à Beauxbâtons. Le jour où il reçut sa lettre il passa une heure à hurler son bonheur. Ce souvenir fait apparaître... un pélican. Épouvantard : La noyade. Même s'il nage assez bien, quand il est face à un épouvantard celui-ci forme une sorte de nappe d'eau autour de lui. Particularité : Veuillez consulter d'abord cette page pour bien vous informer sur quelles particularités il vous reste. Il vous faudra remplir le petit formulaire qui se trouve sur la page des dons et dès que les administrateurs vont auront donné leurs réponses, vous pourrez commencer votre fiche. Options choisies & métier envisagé : Lune aimerait être enchanteur et créateur de sortilèges au Ministère de la Magie. Mais il aime aussi étudier des choses relativement différentes, c'est pour quoi il a pris les options études des Runes et études des Moldus, autant connaître son ennemi. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? La famille de Lune trempe dans la magie noire depuis toujours, sans être pour autant des mages noirs comme le défunt Lord. Lune a commencé à pratiquer cet art occulte avec son grand-père et continue de le pratiquer régulièrement. Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ? Lune avoue être du côté des rebelles et des revanchards. Il aime l'idée d'être dans l'opposition et puis, il a l'impression de toucher du doigt son désir de puissance en étant du côté obscur de la barrière.

Les Origines du Mal.
Vous n’avez aucune conscience de ce qu’être violé peut-être. Oubliez ce sentiment de honte sur votre corps, ce dégoût pour votre âme. Vous n’avez rien expérimenté de la violation suprême de la sécurité de votre seule intimité. Je n’ai jamais compris, jamais cherché à comprendre pourquoi mon Grand-Père me faisait ça. La véritable déchéance c’est de ne pouvoir se sentir à aucun moment chez soi, profondément en état de fébrilité permanente. C’est difficile à imaginer, mais mettez-vous à ma place. Votre esprit est la seule construction immatérielle que personne n’est capable de pénétrer sans votre accord, jusqu’au jour où vous rencontrez ce monstre, cette abomination qu’est Friedrich Roederer. J’avais cinq ans la première fois que mon âme a été violée. A-t-on un jour pensé qu’un petit vieux de soixante ans s’amuserait à torturer son petit fils dans son sommeil, lui faisant visiter des contrées de cadavres, de géniteurs découpés en morceaux. Ce cauchemar perpétuel j’aurais pu l’oublier mais ce qui déclencha en moi ce qui me fait aujourd’hui, ce fut cette réflexion au matin.

Friedrich » On dirait que vous avez passé la nuit à voir des fantômes, Lune.

Ce regard amusé qui en disait long sur ce qu’il savait, mes yeux d’enfants gonflés par les larmes que j’avais pu versé en voyant les corps de toute ma famille, sauf le sien, détruits toute la nuit s’enfoncèrent dans son regard d’acier. Le sourire carnassier que ses lèvres portaient avec fierté et assurance frappa chaque fibre de ma conscience. Non seulement il savait pour le cauchemar, mais il en était le responsable. Il m’avait fait ça une fois, je ne le laisserais pas faire de nouveau. C’était surestimer mes capacités infantiles et mésestimer sa force. Pendant neuf ans je fus la victime de ses viols mentaux, le désastre que j’aurais dû être à quatorze ans s’avéra être un jeune homme déterminé à devenir plus puissant et plus destructeur que cet homme.

Lorsque j’étais une œuvre d’art.
L’art est un mensonge permanent. Rien n’est plus hypocrite qu’un instant volé, qu’un portrait peint. Ils ne vous représentent en aucune façon. Et si vous voyez en ces photos une fidèle vision de vous, c’est que je ne peux rien pour vous sauver. Je ne mérite pas qu’on essaye de capturer l’essence de ce qui fait de moi qui je suis dans un instantané. Mes parents ont toujours eu de moi cette idée que j’étais une poupée malléable à souhait, et il faut avouer que je me suis donné beaucoup de mal pour coller à leurs attentes. Pas qu’elles m’importassent, mais j’avais découvert assez tôt que la guerre avec mon Grand-Père était la seule bataille que je pouvais mener de front. Alors l’enfant maudit que le père de mon géniteur me faisait devenir, advint un caméléon familial. J’avais mes propres objectifs, le premier d’entre eux étant de partir le plus loin de cette maison. Poudlard était ma solution, la meilleure école de sorcellerie, celle dont ma mère était sortie diplômée. Je ne pouvais pas rater cette opportunité de briller par moi-même et de développer mes pouvoirs. La société dans laquelle nous vivions était si superficielle que paraître honnête et heureux n’était plus important, tout ce qui comptait se résumait à être fier de qui j’étais. Mais cette personne ne pouvait pas être tant que je vivais sous ce toit.

Jacinthe » Lune, pouvez-vous venir s’il vous plaît ?
Lune » Mère ?
Jacinthe » Nous aimerions vous présenter une amie de la famille.
Lune » Bien sûr.
Jacinthe » Lune, voici Madame Maxime, directrice de l’Institut Français de Sorcellerie de Beauxbâtons.
Lune » Pourquoi dois-je la rencontrer ?
Mme Maxime » Lune très cher, vous allez avoir quatorze ans, je suis ici pour vous parler de l’Ecole.
Lune » Je n’irai pas à Beauxbâtons !
Mme Maxime » OH !
Jacinthe » LUNE EXCUSEZ-VOUS !
Lune » Pourquoi ? Je ne suis pas fait pour Beauxbâtons, j’irai à Poudlard, là d’où vous venez Mère. Je refuse d’être inscrit dans cette école d’idiots dont la moitié parlent français avec un accent si exagéré qu’on dirait du russe.
Mme Maxime » Laissez-moi vous dire une chose, jeune homme. Vous ne recevrez aucune éducation magique si vous refusez Beauxbâtons. Il n’y a pas deux lettres par étudiant. Et si vous ne désirez pas être de mes élèves, sachez que je ne verrai pas comme un échec de ne pas avoir à vous enseigner les arts magiques les plus incroyables.
Jacinthe » Madame Maxime attendez, ne partez pas !
Lune » Je n’irai pas Mère. Peu importe ce que vous en pensez, ce sera Poudlard, ou rien. Je ne suis plus votre statue vivante à présent.
Jacinthe » En effet, vous ressemblez plutôt à un rocher inutilisable. Retournez dans votre chambre, votre Grand-Père viendra vous parler.

J’avais certainement eu tort de réagir comme cela, je devenais cet enfant gâté en train de pourrir de l’intérieur. Non, j’étais déjà pourri au fond, Friedrich avait pris cela en charge des années auparavant. Les jours qui suivirent furent parmi les plus calmes que j’avais connu depuis des années. Personne ne me dérangeait dans mes lectures sur les arts occultes, personne n’intervenait pour me demander de manger, en fait personne ne venait plus au manoir. Ma mère habituée aux réceptions et tea party, passait maintenant sa journée le regard perdu au travers d’une fenêtre attendant qu’une amie arrive. Idiote, j’avais ruiné sa vie sociale en rejetant Madame Maxime. La lettre qui arriva pour ma scolarité, fut en provenance de Poudlard… J’étais probablement le plus détestable des garçons de quatorze ans mais j’avais obtenu ce qu’il me fallait pour survivre.

There must be a mistake !
« Je sens que tu pourrais t’adapter dans presque toutes les maisons, mais bizarrement j’hésite entre deux. » Il hésitait ? Son nom était le "choix peau"… Devais-je lui expliquer ce que voulait dire son appellation ? Il avait obligation de me répartir. « Je n’avais pas vu une telle détermination depuis longtemps, oser traiter une personne si importante de cette façon. Serpentard pourrait t’accueillir, ton désir de faire du mal me semble canalisable pourtant… » Qu’il se dépêche, les autres avaient déjà été répartis et j’étais là depuis plus de temps que les cinq derniers répartis réunis. « Tu comprends que j’ai ton avenir entre mes mains n’est-ce pas ? Rejeter Madame Maxime est une chose, mais je peux te coller chez les Poufsouffles si je le veux, je sens que ça t’ennuierait. » Les choses m’échappaient, je pouvais le sentir, mais pourquoi ce foutu couvre-chef essaierait-il de me saboter ? Son rôle lui avait été donné par les fondateurs, il devait respecter leur volonté. M’envoyer dans la meilleure maison est sa mission ! « Tu serais parfaitement dans ton élément à Serpentard, je le sens, parfait, ce sera donc… »

Choixpeau » GRYFFONDOR !

Les applaudissements fusèrent, j’aurais dû être heureux, Serpentard n’était pas mon rêve, mais le Choixpeau l’avait dit non ? Serpentard était mon élément ! Pourquoi m’envoyer chez Gryffondor ? Il s’était trompé, voilà c’était tout. J’aurais aimé le croire, mais ma lecture de l’histoire de Poudlard me revint alors en mémoire. « Le Choixpeau ne se trompe jamais, ses pouvoirs lui permettent de lire en votre personnalité, il visualise l’évolution de votre potentiel, sa répartition, met parfois l’élève en difficulté mais il n’en devient que plus fort. » J’étais un Gryffondor, je devrais m’y faire, mais jamais au grand jamais je ne serai le Rouge de base. Je serai une sorte de mélange entre ce que l’on penserait que je suis et le Serpentard que j’aurais pu être.

Take me to the dark side now.
Ce hibou ne m’était pas très utile de toute façon. Je n’avais pas beaucoup de contact avec ma famille, aussi m’entraîner sur lui ne me semblait pas une si mauvaise chose. S’il s’avérait que l’affaire tournât mal, mieux valait que je me retrouve piégé dans l’esprit d’un volatile que dans celui de quelqu’un d’autre. Pour mes nerfs comme pour la vie de cette autre personne. J’apprenais la légilimancie depuis maintenant plus d’un an, les rituels que j’avais trouvé dans de vieux bouquins de la bibliothèque familiale m’avaient bien aidé à me préparer. Ce soir je faisais le grand saut. La toute première infiltration dans l’esprit de quelque chose d’autre. Mon hibou pour l’occasion.

Chaque sorcier a sa façon de pénétrer l’esprit d’autrui, les légilimens ont des techniques et méthodes différentes. J’en avais deux, la plus agressive qui serviraient à envoyer une horrible image, une décharge de panique; et la plus insidieuse qui semblait plus douce, mais qui s’infiltrait doucement dans l’esprit de la victime pour en avoir un accès illimité. La première se heurtait à d’assez fortes défenses car elle s’apparentait à une réelle agression alors que l’autre était comme une caresse à contre poil, pas spécialement agréable, mais pas dangereuse.

Mes yeux clos je me concentrai, je visualisai mon esprit comme une sorte d’arc dont l’information serait une pluie de flèches. Le tir agressif n’avait pas à être précis, il suffisait qu’il atteigne sa cible, alors que l’autre technique, nécessitait plus de contrôle et de temps, il me faudrait apprendre à me retrouver dans les labyrinthes mouvants des esprits humains, toujours conscient de comment je suis arrivé là et comment m’en échapper. L’attaque fut massive, la simulation mentale du vol ne dura qu’une seconde mais la violence avec laquelle le piaf avait heurté mentalement une branche ressemblait à ce sentiment de chute que j’avais parfois en m’endormant, en plus fort. L’oiseau se débattit pour sortir de sa cage et s’envoler réellement. Stupide volatile. Le premier saut était un succès, plus que quelques années de pratique et l’esprit de Friedrich serait noyé d’attaques plus violentes et dévastatrices les unes que les autres.

There is no time for love, only chaos.
J’ai grandi dans un foyer sans amour, on m’aimait ne vous trompez pas, j’étais aimé, mais l’environnement parental lui se trouvait être légèrement instable. Et par instable je veux dire qu’il était plus facile d’entendre ma mère coucher avec ses amants et mon père avec ses amants et amantes que de les entendre faire l’amour ensemble. Avec le temps j’ai compris que l’amour n’était pas forcément la réponse à tous les maux. J’avais expérimenté les joies d’être en couple et je m’étais rendu compte que le contrôle que je pouvais exercer sur les gens n’était optimal qu’avec l’esprit libre. Cependant j’avais développé une sorte de passion pour le sexe qui me forçait à avoir au moins un amant rég*][ulier.

Lune » Je t’aime.
Siméon » Moi aussi je t’aime.
Lune » C’est bizarre de le dire enfin.
Siméon » Comment ça ?
Lune » Je ne l’avais jamais dit à personne avant.
Siméon » Je suis honoré d’être le premier alors, j’espère être le dernier aussi.
Lune » On verra.
Siméon » T’es pas très optimiste.
Lune » Je suis pressé, je dois voir une amie et je dois prendre une douche.
Siméon » D’accord, c’était agréable de manger ensemble, on se voit demain ?
Lune » On a cours de Sortilèges ensemble, donc oui.

Je mentais de façon éhontée, j’avais déjà dit à un homme que je l’aimais et en le pensant qui plus est. Siméon n’avait rien d’un amour à mes yeux. Cette déclaration n’était qu’une manière de plus de l’avoir sous mon contrôle, et puis il fallait avouer qu’il savait s’y prendre quand on entrait dans la phase intime de notre relation. Sa façon de me regarder était aussi très agréable, alors quel mal y avait-il à lui faire croire que je l’aimais ? Et puis après tout, je n’avais pas fait vœux d’honnêteté. Ce qu’il ne savait pas ne pouvait pas lui faire de mal et mon rendez-vous sexuel avec mon autre amant n’allait pas tarder à m’attendre dans la salle sur demande alors j’avais besoin de me dépêcher de le renvoyer dans sa salle commune.

Pseudo : Lune, depuis plus ou moins 5 ans maintenant ! Âge : Je dirais que je suis plus près de la trentaine que de la dizaine mais juste un peu, je n'ai même pas 21 ans ! Avatar : Anthony Gastelier, et n'importe qui voulant faire un avatar de lui aura Lune a sa disposition pour tout type de délire Fréquence de connexion : Véritable ermite collé à son ordi ? Le plus souvent possible, 5/7 environ, j'espère ! Comment as-tu connu le forum ? Mon meilleur ami, irl, Charles A. Archer. Code : code validé par Quigg Copyright :Lapy pour l'avatar et Tumblr pour le reste.