Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération
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Sujet: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 0:29
Avaon Cadell Dilwyn
carte d'identité
Nom : Dilwyn Prénoms : Avaon Cadell Surnom : Aucun de très usité Âge : 20 ans Date et Lieu de Naissance : 2 novembre, Cardiff Nationalité : Galloise ! Pardon : Britannique. Pureté du sang : Sang-mêlé Année d'étude & Maison : Septième année, Gryffondor Orientation sexuelle : Homosexuel État civil : Célibataire
le sorcier en toi
Baguette : Bois de Saule, Trente-trois centimètres, Flexible, Plume de Phénix. Une association réputée féminine, idéale pour les enchantements mais relativement difficile à manier. Patronus : Une magnifique oie sauvage. Ce n’est certes pas le comble de la virilité, mais c’est très efficace. Épouvantard : Un cavalier sans tête dégoulinant de sang — classique mais toujours très effrayant. Particularité : Aucune. Options choisies & métier envisagé : Etudes des runes, Arithmancie. Un solide cursus en enchantements, métamorphoses, sortilèges et histoire de la magie. Tout cela promet un très bel mais très silencieux avenir au Département des Mystères. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Pas la peine d’en faire toute une histoire ! Avaon aime bien expérimenter tout ce qu’il trouve dans les livres de plus ou moins bonne réputation. Alors, de temps en temps, quand un sortilège un peu douteux lui passe sous la main, il fait un essai. Bien sûr, il faut que cela n’implique pas d’égorger une vierge sur une tombe au crépuscule — d’abord, c’est très compliqué à trouver, ce genre de choses, à Poudlard, ensuite, il n’a pas envie de s’attirer des ennuis. Du coup, en fait, il s’en tient surtout aux petits maléfices mineurs. Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ? Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Avaon ne partage pas avec les Serpentards l’obsession du sacro-saint pur, ni d’ailleurs le mépris galopant pour les autres qui les caractérise ordinairement. Lui, s’il peut rester hors des conflits et des ennuis, il aime autant. Alors les rébellions, les complots, les messes basses, tout cela, très peu pour lui. Il n’est du côté de personne, si ce n’est du sien.
Dernière édition par Avaon C. Dilwyn le Lun 4 Fév - 20:56, édité 1 fois
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Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 0:30
ton histoire
Ce n’était pas qu’il fût exactement un fils ingrat, c’était qu’il n’aimait pas ses parents. Après tout, cela arrivait à tout le monde, et même dans les familles très bien. Sans doute n’avait-on jamais compris précisément ce qu’il avait à leur reprocher. C’était des gens très bien, les Dilwyn, de l’avis général des habitants du quartier. Bon, d’accord, des gens un peu bizarres, sans doute, avec un sens très personnel de la mode, des gens froids, et taciturnes, et au regard méchant, mais enfin, ils tondaient leur pelouse (on ne les voyait jamais faire, mais l’herbe était coupée : c’était tout ce qui comptait).
La vérité, la sinistre et sordide vérité, c’était que les Dilwyn étaient des sorciers. Non, bien sûr, pas des sorciers avec des chaudrons, des crapauds et des fioles pleines de sang pour les rituels au clair de lune — ah, en fait, si. Les Dilwyn étaient tout à fait ce genre de sorciers. D’ailleurs, même les autres sorciers, ceux qui s’habillaient aussi bizarrement, ne trouvaient pas les Dilwyn très, très sympathiques. C’était peut-être leur façon de ne pas dire bonjour en allant acheter des mandragores au marché le petit matin. Ça et le fait que ce fût des meurtriers.
La vraie vérité, la vérité définitive, le Ministère l’avait dit, c’était celle-là : les Dilwyn étaient des mages noirs. A peu près. Ils n’étaient pas très intelligents, ils n’avaient pas conçu de terribles maléfices et, en fait, ils se contentaient de suivre les ordres. Un peu comme embrigadés dans une secte. De la main d’œuvre pour gourou en mal de reconnaissance ou de la chair à canon, selon le point de vue. A Poudlard, ni l’un ni l’autre n’avaient brillé par leurs résultats, mais ils avaient été tenaces, ils s’étaient faits des amis — ce qui s’en rapprochait le plus, tout du moins.
Les Dilwyn étaient à peu près au force du mal ce que le club de football du village voisin était à la Ligue des Champions. Leur gourou à eux était un vieux un dérangé qui vivait dans une cabane dans la campagne galloise et qui avait dû être lui-même un jour le disciple de quelqu’un de plus puissant, de quelqu’un dans le genre de Vous-Savez-Qui, mais pour être honnête, on ne savait pas vraiment. Ce qui était évident, c’était qu’il en avait retiré deux ou trois connaissances et qu’il ne lui déplaisait pas, de temps à autre, de pêcher un ou deux larbins un peu limités tout juste sortis de Poudlard pour se donner des illusions de royauté.
En fait, c’était presque par accident que les Dilwyn étaient devenus des meurtriers. Ils avaient voulu subtiliser habilement une essence de bois précieuse dans une boutique locale — du cèdre enchanté, disait le procès-verbal de leur jugement — et la vendeuse s’était réveillée, avait tenté de les circonvenir, les Dilwyn s’étaient énervés et l’avaient littéralement taillée en pièces. Les Aurors dépêchés sur place et qui avaient interrogé les suspects supposent que les Dilwyn avaient plutôt tenté de lancer un sort de pétrification. Mais ils s’étaient un peu embrouillés.
La justice sorcière n’étant guère clémente, les Dilwyn partirent finir leurs jours peu fructueux à Azkaban, laissant derrière eux un enfant : Avaon Cadell Dilwyn. Avaon était peut-être le fils du facteur — ou plus probablement le fils du facteur et de la laitière, tant il était vrai qu’il ne tenait ni de son père, ni de sa mère. Il avait vécu les dix premières années de sa vie sous la houlette douteuse du couple malchanceux, ses dix ans approchaient, le voilà parti pour un orphelinat sorcier, en plein Londres — chez les Britanniques, voyez-vous, autant dire en pays sauvage. Heureusement, une enfance un peu difficile avait inculqué à Avaon Cadell Dilwyn un sens aigu de la patience et de l’évasion imaginaire.
Ce n’était pas que les Dilwyn aient jamais été violents avec leur enfant. Non, même, à leur manière, ils l’aimaient. Le choyaient, presque. Ils avaient l’ambition d’en faire un grand mage noir. Ils avaient commencé par lui inculquer des principes. D’abord, mentir sur son sang, se prétendre Pur. Ensuite, concevoir des plans à longs termes. Eux-mêmes n’en étaient pas capables. Enfin, conquérir la puissance.
Avaon n’avait pas prêté une attention très soutenue à des enseignements qui, d’ailleurs, avaient été un peu confus et essentiellement théoriques. Lui, ce qu’il aimait, c’était jouer — prétendre être un chevalier, par exemple. Enfin, son jeu préféré restait : le percepteur d’impôts. C’était un métier qu’il ne comprenait pas très bien, un truc de Moldus, mais enfin, du peu qu’il avait saisi, cela consistait à terroriser les gens en leur volant leur argent, quelque chose à mi-chemin entre le bandit qui attaque les diligences et Dark Vador.
Avaon aimait bien les Moldus. Il aimait bien leurs films, par exemple. C’était un peu étrange, mais toujours très divertissant. Il aimait bien leurs romans aussi. Il aimait bien, par exemple, Marcel Proust. A onze ans, Avaon avait lu Marcel Proust. Il faut dire que la nature paraissait avoir économisé pendant une génération des points de QI en privant les parents pour doter généreusement l’enfant.
L’orphelinat fut une période heureuse pour Avaon. Bon, bien sûr, ce n’était pas exactement l’endroit rêvé — mais cela, justement, le forçait à rêver. Il y avait une bibliothèque, il y avait de grands bâtiments où se cacher et jouer, il y avait d’autres enfants, c’était toujours beaucoup mieux que ce qu’il avait connu auparavant. La directrice n’était pas toujours très agréable, mais enfin, en gros, elle n’était pas trop méchante — un peu vieille, un peu aigrie, voilà tout. C’était une adulte, en somme.
Avaon avait découvert de nouveaux jeux : faire disparaître les meubles, écrire des nouvelles d’aventure, apprendre les décimales du nombre pi, changer l’heure des montres des surveillants, jouer au docteur avec ses camarades masculins, faire exploser les objets du quotidien, apprendre à parler français, construire des machins pour faire des trucs avec des bidules, utiliser un ordinateur, etc.
La vie était une découverte perpétuelle. Avaon était quelqu’un, somme toute, d’assez joyeux. Optimiste, même. Vivant. Voilà : quelqu’un de vivant. Les surveillants de l’orphelinat eussent plus volontiers dit « survolté » ou « intenable », mais après tout, cela revient à peu près au même. Donc, Avaon était optimiste, curieux des choses et des autres, toujours à courir partout, à escalader (un peu), à se battre aussi (beaucoup), à lire (énormément).
Bref, il allait entrer à Poudlard, il avait grandi, il se sentait plein de force, de vigueur et de désir d’apprendre — surtout il se sentait prêt pour être un Gryffondor. Il voyait déjà la fière écharpe rouge et or flotter au vent. Ce serait tellement classe quand il serait joueur de Quidditch ! Sans parler des troisième mi-temps dans les vestiaires. Double déception.
Seule consolation, le Choixpeau, en effleurant à peine son crâne, beugla « Gryffondor » à toute la salle commune au grand désespoir de l’adolescent. Avaon était aux anges et, en plus, l’écharpe lui allait à merveille. Les préfets de Gryffondor chargés de faire régner l’ordre et la discipline ont depuis marqué ce jour d’une pierre noire.
Premire déception, en fait, au Quidditch, il était nul. Nul était même un euphémisme. Les cours de vol était une torture. Une humiliation perpétuelle. Il en a pleuré de rage, le pauvre Avaon, au fond de son lit, la première nuit (mais c’est un secret). Ce n’était pas qu’il fût orgueilleux — bon, peut-être un petit peu. Mais quand même, il était sportif, il était génial, pourquoi il n’arrivait pas à faire marcher un petit balai de rien du tout ? La vie était injuste.
Troisième déception, pas de troisième mi-temps. Bon, en fait, ce n’était pas tout à fait ça. Des garçons pour jouer au docteur, Avaon en trouvait bien un ou deux de temps en temps. Le problème, c’était plutôt le reste. Les bêtises. Les excursions, les expériences, braver les interdits ! Ses camarades étaient un peu frileux à son goût. C’était une chose de s’amuser au lit, mais cela ne suffisait pas : il fallait aussi faire exploser les murs, transformer les tables en goret et explorer la Forêt Interdite.
A vrai dire, une chose devenait petit à petit évidente : Avaon était, disons, téméraire. Il rédigeait certes des dissertations de rat de bibliothèque, mais sa ressemblance avec le premier de la classe s’arrêtait là. Un chapelet de retenues en tout genre ornait son dossier personnel, pour des motifs plus ou moins exotiques : a enchanté les trophées de la Salle des Trophées pour qu’il chante l’hymne gallois tous les matins à deux heures, a organisé des parties de cartes clandestines avec les centaures de la Forêt Interdite, a nuitamment exploré le Lac sans autorisation préalable, a recouvert les boules de cristal de la classe de divination d’une substance non-identifiable mais manifestement corrosive.
Avaon avait peut-être un léger, tout petit problème avec l’autorité. Mais il était un peu désarmant : ce n’était pas qu’il bravait les interdits, c’était qu’il avait l’air, sincèrement, honnêtement, de ne pas les comprendre. Difficile de lui inculquer un peu de bon sens. On espérait qu’il se calmerait avec l’âge. L’espoir fait vivre.
Avaon vieillit, grandit, étudie et forme un projet : plus tard, il sera enchanteur. A peu près. Il faut dire qu’en la matière, il a une solide avance. La plupart des objets qu’il possède sont désormais très éloignés d’avoir les mêmes priorités que ceux de ses camarades. Et Avaon s’est assagi, son caractère s’est affiné en même temps qu’affirmé : il sait que ce qu’il veut, c’est la paix.
C’est un peu naïf, peut-être. Mais il a des idées très précises : diplomatie, protection, rythme de vie. Avaon est un peu un doux rêveur. Pas de ces doux rêveurs qui restent assis à rien faire, plutôt de ces utopistes qui veulent construire à toute force une nouvelle société. C’est le secret de son énergie et de sa curiosité : il aime les mondes imaginaires où tout se passe mieux que dans la réalité. Ré-enchanter le monde, c’est une expression qu’il prend au pied de la lettre.
le moldu derrière tout ça
Pseudo : Y en a pas. Âge : 23 ans Avatar : Eugen Bauder Fréquence de connexion : Au moins une fois tous les deux jours (au moins) Comment as-tu connu le forum ? J’étais là avant — avant de disparaître soudainement (et j’en suis navré), en même temps que le professionnalisme de SFR (vous la sentez mon amertume ?). Bref, après quelques semaines de lutte téléphonique acharnée (et de bibliothèque municipale — erk) et avoir entrainé ma nouvelle boîte (chez Numéricable, cette fois-ci), me revoici. Un peu tard, semblerait-il, puisque mon précédent compte (Noctis Somberseed) a disparu. Ce n’est pas grave, je n’en avais qu’effleuré la surface, et je peux aussi bien recommencer à neuf. Code :Validé par Lizzie. Copyright :Moi et mes captures d’écran.
Invité
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 2:18
ReBienvenue parmi nous Excellent choix d'ava au passage Je compatis pour les déboire avec le net, ça me rappelle quand je faisais mes études, dans mon appart étudiant, internet nous jouait souvent des tours @@ Mais les bibliothèque municipale, c'est le bien :o j'y ai bossé 3 mois pour un stage ** *sort*
Invité
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 6:57
Bienvenue, à nouveau
Invité
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 7:18
Rebienvenue alors Très bon choix d'avatar au passage
Invité
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 10:17
Bah rebienvenue. (même si je ne sais pas qui tu es *PAN*)
Invité
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 11:12
Rebienvenue sur le forum
Zane E. Goyle
HRIen depuis le : 13/04/2012 Parchemins écrits : 1281
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Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 12:11
re bienvenue ^^
Invité
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 14:59
Rebienvenuuue.
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 16:55
Oh, Noctis Contente de te revoir. Si tu veux récupérer ce personnage, nous avons gardé ta fiche... comme tu le sens. Un nouveau départ est une idée sympathique aussi. En tout cas, tu connais la maison, n'hésite pas à venir embêter un membre du staff en cas de question ( de préférence, un modo, parce que les deux admins sont en galère cette semaine, visiblement )
Rohàn D. Lestrange
HRIen depuis le : 26/10/2012 Parchemins écrits : 676 Statut : Fiancée enfuie, largué par son petit copain, en relation extra-incestueuse avec sa cousine d'amour
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 19:50
Gruuuuh, je connais pas cet ava mais il a la classe. Bienvenue o/ (ou rebienvenue si j'ai tout compris ) !
Invité
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Jeu 1 Nov - 19:55
Merci pour cet accueil (à nouveau) !
Et oui, les bibliothèques municipales, c'est très bien — ça sauve la vie, au moins pour les courriels. Mais c'est un peu court et pas très confortable.
Enfin, bref.
Alesya Y. Lestrange a écrit:
Oh, Noctis Contente de te revoir. Si tu veux récupérer ce personnage, nous avons gardé ta fiche... comme tu le sens. Un nouveau départ est une idée sympathique aussi. En tout cas, tu connais la maison, n'hésite pas à venir embêter un membre du staff en cas de question ( de préférence, un modo, parce que les deux admins sont en galère cette semaine, visiblement )
Hmm. J'ai mûrement médité la question (environ), et je ne suis pas opposé à un nouveau départ. J'ai créé ce nouveau personnage, il me plait bien et ce sera beaucoup plus simple de procéder de la sorte.
Mais c'est gentil d'avoir proposé !
Invité
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Ven 2 Nov - 20:47
rebienvenue parmi nous, donc
Invité
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Ven 2 Nov - 21:38
bienvenue ! :D
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération Dim 4 Nov - 21:16
Officiellement, donc, rebienvenue sur HRI !
Félicitation & bienvenue
“ Aux yeux de Gryffondor, il fallait à tout âge Montrer par-dessus tout la vertu du courage. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.
TOUTEFOIS…
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Enfin, pour finir, si ce n'est pas la première fois que tu t'inscris sur HRI, n'oublie pas d'aller recenser ton deuxième (peut-être même troisième) compte ICI!
Bonne chance à toi
Jeune Gryffondor
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Sujet: Re: Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération
Avaon C. Dilwyn — Créateur d'ennuis depuis une génération