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 D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.

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D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. Empty
MessageSujet: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyLun 5 Nov - 19:03


Douce Cornélia Miller


(auteur)▽ ici tu mets une citation, une phrase marquante, un sous-titre accrocheur ou que sais-je encore.
carte d'identité
Nom : Miller Prénom(s) : Douce Cornélia, mais elle n'aime pas son premier prénom, elle se fait donc appeler Cornélia Surnom : Corny Âge : 19 ans Date et Lieu de Naissance : Le 24 mars à Leed Nationalité :Anglaise Pureté du sang : Née Moldue Année d'étude & Maison : Serdaigle Sixième année Orientation sexuelle : Hétérosexuelle aux dernières nouvelles. État civil : Récemment célibataire.

le sorcier en toi
Baguette : 21.5 cm,bois de saule et crin de licorne. Patronus : C'est un renard. Épouvantard : Rester dans une pièce sans aucune lumière, plongée dans les ténèbres, la paralyse. Pour dormir elle doit obligatoirement avoir une lumière proche d'elle. Particularité : Elle a une tâche de naissance en forme de croissant de lune, en bas du dos à droite. Options choisies & métier envisagé : Soins aux créatures magiques, et Arithmancie. Cornélia ne sait pas vraiment encore ce qu'elle veut faire après Poudlard, elle hésite entre devenir professeur de Soins aux créatures magiques, ou travailler à Sainte Mangouste. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Jamais, ça ne lui viendrait même pas à l'esprit de se tourner vers le côté sombre de la magie. Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? Cornélia ne souhaite pas prendre encore parti, bien qu'elle soit totalement contre cette idée d'Ombre étant donné qu'elle est une née-moldue. Mais si les choses venaient à devenir plus sérieuses, elle serait du côté de l'Odre, sans aucun doute. La disparition d’un élève de Poudlard vous perturbe-t-elle ? Étiez-vous proche de la personne ? Qu'est-ce que votre personnage ressent à ce propos ? Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? Dîtes-nous si votre personnage pense que Poudlard est toujours un endroit aussi sur ou pas. Que pensez-vous des attaques de Pré-au-Lard ? Votre personnage a-t-il peur ? Le gouvernement et les médias nient l’existence d’une force semblable aux Mangemorts. Et vous, vous en êtes où à ce sujet ? Expliquez nous si vous avez une foi inébranlable en notre gouvernement ou si c'est plutôt le contraire et que vous êtes méfiant par rapport à eux.


le moldu derrière tout ça
Pseudo : Nexia ou Nexiou pour les intimes D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 4153354820 Âge : 19 ans et toutes mes dents ! Avatar : Sarah Bolger THE PRINCESSFréquence de connexion : VRégulière Comment as-tu connu le forum ? PAR LIZZIE LE OUSTITI Code : Déjà validé What a Face Copyright : Parce qu'on ne veut pas d'histoire avec les créateurs des bannières, icônes, musique que vous utilisez, mettez ici les artistes à qui vous avez piqué tout ça. (bannières de tumblr, avatar de edenmemories, icônes de meteorus).


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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyLun 5 Nov - 19:03


il était une fois


ouat ▽ True love ; is the most powerful magic in the world.
Un amour impossible. Un amour destructeur. Leur destin est scellé depuis plusieurs siècles déjà. Chaque fois qu’ils retombent amoureux, la mort vient les accueillir à bras ouverts. Une terrible malédiction. Ils sont damnés dans chacune de leurs vies. Ils ne peuvent s’aimer. Mais ne dit-on pas que le véritable amour peut briser n’importe quelle malédiction ?


« Ils arrivent ! »

Tout n’était que cri, précipitation, terreur. Sarah attrapa son manteau, et sortit de son appartement. Manquant de se faire bousculer par une femme avec ses enfants, elle finit par se perdre dans la foulée, suivant le mouvement de ses amis, de sa famille. Les nazis étaient en route, tous devaient se dépêcher de partir avant de se faire attraper à leur tour. La peur s’insinuait peu à peu en elle, elle était terrifiée à l’idée de se faire prendre. Un brouhaha immense planait dans l’immeuble, tout le monde paniquait, les cris et les pleurs des enfants résonnaient à ses oreilles telle une musique déchirante, qu’elle aurait voulu faire cesser par tous les moyens. Descendant les escaliers aussi vite qu’elle le pouvait, Sarah parvint à se frayer un passage à travers la foule afin d’arriver plus rapidement dans la cour de l’immeuble. Les gens couraient dans tous les sens, tentaient de sortir par l’entrée principale, mais les nazis étaient déjà là, armés et prêt à tirer sur quiconque s’opposerait à eux. Elle savait qu’un jour ou l’autre ça arriverait, elle savait qu’elle finirait par être attrapée parce qu’elle était juive, et qu’aux yeux d’un tyran c’était un crime. Paniquant un peu plus, elle chercha en vain une sortie. Réfléchissant aussi vite qu’elle pouvait, faisant abstraction des personnes qui la bousculaient, elle finit par retourner dans l’immeuble à la va vite. Il fallait qu’elle se cache quelque part. Remontant les escaliers, elle retourna dans son appartement, et tout en enlevant les nombreux produits dans le meuble sous l’évier, elle se pressa d’entrer dans cette petite cachette. Son cœur battait rapidement, à une vitesse démesurée, résonnant à ses tympans, lui donnant un affreux mal de crâne. Elle était recroquevillée sur elle-même, et tentait de calmer sa respiration saccadée. Au loin, elle continuait d’entendre la foule en panique. Puis un coup de feu retentit, et bientôt le silence apparut. Tandis qu’elle continuait de patienter de la façon la plus silencieuse qu’elle pouvait dans le meuble de la cuisine, il lui sembla que le temps s’écoulait à une lenteur effarante. Alors qu’elle pensait être sauvée, elle entendit la porte d’entrée claquer.
Tétanisée, elle retenait comme elle pouvait les sanglots coincés dans sa gorge. Elle entendait les portes claquer, les objets tomber, toute sa vie être mise s’en dessus dessous. Soudain, on ouvrit la porte du meuble où elle se trouvait, et une poigne de fer la tira avec violence de sa cachette. Laissant un cri effrayé s’extraire de sa gorge, sa tête tapa contre le haut du meuble et elle se retrouva rapidement sur le carrelage, les joues ruisselant de larmes. Relevant la tête, elle vit face à elle un soldat nazi, armé d’un fusil. Effrayée, elle réussit malgré tout à supplier d’une voix tremblante ;

« S’il-vous-plait, laissez-moi partir. »

L’homme la fixait de ses yeux bleus azurs, silencieux. Elle sembla le voir hésiter un instant, puis un autre nazi entra dans la pièce.

« Ah Théodore ! Parfait, tu nous en as trouvé une. »

Le nouveau nazi s’approcha de Sarah et la força à se redresser avec brusquerie. La jeune femme ne put que se relever, et suivre le soldat. Son crâne lui faisait un mal de chien, et en portant une main tremblante à son front, elle s’aperçut qu’elle saignait. Sentant les larmes affluer à l’orée de ses paupières, elle se fit violence pour ne pas éclater en sanglot. Ils l’avaient attrapé, c’était fini, elle ne reverrait jamais plus son appartement, ni son immeuble, ni ses amis. Furtivement, elle se retourna en passant la porte de son chez elle, imprimant une dernière fois l’image de son appartement dévasté. Elle croisa le regard dudit Théodore qui les suivait, mais finit par regarder devant elle. Durant un instant, elle avait cru qu’il la laisserait partir, ou se recacher dans son placard sans alarmer personne. Mais il avait fallu que l’un de ses collègues arrive, et son espoir avait fini par s’envoler.
Elle finit par revenir dans la cour de l’immeuble, où tous les autres se trouvaient en rang. Sarah pouvait clairement lire l’affolement sur leurs visages. Les enfants avaient les joues rouges, humides de larmes, tout comme les mères qui serraient leurs progénitures contre elle, la peur au ventre qu’on leur enlève leurs enfants. La jeune femme n’avait plus personne, mais ça ne l’empêchait pas d’avoir peur pour ses voisins tous juifs qui avaient fini par devenir sa famille. Le nazi qui la tenait fermement par le bras la poussa dans les rangs et fini par retourner vers les autres nazis. Sarah manqua de tomber, mais se rattrapa tant bien que mal à l’aide de Michelle à ses côtés, qui la soutint afin qu’elle ne rencontre pas la pierre froide de la cour. La remerciant de façon fugace, elle vit tout d’un coup que quelqu’un lui tendait un mouchoir. Surprise, elle s’aperçut que c’était Théodore. Hésitante, refusant d’accepter quoi que ce soit de la part de quelqu’un qui l’emmenait tout droit en Enfer, le soldat fini par lâcher ;

« C’est pour votre front, prenez le. »

Voyant qu’elle ne réagissait pas, il prit sa main, et la força à prendre le mouchoir. Il finit par tourner les talons, sans lui lancer un seul autre regard. La jeune femme finit par plaquer le bout de tissu blanc contre son front couvert de sang. Michelle à côté d’elle l’aida à essuyer son visage ensanglanté, puis bientôt, ils durent marcher. Laissant le mouchoir plaqué contre sa blessure, Sarah suivit docilement le mouvement. A vrai dire, personne n’avait le choix, les soldats armés autour d’eux qui leur faisaient barrière empêchaient toute tentative d’évasion.

Tous arrivèrent au Vélodrome d’Hiver, on les fit rentrer par l’entrée principale, et Sarah découvrit des centaines de personnes agglutinées les unes contre les autres dans toute la salle qui était immense. Au milieu se trouvait plusieurs tentes avec quelques infirmières et docteurs qui se pressaient de soigner les juifs se trouvant ici. Rapidement, les soldats envoyèrent tous ceux qui avaient subi un quelconque choc à l’infirmerie, et Sarah dut les suivre à contre cœur. Elle dut patienter au moins une heure avant que quelqu’un décide de s’occuper d’elle. Une fois sous l’une des tentes, on lui demanda de s’allonger, en lui promettant que le docteur viendrait bientôt la voir. Soupirant, elle ferma les yeux, porta sa main à son front d’une main tremblante. La plaie avait arrêté de saigner, mais du sang séché était répandu un peu partout. On finit par s’occuper d’elle, et après avoir désinfecté sa plaie, le médecin lui mit simplement un pansement sur sa blessure. Bien que d’après Sarah il aurait fallu la recoudre, on ne fit rien de tel, et on la laissa repartir après lui avoir donné des cachets contre le mal de tête. Sortant de la tente, elle ne sut où se rendre. Des milliers de personnes étaient assises dans les gradins, des enfants couraient et jouaient par-ci, par-là, ne comprenant certainement pas ce qu’ils faisaient là. Sarah ne comprenait pas ce qu’on attendait d’eux, elle ne savait pas où on allait les emmener par la suite. Car il était fort probable qu’ils ne restent pas là. Elle sentit la tête lui tourner, et décida qu’il fallait qu’elle s’assoie. Commençant à avancer, sa vision se troubla et ses jambes commencèrent à trembler. Tentant de rester droite et debout, elle continua de marcher droit devant elle, mais ne vit malheureusement pas le carton par terre, et se le prit dans les jambes. Tombant à terre avec violence, rencontrant le sol froid, elle tenta de reprendre sa respiration. Son crâne lui faisait atrocement mal, elle avait la sensation que sa tête se trouvait dans une bulle où tout résonnait à l’intérieur avec brutalité. Les paupières closes, le visage grimaçant, elle tenta de ne plus penser à la douleur mais en vain. Elle sentit soudainement quelqu’un la relever, mais ne réussit pas à tenir sur ses jambes, et manqua de s’écrouler de nouveau. C’était certainement ces foutus cachets qu’ils l’avaient forcé à avaler, qui la mettait dans un état pareil. Soutenue par la personne qui avait pris la peine de la remette sur ses jambes, elle ouvrit les yeux et se retrouva nez à nez avec le nazi Théodore. Surprise, elle le vit dire quelque chose, mais ne parvint pas à assimiler le sens de sa phrase tant ses oreilles bourdonnaient. Il finit par l’éloigner du maudit carton qui avait provoqué sa chute, et l’emmena dans un coin de la salle. Il l’aida à s’assoir par terre, et partit lui chercher un verre d’eau que Sarah accepta. Elle ne comprenait pas pourquoi il était venu l’aider. Il était un nazi, logiquement, il était censé la détester parce qu’elle était juive. C’était son travail de tous les entasser ici, et de ne pas faire attention au fait qu’ils étaient tous des êtres humains. Mais la jeune femme n’était pas assez en forme pour lui demander quoi que ce soit, et elle sentait ses paupières devenir lourdes. Elle réussit à articuler un « merci », avant de se laisser glisser contre le mur pour se retrouver allongée par terre, les yeux clos.

Elle ne sut combien de temps elle avait dormi, mais en se réveillant elle s’aperçut que la salle était plutôt inactive. Fronçant les sourcils, elle se redressa tant bien que mal. Tous ses membres étaient engourdis, et sa gorge était sèche. Une fois debout, elle sentit que sa tête lui faisait bien moins mal que tout à l’heure, et qu’elle arrivait à tenir debout. Cherchant un endroit où elle pourrait trouver de l’eau, elle ne tarda pas à voir dans un coin de la salle des pichets d’eau sur une table. Se dirigeant vers celle-ci, elle se servit deux verres d’eau qu’elle but avec rapidité. Au troisième verre, elle sentit son ventre commencer à grogner. Elle avait faim. Cela devait faire plusieurs heures qu’elle n’avait rien avalé, et son ventre devait être vide. Mais avec toutes les chances du monde, le repas donné était déjà passé, et elle n’aurait rien à manger. Regardant autour d’elle, elle vit un groupe de soldats discuter entre eux, peut-être pourrait-il lui donner quelque chose à grignoter ? Prenant son courage à deux mains, elle se dirigea vers le groupe de nazis, qui s’arrêta bien vite de parler en la voyant arriver. Parmi eux, elle reconnut Théodore qui la toisa un moment avant de porter toute son attention sur le verre qu’il avait dans les mains. Ne se laissant pas démonter, elle lâcha ;

« Excusez-moi, serait-il possible d’avoir quelque chose à manger s’il-vous-plait ? »

Tous la fixèrent un moment silencieusement, puis ils commencèrent à rire. Ne comprenant pas ce qu’il y avait d’amusant dans ce qu’elle venait de demander, elle fronça les sourcils. Rapidement, l’un des soldats lança à un autre ;

« Hé Paul, tu ne voudrais pas aller nous préparer un petit plat, parce que la demoiselle a faim ! »

Le concerné se mit à rire d’une voix grasse, et répondit ;

« Si, si bien sûr c’est ma spécialité de nourrir les juifs en pleine nuit. »

Blessée, Sarah ne sut que répondre. Elle se sentit soudainement très seule, et elle finit par tourner les talons, ignorant comme elle pouvait les rires moqueurs des soldats. Retournant à la table où il y avait les pichets d’eau, elle se servit deux autres verres, espérant que cela atténuerait un peu sa faim. La jeune femme finit par retourner dans le coin de la salle, là où elle ne pouvait plus voir ces stupides nazis. Tentant de paraître sourde aux cris de son estomac, elle se força à fermer les yeux, et à s’endormir. Mais, elle avait tellement faim que cela éloignait son sommeil. Lâchant un soupir de frustration, elle se mit sur le dos, et se frotta le visage. Elle voulait partir d’ici, s’en aller très loin de toutes ces injustices, elle voulait changer d’identité et ne plus avoir à porter cette étoile jaune qui la différenciait des autres. A cet instant-là, elle aurait voulu que sa mère soit là. Mais elle était morte depuis deux ans, et elle ne la reverrait plus. Tout comme elle ne reverrait plus ses amis, son quartier, son appartement. Sentant les larmes lui monter aux yeux, elle prit trois grandes inspirations pour ne pas se remettre à pleurer. Tout d’un coup, elle entendit quelqu’un toussoter à côté d’elle. Tournant la tête, elle vit Théodore avec un morceau de pain dans la main. Se mettant dans une position assise, elle attrapa le pain tendu sans se faire prier. Mangeant d’abord la mie avec rapidité, elle apprécia avoir quelque chose à se mettre sous la dent. Elle vit le soldat s’assoir à côté d’elle, silencieusement. La bouche pleine, elle ne put le remercier de suite, et c’est lui qui finit par rompre le silence ;

« Désolé pour tout à l’heure. Ils n’auraient pas dû vous traitez ainsi. »

Ne comprenant pas où il voulait en venir, elle fronça les sourcils. « La traiter ainsi » qu’est-ce que ça voulait dire pour lui ? Que les nazis ne devaient pas se montrer cruels avec les juifs ? Quelle ironie, c’était stupide. C’était ainsi depuis un certain moment, et rien ne changerait. Elle serait toujours considérée comme étant une bête de foire, une fille juive, qui ne mérite pas de vivre comme tout le monde. Sarah finit par lâcher d’un ton froid ;

« Ils n’auraient pas dû me traiter comme une juive ? C’est ça que vous voulez dire ? Parce que vous savez je n’ai pas honte d’être ce que je suis. Ce n’est pas de ma faute si vous, nazis, suivez les dires d’un tyran qui n’a rien trouvé de mieux à faire que martyrisez une population qui n’a jamais rien demandé et qui ne mérite pas d’être traitée tels des monstres en cage. »

La brunette commençait à être agacée par le comportement ambigu du soldat. Que lui voulait-il à la fin ? Elle ne voulait pas de son hypocrisie, d’une gentillesse forcée, elle ne voulait rien de la part de ces nazis qui martyrisaient les siens. Elle finit par rajouter ;

« Je ne veux pas de votre pitié, vous pouvez partir. »

Le concerné la fixa quelques instants. Il n’avait pas répondu à ses dires, mais avait semblé l’avoir écouté avec attention. Il secoua légèrement la tête, un sourire en coin fleurissant sur ses lèvres. Maintenant elle l’amusait. Sarah en avait marre de ce petit numéro d’acteur, si bien qu’elle lâcha un soupir agacé, et reporta son attention sur son pain bientôt terminé, tout en ignorant Théodore à ses côtés. Elle ne serait pas rassasiée, mais ce petit bout de pain parviendrait peut-être à la faire tenir jusqu’au petit matin où les petits déjeuners seraient servis. Si encore il y en avait. La voix du soldat fini par la sortir de ses songes ;

« Vous avez mal interprété mes paroles. C’est juste que … je regrette de ne pas avoir pu vous laissez partir. »

Perplexe, la jeune femme le dévisagea comme si il était dingue, mais préféra ne rien dire. De toute façon, qu’aurait-elle pu dire ? Elle aussi elle aurait préféré pouvoir s’enfuir et ne pas avoir à venir ici, mais ça, il s’en doutait très certainement. Il lui adressa un fin sourire désolé. La jeune femme finit son morceau de pain, regrettant de l’avoir engloutit avec rapidité. Théodore finit par lui demander son prénom, ce qu’hésita à faire Sarah, mais étant donné qu’il insista fortement, elle répondit à sa demande. Ils passèrent un long moment à discuter, et plus le temps passait, plus la jeune femme ne comprenait pas pourquoi il faisait partit de ces stupides nazis. Son regard changea sur le jeune homme, finissant par le trouver terriblement séduisant. Mais elle ne pouvait pas penser ainsi, si bien qu’elle ne put s’empêcher de s’insulter mentalement d’idiote. Au bout d’un temps, Théodore la laissa, allant reprendre son poste de soldat nazi pour la journée. C’est à contre cœur qu’elle le salua, et qu’elle le vit partir, lui tourna le dos. Elle aurait voulu encore discuter avec lui, il était même parvenu à la faire rire, chose qui avait été peu facile vu les circonstances. La brunette attendit l’heure du petit déjeuner, et ne put s’empêcher de chercher Théodore des yeux parmi les personnes déjà réveillées. Elle passa la journée à attendre l’heure des trois repas donnés, sa tête la faisant beaucoup moins souffrir, bien qu’elle ait toujours ce pansement sur le front. La jeune femme retrouva quelques connaissances dans la salle, tous effrayés par ce qui les attendaient. Ce que Sarah tentait d’oublier. Elle s’efforçait à ne pas penser à l’avenir, et préférait porter son attention sur ce qui se déroulait dans la salle, regardant les enfants jouer d’un air pensif. Le soir arriva bien vite, et elle partit dans le même coin que la veille. Elle ne voulait pas se mêler aux autres, elle ne voulait pas avoir à s’attacher à d’autres personnes pour les voir finalement partir à leur tour. Se couchant sur le sol dur, elle finit par fermer les paupières, et bien vite elle s’endormit profondément, plongea dans les bras de Morphée avec une facilité déconcertante. Le sommeil était le seul endroit où elle pouvait se réfugier en ce moment, il était beaucoup moins brutal que la réalité.
Alors qu’elle rêvait qu’elle se trouvait sur une barque, au lac où ses parents l’emmenaient tous les ans en vacances, elle entendit soudainement quelqu’un l’appeler. Cherchant autour d’elle, paniquant sans savoir pourquoi, elle finit par tomber de la barque, et l’eau froide la glaça jusqu’aux os. Elle ouvrit soudainement les yeux, et aperçut deux billes azurs la toiser. Louchant presque, elle recula son visage, et papillonna des paupières. Alors qu’elle allait ouvrir la bouche, Théodore posa sa main sur ses lèvres, l’empêchant d’émettre le moindre son. Il se pencha vers elle, et chuchota à son oreille ;

« Je vais te faire sortir de là Sarah. »

Interdite, elle le toisa avec perplexité. Comment pourrait-il la faire sortir d’ici, il y avait des soldats à chaque entrée du Vélodrome. Mais elle préféra ne rien demander, et suivit Théodore silencieusement. Il l’emmena vers les toilettes et lui indiqua un toilette où se trouvait une petite fenêtre ouverte, ce qui n’était absolument pas normal d’ordinaire. Sarah n’était pas persuadée de bien comprendre où voulait en venir le jeune homme. Il lui expliqua rapidement qu’elle devait passer par cette fenêtre et qu’il la rejoindrait dehors. La jeune femme commença à sentir la panique l’envahir. Et si elle se faisait attraper ? Théodore la rassura d’un regard, et tandis qu’il l’accompagnait jusqu’à ce toilette, il signifia à un soldat qu’il prenait la relève. Ledit soldat acquiesça, et tout en lançant un regard mauvais à Sarah, il partit dans la salle. Lançant un dernier regard au jeune homme, la brunette ferma la porte des toilettes, et se retourna face à la fenêtre. Elle n’était vraiment pas très large, heureusement qu’elle avait une silhouette plutôt fine. Montant sur les toilettes, faisant attention de ne pas glisser, elle se hissa comme elle put pour passer par l’ouverture. Se faufilant en faisant le moins de bruit possible, elle tomba rapidement sur le sol, la tête la première. Se retenant pour ne pas pousser un cri de douleur dut à son crâne dont la douleur venait de renaître, elle se dépêcha de se redresser. Cherchant Théodore du regard, elle commença à paniquer de ne pas le voir arriver. Tremblante, sentant la crainte l’envahir, elle finit par voir une silhouette arriver dans sa direction. Soulagée, elle ne le fut pas longtemps lorsqu’elle ne reconnut pas Théodore. En effet, se trouvait face à elle ledit Paul qui la veille s’était raillé d’elle. Tétanisée, elle finit par reprendre le cours de ses pensées, et se mise à courir dans la direction opposée. Elle entendit le nazi crier à son encontre, persuadée qu’il n’allait pas tarder à alarmer les autres. Cherchant Théodore du regard tandis qu’elle courait comme une folle aussi vite qu’elle le pouvait autour du Vélodrome, elle finit par rentrer dans quelqu’un. Poussant un cri de terreur, son cœur battant à folle allure, elle reconnut soudainement Théodore.

« Ils m’ont vu, ils vont arriver. »

Elle sentait les larmes monter à ses yeux, sentant l’espoir d’être libre disparaitre aussi rapidement qu’il était arrivé. Le jeune homme parut inquiet durant un instant, mais se reprit bien vite. Lui attrapant la main, il continua à contourner le vélodrome, vérifiant à chaque coin du bâtiment que la voie était libre. Rapidement, il lui expliqua qu’une voiture l’attendait non loin d’ici pour l’emmener prendre un bateau vers les Etats-Unis pour le lendemain. Sarah n’arrivait pas à croire qu’il avait organisé tout ceci pour la sauver, alors qu’il était un nazi et qu’il était censé haïr les personnes comme elle. C’est alors qu’elle lâcha ;

« Viens avec moi. Partons tous les deux, tu n’as rien à faire ici Théodore. S’il-te-plait, je ne partirai pas sans toi. S’ils découvrent que tu m’as aidé, ils te tueront. »

Le concerné sembla hésiter un moment, regardant par-dessus son épaule fugacement pour voir si personne n’arrivait. Devant les yeux suppliants de la jeune femme, il finit par accepter la proposition, se traitant de fou. Mais avant toute chose, ils devaient tous deux réussir à atteindre la voiture qui les attendait. Avançant avec prudence, il repéra la rue qui les mènerait tout droit vers la liberté. Regardant de l’autre côté du mur, il vit trois soldats surveiller les environs. Paniquant, ne voulant pas attendre plus longtemps de peur de se faire coincer des deux côtés, il se tourna vers Sarah, et ordonna ;

« Cours aussi vite que possible vers la rue en face, là où se trouve le magasin de bijoux. Je vais les retarder et je te rejoindrai à la voiture qui se trouve au bout de la rue. Ne te retourne pas Sarah. »

La jeune femme secoua la tête négativement, refusant de le laisser courir un tel risque. Les larmes dévalant ses joues, elle sentit les mains de Théodore encadrer son visage afin d’essuyer ses joues humides. Plongeant dans son regard océan, le jeune homme rajouta ;

« Je te rejoindrai, je te le promets. Mais, si au bout de dix minutes je ne suis pas là, tu pars. Tu pars sans moi, promets le moi. Promets-moi de partir même si je ne suis pas là avec toi. »

Le regard insistant, Sarah finit par promettre à contre cœur. Théodore parut soulagé, et alors qu’il regardait une dernière fois de l’autre côté du mur, il ordonna à la brunette de partir dès qu’il aurait emmené les soldats un peu plus loin. Acquiesçant, le cœur battant à tout rompre, il lui lança un dernier regard, et disparut. Tétanisée, elle se força à avancer, afin de voir quand est-ce qu’elle pourrait s’enfuir. Elle aperçut Théodore venir à l’encontre des soldats. Il leur dit quelque chose, mais de là où elle était, elle ne parvenait pas à entendre leur conversation. Elle les vit s’éloigner de l’autre côté du Vélodrome, et alors qu’elle allait se mettre à courir, elle entendit des pas derrière elle. Son cœur loupa un battement, et alors qu’elle se retournait pour voir qui était là, elle aperçut Paul. Effrayée, elle se mit à courir à toute allure, alors qu’elle entendait le soldat la suivre rapidement, tout en lui ordonnant de s’arrêter. Elle ne pensait qu’à courir le plus vite possible, loin d’ici, l’adrénaline la forçant à accélérer le mouvement. Elle voulait partir, elle voulait s’enfuir, elle y était presque, elle sentait la liberté au bout de ses doigts. Mais bien vite, elle se retrouva plaquée au sol. L’espoir lui filant entre les doigts telle de la fumée. Se débattant comme elle pouvait de la prise qu’avait son assaillant, elle tenta de se libérer de la poigne de fer qui la forçait à rester plaquée au sol. Seulement, elle était bien trop frêle pour pouvoir avoir un quelconque impact violent sur le nazi. Elle entendit soudainement son nom, et alors qu’elle tournait la tête, elle aperçut Théodore arriver en courant vers elle et le soldat. Le jeune homme frappa violemment le soldat au visage, si bien que ce dernier lâcha la prise qu’il avait sur Sarah. Théodore l’aida à se redresser, et alors qu’ils allaient courir tout droit vers la rue, ils se retrouvèrent rapidement entourés par des soldats nazis qui ne tardèrent pas à attraper Sarah. Elle avait beau se débattre comme une lionne, rien n’y faisait, elle était prise au piège. Le jeune homme, abattu, ne savait plus comment sortir de cette folle situation.

« Théodore, qu’est-ce que tu fous putain ? C’est qu’une fichue juive, tu sais bien où elle va finir. »

Le regard haineux que reçu le soldat de la part de Théodore, lui fit comprendre qu’il ne devait pas ouvrir plus la bouche, pourtant, il ne put s’en empêcher ;

« Me dis pas que … Non, bordel tu peux pas aimer … ça. »

Le regard dédaigneux que lança le soldat à Sarah rendit Théodore fou de rage, si bien qu’il se jeta sur Paul et lui asséna autant de coups possibles, jusqu’à ce qu’un soldat pointe son fusil sur le dos du jeune homme fou furieux. S’immobilisant, il vit que plusieurs soldats avaient fait de même. Alors qu’il se redressait, levant les bras en l’air, il croisa le regard de Sarah. Il refusait qu’elle perde une chance de fuir parce qu’il avait mal calculé son plan, il devait la sauver, même si ça lui coutait la vie. Sans réfléchir davantage, il fonça entre les soldats, frappa le soldat qui maintenait Sarah prisonnière, et lui ordonna de courir. Mais il n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit d’autre qu’un coup de fusil retentit et une balle se ficha dans son dos, au niveau du cœur.

Voyant Théodore tomber à terre, Sarah se mit à hurler, accourant vers le jeune homme agonisant. Alors qu’elle aurait dû s’enfuir, courir le plus loin possible, elle se retrouva au-dessus du corps du jeune homme, les mains pleines de sang, tentant de stopper une hémorragie qu’elle savait pourtant fatale. Les larmes coulaient abondamment le long de ses joues, les sanglots étreignirent sa gorge avec violence. Elle ne cessait de répéter en boucle ce « non » qui ne changerait plus rien à la tournure que les choses avaient prises si vite. Il était mourant, ses yeux bleutés commençaient déjà à se voiler. Il tentait de lui dire quelque chose, seulement, aucun son ne sortait de ses lèvres. Penchant son oreille vers la bouche du jeune homme, elle réussit à entendre « Ta promesse ». Le regardant les yeux pleins de larmes, secouant la tête, refusant de le laisser là en train de mourir alors qu’ils étaient censés partir ensemble, elle attrapa la main que Théodore levait vers elle, la plaquant contre ses joues humides. Elle pouvait clairement voir qu’il la suppliait de partir, de prendre ses jambes à son cou avant qu’il ne soit trop tard. Regardant furtivement autour d’elle, elle s’aperçut que la plupart des soldats regardaient la scène qui se déroulait sous leurs yeux d’un air absent, n’arrivant visiblement pas à assimiler ce qu’il venait de se passer. Sarah finit par reporter son attention son attention sur Théodore qui restait le regard fixé sur elle. Refoulant un nouveau sanglot, elle se pencha vers lui, et posa ses lèvres doucereusement sur les siennes. Ce n’était qu’un baiser fugace, chaste, mais qui signifiait tellement aux yeux de la brunette. Le cœur lourd, elle vérifia que personne ne portait son attention sur elle, et tout en jetant un dernier regard à Théodore, elle se releva rapidement, et se mise à courir de nouveau. Mais sa course fut courte, car elle se retrouva bien vite sur le sol, une douleur atroce la lançant dans le dos. On lui avait tiré dessus, lâchement, par derrière. Inspirant comme elle pouvait, elle sentit son souffle devenir court, et son cœur augmenter de rapidité, pour finalement ralentir et s’arrêter.



Alors qu’elle rentrait de l’école, accompagnée de sa nourrice, elle se dépêcha d’ouvrir la porte d’entrée afin de retrouver sa mère qui devait déjà être dans la cuisine en train de préparer son goûter. La petite fille laissa son cartable dans l’entrée, et se précipita vers la cuisine. Mais qu’elle ne fut pas sa surprise en découvrant sa tante et son oncle à table, avec Colin, son petit frère de deux ans Fronçant les sourcils, la petite brunette âgée de six ans finit par demander ;

« Où est maman ? »

Sa tante sembla réagir un instant, se redressa et vint s’agenouiller devant elle. Cornélia ne comprenait pas ce qu’il se passait, elle ne comprenait pas pourquoi sa mère n’était pas là, comme d’habitude. Elle vit les yeux de sa tante briller de larmes, et tout en caressant son visage, elle finit par lâcher d’une voix brisée ;

« Douce, ma chérie, maman et papa ont eu un accident de voiture. Ils sont … ils sont partis. »

La petite fille sentit ses yeux se remplir de larmes tandis qu’elle assimilait lentement la nouvelle. Elle fronça ses sourcils bruns, et demanda ;

« Ils sont partis où ? Au ciel ? »

Sa tante acquiesça lentement, et finit par la prendre dans ses bras. La petite fille finit par éclater en sanglots, réclamant ses parents entre deux crises de larmes. Tout ceci semblait illusoire, faux, un simple cauchemar. Et pourtant, elle ne parvenait pas à se réveiller. La petite Cornélia fut forcée de lâcher sa tante, et finit par atterrir dans les bras de sa nourrice. Son petit frère restait silencieux, quelques larmes roulant sur ses joues, mais il ne semblait pas comprendre la situation actuelle. La brunette elle comprenait qu’elle ne reverrait plus jamais ses parents, qu’ils n’étaient plus là, ce qui faisait redoubler un peu plus ses sanglots. Sa nourrice tentait de la réconforter tant bien que mal, chamboulée elle aussi par la nouvelle. Puis, tout se décida très vite, Cornélia et Colin viendrait vivre chez leur tante Saly et leur oncle Franck, ils vendraient leur maison, leurs meubles, et partageraient l’argent en deux pour les enfants qui grandiraient sans parents à leur côté.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


« DOUUUCE ! »

La concernée grogna, levant les yeux au ciel. Elle ne supportait pas qu’on l’appelle ainsi, elle n’aimait pas ce prénom, à vrai dire elle le détestait. Il lui rappelait bien trop sa mère, et elle préférait être appelée Cornélia qui était son deuxième prénom. Enfilant sa robe de chambre, elle alla voir sa tante qui l’appelait depuis la salle de bain. Elle savait parfaitement qu’elle allait se faire réprimander. Entrant dans la salle de bain, elle ne put s’empêcher de regarder le désordre qu’elle avait laissé dans la pièce après sa douche.
En rentrant de l’école, elle avait été tellement agacée par une camarade de classe qui avait fait des remarques sur ses amies et elle, qu’elle avait tant bien que mal refoulé toute la colère qu’elle avait ressentie en entendant cette pimbêche les critiquer. Si bien qu’elle a tout de suite été prendre une douche. Seulement, sans savoir comment elle s’y est prise, la tuyauterie a explosé, et a laissé toute l’eau s’échapper et éclabousser la salle de bain. Surprise et paniquée, Cornélia a essayé d’arrêter l’eau, à l’aide de serviettes seulement, rien n’y faisait. Si bien qu’elle a fini par abandonner, agacée au possible, et à tout laissé en plan. Ce n’était pas la première fois qu’une telle chose se produisait. Lorsqu’elle commençait à sentir la colère s’insinuer en elle, et qu’elle ne l’extériorisait pas tout de suite, quelque chose autour d’elle finissait par exploser en mille morceaux. La semaine dernière, ça avait été la télévision parce que son frère lui avait piqué la télécommande, alors que c’était elle qui était arrivée en première dans le salon. Enervée, elle avait fini par l’insulter de crétin, et en partant, l’écran de la télévision avait éclaté en mille morceaux. Sa tante pensait qu’elle le faisait exprès, mais elle ne comprenait pas, tout comme Cornélia qui n’arrivait pas à savoir comment elle s’y prenait pour casser toutes ces choses. Elle tentait tant bien que mal de se calmer dans ses moments-là, mais bien souvent c’était pire que tout.

« Tu peux m’expliquer ce qu’il s’est passé dans cette salle de bain Douce ? demanda sa tante énervée. »

La concernée haussa les épaules en regardant sa tante d’un air désolé.

« J’en sais rien. Je prenais ma douche et d’un coup le robinet a explosé et toute l’eau est sortie. J’ai bien essayé de l’arrêter, mais j’ai pas réussi. »

Sa tête lâcha un grognement, et tout en pointant la porte du doigt lança ;

« Hors de ma vue. »

Ne demandant pas son reste, Cornélia retourna dans sa chambre pour finir ses devoirs. Elle entendit sa tante appeler son oncle pour venir l’aider à nettoyer la salle de bain. Très souvent, toutes les bêtises qu’elle faisait comme aujourd’hui, c’était sa tante et son oncle qui nettoyaient après elle. Ils ne lui demandaient jamais quoi que ce soit, et ne la punissaient que rarement. Il fallait vraiment qu’elle ait fait quelque chose de très grave pour être punie. Au contraire son frère et son cousin se faisait gronder très souvent, mais eux, c’était parce qu’ils cherchaient les ennuis dès qu’ils le pouvaient, faisant toute les bêtises inimaginables volontairement.

Fermant la porte de sa chambre, elle s’installa à son bureau et termina son devoir d’Histoire qu’elle avait à rendre pour le lendemain. Cornélia âgée de treize ans, a toujours été une excellente élève, très travailleuse, et très autonome pour ces devoirs. Elle a toujours reçu les félicitations de la part de ses professeurs, et sa tante et son oncle ont toujours été très fiers d’elle. La jeune fille aimait travailler, elle aimait apprendre bien plus que ses amies qui pensaient plus à regarder les séries télévisées du soir qu’à réviser leur contrôle pour le lendemain. Et tout ceci convenait très bien à la brunette. Rapidement, elle entendit sa tante l’appeler pour le dîner. Terminant sa phrase, elle descendit rejoindre sa famille pour prendre le repas. Bien que ses parents n’aient jamais cessé de lui manquer chaque jour passé depuis leur mort, Cornélia a toujours été une jeune fille heureuse, avec une famille aimante avec qui elle aime passer du temps. Elle aime son petit frère Colin plus que tout, et lorsqu’il se fait embêter à l’école par des plus grands, elle ne se gêne pas pour aller le défendre et leur dire sa façon de penser. Et bien entendu, elle aime son cousin Justin comme si il était son petit frère.

S’installant à table, son oncle lui tendit une lettre. Surprise, se demandant qui pouvait bien lui écrire, elle ouvrit l’enveloppe. Lisant rapidement la lettre, elle fronça les sourcils, ne comprenait pas qu’elle était cette mauvaise blague. Visiblement, elle était admise dans une école qui lui était alors inconnue jusqu’à aujourd’hui, une école du nom de Poudlard. Passant la lettre à son oncle et à sa tante, elle attendit leur réaction. Tous deux se trouvaient être aussi surpris qu’elle, et lui promis de se renseigner à propos de cette étrange école dès demain.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


Jamais au grand jamais, Cornélia n’aurait cru à l’existence d’une école de magie dans le pays. Cette idée ne lui aurait même pas effleuré l’esprit. Et pourtant, la voilà partit en direction de la gare afin de se rendre à Poudlard pour sa première année. De suite après s’être rendue au chemin de traverse afin d’acheter ses bouquins pour l’année, elle a commencé à les dévorer afin de mieux connaître l’endroit où elle se rendait, et surtout pour en apprendre le plus possible sur la magie. Son frère avait de suite été contre l’idée que sa sœur parte un an dans une école loin de chez eux, et qu’elle ne revienne que pour les vacances de noël. Cornélia lui avait donc promis de lui écrire tous les jours, sachant pertinemment que ce serait dur pour tous les deux de se quitter.
Après avoir embrassé toute sa famille, leur disant au revoir et leur promettant de leur écrire dès son arrivée à l’école, elle prit la caisse de son chat Hawaï et monta dans le train. Elle trouva un compartiment vide, et s’installa dedans. Sortant son chat de la caisse, le laissant vadrouiller dans le compartiment, elle se plongea de suite dans un livre qu’elle avait commencé durant les vacances. Quelques élèves de son âge ne tardèrent pas à rentrer dans le compartiment, et de suite, elle sympathisa avec eux, étant plutôt sociable aux premiers abords. Tous partageaient leurs craintes par rapport à leur future maison. Cornélia ne savait pas vraiment où elle serait envoyée, mais elle s’en fichait un peu à vrai dire. Une fois arrivée au château, la jeune fille s’émerveilla de suite en découvrant le faux plafond de la Grande Salle. Très vite, son nom fut appelé parmi la liste des élèves des premières années. Tremblante, une boule dans le ventre, elle monta les marches, et s’assit sur le tabouret, attendant que le choixpeau donne son verdict. Ce qui ne tarda pas à arriver ;

« SERDAIGLE »

Ravie, elle se dirigea vers la table de sa nouvelle maison, félicitée par ses nouveaux camarades. A présent, elle avait hâte de commencer les cours.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


Sortant de son cours de potion, ses cours dans ses mains, elle se fit soudainement bousculer. Sous le coup, elle lâcha ses livres qui s’écrasèrent par terre dans un vacarme assourdissant. Agacée, elle lança un regard noirâtre au Serpentard qui partageait son cours de potion, et se pencha pour ramasser ses livres. C’était ainsi tous les jours, elle se faisait bousculer, insulter de « sale sang-de-bourbe », et ça ne cessait jamais. Elle avait vite découvert la non joie d’être née de moldus, malgré tout, elle avait appris à se défendre avec le temps, et bien qu’elle ne s’abaissaient pas à répondre tout le temps à leurs insultes, lorsqu’ils allaient trop loin, elle ne se laissait pas marcher sur les pieds. Elle n’en était encore jamais venue à la violence, ou même à dégainer sa baguette, tout simplement parce que ce n’était pas dans son tempérament, mais elle refusait d’encaisser sans rien dire comme certains. Elle valait mieux que tous ces sang-purs imbus d’eux-mêmes.
Cornélia est en sixième année, c’est une excellente élève, et elle a eu de très bons résultats à ses BUSES. Elle est plus motivée que jamais pour réussir sa sixième et sa septième année.








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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyLun 5 Nov - 19:10

AHHHHN ELLE EST TROP CHOUPIE TON AVATAR D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 2774444739
reuh bienvenue!
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyLun 5 Nov - 19:18

Merci Sala I love you
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyLun 5 Nov - 19:37

HANNNN J ADORE SARAH D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 1003453391 D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 1003453391 D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 2774444739

Rebienvenue et bon courage pour ta fiche :p
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MERCI D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 750478455
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Rebienvenuuue. D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 750478455
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Rebienvenue et bon courage pour ta fiche D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 1001172573 D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 750478455
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyLun 5 Nov - 21:04

VOUS ETES TOUS MIGNONS D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 847004189
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Et voilà ton quatrième perso donc xD (re)bienvenue ichi ♥
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyLun 5 Nov - 21:33

Merci D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 750478455 Oui, il n'y a que les gens fous qui ont 4 comptes What a Face Toi plus qu'un et tu me suis D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 2684751256
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyMar 6 Nov - 1:25

re bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyMar 6 Nov - 3:33

que j'aime cette actrice D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 750478455
rebienvenue (a)
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyMar 6 Nov - 6:52

Wahou, quelle jolie fille I love you
Bienvenue chez nous D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 2211252749
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyMar 6 Nov - 11:30

Rebienvenue. I love you
J'aime bien ton choix d'avatar, j'ai trop aimé Sarah Bolger dans The Tudors. D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 2077153353
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyMar 6 Nov - 11:31

Rebienvenue Yvette What a Face
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyMar 6 Nov - 14:43

Merci à tous D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 750478455
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyMer 7 Nov - 8:57

Coucou, il nous faudra un lien D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 1003453391
Rebienvenue, même si tu connais déjà bien la maison D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 750478455
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyMer 7 Nov - 9:33

Bien sûr qu'il nous faudra un lien *-* MERCIII D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 2774444739
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Alesya Y. Lestrange
Alesya Y. Lestrange
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MessageSujet: Re: D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles.   D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. EmptyDim 11 Nov - 8:16

Haaaaan, comment qu'elle est choupette votre histoire D. Cornélia Miller ♦ Où va-t-on mademoiselle ? Dans les étoiles. 750478455



Félicitation & bienvenue

“ La passion de Serdaigle envers l'intelligence
Animait son amour des bienfaits de la science. „



Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille !
Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.

TOUTEFOIS…
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Enfin, pour finir, si ce n'est pas la première fois que tu t'inscris sur HRI, n'oublie pas d'aller recenser ton deuxième (peut-être même troisième) compte ICI!

Bonne chance à toi
Jeune Serdaigle

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