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 And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)

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MessageSujet: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptyJeu 30 Aoû - 19:04




Gabriel,

    Je veux te revoir dans la Salle Sur Demande. Je ne sais pas quand tu es disponible, quel soir tu es libre. Je suis tout le temps libre moi donc pose une date, n'importe laquelle. Si j'ai quelque chose de prévu, je ferai en sorte d'annuler pour te voir. Aussi, penses-tu pouvoir t'abstenir d'avoir des relations pendant une ou deux semaines ? L'orgasme en sera que plus excitant, j'en suis sûr. J'ai hâte.


Joli Coeur.


La fin de Novembre approchait. Et le soleil se couvrait de nuages. De plus en plus, attaqué par les lances de l'hiver approchant au loin, laissant alors des brises de vents succincts. Attablé à un rocher, Charly repensait à la lettre qu'il avait écrite environ une semaine plus tôt. La réponse du sixième année tardait trop. Sans doute ne l’avait-il pas reçu ? Ou alors quelqu’un avait fouillé là où il ne fallait pas ? Un des multiples problèmes de la volière demeurait que tout le monde pouvait s’accaparer les lettres de tout le monde. Aucune confidentialité n’était présente. Quoique, si on avait un hibou qui mord ou qui gardait coûte que coûte le courrier on avait des chances de préserver le secret d’un courrier douteux. Tripotant nerveusement son écharpe qu’il mettait depuis le jour où ses ébats avaient eu lieu dans les toilettes du quatrième étage, le jeune Scamander essaya de réfléchir à une plausible solution. « Eh beh petite frileuse. Ce n’est pas encore l’hiver ! » Un regard noir se jeta contre le Gryffondor mesquin qui lui avait jeté ça à la figure. C’était tout de même son problème s’il souhaitait porter une écharpe. C’est juste que personne ne doive voir les deux suçons que lui avait confectionné le bel Italien. C’était quelque chose de secret qui n’appartenait qu’à Charly, qui pour une des rares fois, se refusait d’être partageur avec les autres. Finalement, peut-être qu’il devait aller à la Volière ? Voir s’il avait reçu du courrier ? Et si ? Et si c’était un refus finalement, si Gabriel avait trouvé beaucoup mieux que Charly ? L’anxiété commençait à le gagner sérieusement. D’un côté, il avait terriblement envie d’accourir à la volière voir si une réponse s’y trouvait, de l’autre non. De toutes manières, ce soir, il irait dans la Salle sur Demande. Peut-être Gabriel viendrait. Comme les autres où il ne s’était pas du tout attendu à sa visite, à son apparition. Et s’il fonctionnait décidément ainsi, alors Charly n’hésiterait pas à appliquer le processus. Qui ne tente rien n’a rien.

Pénétrant dans la Salle sur Demande déserte et ressemblant comme souhaité à une chambre romantique, il scruta son dû. Il avait bien fallu faire six fois des allers-retours pour que sa concentration, ses pensées atteignent le summum et ainsi que l’immense porte de cette Salle s’ouvre à lui. Cette nuit, il dormirait ici. Avec ou sans Gabriel. Il espérait qu’il vienne, débarque d’un moment à l’autre. Et pourtant une soirée de tout repos ne pouvait lui faire de mal. Une soirée où il serait seul, à ne penser à rien. Quoique. Impossible. Il penserait à Gabriel. Avant même de penser à autre chose, la porte s’ouvrit et le cinquième année tourna la tête, espérant que ce soit son prince charmant.




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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptyMer 5 Sep - 20:06







Le sourire aux lèvres, Gabriel quitta le renfoncement discret d'un couloir désert sans même dissimuler sa tenue débraillée. Chemise hors du pantalon, ceinture ouverte, cheveux en bataille et boxer mal placé ... Tous ces signes qui témoignent des actes peu catholiques ayant eu précédemment lieu dans l’alcôve. Alors qu'il se rajustait un peu, plongeant une main dans son pantalon pour replacer son sous-vêtement et placer sa chemise, un jeune homme blond aux yeux verts d'eau quitta à son tour l'endroit que venait de déserter Gabriel. Ils échangèrent un regard complice.

L'inconnu blond arborant le blason rouge et or de Gryffondor s'éloigna vers la droite tandis que Gabriel bifurquait vers la gauche en resserrant le noeud de sa cravate, la replaçant droite sur sa chemise boutonnée avant de passer les mains dans sa chevelure d'or pour lui donner une certaine structure. Il se sentait pleinement satisfait, le joli petit lion s'en sortait comme un chef. Il avait encore quelques progrès à certains niveaux mais rien d'irrécupérable. La formation avançait comme le prévoyait Angel. Formation, c'était le mot.
Il avait trouvé le lion d'or blond devant le tableau de sa salle commune, un soir qu'il revenait d'une promenade dans le parc, au tout début de l'année scolaire. Sans préambule, avec une candeur naïve, il avait demandé à Gabriel de le former aux plaisirs de la chair. Au début, le Serdaigle avait hésité. Après tout, le petit blondinet semblait vraiment jeune. Troisième année, avait d'ailleurs précisé le gamin lorsqu'il lui avait posé la question. 16 ans. Et lui, du haut de sa vingtaine d'année, se sentait comme un criminel. Il avait d'abord refusé. Mais le petit blond avait insisté. Proposant alors à Gabriel d'attendre deux semaines, le temps qu'il ait ses 17 ans.

Depuis, ils se voyaient régulièrement et Gabriel s'efforçait d'apprendre à son jeune élève comment plaire, comment prendre du plaisir, comment aborder les jeunes garçons à son goût. Mais tout autour, il construisait aussi les bases d'une personnalité saine et équilibrée. Il enseignait à son jeune amant à ignorer les remarques homophobes, à éviter les gens potentiellement violent. Autant de chose qui lui servirait tous les jours plus que l'art de caresser ou de sucer.

Direction le septième étage. Un autre amant l'attendait, moins jeune mais aussi moins expérimenté, encore un peu innocent de certains plaisirs. Un amant infidèle. Le beau Charly Scamander lui avait demandé de venir dans la salle sur demande et il comptait bien profiter de l'occasion. Il n'avait pas donné de réponse à son camarade de cinquième année, préférant débarquer à l'improviste. Mais avant, il lui fallait vérifier que Charly y était.

Une dizaine de minute plus tard, il ouvrait la porte de la salle sur demande d'un air tranquille et nonchalant. La présence du panneau de bois dans le couloir, alors qu'il fallait habituellement faire quelques allers-retours pour la faire apparaître, lui avait prouvé la présence de Charly. Qui semblait en effet l'attendre avec impatience, assis sur le lit. « Tu m'attendais ? Il ne fallait pas ... » Gabriel jeta nonchalamment son sac le long du mur près de la porte avant de retirer sa veste pour la lancer sur le dossier d'une chaise, posée là comme par hasard. Ce n'est qu'à ce moment là qu'il prit le temps d'observer le décors.

« Ah, tu as donné dans le romantisme fleur bleu ? C'est charmant ... » Un sourire indulgent se peignit sur les lèvres du beau blond tandis qu'il détaillait le grand lit confortable, la chambre meublée comme le serait une pièce faite pour un couple marié depuis quelques années. Petite salle de bain au fond, près d'une armoire qu'il n'aurait aucune utilité. Ah, très bien. Gabriel adorait prendre une douche après avoir baisé. Ou baiser dessous, aussi, avec certaines personnes.

Finalement, il inclina la tête et murmura d'une voix douce « J'aime beaucoup la chambre. ». Tout en desserrant un peu le noeud de sa cravate, il s'approcha pour venir se placer juste devant Charly, souriant et détendu. Ils avaient désormais tout leur temps pour les folies promises.




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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptyVen 28 Sep - 20:48




Et Charly sourit. Instantanément. A la vue de son bien-aimé. Ne pouvant s'en empêcher, il s'empressa de le reluquer de la tête aux pieds. Voir si son amant s'était préparé pour la torride soirée qu'ils allaient vivre ; s'il s'était vêtu à l’occasion, portant alors ses plus beaux habits, que ce soient sous-vêtements ou encore élégantes chemises blanches et coûteuses. Cependant, son sourire se transforma en grimace quelque peu. Gabriel n'avait rien d'élégant. Enfin si, il dégageait du sex-appeal. Mais ... et le mais dominait tout. La tableau semblait tacheté d'erreurs. Les cheveux quelques peu débraillés et le col mal placé trahissait soit son manque d'hygiène -et Charly se persuadait que Gabriel, en dépit de son appétit immense pour le sexe, adorait se pomponner- soit une aventure qui s'était déroulé les heures précédentes. « Tu m'attendais ? Il ne fallait pas ... » Il l'observait jeter son sac le long du mur de la Salle sur Demande et sa veste qu'il jeta à une chaise. « Ah, tu as donné dans le romantisme fleur bleu ? C'est charmant ... » Ce n'était pas un compliment. Ou du moins, ce n'était pas à la prendre à la lettre. Le charmant agrémenta de plus la grimace. Ce n'était pas de sa faute si ses pensées semblaient aussi peu convoitées par Gabriel. Si ses pensées semblaient simplistes, mielleuses et si décalées que même la Salle sur Demande arrivait à imiter cet état d'esprit. Et pourtant, pour conclure, le sixième année lâcha avec un sourire doux, content néanmoins du résultat : « J'aime beaucoup la chambre. »

Charly, pensant à beaucoup plus compliqué et néfaste qu'il le voulait bien, n'avait même pas remarqué que Gabriel s'était dangereusement approché de lui, desserrant sa cravate. Charly se considérait pourtant comme un adolescent ; il avait des hormones surchauffés et désirant de plaisir. Et il lui semblait normal d'avoir envie, et de désirer fortement le bel italien jusqu'à en fantasmer dans son lit. Et pourtant ... leur nuit de plaisirs fous ne pouvait commencer sans une dose d'explications qui avaient ses risques comme provoquer une plausible engueulade. Il fallait mettre les points sur les i. Rectifier. Remettre dans le droit chemin. Un tas d'expression. Mais le regard de Charly s'était fixé sur ces lèvres pulpeuses et enivrantes qu'il avait envie de sceller aux siennes. Mais céder, c'était prouver sa part de dépendance et de soumission. « J-j-'suis content que ça te plaise, bien que c'est pas ton genre de ... décor. » Une voix tremblante, hésitante et légèrement feutré de gêne. Il avait cette affreuse image dans la tête ; celle où il voyait son amant embrasser un autre homme, un mec qu'il avait chopé au détroit d'un couloir afin de lui donner sa première fois, de lui faire plaisir. Posant ses mains sur son torse, Charly souffla un bon coup avant de prononcer d'un air désolé : « Je peux pas, Gabriel ... Pas comme ça. » Le Serdaigle leva les yeux en l'air avant de se séparer de son amant, se reculant volontairement de lui tout en tenant fermement son écharpe. Sa douce écharpe qui protégeait son souvenir magnifique de la dernière fois. D'une fois où Gabriel avait voulu de lui. De lui. Comme il l'avait prononcé. Et d'un ton soupçonneux et méfiant, Charly enchaine avec : « T'as couché avec un autre mec avec de venir hein ? ... Et t'en as pas assez, alors tu cherches quelqu'un ... et t'as trouvé ton vide-bourses ... »

Il y avait cette jalousie piquante qui dominait le cinquième année. Une jalousie presque maladive. Et qui contrôlait parfois le brun. Comme à ce moment-là où il voulait du réconfort, où il désirait une de ses phrases magiques. Une phrase dont seul Gabriel avait le secret pour prononcer et rassurer. C'était une quémande cachée en réalité ; une quémande pour du réconfort, pour de la tendresse, pour des caresses. Charly en voulait toujours plus ; rien que pour lui. Gourmand garçon qu'il l'était.




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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptyVen 28 Sep - 22:22





« J-j-'suis content que ça te plaise, bien que ce ne soit pas ton genre de ... décors. » Le léger bégaiement suffit à induire un pressentiment très net chez Gabriel. Il n'aurait pas ce qu'il voulait tout de suite, Charly semblait vouloir des explications, avant. L'Italien le savait, il n'avait pas vraiment fait d'effort pour cacher qu'il venait d'avoir un rapport sexuel avec un autre homme. Rien que sa tenue débraillée indiquait qu'il avait déjà été déshabillé, touché, caressé, embrassé. Ses cheveux en bataille, malgré le léger arrangement qu'il avait tenté d'apporter, hurlaient que des mains étrangères étaient venues là, dérangeant cette tignasse blonde et soyeuse.
Gabriel sentit les mains de Charly se poser sur son large torse finement musclé, par dessus sa chemise en vrac. Après une grande inspiration, le petit brun lâcha « Je peux pas, Gabriel ... Pas comme ça. »

Ah, ça sonnait comme des problèmes à venir, ce genre de phrase. Le beau brun venait de reculer, se détachant de Gabriel pour s'éloigner inexorablement. Diable, Charly était trop attaché aux sentiments. Ne pouvait-il pas simplement profiter de ce que Gabriel était d'accord pour lui donner ? Il y prenait un vrai plaisir, en plus, à baiser avec Charly. Il s'était révélé être un amant doux et timide mais qui savait prendre des initiatives et apprécier l'instant. Il avait même été trop docile, dans les bois. Gabriel appréciait réellement son camarade mais il le trouvait décidément trop prisonnier des bons sentiments.

« T'as couché avec un autre mec avec de venir hein ? ... Et t'en as pas assez, alors tu cherches quelqu'un ... et t'as trouvé ton vide-bourses ... » Ah, voilà. Tout de suite les grands mots. Charly avait parlé d'une voix méfiante, soupçonneuse et jalouse. Pour un peu, le grand blond aurait presque prit peur, devant une preuve aussi évidente d'attachement. Mais il se força au calme, à la place. Qu'à cela ne tienne. Tout en retirant sa cravate pour la lancer vers son sac d'un geste désinvolte, il lança « Tu sais Charly ... Tu couches avec Enoah et je ne te dis rien. Je ne vois pas en quoi le fait que je couche avec un autre serait plus choquant ... » C'était un peu mesquin, il avait presque forcé la main à Charly, dans les toilettes des garçons, la dernière fois. Mais il avait cédé, de bon coeur en plus. Il avait volontairement trompé son petit-ami officiel.
D'un geste précis, il attrapa un bout de l'écharpe de Charly et tira doucement dessus pour approcher son amant brun, l'embrassant passionnément avant de souffler « Les marques que tu lui cache, c'est un peu comme ma tenue débraillée. C'est interdit, c'est mal, c'est grisant. Ne me dis pas que tu n'as jamais été attiré par le danger, mon beau Charly ... »

Il le savait mieux que personne, que Charly avait un faible pour l'inconnu, le mystère. L'aventure dangereuse des univers inexplorés. Il représentait à lui tout seul la soif de danger et de nouvelles sensations de son amant brun. Sensuellement, il laissa sa main quitter le bout de l'écharpe pour caresser le corps de Charly jusqu'à son pantalon. « Tu es drôlement bien habillé tu sais ... » D'un geste précis et vif, il déboucla la ceinture de son amant. Charly ne l'avait pas vu venir, l'Italien avait été trop rapide, imprévisible. L'instant d'après, il plongea ses doigts doux et chauds dans le boxer de son partenaire pour aller caresser son sexe au repos. Sournoisement, il resta évasif et un peu distant dans ses caresses avant de se pencher en avant et d'aller suçoter le lobe de l'oreille de son amant. Puis il murmura langoureusement « Mais tu es tellement mieux quand tu ne porte rien du tout ... »

Il leva son autre main pour venir caresser le visage de Charly. Son regard bleu gris plongea dans celui de son amant et il esquissa un sourire magnifique, emprunt d'une douceur sournoise et attachante. Par respect, il retira sa main baladeuse du boxer du brun pour venir la glisser aux creux des reins de ce dernier, l'attirant à lui en murmurant « Mais si tu décides de m'en vouloir, dis le. Je partirais sans insister, c'est ton droit. ».





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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptySam 29 Sep - 9:25




Charly pouvait s'attendre à tout. A de la colère, de la répulsion, de grandes gestes brusques. Les réactions de Gabriel demeuraient imprévisibles parfois. Et cette fois-ci, à la surprise du beau brun, le sixième année réagit avec calme, gardant cependant une petite touche de mesquinerie. « Tu sais Charly ... Tu couches avec Enoah et je ne te dis rien. Je ne vois pas en quoi le fait que je couche avec un autre serait plus choquant ... » Enoah. Enoah, c'était du passé. Pour Charly seulement. En effet, après l'aventure dans les toilettes, le cinquième année avait préféré prévenir son petit-ami officiel que les choses semblaient forées et fichues et que continuer la mascarade ne servirait probablement à rien. Alors d'un accord commun et amical, ils avaient jugés bon de stopper là. Cependant, Gabriel n'avait pas pris connaissance de cette partie-là de l'histoire. Et Charly se demandait s'il devait faire vite pour mettre les choses au clair de ce côté-là. Là, peut-être, sans doute, sûrement. Maintenant ?! Immobile, son regard semblait le seul à bouger, à observer attentivement les gestes qu'allait faire Gabriel. Sa propre cravate se trouva instantanément prise dans les mains désirables de son bel Italien. Et l'instant d'après, ses lèvres cédèrent au goût grisant de celles de Gabriel. Il retrouvait son bonheur, sa passion, cette tendresse dissimulé qu'il savourait chaque seconde. Cela se démontrait par ses lèvres envieuses, en demandant toujours plus. « Les marques que tu lui cache, c'est un peu comme ma tenue débraillée. C'est interdit, c'est mal, c'est grisant. Ne me dis pas que tu n'as jamais été attiré par le danger, mon beau Charly ... » Et cette illusion se trouvait toujours ici. Maintenant célibataire, Charly semblait toujours en couple aux yeux de l'éphèbe aux cheveux d'or. Lui dire ou ne pas lui dire ? Déstabilisé et amouraché par le baiser passionné que lui avait donné Gabriel, il ne dit rien, préférant écouter. Laisser faire. Attendre. Quoi ? Attendre quoi ? Qu'il le déshabille et qu'il le baise. on pas comme ça, pas avec cette finalité là.

« Tu es drôlement bien habillé tu sais ... » Ses yeux saphirs s'étaient plongés dans l'océan d'azur de Gabriel. Une noyade distincte, sans précédant. Aucun appel à l'aide, seulement une fixation, yeux dans les yeux. Oui, Charly savourait chaque contact tactile qu’exerçait Gabriel sur son corps. Un gémissement de surprise vif s'extirpa des lèvres de Charly lorsque sa ceinture s'était décrochée pour ainsi tomber. Les doigts de Gabriel se glissèrent dans le boxer de Charly pour caresser son entrejambe et tout en se rapprochant de lui, l'italien déposa ses lèvres sur le lobe de son oreille pour susurrer quelques mots. « Mais tu es tellement mieux quand tu ne porte rien du tout ... » Les pupilles du cinquième année s'étaient refermées, marquées par le plaisir et l'envie. Il aurait pu céder. Se jeter sur lui pour l'embrasser et le couvrir de baiser. Et pourtant, le Scamander avait aujourd'hui une humeur un peu joueuse, qui se voulait résistante. Non, il ne voulait pas céder à la première tentative. Cependant, l'action de céder se rapprochait dangereusement, trop même lorsque la main de Gabriel se déposa sur sa joue pour la caresser. Les caresses, les tendres demeuraient le point le plus faible du brun. Quelques caresses et il céderait pour de bon. Ce geste affectif qui prenait instantanément tout pouvoir sur lui. « Mais si tu décides de m'en vouloir, dis le. Je partirais sans insister, c'est ton droit. »

Un soupir d'agacement traversa la bouche de Charly à cette phrase. Et impulsivement, il rompit tout contact avec Gabriel. Il n'allait pas l'avoir comme ça, pas de si bon marché. Se mordant la lèvre inférieure, le ton de Charly devenait teinté de fermeté : « J'suis plus avec Enoah, okay ? Je suis un mec. Enfin, j'suis honnête. J'ai fait une connerie l'autre jour. Alors je n'allais pas lui mentir pour autant. » C'était la demi-vérité. Dit comme ça, le couple que formait Enoah et Charly paraissait vrai et sincère. Bien qu'en réalité, ce n'était qu'une machination des deux pour rendre jaloux le blond. Et faussement énervé, il enchérit à nouveau : « Et arrête avec ton ton ... Tu fais toujours le même truc bateau ... Tu t'approches, tu caresses doucement avant de sortir ta petite phrase ... » Essayant de faire une imitation grossière de la voix de Gabriel, il continua : « Non mais t'as le choix, t'sais, coucher avec moi ou dire non. Aha, j'insiste pas ... moi j'irais voir ailleurs parce que t'es pas le seul que je peux prendre par derrière ... je sous-entend par là que si tu prends pas un ticket pour le Vincentelli Express, t'as raté ta vie. » Reprenant un ton normal avec sa voix toujours teintée de colère, il conclut : « Alors que tu sais très bien, par avance, que les gens vont te dire oui. » Son visage se décrispa et ses muscles se détendirent, affichant une mine un peu boudeuse. Ses pieds prirent le dessus et Charly se rapprocha de Gabriel afin de prononcer sensuellement un : « Tu es terriblement sexy. » avant de sceller violemment ses lèvres aux siennes.




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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptySam 27 Oct - 18:02






Charly s'échappa soudain, reculant pour briser le contact. D'un ton agacé, il lâcha « J'suis plus avec Enoah, okay ? Je suis un mec. Enfin, j'suis honnête. J'ai fait une connerie l'autre jour. Alors je n'allais pas lui mentir pour autant. » Un sourire narquois effleura les lèvres du grand blond. Il n'était pas au courant des dernières nouveautés dans le couple des bleus. Est-ce que Charly savait qu'il avait aussi couché avec le beau Enoah, dans les vestiaires du terrain de Quidditch ? A priori, tout n'avait pas été dit, au sein du couple. Mais ce n'était pas à lui de le faire. Enoah faisait ce qu'il voulait, Charly aussi mais si telles étaient les choses, Gabriel demandait à ce qu'on lui foute la paix quant à ce qu'il faisait, de son côté. Il était libre. « Et arrête avec ton ton ... Tu fais toujours le même truc bateau ... Tu t'approches, tu caresses doucement avant de sortir ta petite phrase ... » Tranquillement, Gabriel commença à desserrer sa cravate noire et bleue, ouvrant les premiers boutons du col de sa chemise pour dévoiler un peu de sa peau pâle et douce, tirée sur des muscles fins et galbés. Il adorait faire ça, s'approcher et provoquer avant de feindre de reculer, prétextant ne pas vouloir forcer ses camarades. « Non mais t'as le choix, t'sais, coucher avec moi ou dire non. Aha, j'insiste pas ... moi j'irais voir ailleurs parce que t'es pas le seul que je peux prendre par derrière ... je sous-entend par là que si tu prends pas un ticket pour le Vincentelli Express, t'as raté ta vie. » Le sourire de Gabriel se fit plus large, presque fier. Si on lui demandait son avis, tout ceux qui n'étaient pas passé entre ses bras avaient raté leur vie mais il savait que c'était un tantinet égoïste. D'autant plus qu'il y avait certaines personnes qu'il ne voulait pas voir passer dans ses draps, dans son lit. La première en tête était Alesya Lestrange. Elle était fascinante mais il ne voudrait pour rien au monde coucher avec elle, ce serait source de trop de problème. Après, le beau Arsène Black était une proie de choix mais quelque chose soufflait à Gabriel que le blond gentleman n'avait aucun intérêt pour les garçons. Quel gâchis. « Alors que tu sais très bien, par avance, que les gens vont te dire oui. » Evidemment, qu'on lui disait oui. C'était tout le but de la manœuvre, provoquer le désir pour qu'on l'attire, le retienne. Il emprisonnait ses proies, de cette manière. Subtil pouvoir de manipulation auquel les hommes ne savaient pas vraiment résister. Les filles étaient généralement plus malignes mais rares étaient celles qui ne tombaient pas dans le panneau.

Il pensait que les reproches allaient continuer comme ça un bon moment mais ses provocations semblaient avoir eut finalement raison du beau brun, qui s'approcha de lui pour murmurer « Tu es terriblement sexy. » Gabriel esquissa un sourire avant de répondre au farouche baiser que lui donnait Charly. Ainsi, même sur le facilement vexé qu'était Charly, sa méthode fonctionnait. Qu'importe tout ce que le brun venait de lui dire, Gabriel avait quand même réussi à éveiller chez lui un désir farouche et violent, qui transparaissait dans le baiser qu'ils échangeaient. Lassé de cette manifestation trop facile, Gabriel brisa l'instant pour aller faire un suçon possessif dans le cou de son amant brun. Marque à la fois ironique et pleine de sens, au regard de leur dernière étreinte. Puis, Gabriel murmura « Tu trouves ? Je croyais pourtant que tu n'aimais pas les garçons tout débraillés ... » Là encore, pure provocation. Mais il ne laissa pas le temps à Charly de répondre, déjà ses doigts s'occupaient du pantalon du brun.

D'un geste rapide et précis, il déboutonna le jean que portait Charly et le fit glisser jusqu'aux chevilles, caressant ses cuisses au passage. Il était fin et musclé, Gabriel adorait les corps bien foutus. Lentement, il s'agenouilla face à son partenaire, le visage devant le boxer blanc que portait le beau brun. « Sexy, le boxer blanc. » D'une main, il appliqua une caresse audacieuse sur l'entrejambe de Charly, par dessus l'étoffe immaculée. Une bosse se forma alors, traître et claire quant au désir que le blond savait éveiller. Malicieusement, Gabriel fit alors sentir un peu ses ongles, toujours sur le boxer. Levant les yeux vers Charly, il murmura d'un ton faussement innocent « Tu permets ? »

Il n'attendit pas la réponse. Il s'approcha rapidement afin de poser ses lèvres sur la bosse et il souffla. Il expulsa son haleine chaude et douce sur le membre encore protégé de son camarade, le sentant alors se durcir un peu plus sous la caresse trop osée. Un léger gémissement de frustration indiqua à Gabriel qu'il s'y prenait très bien. Charly s'impatientait. Levant une main, le blond alla chatouiller les couilles de son partenaire, les caressant un moment sur le boxer avant d'appliquer une légère pression, juste assez pour que Charly laisse échapper un second gémissement, un peu plus fort cette fois, clairement audible. Amusé, Gabriel continua un moment son petit manège avant de se relever et de pousser Charly jusqu'au lit. Frustré, le beau brun lui adressa un regard noir mais obtempéra docilement, s'asseyant au bout du lit sans quitter Gabriel des yeux. Concentré, ce dernier s'occupa de débarrasser son amant de sa veste, de sa cravate et de sa chemise avant de s'agenouiller de nouveau devant lui pour virer les chaussures, les chaussettes et le pantalon. Lorsqu'il ne resta plus que le boxer, Gabriel s'autorisa un sourire satisfait.

« C'est bien ce que je pensais, tu es beaucoup mieux quand tu ne porte rien du tout ... » D'un geste délicat, il fit en sorte que Charly bouge afin qu'il puisse lui retirer son sous-vêtement, l'envoyant valser dans la pièce sans plus y accorder d'y attention. Le sexe de Charly était dressé, dur et raide sous les yeux de Gabriel, à genoux devant lui. D'une main, le grand blond vint s'emparer de cette verge gorgée de sang, la caressant sensuellement, pompant sans en avoir l'air pour qu'elle atteigne son paroxysme, son maximum. Contre ses doigts tièdes, il pu sentir le sang affluer, durcir le pénis jusqu'à ce qu'il ne puisse pas devenir plus solide. Ce n'est qu'à ce moment là qu'il esquissa un sourire complice, adressant à Charly un regard équivoque.

Puis il se pencha, écartant doucement les cuisses de son amant pour venir le sucer, prendre ce membre dur et dressé dans sa bouche. Il le suça un petit peu avant de reculer, observant Charly d'un air songeur. Mutin, il posa ses deux mains sur la pierre froide qui dallait le sol avant de revenir les poser autour du pénis de Charly, arrachant à ce dernier un gémissement, très cru, de plaisir autant que de surprise. « Voilà qui devrait te permettre de rester endurant plus longtemps ... Tu es prêt ? » Du bout de la langue, il alla taquiner le bout du pénis de Charly, attendant une réponse.



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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptySam 27 Oct - 19:38




Si Gabriel pouvait paraître terriblement agaçant aux yeux de Charly, ce dernier devait bien reconnaitre que ces manières et gestes pourtant énervants se révélaient aussi attirants. Doux et cruel paradoxe qui arbitrait le combat entre l’abstinence et le désir dans l'esprit du bleu&argent. Oh non, Charly n'allait pas montrer de résistance. Et lui-même savait qu'il allait céder. Après tout, s'ils étaient là au début, c'était pour faire ce qu'ils savaient le mieux : faire l'amour. Encore une fois, Gabriel, lui seul, avait le secret ou du moins la clef du bonheur lié au sexe concernant le jeune Scamander. Et si le beau brun entreprenait tout pour obtenir le bonheur chez ses amis, le seul temps où il pouvait penser à son propre bonheur semblait dorénavant le sexe grâce au bel italien.

« Tu trouves ? Je croyais pourtant que tu n'aimais pas les garçons tout débraillés ... » Maintenant, le cinquième année savait discerner le type de phrases qu'usait Gabriel. Et celle-ci n'était que pure provocation. Charly fit un sourire narquois face à cette phrase. Il n'aimait pas les garçons débraillés, certes. Ce qui ne voulait pas dire qu'il n'aimait pas un Gabriel débraillé. N'ayant pas le temps de rétorquer, le jeune homme sentit son pantalon se déboutonner avant qu'il ne s'abaisse sur ses cuisses. « Sexy, le boxer blanc. Tu permets ?» S'il y avait bien quelque chose qui l’intéressait plus que tout dans le monde des moldus, c'était bien la mode et les vêtements. Les dénués de magie avaient cette expertise de fabriquer des tissus tellement magnifiques que Charly avait décider d'en adopter le style. Y compris les sous-vêtements. Relevant cette sorte de compliment, le jeune garçon ne s'attarda cependant pas sur la question, sachant pertinemment que Gabriel n'était pas du genre à attendre un accord.

C'était si bon de retrouver ce contact tactile des lèvres de Gabriel sur son entrejambe. Un soupir s'était extirpé de lui, synonyme d'impatience. Sa verge sur durcit, se gorgeant de sang affluant afin de la dresser correctement. Le désir commençait alors à le picoter, à s'emparer de lui, commençant alors à chauffer sa peau. Et il y avait toujours cette difficulté à patienter, à attendre, à savoir déguster avant de croquer. Cependant, Gabriel savait offrir le paradis avec intensité que Charly voulait s'y précipiter à toute hâte. « C'est bien ce que je pensais, tu es beaucoup mieux quand tu ne porte rien du tout ... » Aidant le sixième année à extirper son boxer, le jeune Scamander s'impatienta. Mais il savait que dans quelques instants, il aurait le droit à son dû, il serait aux petits soins de Gabriel et c'est tout ce qui comptait. « Voilà qui devrait te permettre de rester endurant plus longtemps ... Tu es prêt ? » Un sourire taquin s'était dressé sur son visage. Gabriel demeurait incroyable, c'était comme inhumain ou plutôt divin. « Plus que prêt, mon bel éphèbe ! » L'italien, de son air malin, entreprit alors de poser ses lèvres sur son membre. Charly, se mettant en position, glissa ses mains dans la chevelure de son amant blond. Il caressa ses cheveux dorés, confectionnés par les mains de Dieu lui-même. « Un prince, un roi, un Dieu ... » Sa respiration s’accéléra, son cœur battant de plus en plus fort. Et ses yeux commencèrent à se rouler dans un plaisir certain, habituel or tellement délicieux.



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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptySam 27 Oct - 20:34







Charly n'attendait plus que la suite. Il répondit d'ailleurs d'une voix gorgée d'anticipation, impatiente et vibrante de désir « Plus que prêt, mon bel éphèbe ! ... Un prince, un roi, un Dieu ... » Les derniers mots éveillèrent un peu la curiosité de Gabriel mais il préféra ne pas s'attarder. A la place, il s'attela à la tâche : plaire au beau brun. Le coup de fouet apposé grâce à ses mains froides permettrait probablement à Charly de ne pas jouir trop vite, Gabriel avait donc un peu de temps devant lui pour varier les plaisir et les jeux érotiques.

Docilement, appréciant les caresses que les doigts de Charly appliquaient à ses cheveux, il revint prendre dans sa bouche le membre dur et raide de son amant brun. Langoureusement, avec une lenteur calculée, il se mit à le sucer pour de bon, en profondeur. La langueur des assauts était aussi électrisante que frustrante. Le désir était là mais maintenu à distance par un rythme presque trop sage, trop calme. C'en devenait énervant, pour la douce victime de ce plaisir immoral, inhumain. Mais Gabriel ne comptait pas accélérer tout de suite. Machinalement, il lâcha le sexe de Charly pour le lécher comme un enfant lécherait une sucette. Son air d'ange blond, ses yeux clairs et le sourire qu'on pouvait deviner dans ses prunelles rendaient l'instant faussement innocent, trop naïf, candide. Sucrerie d'enfance trop vite oubliée. En sentant Charly frissonner, le grand blond leva le regard vers le visage de son amant et esquissa un sourire avant de suçoter le bout du pénis, malicieusement. Un râle de plaisir s'échappa des lèvres du beau brun et le sourire du grand Serdaigle se fit plus large. Il posa les mains sur les genoux de Charly et entreprit de remonter vers l'entrejambe, restant bien à l'intérieur. La caresse, trop lente mais ô combien langoureuse, arracha un gémissement d'impatience à Charly. Décuplant le plaisir, Gabriel lécha vivement le sexe, de la base vers le bout, alors que ses doigts atteignaient enfin les testicules de son amant. Alors qu'un soupir de satisfaction ponctuait la caresse, Gabriel reprit dans sa bouche le sexe de Charly.

Progressivement, il accéléra le rythme pour procurer plus de plaisir, massant lentement les testicules, les serrant un peu parfois alors qu'il resserrait ses lèvres à la base du pénis, devenant ensuite plus doux, plus candide. Il s'amusait comme un petit fou, à varier les plaisirs, à se faire tour à tour lent et rapide, puissant et doux, tendre et viril ... Son expérience en la matière dépassait l'entendement. Il sentait que Charly perdait doucement pied. Lâchant les boules d'une main, il alla poser ses doigts par terre pour les rafraîchir un peu avant de revenir les poser autour de la verge dure et raide de son amant, qui poussa un nouveau cri de surprise. La jouissance temporairement refoulée, Gabriel poursuivit ses caresses en augmentant la cadence des allées et venues. Adroitement, il fit en sorte que Charly s'allonge sur le dos afin qu'il puisse accéder plus facilement aux bijoux de famille.

Avec d'infinies précautions, il s'approcha des testicules et déposa une pluie de baisers dessus, sentant son amant gémir de plaisir sous les assauts. Multitâches, le grand blond ne délaissa pas pour autant le sexe de Charly, posant ses mains autour pour le pomper langoureusement, avec des gestes amples et profonds destinés à faire monter le plaisir. Pendant ce temps, il léchait les boules, les embrassait, les suçotait délicatement, parfois un peu plus fort mais juste assez pour déclencher des vagues de plaisir surpuissantes. Gabriel s'arrangea pour faire durer l'instant, avant de sentir que de nouveau, Charly perdait pied. Pour éviter qu'il ne s'éjacule dessus, Gabriel le redressa rapidement avant de reprendre dans son sexe dans la bouche, le suçant jusqu'au bout, très vite et très fort.



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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptyMar 30 Oct - 21:19




Ses jambes semblaient enchainés par le Plaisir lui-même. Ce virus délicieux qui s’immisçait après dans les bras avant d'attendre pour la fin, l'esprit. S'il avait bien un art dans lequel Gabriel excellait, il s'agirait sûrement du sexe. Du point de vue de Charly. Lorsque les fines lèvres pulpeuses de l'italien s'étaient mises à embrasser le bout de la verge dure et puissante du brun, ce dernier s'était mit à gémir puissamment. Chatouilles diaboliques de plaisir qui augmentaient lorsque le blond continua beaucoup plus profondément. Le désir se rapprochait néanmoins bloqué par une barrière invisible mise en place par Gabriel. Spécialise, il semblait adorer refouler le désir, le repousser pour qu'il s'approche encore plus puissamment tel un taureau énervé. Les jambes de Charly tremblèrent, souhaitant sûrement trépigner. Douce impatience, mortelle torture qui se glissait dans les oreilles du brun avant de s'écouler dans son cerveau. Il s'impatientait. Sa tête basculée en arrière, Charly, les yeux fermés, gémit une nouvelle fois face à la gâterie que Gabriel lui réalisait. Les caresses des testicules vinrent ensuite, parfaitement ancrées dans le temps pour augmenter le plaisir comme il le fallait. Le rythme s’accéléra, le mouvement devenant de plus en plus rapide, arrachant quelques simples gémissements. Il commençait à lâcher prise, signe que le Plaisir avait réussi à franchir les limites imposées par le sixième année. Et un barrage tomba lorsque la main de Gabriel lâcha le sexe durci de Charly. Surpris par cet arrêt soudain, un hurlement sortit des entrailles du brun lorsqu'il sentit une certaine froideur se plaquer face à la chaleur de son bas-ventre. Violente méthode pour chasser le Plaisir.

Il n'en fallait pas plus pour que le jeune Scamander dépose entièrement son corps sur le lit, s'abandonnant une nouvelle fois aux soins de l'italien. Sentant avec envie les baisers de son amant sur ses bijoux de famille, ses paupières tremblaient aussi en signe de plaisir. Toute cette pression accumulée sur ses testicules et les vas-et-viens répétitifs et vifs commençait à déborder, excitant pleinement le Plaisir. La respiration du beau brun se saccada, devenant de plus en plus forte et trahissait son impatience. Cependant, il y avait bien une chose que Charly ne voulait pas : perdre pied, et avoir son plaisir comme ça. Énervé et impatient, l'adrénaline le poussa à se relever et à stopper Gabriel pour l'attirer vers lui afin de l'embrasser violemment sur la bouche avant de le faire tomber à côté de lui. « Putain, j'en ai marre d'attendre. » vociféra t-il sur le ton de l'impatience tout en embrassant sauvagement à nouveau son amant. De ses doigts presque habiles, il arracha la chemise du jeune Vincentelli avant de vouloir s'attaquer à la ceinture. « Je veux que tu me fasses l'amour ! »



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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptyMar 30 Oct - 22:16





Il sentait la jouissance venir, dans le sexe en érection de son amant brun. Lointaine et pourtant là, quelque part, prête à jaillir. Mais alors que Gabriel se préparait à la faire céder, à aller la chercher pour la ramener à la surface, lui permettre de s'échapper, Charly se redressa vivement, mettant fin à la gâterie. Farouche, il réclama un baiser puissant et furieux, attirant le beau blond dans ses bras pour ensuite renverser les rôles et le plaquer dans le lit. « Putain, j'en ai marre d'attendre. » Amusé, Angel se laissa faire. Sa chemise vola dans la pièce, brutalement arrachée par les mains déterminées et rapides du beau brun, qui semblait décidé à accélérer les choses. « Je veux que tu me fasses l'amour ! » Les doigts habiles et impatients de Charly venaient de déboucler sa ceinture. D'un geste brusque, il tira dessus pour la sortir de ses passants et débarrasser Gabriel de cette attache désormais inutile.

Gabriel ne broncha pas. L'expression n'était pas totalement appropriée mais elle passait, elle collait tellement au personnage de Charly que c'était normal. Pendant que son amant s'acharnait à le débarrasser de son pantalon, le grand blond glissa ses mains dans le dos de Charly, pour le caresser, le tenter, le provoquer. De longues caresses partant de la nuque pour aller s'attarder au creux des reins. Lorsqu'enfin, il se retrouva les jambes nues et libres, exemptes de son encombrant pantalon, il bougea pour venir cisailler la taille de Charly. Levant les jambes pour cerner son bassin, il s'arrangea pour que le beau brun retrouve sa place initiale, dans le lit. « Du calme, mon beau Charly. Nous avons tout notre temps ... » A califourchon sur son amant brun, Gabriel se mit alors à bouger, sensuellement. De manière salace, audacieuse. En feignant le va et vient d'un sexe dans l'anus d'un homme ou le vagin d'une fille, il se débrouilla pour caresser le pénis dressé de Charly, avec ses fesses. Il portait toujours son boxer, dernier vêtement qui lui restait, mais une bosse dure et ferme le déformait sur le devant. Lui aussi avait envie de baiser, comme un fou. Baissant son boxer pour libérer son membre en érection, il s'arrangea pour attraper la main droite de Charly et venir la poser là, sur son sexe dur et gorgé de sang. D'un regard, il fit signe à son amant de le toucher, de le masturber.

Sans plus s'occuper des doigts de Charly, il reprit son va et vient sensuel sur le corps de son amant, frottant ses fesses contre le pénis du beau brun, doucement, puis plus vite, tour à tour insistant ou fuyant. Sous lui, le petit brun tremblait, impatient et frustré mais de plus en plus excité. Mais il restait sage et il s'occupait de donner du plaisir à Angel, qui appréciait les caresses et les contacts, la manière un peu timide encore dont Charly le pompait. Il fit durer l'instant, sentant de plus en plus Charly perdre les pédales sous ses allées et venues trop langoureuses, trop sensuelles. Il décida alors de mettre fin au supplice de son bel amant brun, bougeant rapidement pour libérer Charly et s'installer à genoux dans le matelas. Après un rapide baiser, il quitta le lit pour aller récupérer son sac et le ramener près du lit, se débarrassant au passage de son boxer inutile.
Désormais nu, il vida le contenu d'une des poches de son sac sur le lit. Des tubes de gels, des huiles pour massages, des lubrifiants divers et variés ainsi que des capotes tombèrent sur le drap blanc, en vrac. De toutes les sortes, à tous les parfums, de toutes les marques, différents effets, différentes couleurs ... Les lubrifiants et les gels étaient tous différents aussi. « Alors Charly, quelque chose te tente ? » Il fit rapidement une pile avec les gels d'un côté, les lubrifiants de l'autre, les huiles plus loin et les capotes encore à part. « Les gels, c'est pour étaler sur le corps, ils ont un goût agréable, c'est fait pour. Les lubrifiants, tu sais déjà à quoi ça sert ... Ici tu as l'effet chauffant, l'effet fraîcheur, l'effet longue durée, l'effet douceur ... Les huiles, j'aime pas les utiliser avant, ça colle un peu. Mais après, si tu veux, pourquoi pas. Et les capotes ... Si tu as envie d'en tester, pour des fellations ou autres ... » Il jeta son sac au sol avant de monter sur le lit pour venir caresser le visage de Charly, l'embrassant doucement avant de lui toucher un peu le sexe, le tenant en éveil pour la suite des évènements.





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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptyJeu 1 Nov - 20:46




La ceinture semblait bloquée. Et Charly s'acharnait dessus. Il voulait l'ouvrir et après quelques secondes où il rageait intérieurement, il arriva à débloquer la situation. L'impatience le rongeait toujours autant, ayant envie de passer à quelque chose de plus fameux, de plus épique et délicieux. Il lui en fallait plus. Passant une main dans ses cheveux pour se calmer, le jeune Scamander extirpa la ceinture du blond, la jetant à terre au loin. Parallèlement, il sentit d'agréables caresses venues dans son dos, provoquées par les audacieuses mains de son amant. Ces tendresses qui avaient le pouvoir de le détendre, de le calmer tout en le tenant éveiller. Ralentissant ses vifs mouvements, le cinquième année arriva à déboutonner plus facilement le pantalon pour le ôter violemment l'instant d'après. Il pouvait alors scruter avec fierté son bel amant en caleçon. L'embrassant une dernière fois, Charly, d'un mouvement de muscles se retrouva à sa place initiale dans le lit, Gabriel, assis sur son ventre, à califourchon. « Du calme, mon beau Charly. Nous avons tout notre temps ... » Le sixième année entreprit alors de langoureux mouvements, emplis de désirs, possesseurs du plaisir. Narguer. Provoquer. Gabriel jouait encore à ce jeu-là. Jeu qui impatientait le brun qui voulait passer à la vitesse supérieure. Une feinte de pénétration, Angel portant toujours son ultime vêtement sur lui. Ôtant à moitié son caleçon, l'italien libéra sa verge dure et puissante, tout en faisant signe à son compagnon de le masturber, le caresser sensuellement afin de l'exciter. Ne se faisant pas prier, Charly, docile, s'exécuta grâce à sa main droite qui allait et venait du bout jusqu'à à l'autre du membre de son amant. Les mouvements du bassin de Gabriel s'intensifièrent, devenant beaucoup trop sensuels et excitants au goût du cinquième année qui commençait à griller ses neurones sous trop de provocation et d'impatience. D'un ton féroce, il lâcha : « Putain, baise moi ! »

La torture prit fin lorsque l'italien s'extirpa de sa place et quitta le lit conjugal d'un simple baiser sur les lèvres de Charly. Reprenant son souffle suite à tant d'excitation, le brun se contenta de rester là, allongé, immobile, regardant son amant se déplacer à travers la salle, s'arrêter afin d'enlever son sous-vêtement et l'instant d'après, s'accaparer de son sac à dos et revenir avec, déballant tout son contenu sur le lit. « Alors Charly, quelque chose te tente ? » Il fit rapidement une pile avec les gels d'un côté, les lubrifiants de l'autre, les huiles plus loin et les capotes encore à part. « Les gels, c'est pour étaler sur le corps, ils ont un goût agréable, c'est fait pour. Les lubrifiants, tu sais déjà à quoi ça sert ... Ici tu as l'effet chauffant, l'effet fraîcheur, l'effet longue durée, l'effet douceur ... Les huiles, j'aime pas les utiliser avant, ça colle un peu. Mais après, si tu veux, pourquoi pas. Et les capotes ... Si tu as envie d'en tester, pour des fellations ou autres ... » Il ne fallait pas deux minutes pour Charly de faire son choix. A la minute où Gabriel l'avait prononcé, il savait que c'était celui là dont ils auraient besoin. A son tour, Charly posa une main sur le membre tendu de son camarade, prononçant d'un air gêné, tout en levant les yeux en l'air : Hum, sucer un bout de plastique ça me tente pas trop ... » Cependant, il se rattrapa en empoignant le lubrifiant désiré et en déclarant d'un air malin : « La longue durée ... après tout, nous avons toute une nuit, c'est toi qui l'a dit ? »



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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptyJeu 1 Nov - 22:39




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I'm sexy and I know it !



Charly semblait à la fois intrigué et intimidé par tout le matériel présenté. Mais il leva les yeux au ciel en grimaçant avant de déclarer « Hum, sucer un bout de plastique ça me tente pas trop ... » Pas faux, songea Gabriel en esquissant un sourire amusé. Les doigts du petit brun retrouvèrent le chemin jusqu'au sexe d'Angel, le masturbant distraitement pendant que Charly se décidait quant à l'accessoire à utiliser. Enfin, il s'empara du lubrifiant longue durée et lança en souriant « La longue durée ... après tout, nous avons toute une nuit, c'est toi qui l'a dit ? » Il avait toujours eu de la suite dans les idées, le jeune Charly. Un détail que Gabriel pouvait réellement apprécier, parfois.

D'une voix amusée, il répondit « C'est exact ... La nuit promet d'être longue, mon beau Charly. » Venant voler un baiser rapide à son amant brun, Gabriel le repoussa dans les draps pendant qu'il débarrassait le lit des accessoires qui ne seraient pas utiles pour le moment. Il alla les déposer sur le sol, près de la table de nuit, au cas où ils en auraient besoin par la suite, avant de remonter sur le matelas.
Langoureusement, tout en forçant Charly à rester dans les draps, il se mit à le lécher, l'embrasser, le griffer un peu partout. Sur le torse, les pectoraux, sur les bras, dans la gorge, sur les épaules, sur le pubis, sur les hanches, les côtes, les cuisses ... Il apposait ses mains partout, caressant, pinçant parfois, griffant légèrement pour faire sentir ses ongles, le tout en déposant une multitude de petits baisers sur la peau de son camarade. Pour tenir la verge de Charly en haleine, il la suçotait de temps à autre, jamais très longtemps cependant. Sous ses contacts trop sensuels, trop lents et trop dispersés, il sentait son amant bouillonner d'impatience. Charly mourrait d'envie de se faire prendre, de se faire baiser. Et Gabriel continuait sa lente torture, rendant son amant brun fou d'impatience, de plaisir, de désir. D'envie. C'était là tout le but de la manoeuvre.

Puis, enfin, il se redressa et se tint à genoux dans le lit, les jambes de Charly entre ses cuisses, sous lui. « Tourne toi, Charly ... » Il n'eut pas besoin de le redire. Le brun se retourna précipitamment, fou d'impatience, ne tenant plus en place. Mais Gabriel n'avait pas terminé ses jeux indécents, audacieux. Il se mit à embrasser le dos de son bel amant, mordillant la peau par endroit, aspirant à d'autres pour laisser des suçons assez distincts, visibles. Enfin, il arriva au creux des reins, cette zone qu'il savait très érogène chez Charly. Il commença à l'embrasser de manière terriblement langoureuse, mordant parfois à la limite des fesses, faisant sentir ses dents de manière assez forte mais jamais assez pour faire vraiment mal. Juste des petites piqûres de rappel à l'ordre, des injections d'adrénaline, de désir, d'envie. Il sentait son amant trembler, presque. Un sourire effleura ses lèvres lorsqu'il descendit ses lèvres sur les fesses de son camarade, les léchant sans vergogne avant de mordre délicatement dedans, arrachant un gémissement très cru au pauvre Charly, ballotté de désir en impatience depuis le début des festivités.

Attrapant discrètement le lubrifiant, Gabriel poursuivit ses petites morsures et ses caresses le temps de déboucher le tube et de s'en verser une toute petite noisette sur le bout des doigts. Toujours sans être vu de Charly, qui étouffait des gémissements d'impatience dans l'oreiller, il reposa le flacon de lubrifiant derrière lui. Puis, délicatement, il écarta une des fesses de son amant pour commencer à caresser, du bout de ses doigts lubrifiés, l'orifice qui verrait se dérouler les réjouissances. Le pauvre Charly n'en pouvait plus et un gémissement plus fort que les autres lui échappa, légère protestation quant au temps que ça prenait. Amusé, Gabriel introduisit alors son doigt dans l'anus de son amant, progressivement. Il lubrifiait la zone tout en procurant un peu de plaisir à son partenaire, feignant sans hésiter le va et vient d'un sexe.



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MessageSujet: Re: And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)    And i swear in that moment we were infinite. ✘ charly&gabriel (hot)  EmptySam 3 Nov - 19:07




« C'est exact ... La nuit promet d'être longue, mon beau Charly. » Et tout s'assombrit à l'entente de cette phrase. Quelques secondes auparavant, Charly avait hâte de faire l'amour avec Gabriel. Parce que tous ces moments qu'il partageait avec lui demeuraient agréables et puissants. Et que lors de ces moments, ils étaient infinis. Et pourtant, le cinquième année anticipa. Oui, ils allaient coucher ensemble. Et après ? Et après, il partira. Et Gabriel ira voir ailleurs, couchant avec deux, trois, quatre ou même une dizaine de fois avant qu'il ne jette à nouveau son dévolu sur Charly. Ce dernier soupira, faisant cette réflexion qu'il pensait trop et qu'il ne profitait jamais au moment présent. Un vif baiser et Gabriel débarrassa le lit de tous les produits inutilisables avant de plaquer Charly, l'obligeant à rester dans les draps. L'italien commence alors sa descende, embrassant son amant brun. Parfois des léchouilles. Et des griffures qui arrachèrent quelques gémissements d'envie au cinquième année. Pour apprécier les petites gâteries de son amant, le jeune Scamander pencha sa tête en arrière, fermant les yeux. Ces contacts demeuraient si bons, faisant oublier tout inquiétude au sorcier. « Oooh ... ouiii. » L'impatience liée au désir ardent revenait à l'assaut de plus belle, beaucoup plus forte. Sa respiration se saccada de nouveau, devenant plus forte. Et son corps se roulait sous le plaisir. Et quelques secondes plus tard, la torture prit fin.

« Tourne toi, Charly ...» Précipitamment, le Serdaigle obéit à l'ordre lancée par l'éphèbe aux cheveux d'or, se tournant. Pensant qu'il allait avoir ce qu'il voulait, Charly découvrit que ce n'était pas encore la fin des préliminaires. Gabriel se mit à apposer des doux baisers dans le dos de son amant, parfois des suçons pour marquer quelques violets. Il arriva ensuite au creux des reins, commençant alors à embrasser l'endroit d'une manière tellement langoureuse, arrachant au passage un gémissement d'envie et d'impatience chez le brun. Et Gabriel continua sa nouvelle torture. C'était comme si l'éternité se déroulait dans l'esprit du cinquième année, beaucoup trop excité et impatient pour attendre. Il sentit finalement un doigt s'introduire dans son anus, mais cet acte ne lui suffisait pas. Il en voulait plus. Une plus grand dynamique, plus d'action. Plus de plaisir. Pris d'une trop grand impatience, Charly se leva brusquement, prenant alors de ses bras la nuque de Gabriel afin de l'embrasser langoureusement avant de se recoucher, ayant Gabriel sur lui. Après tout, il existait de multiples positions pour faire l'amour. Et griffant légèrement le dos de son amant, Charly s'exclama, sous le ton du plaisir : « Allez ... J'en peux plus ... Fais moi l'amour. »



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