Sujet: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mar 17 Juil - 22:09
Luce Isis Yaxley
carte d'identité
Nom :Le nom de la jeune sorcière est Yaxley ; qui n'a jamais entendu parlé de Sir Yaxley, mangemort réputé et pilier fondamental de la grande ère du Lord? Yaxley rime aujourd'hui avec ténèbres, et pourtant...Luce fût Prénom(s) :Luce veut dire lumière en italien et se prononce Loutché. Ce prénom peut sembler bizarre pour la fille d'un mangemort, mais la mère de la petite fût décidée à sa naissance de lui attribuer un nom synonyme d'espoir. Isis est un choix de son père, c'était le nom porté, dans la mythologie grec, par la déesse protectrice et salvatrice. Le père de Luce voulait impérativement que sa fille soit assez forte pour se protéger et, par superstition, ce nom lui sembla adéquat. Âge : 18 ans, elle est en l'occurrence la cadette d'Eliot qui a deux ans de plus qu'elle. Date et Lieu de Naissance :Née un 24 Décembre à Rome, la capitale italienne, où elle a vécut longtemps avec sa famille. Rome est et restera la ville au monde qu'elle préfère, car elle représente à ses yeux le seul endroit où sa famille semblait un tant soit peu heureuse et unie, même si ce n'était sûrement qu'une illusion dans la tête d'une fillette trop jeune et trop naïve. Son rêve serait d'y retourner un jour avec Eliot et pourquoi pas de s'y installer. Nationalité : Italiano-anglaise, Luce parle couramment italien et anglais. Il lui arrive parfois quand elle jure de le faire dans la langue de Michel-Ange.Pureté du sang : Sang-Pur, son père n'aurait jamais accepté, ni même un jour ébauchée l'idée de se marier à une Sang-Impure. Année d'étude & Maison :5ème année à Poufsouffle. Une Yaxley dans la maison des blaireaux? Son père en fût très déçu ; elle aurait du être envoyée à Serpentard, comme lui, comme son frère, comme ses ancêtres. C'est ainsi qu'elle commença à attiser sa haine et fût ainsi bien plus exposée à ses sauts d'humeurs et surtout à sa colère. Quand à Eliot, lui, faisait son possible pour la protéger toujours. Orientation sexuelle :Hétérosexuelle convaincue.État civil : Célibataire. Même si elle aime plaire, Luce n'est pas du genre à sauter sur le premier garçon qui passe, trop réfléchie pour se jeter dans la gueule du loup. D'ailleurs son frère n'apprécierait sûrement pas qu'un autre homme touche à SA petite soeur.
le sorcier en toi
Baguette :La baguette de Luce est l’une des plus belles qui puisse exister, elle est taillée dans du bois de poirier. L’arme magique de la Poufsouffle a donc une légère teinte dorée qui lui attribue une esthétique toute particulière. Le vieux fabriquant de baguette ne pût s’empêcher de murmurrer à l’oreille de la gamine que les baguettes en poirier ne choisissaient souvent que des sorciers généreux et sages, qu’aucune d’entre elles n’avaient encore choisi un sorcier ayant plus tard utilisé la magie noire. On dit aussi que les détenteurs de tels baguettes sont souvent très appréciés et vivent passablement longtemps, étonnant lorsqu'on connaît le problème de cœur de Luce. Au cœur de la baguette de la cadette Yaxley se trouve un crin de licorne des bois d’Italie, attache visible de Luce à son pays et pouvoir encore moins destiné à se tourner vers les forces du mal quand on connaît le symbolisme des licornes. Le bout de bois d'Isis mesure 23 centimètres, elle fût longtemps fière que sa baguette soit de 0.5 cm plus grande que celle de son aîné Patronus :Le patronus de Luce est un crabe de feu, animal magique très rare qui ressemble à une tortue et dont la carapace est incrustée de pierres précieuses. Le crabe de feu est une créature en danger constant, car de nombreux sorciers la chassent pour créer des chaudrons avec sa carapace. Ce danger représente également le quotidien de la sorcière, qui, souvent victime de mauvais tours joués par son cœur vit également un danger permanent. Pour faire surgir la forme lumineuse de sa baguette, Isis pense à son frère la prenant dans ses bras lors de son 8 ème anniversaire, ils étaient allés au zoo en famille et ce souvenir restera à jamais l’un des plus beaux dont elle se rappelle. Épouvantard :Son épouventard et le corps inerte de sa mère étendu par terre, le même que son frère. Bien qu’elle ne l’ait que légèrement aperçu, son frère lui ayant immédiatement cachés les yeux pour ne pas qu’elle le voit, elle se rappellera toujours cette entrevue d’horreur où la personne qui lui a donné la vie était là, étendue par terre, morte. Particularité : Luce n'a pas de don particulier. Cependant, elle est atteinte d'une malformation du coeur qui s'appelle la cardiopathie congénitale et ainsi, ne peut pas faire du sport comme les autres élèves de son âge, elle ne doit pas s'épuiser. Elle prend des médicaments pour minimiser les conséquences de cette maladie et la garde comme un profond secret, elle ne veut surtout pas que cela se sache et à part son frère personne à Poudlard n'est au courant. Luce a longtemps souffert de cet handicap, mais aujourd'hui, elle s'est faite une raison et vit avec sans se poser de questions, bien qu'il lui arrive encore parfois d'en souffrir. Options choisies & métier envisagé :Plus tard Luce aimerait devenir infirmière et trouver un moyen de soigner sa maladie au cœur. Ainsi, elle a choisi soins aux créatures magiques en option pour se rapprocher de la médecine au maximum et en second choix, elle a longtemps hésité entre l’étude des moldus, sachant que sa maladie touche aussi les moldus, et l’étude des runes. Cependant, son envie d’étudier le passé du monde sorcier l’a poussée à choisir cette deuxième possibilité. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ?Oui, Luce a déjà pratiqué la magie noire avec son père et son frère mais sans succès. Sa baguette refuse d’obéir aux sortilèges que son père lui ordonne de dire et qu’elle n’ose que murmurer. De son plein gré, la Poufsouffle n’utilise jamais la magie noire. Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ?Pour ce qui s’agit de la rébellion, la jeune Yaxley ne sait pas trop quoi en penser. Bien que tous ses amis d’enfance soient des partisans des forces obscurs, elle a toujours été plus réservée, plus neutre. Elle ne rejoindra donc pas l’Ombre si rébellion il y’a, qu’importe ce que puisse en dire son père. Il est cependant difficile que l’on s’en prenne à elle, car, ne rejoignant pas l’Ordre non plus, elle est tout de même la descendante d’un perdant de la grande bataille et par la même occasion d’un mangemort assez redouté.
Dernière édition par Luce I. Yaxley le Mer 18 Juil - 21:18, édité 17 fois
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Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mar 17 Juil - 22:10
♠ E l'altalena sale, sale e non smette mai.
Fille d’Henry Yaxley célèbre Mangemort du temps de Voldemort, Luce est la dernière descendante, pour le moment, de cet homme tant redouté. Elle a vécut son enfance en Italie, en exil avec sa famille après la chute du Lord et y a grandi passablement heureuse grâce à sa mère et à son frère. A 3 ans, la fillette a été diagnostiquée atteinte de cardiopathie congénitale, dès lors une tare difficile à porter allait la poursuivre tout au long de sa vie. Malformation du cœur qui se forme in utero, Luce est victime de crises d’asthme fréquentes et doit se ménager un maximum. Petite, elle ne se rendait pas compte du fardeau qu’allait être sa maladie, tandis que son frère lui, y pensait continuellement. La dernière des Yaxley avait toujours été très frêle et très pâle, ne semblant pas forcément malade, mais traduisant une fragilité certaine. La mère de Luce était une sorcière d’origine italienne, digne descendante d’une lignée de Sang-Pur bien éduqués, elle avait rencontré Henry Yaxley lors d’un banquet organisé par sa famille en l’honneur de son aînée qui se mariait. Dès la naissance de son « petit trésor », comme elle appelait sa fille, la sorcière semblait rayonner et c’est pour cela qu’elle avait choisi de la nommer « Luce », lumière en italien, synonyme d’espoir et de beauté. Les premières années de la fillette furent certainement les plus heureuses de sa vie, bien que surprotégée par son frère et sa mère, elle était passablement heureuse malgré les excès de colère répétitifs de son géniteur et l’alcoolisme naissant de la mère qui avait trouvé dans l’alcool le seul moyen d’oublier le fiasco de son mariage et de se sentir un tant soit peu « plus vivante ». Trop jeune pour le remarquer, Luce ne pouvait que consoler Eliot qui lui était lucide et se rendait compte de l’avenir plus que médiocre que leur promettaient leurs parents par ces comportements.
« Luce, basta l’altalena, non stancarti. » La fillette qui se balançait de haut en bas sur la balançoire du jardin riait aux éclats sous le regard inquiet de son grand-frère qui restait assis sur une pière, pas très loin, pour veiller. Elle ne devait pas se fatiguer, voilà ce que lui ordonnait sa mère. « Oui mère, je descends. » Elle ne pouvait pas rester des heures à se balancer, elle n’avait pas le droit d’aller trop haut, l’interdiction de s’essouffler, Luce vivait dans une bulle. Eliot sourit à la remarque de sa mère, heureux que celle-ci réagisse enfin et vint prendre sa petite sœur dans ses bras pour l’aider à descendre. Celle-ci s’attacha au coup de son grand frère très fort, pour le câliner, le prendre dans ses bras, lui, ce grand frère qu’elle aimait tant. Au fond elle en souffrait, de ne pas pouvoir être comme les autres. A l’école, la sorcière était dispensée d’éducation physique et de cours de piscine, pour ne pas qu’elle se fatigue et qu’elle ne risque l’irréparable. Elle n’avait pas le droit de courir, pas le droit de réellement se défouler, l’interdiction formelle de faire quelconque exercice physique. La fillette aurait voulu se balancer encore, pour être libre, de voler avec les oiseaux, de profiter de la vie, mais elle ne pouvait pas, elle n’était pas comme les autres. Eliot la posa à terre, elle lui prit la main et, de ses grands yeux bleus plongea son regard dans l’azur de ceux de son frère. « Eliot, tu joues avec moi ? » Elle s’ennuyait la gamine, à ne pouvoir rien faire, heureusement qu’elle avait son grand frère, si bon avec elle. Elle avait parfois l’impression qu’il la sous-estimait et la mettait de côté à cause de sa maladie, à bien vouloir faire, à vouloir la protéger, il en faisait parfois trop, beaucoup trop. Il lui sourit en lui prenant la main, le regard sérieux et d’une voix douce mais autoritaire il répliqua : « Non Luce, pas maintenant, va te reposer un moment, je te lis une histoire si tu veux et ce soir on jouera toi et moi. » C’était ça. Exactement ça. Encore une fois son aîné voulait la renfermer dans sa bulle, celle qu’elle ne devait pas quitter, pas se fatiguer. La balançoire était déjà pour Eliot une activité dont Luce devrait se passer mais elle ne voulait pas elle, pas se ménager au point de ne plus vivre, de ne pas pouvoir s’amuser. D’une moue triste, la fillette baissa la tête et obtempéra, de toute manière, elle n’avait pas d’autre choix.
♠ Sois belle et tais toi
« Luce, ta mère est au lit, elle n’a pas la force de se lever aujourd’hui. C’est un grand jour, il faut que tu sois polie, que tu te comportes bien, parce-qu’avec un frère comme le tien on a aucune chance de faire bonne figure. Fais de ton mieux pour nous rendre le respect qui nous est du. S’il le faut tu feras la révérence, tu diras merci, bonjour et au revoir. Capito, tesoro? Tu seras une petite fille modèle, fais plaisir à papa.» C’est sous le regard effaré d’Eliot qu’Henry Yaxley demandait à sa fille de faire la belle à l’occasion d’une réunion prévue par les anciens mangemorts, un repas comme ils le disaient. Certains anciens partisans du Lord étaient restés plutôt liés et, pour la première fois depuis leur exil en Italie, les Yaxley allaient y participer. La petite blonde avait 11 ans, pas beaucoup plus et ne comprenait pas réellement ce qui se passait. Eliot semblait bouillir de colère, son père n’avait pas le droit de se servir ainsi de la prunelle de ses yeux, tandis que Luce elle, ne sût qu’obtempérer en promettant d’un signe de la tête. Bien que son père ait changé, qu’il ne soit plus le père affectueux qu’il était il y a de cela quelques années, bien qu’il soit devenu violent parfois, elle ne pouvait s’empêcher de l’aimer. Au final, ce n’était pas de lui plaire qui lui importait, elle voulait juste lui montrer son amour et puis après tout, elle n’avait qu’à bien se tenir, ce n’était pas impossible à faire. Et puis de toute façon, elle allait essayer, au final que son père soit fier ou non, elle s’en fichait elle voulait juste être acceptée par ses futurs camarades d’école et ainsi elle devait être polie. Elle ne pût cependant s’empêcher de fusiller son géniteur du regard lorsqu’il parla d’Eliot. Son frère avait toujours été pour la fillette une étoile, la sienne, la seule personne qui lui permettait de tenir quand ça n’allait pas et elle ne comprenait pas pourquoi une telle tension été née entre les deux hommes. A ces paroles, elle prit la main d’Eliot et la serra fort, pour lui montrer qu’elle était là, pour lui montrer qu’elle l’aimait et qu’elle n’en avait rien à faire de ce que disait leur père. Eliot hors de lui, lâcha la prise de sa petite sœur et s’enferma dans sa chambre. Il souffrait. Il souffrait de la dureté de leur père et de sa méchanceté envers lui et cela, Luce le savait. Elle monta dans sa chambre pour s’habiller tout de même avant d’aller toquer, pleine d’espoir, à la porte de celle de son frère. « Eliot, ouvres moi s’il te plaît, j’arrive pas à me faire mes nattes. » Au fond, bien sûr que la fillette savait se coiffer seule mais elle préférait que son frère le fasse, qu’il l’aide et qu’elle puisse le consoler, parce-qu’elle savait pertinemment qu’il avait mal. Trop attaché à elle pour laisser sa petite sœur en détresse, l’aîné ouvrit sa porte et l’invitant à rentrer il lui répondit d’une voix douce qui contrastait avec la rougeur de ses yeux qui traduisait son profond énervement : « Allez viens, je vais t’aider. » Et sans que la petite eût le temps de réagir, il lui prenait la brosse des mains et lui tendait la chaise de son bureau pour qu’elle s’asseye. Avec tendresse et délicatesse, il passait l’objet dans la longue chevelure blonde de sa cadette, sans parler, sans dire un mot, encore trop en colère par ce qu’il venait d'entendre. Après un long silence rythmé par les coups de brosse, Eliot hors de lui prit tout de même la parole : « Tu n’aurais pas du accepter, tu n’es pas une chienne, tu n’as pas à faire la belle. » La fillette se retourna alors vers son frère, les yeux pleins d’étoiles et le prit dans ses bras. Elle avait besoin de lui montrer qu’elle savait ce qu’elle faisait, qu’elle le faisait pour eux, pour qu’ils soient tranquilles, et, sans le lâcher et en le serrant comme elle le pouvait dans ses bras d’enfant elle reprit d’une voix étouffée par les vêtements de son aîné : « Tu sais ça compte beaucoup pour père cette réunion, j’ai pas grand-chose à faire, juste à bien me comporter et puis si je le fais si ça se trouve, il va être moins énervé et il te criera plus dessus.. » Dans ses habituels élans de protection envers son frère, la naïveté de la fillette lui soufflait qu’elle pouvait tout arranger entre son géniteur et son aîné. Elle ne voulait plus voir Eliot malheureux, et, avec les yeux d’une gamine de 11 ans, elle était convaincue que si cette soirée se passait bien, son père allait le laisser tranquille car, apaisé par son honneur retrouvé, il serait moins sur les nerfs. Douces illusions qui passaient à ce moment là dans l’esprit de la fragile petite fille.
Pour ce qui est de l’absence de sa mère à cette réunion importante, Luce savait très bien pourquoi elle ne viendrait pas, elle avait encore trop bu la veille. Après qu’Eliot ait fait les nattes de sa petite sœur, celle-ci se dirigea vers la porte de sa mère et après avoir toqué avec ses petites mains d’enfant, elle rentra après un gémissement de sa génitrice qui semblait lui dire d’entrer. Elle s’assit à côté d’elle, sur ce lit qui sentait encore le whisky et la transpiration, et, faisant mine de rien, elle regardait sa « madre » encore somnolente. « Madre, vous êtes sûre de ne pas vouloir venir ? » Bien sûr que non Luce, ta mère ne pouvait pas venir, trop ivre encore pour se mouvoir, elle allait passer la journée au lit. Sans prendre la peine de répondre, la mère de la gamine murmura quelque chose d’incompréhensible qui semblait être un : « Fai la brava ! » Comportes toi bien. Voilà tout ce qu’avait été capable de dire l’italienne avant de sombrer à nouveau dans un profond sommeil comateux. Soupirant et quelque peu malheureuse de voir sa mère dans cet état, la fillette releva un peu sa couverture pour la lui mettre correctement, enleva les chaussures qu’elle avait oublié d’enlever et ramassa les habits sales de la veille qu’elle n’avait pu que jeter par terre dans un dernier élan de force. Déposant le paquet de vêtement au sale, Luce redescendit l’escalier qui la menait au hall d’entrée, où son frère et son père l’attendait sur le perron, les yeux embués par les larmes qu’elle retenait, reste de la lamentable scène à laquelle elle venait d’assister. Eliot le remarquant passa un bras sur ses épaules avant de franchir le seuil de la maison. Une clé qui tourne, une voiture qui démarre et la famille Yaxley s’éloignait laissant derrière eux un de leurs membres qui bientôt ne serait plus.
♠ Ne pars pas, je t'en prie!
Le jour tant redouté par Luce était arrivée, son aîné ayant fêté son 14 ème anniversaire dans l’année avait reçu sa lettre pour Poudlard. La fillette ne voulait pas être séparée de son grand frère, pas maintenant, surtout pas, ce n’était pas le moment. Les temps étaient sombres chez les Yaxley, l’alcoolisme de la mère ne cessait d’empirer en faisant une véritable loque au grand désarroi de la petite blonde qui ne savait comment améliorer le quotidien de sa génitrice qui broyait du noir. Mr. Yaxley lui était de plus en plus aigri par la vie, pour son honneur perdu lors de la chute du Lord et par son exil en Italie qui avait duré si longtemps. Le seul moyen qu’avait Luce de se sentir bien était d’être continuellement avec Eliot qui lui, lui témoignait tout son amour et toute son attention. Elle ne voulait pas qu’il parte, pas qu’elle l’abandonne. Dans sa chambre, l’aîné des Yaxley préparait sa malle en pointant sur une liste qu’il avait constituée méticuleusement avec sa sœur. Excité, il ne se rendait pas compte du désespoir de Luce, qui, craignant les futurs excès de colère de son père sans que son frère ne puisse la protéger, s’était enfermée dans sa chambre. La sorcière était assise à son bureau, une feuille blanche devant les yeux et des crayons de couleurs éparpillés sur sa table. Elle voulait laisser un souvenir à Eliot, quelque chose qui lui ferait toujours penser à elle. Elle n’était pas forcément douée en dessin et pourtant, elle voulait faire quelque chose de bien. Entamant son dessin par de grandes tours et un bâtiment majestueux, elle écrivit sur l’enseigne qui surplombait l’école qu’elle imaginait, en lettres noires : Poudlard. Elle dessina ensuite un garçon, tenant la main d’une fille qui semblait plus jeune, se dirigeant ensemble en direction de leur future école. Complétant son dessin avec des traits de verts pour ébaucher les arbres, du bleu pour le ciel et du jaune pour remplir le grand soleil qu’elle avait placé en haut à droite de sa feuille. Au moment où la fillette tourna son dessin terminé pour y écrire un mot, une voix retentit du hall d’entrée du manoir des Yaxley : « Luce, dépêches toi, ton frère va être en retard. » Au fond d’elle, la fillette aurait voulu qu’il le soit, en retard, pour qu’ainsi il puisse rester avec elle et ne pas partir, mais en aucun cas elle ne voulait être la cause de cette arrivée trop tardive. « Oui père, j’arrive. » S’empressant d’écrire d’une main pressée par le temps, elle inscrivit en vert qu’elle savait être la couleur préférée de son aînée : Pour que tu aies l’impression que je sois avec toi, partout où tu iras, on sera toujours main dans la main. Je t’aime grand frère, tu vas me manquer. Un peu plus bas, elle ajouta d’une écriture un peu plus soignée Ta petite lumière, à jamais tienne. Pliant le bout de papier en quatre, elle s’empressa de l’enfiler dans la poche avant de sa robe fleurie et descendit l’escalier de marbre à toute vitesse. En compagnie de sa mère, qui pour une fois avait fait l’effort d’être sobre, de son père et de sa petite sœur, Eliot Yaxley se dirigeait vers le quai 9 ¾ , un regard inquiet assombrissait cependant son visage, qu’allait-il advenir de sa protégée, sa petite sœur si fragile, sans lui pour la soutenir ? Faisant un signe de la tête à ses parents avant de prendre le train, il prit sa petite sœur dans les bras et la regardait, sourire aux lèvres, la tenant sur les épaules, protecteur comme il l’avait toujours été, il lui souffla à l’oreille « Bientôt on partira ensemble soeurette, je penserai très fort à toi tu sais. » Ne voulant pas pleurer, souhaitant se montrer forte, la fillette ne répondit rien et se contenta de tendre le dessin qu’elle avait fait auparavant à son aîné qui s’empressa de l’ouvrir et, ému, lui fit un baiser sur le front « Fais attention à toi princesse. » La fumée s’échappa de la cheminée du train, un appel aux derniers sorciers pour embarquer, un dernier câlin et Eliot était parti sans que sa cadette eût le courage d’ouvrir la bouche tant sa gorge était nouée. Dès son frère embarqué,les larmes ruisselant sur les joues de la fillette qui n’avait su se retenir, d’un signe de la main triste et morne, elle disait au revoir à son frère qui était grand à présent.
Spoiler:
E l'altalena sale, sale e non smette mai. = Et la balançoire monte, monte et ne s'arrête jamais. Luce, basta l’altalena, non stancarti. = Luce ça suffit la balançoire, te fatigues pas Fai la brava ! = Comportes toi bien!
Dernière édition par Luce I. Yaxley le Ven 20 Juil - 13:58, édité 16 fois
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Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mar 17 Juil - 22:10
On a tous nos démons, ceux qui nous suivent partout, même la nuit
La vie après le départ d’Eliot fût ponctuée par les éclats de voix de Yaxley sénior, par les ivresses de dame Yaxley et par les sanglots silencieux et solitaires de leur fille, qui, sans le soutien du seul être qui la rassurait se sentait seule, abandonnée, malheureuse. Luce fais ci, Luce fait ça, va aider les domestiques, pourquoi tu ne fais pas tes devoirs ? Depuis le départ d’Eliot, Yaxley père avait fait de sa fille un petit elfe de maison, pour qu’elle apprenne, pour ne pas qu’il l’ait dans les pattes. C’est ainsi que la haine de la petite blonde envers son père grandit, chaque jour plus forte, chaque jour plus présente. Elle n’attendait qu’une chose ; retrouver son frère et être à nouveau heureuse, comme elle l’avait été, dans cette maison en Italie. Elle n’aimait pas l’Angleterre et ce manoir familial froid et sombre dans lequel elle vivait depuis quelques années, elle préférait la chaleur de l’Italie, la convivialité des « nonna ». Elle aimait prendre le bus et aller à la mer, se promener pieds nus et danser sous le coucher de soleil. Elle aimait la vie à l’extérieure, la liberté et la sensation d’être légère sous le vent et les étoiles. Pour elle l’Angleterre était synonyme de froideur et d’ennui. Oui, elle s’ennuyait dans ce grand manoir si vide et si plein de domestiques, elle n’avait personne pour jouer avec elle alors qu’en Italie, Eliot était là. Elle n’était plus que l’ombre d’elle-même et ça, son frère le remarquait tristement à chaque fois qu’il rentrait. Il détestait son père de la rendre ainsi et pourtant, ne pouvait s’empêcher d’essayer de le combler, de le rendre fier de son fils unique. L’entrée de Luce à Poudlard pour ses 14 ans fût pour elle une véritable renaissance, elle reprenait de jour en jour goût à la vie, en compagnie de son frère et de tous ses nouveaux amis. La Poufsouffle était une gamine plutôt appréciée, les descendants des héros l’aimaient bien parce qu’elle n’avait pas de préjugés, qu’elle était bien plus ouverte et compréhensive que les autres enfants de mangemorts, tandis que ces enfants là voyaient en elle une brebis égarée qu’il fallait protéger, car oui, Luce avait toujours été la petite protégée des mangemorts, une Yaxley pas méchante, mais qui semblait être perdue. Avec un nom et un frère comme le sien, son sourire et sa gentillesse, on ne pouvait que l’apprécier. Les garçons tournaient autour de la Poufsouffle, belle comme le jour, et elle, elle aimait leur plaire jusqu’à ce qu’arrive Eliot pour les renvoyer d’où ils venaient. Personne ne devait toucher à sa petite sœur, son trésor. La première année dans l’école de sorcellerie surpassa les belles années de Luce en Italie, elle était heureuse et satisfaite des promesses que lui avaient faites son frère sur cette enceinte, tout était vraiment bien et la faisait rêver ici, tout jusqu’à l’été même de cet première année.
C’était l’été, il faisait chaud et bientôt les enfants Yaxley allaient retrouver leurs parents. Comme chaque année, ils étaient censés rentrer pour l’été pour des « vacances » en famille dans leur pays d’origine. Ni Eliot, ni Luce n’avaient au fond réellement envie de retrouver ce vieux manoir anglais, ne serait-ce que pour quelques jours. La petite fille imaginait déjà la scène : son père absent, sûrement avec d’autres anciens mangemorts, sa mère sur le pallier à les attendre un sourire béat aux lèvres, sentant l’alcool, mais heureuse de les voir. Bien que la gamine souffrait profondément de l’alcoolisme de sa mère, elle se réjouissait de la voir et de lui raconter tout ce qu’elle avait vécu et connu à Poudlard, après tout, elle avait tant à lui raconter. Serrant la main de son frère à l’approche du manoir, Luce avait un mauvais pressentiment et frissonna lorsqu’elle n’aperçut pas sa mère sur le pas de la porte. Main dans la main, ils entrèrent dans ce manoir morne dans lequel la Poufsouffle avait plus de mauvais que de bons souvenirs. La jolie blonde savait qu’elle allait devoir pousser son aîné à se contenir, à ne pas être trop dur avec leur génitrice. Au final, Luce la plaignait vraiment, elle avait loupé son mariage et devait supporter chaque jour un homme méprisable qu’elle n’aimait pas. Parfois, quand leur mère pleurait, Luce la prenait dans ses bras en lui disant que tout allait bien se passer, qu’elle était là elle, alors de ne pas la voir ce matin là, c’était étrange et l’adolescente s’en rendait compte, ce n’était pas normal. Inquiets, entrant main dans la main dans la maison, les enfants Yaxley se regardèrent furtivement dans les yeux avant que l’aîné ne prenne la parole : «Reste là. » La demoiselle obéit, comme d’habitude, comme à chaque fois, considérant la parole de son frère comme parole d’évangile. N’osant avancer, restant immobile, Luce tourna la tête vers le salon et ce qu’elle vit à ce moment là, une enfant de 15 ans n’aurait jamais du le voir. Tremblant devant le corps inerte de sa génitrice, la Poufsouffle se mit à appeler désespérément son grand frère, ne sachant comment faire pour se calmer ne serait-ce qu’un peu « ELIOOOOOOOOT ! » Dès qu’il eût entendu ce cri à glacer le sang, Eliot se retourna avant de prendre brusquement sa cadette dans ses bras et de lui cacher les yeux, horrifié par le tableau qui se trouvait devant ses yeux. Leur mère, inerte, morte, au sol, couchée, de la bave séchée sur le côté droit de sa bouche, une bouteille de whisky sur la table, des cachets, un tableau morne et sans vie. « Ne regarde pas Luce, non guardare ! » Mais il était trop tard, elle avait déjà tout vu, elle en avait déjà trop vu. S’accrochant au ventre de son frère comme elle le pouvait, tremblante comme une feuille dans le vent, la fragile enfant était choquée, horrifiée, traumatisée. « E morta Eliot, è morta, non ci credo. » Et qui pouvait bien le croire au fond ? Qui pourrait imaginer l’ignominie de cette scène funèbre. Tentant tant bien que mal de rassurer sa sœur, le Serpentard prit le visage de sa sœur entre ses mains, la fixant dans les yeux, essayant par tous les moyens de lui faire comprendre qu’elle ne devait pas avoir peur, qu’il n’avait pas peur lui, bien que ce soit un mensonge : « Va téléphoner à une ambulance, appel papa. Je reste ici, sors de cette pièce. » Tous deux savaient que cette action était vaine, que les ambulanciers ne pourraient que constater le décès, mais Eliot ne pouvait pas l’admettre, pas admettre que sa petite sœur soit poursuivie par cette vision toute sa vie, il espérait profondément que ce ne soit pas trop tard, bien que sa tête lui rappelait que tout était fini. Pleurant toutes les larmes de son corps, Luce obéit et partit en courant vers le téléphone du premier étage et, d’une voix enrouée par les larmes qui coulaient et ne s’arrêtaient pas, elle bafouilla leur adresse en disant aux ambulanciers de se dépêcher avant de tomber à terre et d’émettre un cri strident de désespoir. S’en était trop pour elle, elle ne pouvait supporter telle horreur, pas supporter la perte de sa mère, pas maintenant, pas comme ça, elle ne pouvait pas avoir été si faible, pas en son absence. Eliot semblait aussi désespéré que sa cadette et traduisait son énervement en fracassant contre le mur la bouteille vide qui restait à côté du corps inerte de leur génitrice. Entendant les pas lourds de son père, Luce se leva et courût s’enfermer dans sa chambre, elle ne voulait pas le voir, lui qui avait précipité la descente de sa femme aux abîmes. Les sanglots de la plus jeune des Yaxley redoublèrent lorsqu’elle entendit les disputes des deux hommes de sa famille dans les étages inférieurs. Elle se boucha les oreilles, pleura à chaudes larmes sans pouvoir se calmer pour respirer en chantonnant une comptine pour ne pas entendre les cris qui fusaient. Impuissante, trop faible pour se lever et aller protéger Eliott, la fillette se sentait lâche, inutile. Elle attendait que tout cela cesse, elle espérait se réveiller ailleurs, que tout n’ait été qu’un mauvais rêve, mais non, elle était bel et bien éveillée. Elle prit son courage à deux mains pour se planter en bas de l’escalier n’osant approcher les deux hommes qui étaient à la limite de se battre. Elle était invisible, personne ne la remarquait, elle et sa souffrance. Elle murmurait, des larmes plein les yeux : « Arrêtez, s’il vous plaît. Basta. » Personne ne l’entendait, personne ne voulait l’entendre, sa petite voix étouffée par les sanglots. Sana la voir, Eliot monta s’enfermer dans sa chambre et leur père partit du manoir en claquant la porte. Ne sachant que faire, ayant besoin de quelqu’un pour la rassurer, pour l’aimer, Luce tenta de retrouver son frère. Elle avait toujours mieux réussi à lui dire les chose par écrit, par dessin que de vive voix, alors, tremblante encore elle alla chercher un bout de papier de sa chambre et griffonna un Ce n’est pas de ta faute. qu’elle glissa sous la porte de la chambre de son aîné. Elle avait besoin de lui et il avait besoin d’elle, surtout en ce moment, il valait mieux être ensemble. Lorsque le grand frère ouvrit la porte, la petite sœur entra dans la chambre et la porte se referma sur une fratrie anéantie qui tentait tant bien que mal de recoller les morceaux.
Excuses-moi, je dois y'aller
Une journée ensoleillée, un été qui touche à sa fin, c’est dans le parc que Luce est un groupe d’amis ont décidé de passer leur après-midi de libre, réunion des professeurs. Il faisait chaud ce jour là, on pouvait encore se balader en petite tenue tant les rayons du soleil était agréable au contact avec la peau. La cadette des Yaxley était vêtue d’un short en jeans délavé et d’un débardeur jaune, couleur qu’elle appréciait tout particulièrement. Ses longs cheveux retroussés dans un chignon l’empêchaient d’avoir trop chaud dans le cou et dégageaient sa nuque. Comme chaque après-midi, ou journée, de libre elle attendait son grand frère avec qui elle avait prit pour rituel d’aller boire un verre à Pré-au-lard, tous les deux, de laisser parler sa gourmandise en achetant toutes sortes de friandises et de parler des nouveautés de sa vie avec son aîné. Luce avait 16 ans, une année s'était écoulée depuis la terrible découverte du cadavre de mère Yaxley et la petite blonde était devenue une jolie adolescente très prisée par la gente masculine. Prisée, mais inaccessible. Eliot avait la fâcheuse habitude d’envoyer balader quiconque s’approchait trop près de sa sœur et pour qu’il en laisse un aller plus loin qu'une simple amitié, encore aurait-il fallu qu’il l’apprécie. C’est pour ça que, bien que très peu timide et très extravertie, Luce n’avait jamais réellement pu avoir de relation sérieuse, par peur de décevoir son frère, par peur qu’il le découvre. Papotant avec ses amis, l’adolescente riait aux éclats, elle était joyeuse et rien ne laissait soupçonner le passé peu joyeux qu’elle avait pu avoir. Non, les gens pensaient plutôt qu’elle avait toujours été la « petite fille à papa », pas forcément prétentieuse, mais riche et gâtée. Pourtant, ça n’avait pas toujours été le cas. Les relations entre la fille et le paternel s’étaient nettement améliorer dès l’entrée de celle-ci à Poudlard, n’ayant plus à l’avoir à sa charge, sir Yaxley avait partiellement retrouvé sa tendresse d’autrefois envers elle. Parfois, on demandait à la Poufsouffle pourquoi elle ne jouait jamais au jeu de ballon, pourquoi elle ne participait pas au cours plus ou moins physiques et, cherchant souvent une excuse bidon, elle tentait par tous les moyens de cacher sa maladie aux autres. Elle y faisait attention à sa maladie, ne voulant pas qu’elle soit découverte, Luce faisait tous les efforts du monde pour ne pas précipiter de crises, ainsi elle ne buvait pas et tentait de ne pas fumer, si ce n’était qu’occasionnellement, pour les grandes occasions, en cachette d’Eliot. « Luce, je peux te parler un moment en privé? » C’était l’un des camarades de la jaune et noir qui la priait de s’isoler avec lui un moment. Souriant, la jeune femme obtempéra d’un signe de tête, quittant sa position de tailleur et se levant d’un coup brusque, ce qui ne manqua pas de lui causer une légère chute de tension qui lui fit plisser les yeux. Une fois ses esprits retrouvés, elle suivit son camarade jusqu’à un arbre un peu en retrait pour écouter ce qu’il avait à lui dire. Jouant avec ses cheveux, curieuse, la plus jeune des Yaxley était toute ouïe. Le jeune homme qui se trouvait en face d’elle était brun, un regard des plus mystérieux, il avait fait fondre la jeune femme il y’avait bien longtemps, et pourtant…rien ne s’était jamais passé, Luce ne sachant pas ce que son frère en penserait. Il reprit d’une voix timide mais décidée « Je sais que je m’y prends plutôt à l’avance, mais je préférais te laisser un temps de réflexion. Enfaite, je voulais simplement te demander si ça te plairait d’être ma cavalière pour le bal d’Halloween ? » Devant la mine surprise de la jolie blonde, il continua sa phrase, afin de la calmer, de ne pas la brusquer : « T’es pas obligée de me répondre tout de suite tu sais. »Luce sourit amusée, elle avait très envie de lui dire oui mais se retenait quelque peu, envers Eliot, pour ne pas qu’il se fâche. « Je.. » Avant que la Poufsouffle ne puisse finir sa phrase, une voix retentit, provenant d’un arbre non très lointain, une voix que l’adolescente aurait reconnue parmi milles pour être celle de la personne qu’elle aimait le plus au monde « Luce tu viens, on y va. » Ce n’était pas un ordre, elle le savait, son grand frère n’aimait pas lui ordonner des choses et pourtant, elle avait envie de lui obéir, de se dépêcher, de faire vite. D’un regard désolé elle fixa à nouveau son camarade qui se trouvait encore en face d’elle, espérant tout de même une réponse. « Je dois y aller, excuses moi. »Elle déposa un léger baiser sur la joue du jeune homme avant de s’enfuir en courant vers son aîné qui la prit sous le bras, et ainsi, ils partirent tous les deux laissant le pauvre camarade de Luce penaud, attendant toujours sa réponse, souhaitant vraiment l’obtenir un jour.
Durant le chemin qui les menait à Pré-au lard, voulant savoir ce que trafiquait sa cadette, Eliot demanda : « C’était qui ce garçon avec toi ? » Baissant les yeux au sol, ne sachant réellement que répondre, n’osant dire à son grand frère que ce camarade là lui plaisait. La jeune femme donna un léger coup de pieds dans un galet sur les pavés et releva son regard d’azur pleins d’étoiles pour le fixer dans celui de son aîné, elle répondit d’une voix douce : « Un ami, c’est tout. » Après tout, elle ne mentait pas, il n’était qu’un ami et sûrement le resterait-il. Ainsi passant son bras sous celui de son frère, Luce avançait en direction de Pré-au-lard.
Spoiler:
E morta Eliot, è morta, non ci credo. = Elle est morte, elle est morte, j'y crois pas. Basta=ça suffit
le moldu derrière tout ça
Pseudo :Kiri Âge :19 ans dans 5 jours Avatar :Amber Heard Fréquence de connexion : En tout cas une fois par jour, mise à part le samedi/dimanche normalement vu que je les passe avec mon homme, mais pendant les vacances, c'est vrai que je suis une vraie geek! Comment as-tu connu le forum ? Par Adé ça compte? Code :code validé par QuiggCopyright :Tumblr pour les gifs
Dernière édition par Luce I. Yaxley le Sam 1 Déc - 23:54, édité 13 fois
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mar 17 Juil - 22:13
Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mar 17 Juil - 22:50
Rebienvenue, ma belle. Tu connais la maison, petit Grizzli !
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mar 17 Juil - 23:06
rebienvenue (a)
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mar 17 Juil - 23:26
Wow.
Rebienvenue, ma petite Ade' ! Je sais pas pourquoi, mais j'ai comme l'impression que ton DC ne va pas porter une ceinture de chasteté. *sort * EN TOUT CAS. Ca m'intrigue tout ça, j'ai hâte de voir ta fiche finie.
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mar 17 Juil - 23:38
Merci à tous (again) ! Je vous n'aime ♥
Lupine :Non, elle a un grand frère pour ça! J'ai pas encore décidé pour être franche :/
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mer 18 Juil - 10:52
j'aime, j'aime, j'aime !
(re)bienvenue soeurette ! hâte de lire ta fiche et tutti cuanti !
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mer 18 Juil - 11:40
Rebienvenue parmi nous Tu connais la chanson, bon courage
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mer 18 Juil - 11:49
REBIENVENUE Bon courage pour ta fiche
Zane E. Goyle
HRIen depuis le : 13/04/2012 Parchemins écrits : 1281
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mer 18 Juil - 12:15
RE bienvenue ici donc 8D le début est prometteur, ça se voit que toi aussi t'es allée sur pottermore pour le bois des baguettes x) Hâte de lire la suite ♥
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mer 18 Juil - 13:17
Luce I. Yaxley a écrit:
Chricola(Quiggy)
hihihihi
Re Bienvenue ! Tu m'épouses ?
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mer 18 Juil - 13:30
Je suis pas riche! Merci
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mer 18 Juil - 14:34
Citation :
D'ailleurs son frère n'apprécierait sûrement pas qu'un autre homme touche à SA petite soeur.
le premier qui l'approche, je la bouffe, compris ?
j'adoooore le début (oui je sors).
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Mer 18 Juil - 18:44
Rebienvenue
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Ven 20 Juil - 13:41
Alors alors ! Moi je n'attends que l'avis d'Eliot, vu que c'est son scénario, histoire de te valider. C'est une très bonne fiche, complète, plaisante à lire ! Encore du beau boulot, choupette ! ♥
Ma seule remarque serait peut-être de mettre des notes en pieds de page, genre.. avec des étoiles ou une numérotation pour traduire les passages en Italien quand tu RPs avec quelqu'un. J'ai un italien basique, j'ai google trad' mais comme ça peut bloquer certains... hormis ça, je n'ai rien à redire.
Je vais aller Mpotter Eliot pour qu'il passe ici et nous donne son avis !
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Ven 20 Juil - 13:48
Yep, tu veux que le fasses dans ma fiche? ♥
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Ven 20 Juil - 13:49
Si tu as cinq minutes, le temps qu'on te valide, pourquoi pas
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Ven 20 Juil - 14:02
C'est fait, à Eliot de jouer ♥
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Ven 20 Juil - 16:19
rien à redire, fiche parfaite tu as totalement cerné le personnage, tu parles italien, tu as tout respecté = tu es parfaite pour le rôle, vous pouvez valider :3!
Invité
Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ? Ven 20 Juil - 16:21
Félicitation & Bienvenue ;
« Poufsouffle avait le gout du travail acharné Tout ceux de sa maison y était destiné »
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( [url=https://hri-rpg.forumgratuit.org/t270-demandes-de-rangICI[/url] ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça !
Bonne chance à toi,
Jeune Poufsouffle !
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Sujet: Re: Luce I. Yaxley ♪ Che sarà, che sarà, che sarà ?