SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need
Auteur
Message
Invité
Sujet: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Lun 23 Sep - 20:32
Selena Matthews
(Alexa Vega)▽ Well, because I'm naturally a tomboy, when I have sleepovers with girls, they end up going home and crying.
carte d'identité
→ Nom : Matthews Prénom(s) : Selena Surnom : S'il en a, veuillez indiquez ici les surnoms de votre personnage. Âge : 19 ans Date et Lieu de Naissance : 14 Mars, au sein de la meute de loups garous de Norwich. Nationalité : Anglaise Pureté du sang : Mêlé Année d'étude & Maison : Gryffondor, 6e année Orientation sexuelle : Hétérosexuelle État civil : Célibataire
le sorcier en toi
Baguette : Bois de cèdre, 24 centimètres, plume d'Hippogriffe. Patronus : Je n'ai encore jamais formé de Patronus. Épouvantard : Vous avez vu Shining ? Le film moldu, réalisé par un soi-disant génie. Oui ? Bien. Les deux jumelles trop flippantes, ça vous revient ? Bah voilà. Les deux mêmes jumelles bien, bien flippantes. Sauf qu'au milieu, il y a une version terne, grosse et moche de moi-même, enceinte jusqu'aux dents. BIMParticularité : Loup-garou et en plus, j'ai pas eu trop le choix. Options choisies & métier envisagé : Je ne me sens pas trop concernée par cette histoire d'avenir. Enfin, disons que le mien est tout tracé : je serai bras-droit de Loki, pour le meilleur, mais surtout pour le pire. Je me vois très mal endosser des responsabilités pour faire semblant chez les sorciers. Après, quitte à faire quelques trafics à droite à gauche, je pense que c'est une solution viable pour le futur. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Non. Je n'ai pas besoin de ma baguette pour me donner des frissons, moi. Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? Aucun des deux. Ces conflits stériles entre agitateurs de baguettes patentés, c'est non seulement très dépassé, mais en plus, c'est un coup à y laisser des poils avec sa dignité. La disparition d’un élève de Poudlard vous perturbe-t-elle ? Je suis plutôt mal placée pour juger de ce genre de situations. Moi aussi, j'ai déjà fait disparaître des gens... Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? Je m'inquiète peu pour Loki ou moi. Après, les autres... Certains membres de la meute sont loin d'assumer leur statut et leur force, et donc, sont des proies faciles. Ceci étant dit, le darwinisme a clairement établi les choses : la survie du plus fort va dans l'intérêt de tous. Que pensez-vous des attaques de Pré-au-Lard ? Sur le papier et dans les couloirs, je suis une rebelle qui en n'a rien à carrer de tout ça. En vrai, je me demande si je suis le genre de personne qui pourrait être une cible potentielle. Je suis loin de pouvoir arborer une ascendance sans taches... Mais je sais que mes capacités, comme la meute, me protègeront. Le gouvernement et les médias nient l’existence d’une force semblable aux Mangemorts. Et vous, vous en êtes où à ce sujet ? Les planqués de Londres refusent de voir la réalité en face ? Quelle grande nouvelle. Au même titre que l'Ombre, nos attaques sur les villages moldus n'existent pas toujours... Non, je ne leur fais pas confiance, mais par ailleurs, je suis loin de leur confier ma vie ou mon avenir, alors soit.
le moldu derrière tout ça
Pseudo : J'en ai 36, mais le plus connu, c'est Plague. Âge : Je suis une vieille bique de 24 ans, et je vous emm**** aime Avatar : Cara Delevingne, ceci dit, c'est pas moi qui ai eu cet éclair de génie Fréquence de connexion : Je me connecte souvent, parce que je bosse sur mon ordi Comment as-tu connu le forum ? Euh. Une floppée de sites partenaires sur un autre forum ? Code : HRI Copyright : Parce qu'on ne veut pas d'histoire avec les créateurs des bannières, icônes, musique que vous utilisez, mettez ici les artistes à qui vous avez piqué tout ça. (bannières de tumblr, avatar de edenmemories, icônes de meteorus).
Dernière édition par Selena Matthews le Mar 24 Sep - 7:08, édité 21 fois
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Lun 23 Sep - 20:33
il était une fois
(Royal Republic) ▽ You ain't nobody 'til somebody hates you
Viens, petit voyeur maladif, mais si tu as envie d'un conte de fées, tu vas être sacrément déçu du voyage...
Je suis née dans une meute de loups. Mais à mille lieux du cliché de la petite fille perdue, n'allez pas me coller vos fantasmes tirés d'un pathétique scénario hollywoodien ici, merci, vous êtes bien aimables. Une meute de loups, au sens loups-garous. Des gens qui vivent en marge des normes de la société, pour la plupart. Mes parents ne font pas exception. Comme souvent dans les meutes, les familles bien constituées sont rares, mais quand il y en a, elles ont souvent plus d'enfants que d'années d'études au compteur - je vous laisse imaginer le drame pour les mères qui ont du mal avec les mathématiques. Je parle d'expérience, j'ai déjà passé deux heures dans une station-essence, à attendre que ma famille pense à me récupérer. Passons ! Bien que vous ayez déjà une petite idée du panorama familial, permettez-moi de rentrer dans les détails. Tout commence comme quelque chose de très classique, une amourette de lycée entre mon père, Eric Matthews, et ma mère Meeren Carven, en septième année tous deux à Poudlard. Mais, puisqu'il faut bien vous donner tous les éléments, ma mère n'était pas ce qu'on appelle une lumière. Fille de Moldus, elle était plutôt écervelée, et brûlait d'envie de tout découvrir sur le monde magique, mais pas avec beaucoup de précautions. Autant vous dire que le bad boy (oui, mon papa a un jour été comme ça, même si c'est dur à concevoir) loup garou de surcroît, elle le voulait - comme d'autres filles de cet âge veulent une jolie robe.
Eh bien, cette chanceuse, elle l'a eu. Plusieurs fois même (eurk), mais pas forcément dans les conditions idéales. Ainsi, lorsqu'elle passa ses ASPICs, elle était enceinte de cinq mois. Une fois ses résultats catastrophiques reçus, mes grands-parents moldus durent se lancer dans l'entreprise désastreuse de convaincre mon père de rester avec elle. Ce qu'il fit, notamment parce qu'ils eurent la bêtise de promettre de financer leur ménage. Bref, quelques mois plus tard, venait au monde mon grand-frère Freddie. L'année d'après, mes sœurs Mia et Mischa puis Luke, et enfin moi. Et après moi, il y eut encore deux grossesses, mais qui n'aboutirent qu'à des fausses couches.
Tout ce que je me rappelle de mon enfance, c'est ça. La masse de mes frères et sœurs, le bruit, les odeurs de cuisine, de blanchisserie, ma mère toujours fatiguée, ou en cloque, mon père pas trop souvent là, en train de gérer des histoires de loups, que ma génitrice n'essayait même pas de comprendre. Une relation étrange entre eux, à mi-chemin entre une espèce de sensualité animale et le dégoût affleurant à la surface. Attention, je ne dis pas que j'étais une enfant malheureuse, loin de là. J'avais toujours des camarades de jeu, et mon père pouvait se montrer fantastique dans ses bons jours, c'est-à-dire quand notre mère ne lui prenait pas le chou - je ne fais que citer.
Puis, je me rappelle juste de la crise. Comme si on était passés d'une journée normale à une espèce d'apocalypse. Père est rentré très tard, et il sentait déjà l'orage à peine passé le seuil. En moins de deux, la situation a dégénéré, et avant qu'on ait eu le temps de dire ouf, ma mère était au sol en train de hoqueter. De sous la table, où je m'étais réfugiée pour pouvoir dessiner tranquillement, je pouvais voir ses cheveux qui dessinaient un halo autour de sa tête, devenir tout rouges et tout poisseux. Mes sœurs pleuraient, les garçons étaient partis chercher de l’aide, tandis que mon père, assis sur le mince bord de nos chaises de cuisines en plastique, oscillait d’avant en arrière. Rassurez-vous, le pathos s’arrête là : ma mère n’est pas morte, et coule des jours tout à fait corrects dans une banlieue de Bristol, où elle vend des articles de cuisine pour Moldus. Mais cet évènement fut un genre de révélateur immédiat sur la situation de notre « famille » : dysfonctionnelle, nécrosée, passive-agressive, bref, des mots que vous ne voulez pas voir écrits sur le dossier de l’assistante sociale. J’avais 5 ans, et plus de mère.
On a découvert que mon père entretenait depuis plusieurs années une deuxième famille, avec une femme plus jeune, sorcière de sang pur, et surtout, loup-garou. Une superbe rouquine aux formes de bouteille de Coca-Cola, avec des yeux d’océan qui nous dévisagèrent avec plus d’intensité qu’un phare illumine la nuit, lorsque notre père nous présenta enfin. Sa bouche esquissa un rictus, et elle accepta notre présence sous son toit. Enfin, son toit, c’était d’abord et avant tout le toit de la meute, un squat de Norwich qui n’avait rien à envier à ceux de Londres.
La vie devint très différente pour nous tous à partir de là. Nous vivions maintenant vraiment avec la meute. Il y avait des règles, des codes qui allaient rythmer toute notre vie. Désormais, notre père devint véritablement le chef de notre famille, et il n’était plus question de jouer avec lui comme avant. Dans cette « maison »-là, il n’y avait jamais de disputes, parce qu’Ellen, la nouvelle compagne de notre père, n’avait pas à s’occuper de grand-chose. Pour elle, notre présence était plutôt positive : cela lui permettait de nous déléguer l’éducation de notre demi-sœur Senna – petite créature mièvre aux grands yeux bleus, que ma fratrie traînait derrière elle comme d’autres une peluche.
Les règles de la meute me déplurent très vite. Entre autres parce qu’elles mettaient un terme à un droit qui me semblait naturel, celui de me battre avec les garçons, et sur ma prééminence naturelle à la course. Petit à petit, les surnoms s’installèrent, notamment celui qui allait me marquer le plus durablement : « tomboy ». Le garçon manqué. L’idée même qu’on puisse penser, d’une quelconque façon, que j’étais un échec, alors que tout en moi me hurlait le contraire, m’horrifiait. La seule personne qui se tenait à l’écart de la foule, déjà, c’était Loki. Un jour, il me prit la main en me disant que de son point de vue, il n’y avait rien à changer. A ce moment-là, je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire.
Bientôt, je saisis ce qui allait arriver. Mes frères et sœurs rejoignaient tous la meute, après une morsure rituelle imposée par notre père. L’entrée dans l’adolescence, tout ça. Ils changeaient. Mes frères commençaient à jouer les durs, mes sœurs s’enfermaient dans ce que j’appelle le cliché des pétasses jumelles. Moi, je ne changeais pas. Mes membres poussaient, droits et minces comme des lianes, et tout aussi hauts. Je ressemblais désespérément à une baguette magique, les nœuds du bois en moins. A douze ans, ma demi-sœur Senna, qui avait deux ans de moins que moi, attirait beaucoup plus les regards. Un jour, j’ai entendu ma belle-mère dire à mon père qu’il devrait d’abord mordre Senna. « Pour l’instant, Selena ne donne aucun signe qu’elle fera une bonne membre pour la meute. Eric, une famille, c’est un arbre, certaines branches ne pourront pas offrir des fruits, alors il ne sert à rien de les tailler. »
Mon père était parti sans dire un mot. Il n’avait pas essayé de prendre ma défense. Toute la journée, je l’ai passée dans mon petit coin qui m’était alloué dans le squat, dans ce cloaque ennemi de l’intimité et de la délicatesse. Pas à pleurer, non, je valais mieux que ça, mais à réfléchir à ce que j’allais faire.
Le soir, quand mon père est rentré, je me suis arrangé pour déclencher une bagarre avec mon frère aîné, Freddie, qui avait une quinzaine d’années à l’époque. Par des petites piques discrètes mais bien senties sur ses longs cils de fille et ses bras en scoubidou, je m’amusai à attiser le feu qui couvait dans ce grand échalas qui rêvait de se trouver une copine. Il pensait tenir là l’occasion de démontrer son rang dans le groupe des jeunes. A peine s’était-il élancé pour me coller un crochet à la mâchoire que je me ramassai sur moi-même pour rentrer mon épaule ossue dans son estomac. Le choc l’étourdit et me laissa les coudées franches pour lui coller un direct à l’arcade sourcilière. Soudain, je fus arrachée du sol : mon père m’avait soulevée par le col du tee-shirt et m’entraînait loin. Une fois dehors, il me regarda longuement, avec ces grands yeux gris fatigués que je n’avais vus qu’une fois, le jour de l’apocalypse familiale. Au fond de moi, je sentais mon cœur se serrer, tout en étant prise d’une colère exaspérée face à cet homme qui semblait incapable d’exprimer ou d’imposer sa volonté. Après m’avoir collé la gifle que je méritais, il rentra dans le bâtiment, et annonça que je serai mordue à la prochaine lune.
Tout s’enchaîna alors très vite. Ma morsure ne fut pas que la reconnaissance de la fierté de mon père, mais aussi le symbole de ma capacité à porter un héritage important. On ne me demanda plus de jouer aux filles, de préparer les repas, ou quoi que ce soit d’aussi dégradant. J’étais libre. Libre d’aller attraper des grenouilles à mains nues pour les mettre dans le col de mes sœurs, me rouler dans les feuilles avec Loki, et grimper aux arbres. Le regard des garçons changea, mais ça, je l’ai surtout découvert ailleurs.
Parce que malheureusement, tout a toujours une fin. Ma vie de liberté se trouva bridée par l’école, et surtout, Poudlard. La simple idée de mettre une cravate me filait des boutons, et les souliers vernis qu’on m’avait donnés me collaient des ampoules. Aussi, les heures de retenue pleuvaient sur ma tête, et je riais en courant pieds nus dans les couloirs, la cravate à la main. Les regards changèrent beaucoup à Poudlard, donc. Les louveteaux d’hier murissaient, et se permettaient beaucoup plus de choses loin du jugement de la meute, notamment les regards coulés dans ma direction. Même pour les non-loups, j’étais la fille simple et franche avec laquelle on pouvait déconner sans se soucier des conséquences, de ce qu’il fallait dire, de ce qui était cool ou non. Cela ne s’est pas passé sans heurts. Certains ont cru que l’indiscrétion était un luxe qu’ils pouvaient se permettre avec moi. Un séjour à l’infirmerie leur aura enseigné, j’espère, les vertus d’une bouche cousue.
Très vite, je fus également impliquée dans les plans de Loki. Au-delà de sa grande gueule d’amûr et de notre amitié, j’étais d’accord avec lui sur tous les sujets importants, et étais convaincue qu’il était le chef qu’il nous fallait. Quelqu’un de fort qui nous débarrasserait de ce vernis de misère crasseuse qui accompagnait le mot « loup-garou » depuis trop longtemps. Et surtout, je gagnais une place hiérarchique de premier ordre, ce qui avait été le but au fond, de toute ma vie. Ma place dans la meute, je l’avais conquise, et il était hors de question que quelqu’un me la ravisse au motif que j’avais un trou entre les cuisses.
Dernière édition par Selena Matthews le Mar 24 Sep - 22:09, édité 4 fois
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Lun 23 Sep - 20:34
Et un dernier, cas où vous auriez besoin d'une photo taille réelle de mes fesses.
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Lun 23 Sep - 21:42
lunaaaaaaaaa fais nous rêver bienvenue par ici !
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Lun 23 Sep - 22:56
Merci pour l'accueil <3 Maintenant, il faut que je sois à la hauteur !
J'essaye de boucler tout avant vendredi soir en fonction de mes dispos ^^
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mar 24 Sep - 0:51
bienvenue parmi nous, jolie louve. bon, techniquement nos personnages ne peuvent pas se blairer. faudra qu'on voit ça par mp et que je t'explique un peu tout ça. bon courage pour ta fiche, super hâte de lire tout ça. et... excellent choix de scénario. des zoub à la framboise.
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mar 24 Sep - 9:20
et bien, bienvenue officiellement
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mar 24 Sep - 17:26
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mar 24 Sep - 17:52
Merci pour votre re-accueil
Si jamais vous voyez tout de suite un truc qui coince n'hésitez pas ! =3
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mar 24 Sep - 18:01
Bienvenue officiellement parmi nous Bon courage pour cette fichette
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mar 24 Sep - 22:16
Merci !
Je pense l'avoir finie (<3 ce personnage) : est-ce que tout vous semble coller ?
Loki, j'ai un peu adapté le début de l'histoire, si ça pose problème je modifie aussitôt En revanche, je n'ai pas encore trouvé de surnom possible pour Selena, alors si tu avais des idées, je suis toute ouïe
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mar 24 Sep - 22:28
Alors concernant les surnoms, tout est écrit dans le scenar : Loki la nomme Luna, et les mauvaises langues l'appellent Tomboy
Par contre, au niveau de l'histoire, je suis sceptique éé J'avais plutôt imaginé une Selena qui était née dans la meute, et non pas une pièce rapportée. Surtout que tu évoques qu'à ses débuts dans la meute, Luna n'appréciait pas s'y trouver. C'est pas franchement ainsi que je voyais le personnage, mais sans doute est-ce ma faute, j'aurais du insister sur son histoire dans mon scénar En bref, je préférerais qu'elle soit née dans la meute directement. Qu'elle n'ait connu qu'elle, tu vois. Il faut qu'elle en soit imprégnée, que ce soit dans ses tripes, dans son sang, dans ses gênes. Donc l'idéal serait de refondre la première partie si ça ne te gêne pas J'aimerais aussi, si possible, que tu fasses ressortir le côté garçon manqué de Luna. Je ne la sens pas assez hargneuse ou bestiale... Pour te donner une idée de Loki, vu que tu ne m'as pas demandé en quoi consistaient ses hobbies sanglants mais je pense que ça t'aidera à cerner l'esprit agressif de la meute, il chasse des personnes pour l'Ombre (prétexte) sous sa forme de loup puis les bouffe. Va falloir qu'elle suive, la cocotte
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mer 25 Sep - 8:46
éè
J'ai donné une interprétation psychologique en fait surtout, pour moi, ça me semblait plus logique de penser qu'elle avait eu une vie "normale" avant, et puis qu'elle avait découvert la domination machiste dans la meute : autrement, ne serait-elle pas plutôt encline à accepter cette domination des mâles ? Pour le reste, j'ai écrit une histoire plus qu'un caractère
Je réécris tout ça dans la journée.
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mer 25 Sep - 8:50
et bien pas forcément Lorsqu'on grandit dans un environnement où l'on ne connait qu'une façon de fonctionner, sans vraiment s'ouvrir au monde qui nous entoure, les habitudes s'ancrent et demeurent normales. Désolée mais je tiens vraiment à ce que Luna soit née dans la meute
Invité
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need Mer 25 Sep - 20:58
N. Aprilynne Lupin a écrit:
bon, techniquement nos personnages ne peuvent pas se blairer. :
+1 ....
Mais bienvenue ma chère! :arté: :arté: :arté: :arté:
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need
SELENA ☽ She's my man and we got all the balls we need