Ici, l'histoire de votre personnage tout simplement. N'hésitez pas à mettre de la musique ou des images (on aime bien ça ici les images). Racontez nous les passages les plus importants dans le passé de votre petit bonhomme, qu'on puisse un peu le cerner le petit. Minimum 800 mots.

Parce tout commence quelque part, c'est ici que comme l'histoire de Cocaïne. ->

Comment tu l'imagines toi, une chambre de bébé? Un berceau en bois vernis aux divers motifs tout mignons, recouvert de draps doux et soyeux ? Flèche de lit et longs voiles blancs retombant sur le sol ? Teintes rosées et ambiances enfantines? Bébé tant désiré, tant attendu, à qui toute l'attention possible et inimaginable serait portée? De l'imagination, du rêve à la réalité, il n'y a qu'un pas. Un petit pas, vulgaire et ridicule. C'est dans la misère que naquit la petite Cocaïne. La simple prononciation de son prénom en dit long sur ce qu'étaient ses parents, ils devaient être dans un bel état lorsqu'ils ont signé l'acte de naissance. Défoncés du matin au soir, du soir au matin, par toutes les drogues qu'il était possible de prendre, l'alcool en prime. Elle sont loin les belles illusions du couple heureux, désirant plus que tout au monde un enfant. Déjà, d'après ce qu'elle sait aujourd'hui, elle n'était absolument pas désirée. Elle n'était que les conséquences d'un pitoyable accident, un soir ou les abus avaient été nombreux, ni plus, ni moins. Parce que ça, ils ne se sont pas gênés de lui faire comprendre, et ce dés son plus jeune âge ; "Ce gosse n'est que source de problèmes." ... "Tu as pris ta pilule? Je ne veux pas d'une deuxième comme elle." Quelle importance, qu'est ce que ça implique au final ? Rien, si ce n'est l'image que Cocaïne garde de ses parents, simplement.

Au premier jour de sa vie, un certain 18 mai, elle était déjà comme abandonnée, inexistante aux yeux de ses parents. Sa mère Carry ne s'en chargeait que du strict minimum. Son père Joey lui refusait catégoriquement de la porter, de s'en occuper la plupart du temps. Cocaïne a évoluée seule, puisqu'elle était fille unique, ce qui au final n'était pas plus, vu les conditions dans lesquelles elle-même avait été élevée. Invisible aux yeux de ses parents, inconnue dans le milieu dans lequel elle était tombée, à East End à Londres. Quartier ou règne la pauvreté, la drogue et la misère. Tu penses, ses parents n'allaient pas s'en vanter de ça. D'avoir eu un enfant, comme s'il s'agissait là d'une honte, d'un délit. Cocaïne ne voyait personne et tout se limitait à son habitation, délabrée. Nombreuses sont aujourd'hui les petites cicatrices qui parcourent son corps. Des morceaux de verres qui traînaient, des cigarettes allumées sur lesquelles elle se cognait. Des échardes ressortant des planchers. Pas de marraine, pas de parrain, pas de proches à proprement parler, si ce n'est Lucy, la soeur de Carry, donc par lien de sang, sa tante qui vivait dans le quartier voisin. Voilà d'où venait la signification du second prénom de Cocaïne d'ailleurs. Cette dernière venait de temps à autre lui rendre visite, ou encore la prenait chez elle quand les conflits, les cris chez la petite étaient trop répétitifs. Cela n'étant que les conséquences des drogues que Carry et Joey consommaient.

Si Cocaïne n'en garde que de vagues souvenirs, c'est parce qu'elle a tout fait pour occulter cette période de sa mémoire, et même dans le peu qui lui reste, elle ne se souvient pas avoir développé une relation quelconque. Autant maternelle que paternelle. Ils n'en avaient que faire de toute manière. Dans le fond et en y repensant, elle n'a jamais manqué de rien, tout du moins, elle recevait le nécessaire vital. Elle n'a jamais eu ce qu'elle a désiré, passant de la simple futilité à la plus compliqué des demandes. Des jouets ? "Va au parc, y'en a des jouets!" alors qu'elle n'avait que 3 ans. Elle se contentait sagement des poupées que Lucy lui avait offertes. Malgré tous les conflits, Cocaïne reçu une éducation correcte, puisqu'elle se rendait à l'école. Demande qu'elle avait évoquée à ses parents à l'âge de 4 ans. Comme l'école en question ne demandait aucuns frais d'inscription vu la précarité du milieu, ces derniers n'ont eu aucune raison de refuser. Bien qu'ils étaient tout de même réticent à l'idée ; "Pourquoi faire? Tu n'apprendras jamais rien à l'école." ... "Tu n'iras nul part dans la vie, tu seras comme nous." Certes, elle n'y apprit pas grand chose, du moins pas autant que dans les autres enfants de son âge, dans les autres établissements. Les écoles "normales". Ce n'était pas bien grave de toute façon, puisqu'elle pouvait quand même compter sur le soutien de Lucy, qui lui apprit énormément de choses. Qu'elle soit futile ou incroyable. Il fallait avouer, l'école, c'était avant tout un moyen de s'évader. Une façon de voir autre chose que le monde de sa maison. Sa tante n'étant pas toujours présente, elle jonglait entre les deux, évitant le plus possible le contact avec ses parents. Ce qui fut assez agréable dans tout ça, à l'école, c'était le calme qui y régnait, la joie de vivre omniprésente dans le bâtiment. Tout enfant qui fréquentait les classes avait son histoire propre à lui, nombreux étaient ceux dont leurs histoires ressemblaient à celle de Cocaïne, dans le domaine familiale. Sans le vouloir, sans même le savoir, un climat de soutien s'était installé dans l'enceinte. Chaque enfant trouvait son réconfort auprès d'un autre. Cocaïne elle, elle le trouva chez Absolem, petit garçon, un petit peu plus grand qu'elle avait déjà croisé à plusieurs reprises au parc lorsqu'elle ne fréquentait pas encore l'école. Petit garçon avec qui d'ailleurs, elle aimait jouer. Ainsi elle grandit dans un milieu plutôt incertain, ignorant toujours de quoi serait fait demain.


La vie suivait son cours, calmement tranquillement. Cocaïne passait le plus clair de son temps hors de chez elle, et ce depuis bien jeune. Trop jeune, six ans environ. "Fait ce que tu veux, traîne avec qui tu veux, et laisse nous tranquille." Pas d'interdiction précise, pas de réglementation quant aux heures de sorties, ce qui était pour bon nombre de gens la vie rêvée. Pourtant, s'ils savaient vraiment, ils comprendraient qu'il n'y a strictement rien à envier à cette vie rythmée par les soucis. Parce que c'était bien ça le problème, la pauvreté est souvent synonyme de conflits incessants, pour trois bouts de pain. Sans compter la criminalité qui régnait dans la zone. Les enlèvements, les viols, et même les meurtres, c'était faits courants à East End aussi malheureux soient-ils. C'était habituel d'entendre des gens hurlés, des coups de feu. Tellement que dés que ça arrivait, personne ne s'en préoccupait. Si Cocaïne ne traînait pas chez Absolem, elle était chez Lucy. Elle aimait l'observé des heures. Lucy était toujours occupée, Cocaïne ne la dérangeait pas, elle se contentait simplement de la regarder. Elle faisait des choses bizarres tout de même. Quand la petite était trop agitée, elle faisait apparaître des petites lumières avec un bout de bois, comme si les étoiles étaient tombée du ciel. Petit bout de bois auquel Cocaïne était défendue de toucher, mais qui attisait tout de même sa curiosité. Elle avait bien souvent du mal à comprendre pourquoi, comment elle faisait. Puisque Lucy gardait toujours le silence à ce sujet là. "Tu es trop petite pour comprendre princesse." disait-elle souvent en lui caressant les cheveux. Cocaïne resta longtemps convaincue qu'en réalité, sa tante était magicienne, et que c'était un secret. Alors en restant basée sur le secret, elle ne chercha pas forcément à comprendre plus loin. Les années défilèrent de la sorte.

Après, il y avait toujours Absolem. La relation qu'ils avaient développé avec le temps et ce depuis leur première rencontre ne faisait que de s'amplifier, un lien incassable s'installa peu à peu. Ils se voyaient régulièrement, bien que le petit garçon avait quitté la cité suite au décès de sa mère. Ce qu'elle pouvait l'envier... Malgré la perte de sa mère, lui avait quitté la cité, et ce milieu pourri pour de plus beaux quartiers à Londres. Elle eu du mal à comprendre pourquoi il continuait à s'y rendre, tous les jours, voir plusieurs fois par jour. En même temps, elle n'allait pas s'en plaindre, parce que s'il n'avait pas constamment été là, dieu seul sait ce qu'elle serait devenue. Ses parents à elle n'en menèrent pas plus large. Ils décédèrent tous d'eux d'une presque overdose, impliquant un conflit ayant mal tourné quelques mois plus tard, alors qu'elle n'avait que dix ans. Partagée entre la tristesse et le réconfort d'une vie meilleure, elle ignorait comment prendre la chose, ça n'en restait pas moins ses parents. Quoi qu'il en soit, par le manque d'attention, de sentiments aussi, elle s'en remit assez vite. Cocaïne quitta la cité, prise sous l'aide de Lucy.



Vu le degrés d'évolution des enfants provenant des cités, la période d'adolescence commençait relativement tôt. Rapidement autonome et Lucy ayant des responsabilités inconnues à tenir, Cocaïne était bien souvent seule du à ça. Seule, par là j'entends la présence de sa tante. Puisque Absolem était souvent dans les parages. À cette époque, on ne parlait plus d'un lien, mais plus d'une amitié fusionnelle entre les deux. Il en devenait assez rare de les voir séparer, chacun trouvant ce dont il avait besoin chez l'autre. En dehors des promesses constantes qu'ils se faisaient, d'un monde propre à eux qu'ils s'inventaient, de leurs projets qu'ils mettaient en commun, ils furent tous deux d'un mauvaise influence l'un pour l'autre. Rien de voulu, tout était inconscient, mais quoi qu'on en veuille, l'époque des bacs à sable et des coloriages était belle et bien révolue. Ils essayèrent tout ensemble, que ce soit la première cigarette vers onze ans. Le joint peu de temps après, la première cuite, les premières prises de drogues en tout genre, les premiers ébats en fin de soirée trop chargé en substances illicites, c'est à peine si Cocaïne s'en souvient de tous ces passages d'ailleurs. Ils firent ensemble toutes les conneries possibles et inimaginables. C'est avec lui qu'elle essaya tout pour la première fois au final, toujours dans le dos de Lucy. Elle n'aurait jamais apprécier voir sa protégée prendre la même tournure que ses défunts parents. D'ailleurs, Cocaïne n'appréciait pas non plus, mais c'était chouette... Absolem représentait son passé, son présent ainsi que son avenir. Il lui était totalement inconcevable de parler d'un avenir sans lui. D'ailleurs autant le préciser. Il n'y a toujours eu que de l'amitié entre les deux jeunes. Rien de plus, jamais. De toute façon, Cocaïne n'aurait jamais prit le risque de perdre celui qui comptait le plus pour elle, parce qu'elle aurait espérer plus de leur relation ou quoi que ce soit, ce qui n'est en plus jamais arrivé. Ils ont beau être fusionnel, ça s'arrête là. Lui vivait ses relations de son côté, elle du sien et ainsi passait le temps. Elle lui devait tout. De la personne qu'elle était devenue, de ce qu'il lui avait apporté durant toutes ces années.

Maintenant, tout n'est pas éternel, et même si Cocaïne eut du mal à s'y faire, Absolem quitta Londres alors qu'elle avait treize ans. Sans s'étaler sur le sujet, sans trop lui parler de sa vie future. Il lui écrivait quelques fois, elle lui répondait toujours. Elle continuait à vivre de son côté, malgré la difficulté qu'elle éprouvait à nombreuses reprises. La cité n'avait en rien changé depuis son plus jeune âge. C'était même pire. Cocaïne devenant au fil du temps une belle jeune fille, dégageant envie et désir auprès de la gente masculine, des gros porcs dans la majorité, aujourd'hui, elle ne compte plus le nombre de fois ou elle a été sur le point d'être la suivante sur la liste des victimes d'East End. Chance, avec le temps, elle développa un caractère assez complexe. C'était dans son intérêt, Lucy étant absente, Absolem n'étant plus là, elle n'avait pas le choix. Agressive, odieuse, et même violente dans certains cas, doué aurait du être celui qui aurait tenté de l'attirer dans ses filets. En dehors de ça, elle ne poussa pas le vice et évita bien souvent de traîner dans les ruelles trop sombres, ou de traîner tout court à des heures trop tardives. Elle ne resta pas seule très longtemps. D'autres personnes firent leurs apparitions dans sa vie, dont notamment Aaron. Encore un jeune homme du même âge qu'elle-même. Ils étaient proches, ils partageaient beaucoup de choses ensemble. C'était la bouée qui l'a tenait immergée durant l'absence d'Absolem, mais il n'y avait rien à faire, ce n'était pas lui. Néanmoins, elle l'appréciait, et les choses avaient été beaucoup plus loin avec lui. On ne parlait plus là d'amitié quelconque, mais plutôt d'un amour à une certaine mesure.



Lucy étant de plus en plus absente, Cocaïne souvent livrée à elle-même, finit par demander des explications à sa tante quant à ses occupations, les raisons de ses absences. Ce n'est pas comme ci elles ne vivaient pas sous le même toit, ce n'est pas non plus comme ci elles étaient inconnues l'une à l'autre. D'autant plus, Cocaïne approchait de sa treizième année, et au vue de sa maturité, elle était tout à fait en âge de comprendre. Sans savoir comment aborder la chose, Lucy lui évoqua d'abord un monde parallèle, où tout est possible. Serait-ce le pays des merveilles de la grande Alice? Non, absolument rien à voir. Il n'y avait pas que le bon à retenir, la mal régnait autant que le bien. Sa tante s'est vue contrainte de lui expliquer tout en long et en large ce monde parallèle comme elle l'avait dit. Un monde ou régnait magie et créatures décrites dans les comptes et dont le sang était primordial pour y pénétrer. Les pensées que Cocaïne avait au sujet de cette dernière lorsqu'elle était plus jeune s'étaient avérées correctes. Lucy était belle et bien d'une certaine manière une magicienne, plus généralement appelée une sorcière. Il faut avouer, la jeune fille eut de mal à comprendre, c'était invraisemblable, et ce devait sans doute être une mauvaise blague, une mauvaise compréhension due aux drogues qu'elle prenait encore. Elle n'avait jamais arrêté d'ailleurs. Diminuer, augmenter, mais jamais arrêter.

A côté de ça, Lucy s'était arrangée pour que Cocaïne entre dans cet endroit. Dans l'école des sorciers, parce qu'en plus, une école existait. Lui laissant tout le droit de refuser, ou d'accepter. Elle lui précisa néanmoins qu'Absolem avait lui aussi intégrer ce lieu si mystérieux. "Oui oui tante Lucy.. ça ira mieux demain, on en reparlera." À son avis, sa tante n'avait pas bu que de l'eau ce soir là. Or, elle se leva le lendemain et découvrit sur la table, une lettre de la dite école. Cocaïne fit quelques recherches, afin de se prouver à elle même la véracité des dires de sa tante. Les résultats furent maigres, le nom de l'école ne recensait que des légendes dans les livres. Ce qui resta invraisemblable pour elle de toute manière. Elle parla d'un éventuel départ à Aaron, n'étant pas sûre de ses choix, et préférant prendre du temps pour cela, lui inventant alors diverses raisons bidons, mais crédibles. Elle n'osa pas vraiment lui expliquer le pourquoi, par peur qu'il la prenne pour la dernière des tarées. Même si les effets de la drogue lui faisaient raconter de belles conneries, celle ci les surpassait toute. Cocaïne attendit sagement le retour de Lucy, la semaine suivante. Elle continua de se renseigner du mieux qu'elle pouvait, faisant usage d'ordinateurs à la bibliothèque, de livres. Elle avait également fouillé dans toute la résidence de sa tante, elle tomba sur quelques vieux grimoires, livres de formules, comme il était possible de trouver dans certaines boutiques, pour les passionnés de fantaisies. Lucy finit par rentrer à Londres, Cocaïne lui fit part de son envie de rejoindre les lieux dont elle avait parler. Sous quelques recommandations ; "Tu ne pourras parler de cela à personne. Ni où tu vas, ni pourquoi. Personne ne peut le savoir." Elle ne comptait pas en parler de toute manière. Son départ n'était pas prévu pour tout de suite, elle devait acheter quelques fournitures aussi bizarre les unes que les autres. Une baguette, un balai... Le fameux bout de bois aux yeux de Cocaïne utilisé par sa tante, alors qu'elle n'était que très petite. Toutes les démarches étaient bizarres, tout était bizarre au sujet de ce monde différent, et ça, elle n'en démordrait pas, elle venait tout juste d'avoir treize ans.




Un mur qui bouge, pour avoir accès à certaines boutiques. Une gare dans laquelle il faut foncer dans un autre mur pour prendre le bon train... Bref, Cocaïne fut finalement arrivée dans cette endroit mystérieux. Rempli d'autres élèves, tous la dévisageant comme si elle était un monstre dans ces lieux. Lucy étant inconnue là-bas, Cocaïne était totalement seule. Aaah, ce qu'elle ne la ramenait pas sa fraise... Seule jusqu'à ce qu'elle retrouve Absolem, plus heureuse que jamais. Le sermonnant néanmoins de lui avoir caché un truc pareil. C'est lors d'une sorte de cérémonie qu'un chapeau hideux fut posé sur sa tête, chapeau qui parle. Sur le moment même, Cocaïne fut terrorisée n'osant bouger, n'écoutant simplement que ce que le chapeau avait à dire. "Hum... Ambitieuse.. Audacieuse et déterminée! Tu ferais une bonne recrue pour la maison Serpentard!" Un instant de silence se laissa entendre. Beaucoup la regardait bizarrement sans qu'elle ne puisse comprendre pourquoi. Juste avant que le chapeau lui soit retiré, il reprit. "Mais je ne crains que ton courage ne soit plus grand que tout cela... Va pour Gryffondor !" Son choix de maison fut donc fait, quelle était la différence entre chaque maisons? Elle ne l'apprendrait que bien plus tard. Quatre ans passèrent ainsi, au sein d'une nouvelle école, d'un nouveau monde. L'adaptation fut très rude, elle y arriva cependant. Apprenant de jours en jours de nouvelles choses, c'était un changement de vie radicale, rien à comparer à ce qu'elle vivait avant.

Bien sûr la relation qu'elle entretenait avec Absolem ne s'était éteinte. Ils reprirent leurs mauvaises habitudes, redevenant unis comme les deux doigts de la main. Tout se passait très bien, jusqu'au jour ou Cocaïne apprit qu'il avait développé avec le temps une relation avec une autre élève. Elle ne ressentait pas la moindre jalousie. Elle avait juste peur, peur de perdre, à cause de sentiments celui à qui elle tenait le plus. Si Cocaïne n'avait pas voulu créer de liens trop importants dans le passé avec d'autres, c'était justement pour ne pas causer de désagréments à la relation qu'elle avait avec lui. Peur que cette fille, Zeppelin en l'occurrence, prenne une importance trop conséquente aux yeux de ce dernier. Bien sûr, elle n'est pas méchante. Pas du tout d'ailleurs. Cocaïne s'entendait très bien avec Zeppelin, malgré la différence de leurs milieux d'éducation. Cependant et malgré sa crainte omniprésente, elle lui laissa la chance de rendre Absolem heureux, de lui faire connaître autre chose, sans s'interposer entre eux. Même si ce fut difficile au début, elle apprit à respecter cela avec le temps.