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 Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.

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Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. Empty
MessageSujet: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 13:42


Cupid Dante Skeeter


(Martin Luther)▽ Qui a bien pu donner à Dieu l'idée de créer des êtres mâles et femelles et de les faire s'unir ?
carte d'identité
Nom : Skeeter. Un nom que tout le monde connaît et qui est régulièrement sur toutes les lèvres. Personne ne semble pouvoir échapper à la célébrité qui est associée à un tel nom de famille. Certes, il n'est pas aussi prestigieux que celui de Potter ou aussi empli d'histoire que celui de Malefoy, mais il possède un certain cachet. Prénom(s) : Cupid. Tout un programme sentimental dans un seul prénom, ça promet ... Du latin Cupido qui signifie "désir", c'est aussi le nom du fils de Vénus, ce petit ange nu muni d'un arc qui pense pouvoir créer l'amour là où il n'y en a absolument pas. Quant à Dante, il fait là aussi référence à la culture italienne, plus précisément à l'un des seuls dramaturges italiens qui se doit d'être lu. Surnom : Il ne faudrait pas que cela parvienne jusqu'à ses oreilles, mais certains jugent judicieux de le surnommer "Rita", dans une référence plus qu'évidente. Si seulement tout le monde pouvait faire preuve d'un peu plus d'imagination que cela ... Âge : Vingt années trop chargées mais pas si décadentes que cela. Date et Lieu de Naissance : Le dix-neuf février, dans une chambre à l'abri des regards de l'hôpital Sainte-Mangouste, Londres. Nationalité : Les Skeeter sont une famille anglaise depuis des générations. Non pas qu'ils refusent de mêler leur sang à d'autres nationalités mais plutôt que l'occasion ne s'est jamais présentée jusque là. Sa mère prétend cependant à qui veut l'entendre que l'île de Man est un état souverain et indépendant. Pureté du sang : Aussi pur qu'il puisse l'être. L'envie de dire qu'il soit plus pur que celui du Lord n'effleurerait cependant l'esprit de personne. Année d'étude & Maison : Septième année dans la belle et douce maison de Rowena Serdaigle Orientation sexuelle : Seule la gent masculine parvient à trouver à ses yeux un charme certain. État civil : Éternel célibataire marié à sa virginité.

le sorcier en toi
Baguette : Vingt-sept centimètres en bois de Pin avec en son cœur un crin de Sombral. Patronus : Le fait que sa Grand-Mère soit un véritable modèle et que la plupart des souvenirs positifs y soient reliés, il n’y a aucune surprise à ce que son Patronus prenne la forme d’un magnifique scarabée. Épouvantard : Une poupée de cire grandeur nature ou, selon l'humeur, toute une multitude. Les clowns lui font particulièrement de l'effet. Ainsi que les rousses. Particularité : Petit-fils de la magnifique et célèbre Rita Skeeter est déjà un don en soi. S’il fallait lui rajouter une particularité, cela ferait certainement de lui un être trop exceptionnel pour être vrai. Options choisies & métier envisagé : Etudes des runes et Soins aux créatures magiques. Lui se rêve grand duelliste et peaufine pour cela les sorts qu’il apprend sans cesse, tentant tant bien que mal d’insuffler un peu de créativité et d’inventivité dans des sorts millénaires. Sa famille aimerait plutôt qu’il se dirige vers une carrière artistique, peu importe laquelle à vrai dire, même si sa Grand-Mère aimerait le voir devenir écrivain et son père acteur Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? « Grand-Mère m’a toujours mis en garde contre l’usage de la magie noire et son pouvoir destructeur. Néanmoins, Elle ne cesse de répéter qu’on ne peut vraiment comprendre un danger que grâce à une étude approfondie de ce dernier. L’étude théorique n’était pas du tout convaincante de ce point de vue là et il m’a vite fallu passer à la pratique pour mieux m’en faire une idée. Il ne semble pas que l’attrait du pouvoir obscur ait eu quelques impacts sur moi. Pour le moment du moins. Pour vous donner plus de détails concernant ce passage à la pratique, il s’est fait tout récemment. La puissance qui se dégageait de ce moment magique rend encore tout assez flou et compliqué à expliquer. » Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? « Grand-Mère ne cesse de répéter qu’il faut savoir se mettre du côté des vainqueurs le plus tôt possible. Mais je n’arrive pas encore à distinguer le gagnant de cette petite bataille enfantine pour le moment. Après quelques temps d’observations discrètes pour voir de quel côté la balance tendait à pencher, il me semble qu’il vaille mieux pour le moment se ranger du côté des Ombres. Mais je préfère rester neutre pour le moment. Juste au cas où. Il faut encore que je récolte assez d’informations pour me faire une bonne idée. » La disparition d’un élève de Poudlard vous perturbe-t-elle ? « Lune était un bon candidat. J’avais une pleine fiche prête à être utilisée sur lui. Tout ce travail de perdu, c’est à en pleurer. Il y avait tant à dire, à répandre. Donc autant vous dire que sa disparition m’a fortement affecté. Bien évidemment, tant que le gouvernement n’a pas fait toute la lumière sur cette disparition, il va sans dire qu’un espoir demeure qu’il réapparaisse. » Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? « Je sais que Grand-Mère a une capacité à se défendre bien au-dessus de la moyenne. Je ne me fais donc aucun souci la concernant. Elle a toujours été plus débrouillarde que la plupart des sorciers que je connais. Concernant moi-même, et aussi mes camarades, pas de souci non plus de ce côté. Il suffit d’être casanier, de toujours se déplacer en bande pour penser s’en sortir. Il faut être idiot pour penser que le monde extérieur est rempli de bisounours prêts à vous sauter dessus pour vous câliner. » Que pensez-vous des attaques de Pré-au-Lard ? « Pas grand-chose. Elles semblent avant tout dirigées contre les élèves nés-moldus de l’école. Ils n’ont qu’à faire preuve d’un peu de jugeote et d’éviter ce genre d’action. La vérité ne m’intéresse pas vraiment. La chasse à l’homme est un sport comme un autre après tout. De nombreuses civilisations le pratiquaient. Cela permet d’une part de permettre à la jeunesse de se renforcer aussi bien physiquement que moralement, et, d’autre part, d’éliminer les plus faibles d’entre nous. Ceux qui ne sont pas dignes en quelque sorte. » Le gouvernement et les médias nient l’existence d’une force semblable aux Mangemorts. Et vous, vous en êtes où à ce sujet ? « Grand-Mère m’a toujours expliqué combien le gouvernement tentait d’influencer les médias par tous les moyens. Elle ne cessait de répéter qu’une enquête journalistique poussée était nécessaire pour connaître la Vérité, mais que peu de journalistes comme Elle étaient capables d’une telle prouesse. Il faut donc se méfier et de ce que racontent les journaux et de ce que le gouvernement veut bien nous communiquer. Le dernier article en date en est bien la preuve manifeste, puisqu’il ne fournit aucune information concrète susceptible d’aider le lecteur à mieux comprendre. Il aurait tout aussi bien pu être une recette de soupe à l’oignon, le résultat aurait été parfaitement le même. Il faut se méfier de l’eau qui dort. A avoir tant de petits rejetons bâtards imbus d’eux-mêmes descendant vraisemblablement de personnalités sombres, il était évident qu’au bout d’un moment ou un autre, il finirait par se passer quelque chose de plus grave que le gouvernement ne veut bien l’avouer. »


le moldu derrière tout ça
Pseudo : Hypérion même si de petits malins pensent faire de l'esprit en m'appelant Mamie. Âge : Il me semble que j'ai vingt-et-un ans. Ou vingt ans. Ou vingt-deux ? 'fin, dans ces eaux-là quoi. Avatar : Douglas Booth. Fréquence de connexion : Tout dépend de mon emploi du temps. Le plus souvent possible cependant. Comment as-tu connu le forum ? Par Charles. Code : Validé par Lizzie Copyright : Quasiment tout du Tumblr Douglasboothitalia.


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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 13:42


Rita Skeeter 2.0


(Rita Skeeter) ▽ Qu'ici chaque homme et chaque femme puissent trouver l'inspiration qui manque à leur morne vie
A mes enfants avant tout. A moi la vengeance et la rétribution.
Porter le nom de Skeeter est un héritage que personne n’est véritablement prêt à porter. Malgré différentes tentatives pour argue auprès du Ministère de la Magie pour obtenir une nouvelle identité, les formulaires roses et vert B204 et R804 sont jusqu’à aujourd’hui toujours revenus refusés au motif d’un manque d’investissement et de motivation. Des excuses, tout simplement, toujours les mêmes pour ce genre de demande.

Un bref rappel autobiographique sur Rita Skeeter pour les personnes un peu naïves qui pensent que l’on peut décemment se passer de son influence dans les médias, même après la mort du Lord. Elle n’est pas seulement une journaliste d’un talent certain, capable de vérifier ses sources comme personne auparavant, de toujours trouver les mots justes pour décrire les vices cachés des gens. Elle est certainement plus que cela. Couronnée pendant trois années consécutives par le Grand Prix de Littérature Sorcière de Witch Weekly, respectivement pour ses best-sellers The Life and Lies of Albus Dumbledore, Armando Dippet: Master or Moron? et Salazar and Rowena, a true love story, Femme de l’année 2015 en couverture de The Daily Prophet pour l’ensemble de son œuvre, Rita est une femme aimée, aimante, avec un héritage brillant. Elle fait et défait les personnalités de ce bas monde, l’avoir de son côté n’est pas de tout repos. Son talent certain pour l’écriture n’est pas étranger à sa célébrité, bien qu’entachée dernièrement par la Grand Procès qui lui a été intenté pour diffamation et où elle avait dû révéler son don caché d’animagi. Malgré cela, elle reste encore aujourd’hui, malgré un âge avancé, une belle femme pulpeuse, qui fait des ravages auprès de la gent masculine et qui écrit encore des articles percutants au moins une fois tous les deux mois pour entretenir la flamme de ses lecteurs. Chacun est attendu avec impatience par la communauté sorcière, le dernier en date titrant Hogwarts: Beginning of the End? Elle vit néanmoins une petite retraite tranquille dans le fin fond de la campagne écossaise en compagnie de son labrador, Justice, et de M. Skeeter, le troisième. Peu de personne le savent, mais Skeeter n’est pas son véritable nom de famille. Elle est née Bouvier et s’est vite mariée avec Jack Skeeter. Mais l’entente n’était pas des plus merveilleuses dans le couple, ce qui avait conduit au divorce. Mais sa carrière avait déjà commencée à s’envoler, l’obligeant, pour ne pas déconcerter ses lecteurs, à garder son nom de femme mariée. Malgré ses deux mariages suivants, elle a toujours gardé le nom de son premier mari, ce qui était d’ailleurs l’une des causes de son second divorce. Les seuls enfants qu’elle a eu sont issus de son second mariage mais ont pris le nom du premier mari de leur père. Une histoire un peu compliquée à vrai dire. Mais la célébrité de Rita lui donnait tous les droits. Son dernier – et actuel – mari reste inconnu, toujours en retrait dans l’ombre. On murmure qu’il est parfois présent à quelques évènements mondains dédiés à la gloire de sa femme, mais ils n’arrivent ni ne repartent jamais ensemble. Le magazine à scandales qui sera sûr de son identité verra à coup sûr ses ventes dopées par un tel scoop. Divers noms circulent mais d’aucun ne semble véritablement sérieux. Son biographe officiel fait peu cas de ses écarts de conduite et c’est fort regrettable. Avec les années qui ont passées, les prix qui se sont accumulés, l’opinion publique les a peu à peu oubliés, jusqu’à lui donner un aspect lisse et doux. Son conseiller en relations publiques lui a été d’une grande aide, notamment en la conduisant à reverser la moitié des bénéfices de sa dernière biographie, Minerva McGonagall: From Village to Suburb, à l’hôpital Sainte-Mangouste.

On pourrait facilement croire – et moi le premier – que Rita était une mère indigne. Mais c’était loin d’être le cas. On pouvait l’accuser de nombreuses choses, comme d’être une épouse indigne, mais en aucun cas elle ne mettait l’éducation de ses enfants au second plan. Charles, Elsbeth et Milo.

ELSBETH – Est-ce que vous allez divorcer ?
N°2 – Pour le moment, non, mais ce n’est pas en bonne voie.
CHARLES – Est-ce que c’est de notre faute ?
N°2 – Non, bien sûr que non.
ELSBETH – Tu nous aimes encore ?
N°2 – Bien sûr que oui. C’est évident.
CHARLES – Tu aimes toujours Maman ?
N°2 – Oui. Beaucoup. Mais ce n’est plus réciproque.
ELSBETH – Et on va aller vivre chez qui ?
N°2 – Vous allez rester ici. Avec votre mère. Je vais aller dans un hôtel pour le moment.
ELSBETH – Mais si ce n’est pas de notre faute, alors qui ?
N°2 – C’est complexe. Mais ce n’est pas de votre faute.
CHARLES – Mais je ne veux pas que tu partes moi.
ELSBETH – Et qui va garder Justice ?
CHARLES – Tu continueras à me donner de l’argent ?
ELSBETH – Et à moi aussi ?
CHARLES – On va quand même en France pour les vacances ?
ELSBETH – J’avais tellement envie de visiter Paris moi !
CHARLES – Et se promener en Provence.
ELSBETH – Comment va Maman ?
CHARLES – Dévastée ?
ELSBETH – Mais le pauvre Justice, il ne doit pas aller bien, le pauvre.
N°2 – Et toi, Milo, tu as des questions ?
MILO – Non.

Le divorce des deux parents a sans doute été traumatisant pour les enfants. Mais, si un traumatisme est géré à temps auprès des enfants, il ne laisse que très peu de séquelles sur la vie d’adultes. Néanmoins, selon les différents sentiments qu’ils avaient éprouvés à ce moment-là, on ne peut que douter d’une telle affirmation. Charles s’était réfugié dans les jupons de sa mère, lui vouant un culte sans borne, découpant les articles qu’elle écrivait, dévorant tous ses livres, prenant un soin particulier à ce que la poussière ne se pose pas sur ses trophées. Elsbeth s’était réfugiée dans la nature, passant le plus clair de son temps dans le jardin, à cultiver des petites tomates dans le fond du jardin, alors que sa mère ne cessait de lui répéter que rien n’y pousserait jamais, que le sol était trop infertile pour cela. Et elle avait raison, même si cela n’avait pas empêché sa fille de passer des années à persister. Quant à Milo, il passait ses journées par monts et par vaux, revenant très rarement dans la maison familiale, traînant dans les rues, dans les bars, dans les cafés, assistant petit à petit à la montée du Lord. Charles était devenu écrivain. Il avait presque pris la suite de sa mère, certains critiques littéraires faisaient d’ailleurs référence à la « dynastie Skeeter ». Connu pour ses positions pro-Voldemort, on lui doit un pamphlet anonyme dithyrambique contre Dumbledore durant la Deuxième Guerre des Sorciers. Il s’est assagi officiellement par la suite, se contentant de signer des livres beaucoup plus consensuels, comme son fameux James Klein, the unauthorized biography, une enquête plus ou moins poussée, récompensée par le prix du journalisme de Wizard’s Wireless. Elsbeth s’est tournée vers l’activisme politique dès la fin de ses études, tombant parfois dans une certaine violence. Elle est notamment membre de la Société pour la réinsertion des Harpies, le Mouvement pour les droits des Trolls, un groupe obscure pour les droits des gobelins, … Elle a de fait coupé tous les ponts avec sa famille, leur envoyant cependant une lettre tous les ans pour les accuser de faire le jeu du gouvernement en jetant l’opprobre sur de tels mouvements nécessaires à la démocratie. Milo est lui devenu acteur, commençant d’abord dans des pièces écrites par son frère avant de voler de ses propres ailes. Il a bien évidemment joué de son nom avant de pouvoir jouer du sien. Il a connu tous les excès, s’adonnant à tous les vices avant de se poser un peu plus. Rita conserve toujours sur elle une photo de ses trois enfants, sachant qu’il est difficile de les réunir tous les trois, Elsbeth refusant de parler à ses frères et à sa mère, Charles et Milo refusant de s’adresser la parole en raisons de divergences politiques, la seule photo qui reste a été prise durant l’enfance, les trois enfants enlaçant affectueusement Justice, le sourire aux lèvres.

TREY – Et de qui êtes-vous la plus fière ?
RITA – Je ne veux pas avoir l’air de faire du favoritisme, mais Milo reste mon préféré.
TREY – Pourquoi ?
RITA – Plus par soustraction que par véritable favoritisme en fait. Elsbeth est trop rebelle et je ne suis pas d’accord sur tous les actes de Charles.
TREY– Parlons d’Elsbeth. Quand l’avez-vous vu pour la dernière fois ?
RITA – J’ai dû la croiser dans la rue, il y a quelques mois. Je couvrais la manifestation pour la Libération des Elfes de maison. Elle m’a totalement ignoré.
TREY– Hum. Et que pensez-vous du dernier livre de Charles, Malfoy, The Fall ?
RITA – Il n’a pas mon style mais il a mon nom. (Eclats de rire)
TREY– Vous êtes allée voir sur scène Milo ?
RITA – Il a un certain talent. Il a toujours été très exubérant d’une certaine manière. Un plaisir pour les yeux. C’est devenu un très charmant jeune homme.

Déjà tout petit, vers l’âge des cinq années, Milo était la personne préférée de son frère, qui voyait en lui l’incarnation parfaite du jeune premier, qui pouvait indéniablement interpréter chacun des rôles qu’il pouvait lui écrire. Inspiré largement par son entrée à Poudlard, il avait mis en scène son frère et Le premier véritable rôle qu’il a tenu était celui de Merlin dans la comédie éponyme signée par son frère. Mais il prit réellement son envol aux yeux du public – alors que parallèlement le côté dramaturge de son frère s’enfonçait dans les abymes, ce qui d’ailleurs est aussi l’un des sujets fréquents de brouille entre les deux frères – dans la pièce Salem, où il interprétait le rôle principal. Tournées d’abord au Royaume-Uni, puis dans toute l’Europe et finalement quelques incursions en Asie et en Amérique, où son talent fût loué quasi-unanimement. Il brisa le cœur et de son agent et de milliers de jeunes filles en fleurs en se mariant après quelques années à une jeune femme de la société aristocratique anglaise, une Bloom. Sa famille n’avait bien évidemment pas vu ce mariage d’un bon œil, pariant même sur un divorce imminent au vue de ses états de conduite et de ses ravages au sein de la population féminine. Néanmoins, contre toute attente, le mariage dura, consolidé par l’amour des deux amants. La famille Bloom avait strictement refusé de soutenir financièrement le couple, mais Rita pouvait se le permettre allègrement. De cette fructueuse union naquirent trois enfants, à croire que la famille Skeeter était avant tout unie autour de ce chiffre trinitaire. Victoria, Anne et Cupid. Si les deux premiers prénoms font directement référence à deux des monarques anglaises, le troisième est plus obscur, plus sombre. Sans doute qu’ils n’avaient pas véritablement d’idées à la naissance du petit garçon et que la seule source d’inspiration avait pu être trouvée dans le prénom de son père. Milo. Cupid. Vous voyez le rapport ? De même d’ailleurs, Cupid. Milo. Dante. Il n’y a pas besoin de véritablement chercher loin pour voir qu’il y avait un manque total de volonté de trouver un prénom décent pour le nouveau-né. A la rigueur, ils avaient pensé pendant un instant à lui donner le nom de l’infirmier qui était présent. Samson. Et c’était tout bonnement hors de question.

MILO – Regarde-le, il a tes yeux.
BLOOM – Et l’air délétère et outrancier de ta mère. Dans tous les sens du terme.

Victoria avait tout fait pour fuir son nom et la renommée de son père et de sa Grand-Mère. Elle avait fait des études correctes, avait parcouru l’Europe pendant quelques années avant de devenir une petite employée du Ministère de la Coopération Internationale, notamment du fait de sa parfaite connaissance du Gobelbabil et de la culture gobeline. Anne, quant à elle, était serveuse dans un bar. Elle avait tenté elle aussi de grimper sur les planches, mais, jusqu’à présent, elle avait toujours échoué, comme quoi, le nom ne faisait pas tout.






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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 13:43


il était une fois


(Léonard de Vinci) ▽ Je croyais apprendre à vivre, j'apprenais à mourir.
In my younger and more vulnerable years my father gave me some advice that I’ve been turning over in my mind ever since. “Whenever you feel like criticizing anyone,” he told me, “just remember that all the people in this world haven’t had the advantages that you’ve had.” (The Great Gatsby)
FAIT N°1 : Où il est question des cheveux en tout genre (et aussi un peu des ongles)

Cupid était tranquillement allongé sur son lit, les draps couvrant à peine sa nudité flagrante, plissant parfois à la manière d’un drap recouvrant une statue grecque. Sur le dos, la tête surélevée par un oreiller en plume d’oie, il fixait le plafond tout en tournant et retournant ses doigts dans ses cheveux. Il adorait sentir sous ses doigts la douceur de ses cheveux bruns, les sentir glisser entre, se faufiler, échapper à toute prise concrète et ferme. Son préféré était particulièrement le n°238. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il était beaucoup plus doux que les autres et d’une longueur légèrement plus courte que les autres. Ses ongles, rongés au maximum, n’arrivaient pas à s’en saisir trop longtemps. Il finissait toujours par s’enfuir, se faufiler ailleurs, se demander s’il ne devait pas, un jour, partir définitivement, se faire la malle. Peut-être avec le n°547. Il avait toujours sentir qu’entre ses deux-là, il se passait quelque chose de pas très net.

CUPID – Tu vois, je pense qu’il faudrait brûler les roux. Vraiment.

Il leva sa main au ciel, la paume face à son visage. Il repéra que l’un de ses cheveux avait tenté lui aussi de partir de s’agrippant à sa main, comme s’il pouvait réellement croire qu’en se cachant parmi les poils qui jalonnaient ses bras, il pouvait s’échapper, qu’il ne le remarquerait pas. C’était bien mal le connaître.

CUPID – Le roux, ce n’est pas une couleur naturelle. Il faudrait les parquer, les faire se reproduire entre eux pour éviter qu’ils ne contaminent le monde. Le roux n’est pas beau.

Il prit de sa main libre le cheveu récalcitrant et commença à le rouler entre ses doigts, à en faire une légère boule, lentement, très lentement. Il fallait le faire souffrir. Il fallait que les autres comprennent bel et bien qu’on ne pouvait décemment pas échapper à son œil acéré et habitué à ce genre de petite bravade. N°98 allait comprendre qu’il aurait mieux fait de rester auprès de ses frères et sœurs, tranquillement, sagement, aligné entre n°97 (9,33 centimètres, couleur blonde, pointe dédoublée) et n°99 (8,45 centimètres, couleur brune, très fin).

CUPID – Ce n’est pas que je ne les aime pas. Ils ont parfois des personnalités tout à fait charmantes. Mais être roux quoi. Il ne faudrait pas faire subir ça à un enfant qui pourrait être blond.

Une fois ce petit rituel effectué, il porta sa main une nouvelle fois dans sa chevelure, cette fois-ci à la recherche d’un cheveu bien précis. N°2. Court. Brun avec des reflets blonds à la base. Assez fin. Coupé brusquement à sa fin de sorte qu’il n’y ait pas de pointe. Une fois trouvé, il porta sa main à sa bouche, dévoilant des dents jaunies par le temps et la cigarette mais qui s’alignaient parfaitement pour former un sourire enjôleur. Il rongea ses ongles le plus précisément possible, ôtant parfois un peu de peau jusqu’au sang, avant de tenter de couper un peu plus la pointe du cheveu n°2. Il avait d’ailleurs l’impression que cette partie-là de ses cheveux, disons jusqu’au n°50, était moins récalcitrante, moins encline à la liberté.

FAIT N°3 : Où il est question de la bibliothèque

De tous les endroits dans l’école, la bibliothèque reste sans doute l’endroit le plus merveilleux de tous pour le jeune homme. Il pouvait y assouvir la plupart de ses besoins nécessaires à sa survie sans se soucier du regard des autres. Il avait trouvé une petite table, assez reculée pour que personne ne soupçonne sa présence là-bas, mais assez proche néanmoins pour lui permettre d’épier ses camarades si le besoin en était nécessaire. Aujourd’hui, il avait avant tout besoin de travailler pour les examens qui s’approchaient de plus en plus. La tête baissée, entourée de piles de livres autour de lui, il griffonnait sans relâche sur le parchemin posé. Malgré son côté studieux, il perdait beaucoup de temps, aussi bien à écouter ses congénères déblatérer sans retenue aucune qu’à contempler les livres qui l’entouraient. Il aimait parfois se rendre au rayon où étaient entreposés les livres de sa grand-mère, passer ses longs doigts fins sur la tranche, les ouvrir pour en sentir l’odeur et finalement laisser courir sa main sur la photo animée de la jeunesse perdue de son ancêtre sur la quatrième de couverture.

ROUSSE – Il faut que je te dise quelque chose.
BLONDE – Crache alors dans ce cas. Pas besoin d’être si secrète et de se cacher dans les rayons. Tu penses vraiment que les gens se lèvent si tôt pour se rendre à la bibliothèque ?
ROUSSE – On ne sait jamais. Tu ne vas jamais deviner.
BLONDE – C’est bien pour cela que l’on est là …
ROUSSE – Ton cynisme ne m’atteint. Surtout depuis ce qui s’est passé hier.
BLONDE – Et ta manière de faire durer le suspense est insupportable. Tu as embrassé T.
ROUSSE – Comment tu le sais ?

La fin de la conversation se perdit dans les rayons. Après tout, rester plus longtemps ne lui apporterait rien de plus. Pire, il risquerait de se faire découvrir à tout moment et de passer un sale moment. Parvenu à sa place, caché de tous, il sorti de sa poche un petit calepin et se précipita à la lettre T pour y inscrire ce qu’il venait d’entendre. Ce n’était certes guère concluant et surtout, l’information venait d’une rousse, ce qu’il ne considérait définitivement pas comme une source sûre et certaine. Mais elle valait le coup d’être inscrite. L’information, c’était le pouvoir. C’était du moins toujours ce que sa Grand-Mère lui avait appris. Toujours compromettre mais ne jamais être compromis. L’information, le savoir était une arme dont on pouvait toujours se servir. Certaines personnes se sentaient menacées par leurs secrets, mais lui avait trouvé un moyen imparable. Ne pas en posséder, toujours rester pur ou, du moins, toujours posséder sur autrui un secret plus important. Il notait tout et n’hésitait sûrement pas à s’en servir pour obtenir ce qu’il voulait. Pour le moment, il se contentait d’un peu de paix et n’aspirait pas à plus de pouvoir. Mais il savait qu’il disposait dans les lignes qu’il alignait et fournissait chaque jour un certain pouvoir. Et il savait qu’au moindre faux pas de sa part, tout le monde en profiterait pour le mettre à terre. Il tentait donc tant bien que mal de contrôler ses faits et ses gestes. Bien que fortement attiré par certains membres de la gent masculine de l’école, il refusait catégoriquement toutes les avances qui pouvaient lui être faites, accordant parfois sous une impulsion un peu folle un chaste baiser pour éconduire un amant trop poussif.

FAIT N°4 : Où il est question de la Grande Salle

La Grande Salle était bondée comme à son habitude à cette heure-là. Il semblait que les élèves n’arrivaient pas vraiment à comprendre que si la plage horaire était si étendue et que les elfes de maison faisaient en continu de la nourriture, ils pouvaient se rendre à des horaires variables dans la Grande Salle en étant certain d’y trouver ce qu’ils y cherchaient, et non pas de s’y rendre tous en bloc et se jeter sur les rares places qui se libéraient. Lui était de toute façon aussi bien un mouton que les autres et s’y rendaient toujours à la même heure, accompagné souvent des mêmes personnes. Il avait pris soin de ne remplir son assiette que d’aliments à la couleur verte. Il ne savait pas vraiment pourquoi il s’obligeait à ce type de régime, mais il trouvait ça beaucoup plus drôle de ne manger que des aliments verts. Haricots, petits pois, salade, concombre. Parfois, certes, il trichait un peu en lançant des petits sorts pour colorer la viande et le poisson, sinon il était plus difficile de se nourrir avec des protéines.

SEAN – Il y a un gâteau à la vanille quelque part ?

Sean était un véritable gouffre sur pattes, un goinfre sans nom qui était en plus doté d’un sens olfactif plus que développé. Tel un opossum dressé sur ses pattes, il tendait son nez autour de lui, à la recherche du fameux gâteau à la vanille qui ne semblait pas apparaître parmi les denrées posées sur la table. Lui se contentait de baisser les yeux sur son assiette, séparant ses petits pois du restant de sa nourriture. Il n’aimait pas particulièrement ce genre de légumes, mais il devenait parfois difficile de trouver quelque chose de vert pour se nourrir. Il passa sa main dans ses cheveux, libérant quelque peu un arôme particulier avant de réprimer son geste. Après tout, Sean continuait son petit manège et avait commencé à se rapprocher dangereusement de lui.

SEAN – Mais c’est pas toi qui sent la vanille ?
CUPID – Non, non, je ne vois pas de quoi tu parles.

Sean continua son petit manège. Il se rapprochait peu à peu des cheveux et du cou du jeune homme. Il finit par s’asseoir sur le banc, juste à côté de Cupid, certain à présent de la source de l’odeur. Il jeta de nombreux coups d’œil à l’assiette entièrement verte de son voisin à la recherche de son précieux sésame.

SEAN – Je t’assure, c’est toi qui sens la vanille !

Cupid se leva brusquement. Oui, son odeur naturelle était la vanille. C’était un désavantage pour de nombreuses situations. Il ne pouvait pas se permettre d’aller à la chasse par exemple, bien qu’il n’ait jamais eu cette idée saugrenue, puisque toute la faune était forcément au courant de sa présence au moins cinq bonnes minutes avant son arrivée. De nombreuses filles lui jalousaient aussi une odeur aussi naturelle qui embaumait la pièce. Se cacher dans les rayons de la bibliothèque en espérant passé inaperçu relevait aussi parfois du parcours du combattant. Il tentait tant bien que mal de cacher une odeur corporelle aussi forte, parfois en usant et en sur-usant de parfums. Il pensait être dans une relative sécurité au milieu de la Grande Salle et de ses odeurs en tout genre mais c’était sans compter l’odorat trop développé à son goût de Sean.

FAIT N°5 : Où il est question de la Grand-Mère (avec un G majuscule) – ou de Mamie (avec un M majuscule aussi)

Sur son bureau était déposés pêle-mêle deux boîtes en carton, une bougie, deux ou trois plumes d’oie de couleur différente, une bouteille d’une potion quelconque, des vêtements qui s’entassaient, des livres qui faisaient de même dans un équilibre incertain, menaçant de tomber à tout moment, des feuilles de parchemin telles un mauvais patchwork, un peu de bois, beaucoup de suie, des bouts d’ongles, des poignées de cheveux attachés entre eux, un poireau, une photo animée de son père sur scène, toutes les biographies de sa Grand-Mère et sur sa Grand-Mère, barbouillées d’écritures, plissées aux endroits-clefs. Dans les deux boîtes en cartons, trop de choses s’entassaient pour être vraiment sûr que chacun pouvait s’y retrouver. Des lettres d’amour, des poèmes, quelques fleurs séchées, une édition du Quibbler, la reine d’un jeu d’échecs animé, divers marque-pages, un petit carnet relié, un album des chatons anorexiques, un livre dont la dédicace disait « La mère en prescrira la lecture à sa fille ».

RITA – Tu sais, je ne le répèterai jamais assez, mais la formation est le seul bagage qui te servira.

La parole de Grand-Mère était plus importante que celle de l’Evangile. Tout ce qui sortait par sa bouche était une pure vérité, des préceptes qu’il fallait appliquer. De précieux conseils distillés au compte-gouttes à un cercle restreint d’initiés. Cupid le savait, il était son favori et ce depuis longtemps. Peut-être aussi parce qu’il était le petit dernier, qu’il était le seul membre masculin de ses petits-enfants ou même le fils de son fils favori. Peut-être aussi était-ce à cause de ses grosses lèvres si imposantes ou bien à cause de ses cheveux si parfaitement maîtrisés. Il ne savait pas pourquoi. Mais après tout, ce n’était pas la question la plus importante.

RITA – Le Pourquoi ne compte pas. Le Comment est beaucoup plus important. Avec lui, tout le reste suit.

Il tentait tant bien que mal d’intégrer tout ce qu’elle pouvait dire en si peu de temps, mais, après tout, elle pouvait tellement dire de choses qu’il était aisé de passer à côté de quelque chose. Et pourtant, une telle ambroisie était si rare qu’il valait mieux ne pas en laisser échapper une seule goutte. Elle passa affectueusement ses mains dans les cheveux du jeune homme. Ce dernier ne put pas retenir une grimace de dégoût. Il ne supportait normalement pas que quelqu’un puisse user de la sorte de ses cheveux, mais il s’agissait là de sa Grand-Mère, une personne merveilleuse. Il suffisait d’ailleurs de s’attaquer à elle pour le mettre dans une colère folle, qui lui faisait rougir ses pommettes si reconnaissables et habituellement si blanches. Une bouffée de fumée sortit de sa bouche avant qu’elle ne reprenne la prédication de ses précieux conseils. C’était elle qui l’avait converti à cette mauvaise habitude, au grand dam de la parole parentale.

RITA – D’autres questions, mon petit ?

Ce faisant, elle tapota légèrement le crâne du jeune homme. Il détestait cette attitude paternaliste et de fait infantilisante dont elle pouvait parfois faire preuve. Mais c’est Sa Grand-Mère et il pouvait se permettre de lui passer toutes les fantaisies dont elle pouvait faire preuve surtout quand elle était assise ainsi, sur le coin de son bureau, les jambes croisés, la cigarette à la main. Il passa les mains dans sa brune chevelure, tentant de remettre en place le désordre qu’elle y avait provoqué et calmer les nerfs de ses cheveux encore traumatisés par le toucher d’une personne extérieure. Ce n’est pas sa faute, elle ne peut pas savoir, elle ne veut pas savoir. Il ne savait pas véritablement si de telles paroles pourraient calmer ses cheveux, mais il l’espérait tout du moins. Il leva les yeux vers Elle, dévoilant un magnifique sourire, mordant légèrement sa lèvre inférieure.

CUPID – Et comment savoir à qui accorder sa confiance ?

Elle éclata d’un rire que seule Elle semblait capable de reproduire, basculant sa tête en arrière, laissant au passage s’échapper quelques cheveux blancs qui iraient certainement rejoindre dans quelques heures la collection de cheveux qui s’accumulaient dans la seconde boîte en carton, dévoilant ainsi une gorge blanche et immaculée, maquillée à l’excès, ouvrant sa bouche mais n’en laissant échapper aucun son. Ce rire silencieux était à la fois très inquiétant et déstabilisant mais en même temps d’une commode convenance. Imaginez un peu que vous racontiez une blague qui vous fais rire mais que personne ne trouve drôle. Si vous éclatez de rire discrètement, personne ne le remarquera et ne se doutera qu’il s’agissait d’une tentative de faire de l’humour. L’honneur est donc sauf.

RITA – Ne l’accorde pas. Tout simplement.

FAIT N°6 : Boys don’t cry (W.W.R.D.)

Il est d’opinion commune de croire que les garçons ne pleurent pas. Tout comme que toutes les petites filles sont des princesses qui aiment les licornes et ont les cheveux blonds. Malheureusement, l’opinion commune est souvent éloignée de la triste vie qu’est la réalité. Le pire reste sans doute que toutes les petites filles n’ont pas de délicieux cheveux blonds mais les ont parfois roux. Ce qui est très – voire trop – triste. L’opinion commune pensait généralement donc que les garçons avaient une personnalité aussi dure que la pierre, une cœur qui allait de pair et donc qu’au grand jamais ils ne laisseraient ces petites perles sucrées ou salées couler le long de leurs douces joues parfois parsemées par des poils trop joueurs pour aller s’écraser contre le tissu de leurs vêtements ou tout simplement sur le sol, éclatant par là en plusieurs petits éclats, qui eux-mêmes en touchant à nouveau le sol éclateraient en d’autres morceaux, ce mouvement cyclique se répétant jusqu’à épuisement total de l’eau. Il s’était approché de lui doucement, tranquillement, aisément, discrètement, trop discrètement d’ailleurs pour que Cupid puisse le sentir s’approcher de lui, qui ne put retenir un certain tressaillement en finissant par sentir sa présence, ou serait-ce son poids, juste à côté de lui. Sam porta sa main aux joues du jeune homme, recouverte par la manche de sa robe et lui essaya la larme qui coulait le long de sa joue. Il arborait un certain sourire aux lèvres, ni un sourire triomphant, victorieux, mais non plus un sourire condescendant. Ce sourire là lui était réservé à lui après tout, il était le seul à pouvoir condescendre à ce sourire si typique de sa personnalité.

SAM – Qu’est-ce qui se passe ?

Cupid ne le regarda pas, se contentant de fixer le sol pendant de longues minutes. S’il restait ainsi en ne lui accordant pas l’attention qu’il réclamait, peut-être que tout se passerait pour le mieux, qu’il ne chercherait pas plus loin, qu’il ne voudrait pas lui ouvrir le cœur pour découvrir toute la noirceur qu’il recelait à l’intérieur ; peut-être qu’il s’en irait, le laissant seul, car c’était après tout tout ce qu’il demandait, il n’en voulait pas plus ; peut-être aussi qu’il resterait là jusqu’à avoir une réponse à sa question, ne cessant de la répéter encore et encore espérant obtenir quelque chose, une confiance, un rien, un appui, quelque chose quoi. Il avait de la patience mais Cupid était quasiment certain d’en avoir plus que son vis-à-vis. Il était plus malin, il en était quasiment sûr. Même si son père lui demandait sans cesse de faire des efforts pour perdre son air snob, arrogant et condescendant qui lui collait à la figure, il ne faisait pas exprès, c’était plus fort que lui. Il se devait de pincer les lèvres au moins une fois par jour devant la remarque plus que déplacée d’un élève, puis de faire suivre ce geste d’un lever de yeux au ciel pour bien marquer sa désapprobation. Il devait être plus humble, tout le monde ne cessait de lui répéter, mais c’était bel et bien un mot qui ne faisait pas parti de son vocabulaire.

SAM – Tu peux te confier à moi, tu sais.

Bien sûr que non, il ne pouvait pas. La confiance était une chose sacrée, quelque chose qui se méritait, qui ne se gagnait pas à la légère. Ce n’était pas parce qu’un inconnu vous prenait dans un moment de faiblesse qu’il fallait commencer à balancer sur tout et n’importe quoi. What Would Rita Do ? C’était la devise de sa vie. Dès qu’il se trouvait à un embranchement, devant une décision importante, dès qu’il hésitait pour la moindre chose, il se référait à cette phrase d’apparence simple qui lui permettrait sans aucun doute de trouver une solution claire et limpide. Si sa Grand-Mère était devenue une femme aussi belle, aussi importante, aussi charismatique, il n’y avait aucun mal à se référer à ses enseignements et encore moins à ne pas les mettre en application. What Would Rita Do ? Elle éconduirait sans doute l’inconnu ou le pseudo camarade de classe avec beaucoup de tact. Mais pas trop non plus. Elle savait pertinemment que tout le monde n’était pas doté d’un sens développé pour l’ironie, pour le second degré, pour tout ce qui était un peu plus subtil que la moyenne. D’ailleurs, si l’autre ne comprenait pas tout à fait, il lui faudrait sans doute faire preuve d’un peu plus de brutalité. Si cela ne suffisait clairement pas, elle aurait sans doute séché ses larmes – qui, de toute façon, n’auraient jamais dû être présentes en premier milieu, surtout dans un endroit public – et se serait levée, brusquement, dans une vaine tentative de semer son assaillant. L’usage de la force aurait pu être recommandé. Mais surtout, rester dans les limites fixées précédemment. Don’t ask, don’t tell.

FAITS D’HIVER

Légèrement mythomane dès qu’il s’agit de se protéger – N’hésite pas à utiliser les connexions familiales et à jouer de son nom – A une peur bleue des chiens, chats, loups, … des animaux dans leur globalité – Parle le langage des fées – Passionné par la littérature turque du XVème siècle – A aussi de légers de problèmes de confiance en soi – Se lave les dents et les mains trois fois par jour – Fume trop – Juge qu’il a de trop grosses lèvres – Supporte mal le contact physique avec les étrangers – Ne connaît pas la couleur de ses yeux et ne s’y intéresse pas – Tente d’arrêter de ronger ses ongles pour pouvoir les faire retentir contre le bois et ainsi montrer son agacement – Déteste la pluie, la neige et le soleil – Déteste l’accent écossais, gallois, irlandais et campagnard – Légèrement naïf.

FAIT N°8 : Another Sunny Day

L’ambiance était froide, trop froide. Peut-être était-ce à cause du vent qui s’engouffrait à grande hâte sous les arches de la cour intérieure. Les nuages – gris pour la plupart – s’accumulaient dans le ciel, tentant de rendre impossible la moindre incursion du moindre rayon de soleil sur Terre pour réchauffer l’ambiance. Il n’était cependant même pas certain qu’un tel miracle parviendrait à réchauffer le cœur de Cupid à ce moment-là, gelé qu’il était par la situation inextricable dans laquelle il se trouvait. Il avait bien essayé de penser ce à quoi sa Grand-Mère aurait fait à sa place, ce qu’elle aurait dit, tenter de faire. Il n’avait pas assez de force pour le frapper de ses mains. Pas assez de force mentale, mais aussi du fait que ses mains étaient emprisonnées par la forte poigne de l’autre, qui n’osait même pas le regarder dans les yeux. La rage se faisait tout de même ressentir, plénière qu’elle était, transpirant par tous les pores de sa peau. Cupid savait qu’au final, c’était aussi un peu de sa faute. Il n’avait pas respecté les limites qui avaient été fixées par Elle et était obligé d’en payer les conséquences. Il ne pouvait pas Lui en vouloir. Il ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même, bête qu’il avait été de penser que sortir des sentiers battus était une pratique sans risque aucun.

PATRICK – Tu vas payer pour ce que tu as fait.

Cupid ferma les yeux pour ne pas voir la réalité. Il se projeta immédiatement dans un monde tout rose, rempli par des fées en tout genre qui venaient lui servir le moindre de ses désirs sans qu’il n’ait eu besoin de les formuler à voix haute. Un monde où le soleil serait peut-être présent mais ne serait pas accompagné de cette chaleur qu’il abhorrait tant, qu’il détestait, qu’il fuyait le plus possible. Une légère bise venait lui effleurer le visage, secouer les feuilles des arbres qui tombaient une à une, toujours légère jamais appuyée, elle était bénéfique, attendue. Peut-être même que dans cet élan furtif d’imagination, un sourire était apparu sur les lèvres du jeune homme, sans qu’il ne s’en rende réellement compte. Un sourire discret cependant, qui ne s’étirait pas longuement, qui ne se transformait pas en un rictus condescendant dont elle avait pourtant l’habitude et prenait parfois d’emblée et involontairement le pli. En tout cas, l’étreinte ou plutôt l’emprise de son camarade se resserra autour de ses poignets le tirant brusquement de sa rêverie féerique. Il se tenait toujours là, face à lui, les yeux détournés, ne souhaitant pas voir celui qui se tenait là, si proche de lui et à la fois si lointain.

PATRICK – Tu ne m’en crois donc pas capable ?

Cupid n’osait rien répondre. What Would Rita Do ? ne marchait absolument pas dans ce genre de situation. Peut-être qu’en se taisant, en n’ouvrant pas la bouche, en se contentant de tenter de prendre un air désolé – car rappelons-le, ce n’est pas une attitude naturelle chez lui, ce qui lui demande un effort considérable pour y parvenir – il sauverait sa face et ne s’en tirerait qu’avec quelques bleus au visage qu’il serait facile de faire disparaître sans trop de soucis avec l’aide de la magie. Brusquement, les évènements s’accélérèrent. En sentant l’étreinte se desserrer autour de ses mains, il contracta son visage dans l’attente d’un coup qui ne tarderait pas de manquer, de le frapper en plein visage. Il ne savait vers qui se tourner pour invoquer une aide céleste afin que le coup n’atteigne pas son nez, peut-être la seule partie de son visage dont il voulait encore préserver l’intégrité physique à ce moment-là. Les yeux fermés, il attendait une punition qui lui semblait justifiée. A la place, il sentit deux lèvres sucrées se posait vivement et temporairement sur les siennes avant d’entendre des pas s’éloigner, le temps s’arrêter, ses lèvres tendues, là, dans le vide, escomptant un baiser qui ne viendrait jamais.

CUPID – Couard ! Lâche ! Poltron ! Timoré ! Froussard ! Pusillanime !

Oui, effectivement, il avait appris par cœur le dictionnaire des synonymes par un jeudi pluvieux et n’attendait que cette occasion pour pouvoir démontrer à tous une culture qu’il ne possédait pas vraiment. Il resta ainsi pendant plusieurs minutes avant d’oser porter à sa bouche ses mains, pour toucher ses lèvres, réaliser que tout ceci n’était sans doute qu’un rêve, un fantasme qui ne s’était jamais produit. Il se demandait aussi s’il pouvait se servir de cette information. Il détestait mettre en jeu son intégrité pour obtenir de telles informations. Il pouvait choisir de l’utiliser à certaines fins mais n’était pas certain de vouloir le faire. Ce serait peut-être lâche d’agir ainsi. Même pour lui.





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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 13:48

BIENVENUUUUUUE Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2211252749
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 14:11

J'adore ton pseudo Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 750478455

Bienvenue parmi nous ♥️ Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2211252749
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 14:12

bienvenue ! douglas est carrément trop canon Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 4205929361

edit : j'peux t'appeller Cupidon ? Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 750478455
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 14:15

Ezechiel M. Nott a écrit:
J'adore ton pseudo Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 750478455

+1 Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 750478455
Bienvenue parmi nous ♥️
Bon courage pour ta fiche Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2211252749


Et +1 pour Douglas aussi Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 4170629200
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 14:31

Andy ; Merci beaucoup ! Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2774444739

Ezechiel ; Merci. J'ai mis du temps à en trouver un qui me convenait parfaitement et totalement. Et le tien n'est pas mal non plus ! Wink

Cléo ; Ouais, l'est trop canon, j'sais quoi ! Bon, j'ai appris récemment qu'il avait joué dans le remake américain de LOL, du coup, il avait légèrement baissé dans mon estime. Mais il est bientôt à l'affiche de Roméo&Juliette Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2774444739 Et on verra si tu veux/peux m'appeler Cupidon xD

Skyler ; Merciiiii Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 750478455
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 14:40

Et puis le second prénom est juste génial, Dante... je suis fan de ce prénom, vraiment Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 4205929361
oh mais je t'appellerais Cupidon mon petit, ça va être drôle tu verras Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 4153354820
j'viendrais te quémander un lien Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 498536026 en attendant bon courage pour ta fiche !
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 14:41

+ 1 ; pour le pseudo
Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 4205929361

Bienvenue, tu sais où nous trouver en cas de souci Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 750478455 j'ai hâte d'en lire plus, gosh. ET JE VEUX UN LIEN QUI DECHIRE.
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 14:48

Cléo ; Je te l'ai dit, des heures et des heures de réflexion pour trouver quelque chose qui me convenait parfaitement ! Rien ne doit être laissé au hasard ! Fait gaffe à tes fesses cependant, je sors le fouet si tu vas trop loin ! Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 1215182049

Alesya ; Bon, et bien, nous avons un pseudo qui semble faire l'unanimité xD Ouais, en cas de souci, j'accours, je te harcèle de MPs. 'fin, la démarche habituelle quoi Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2774444739
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 14:51

le fouet.... rawr, ça commence à devenir intéressant Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 4153354820 Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 1132287051

*sort avant de se faire taper les doigts par Lesya*
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 14:52

*tient la porte à Findus*
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 15:26

bienvenue à toi :nomnom:
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 15:53

Comme mes camarades, j'adooooore le pseudo qui sonne super bien *_* Douglas envoie du pâté aussi Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2211252749 bienvenue ici donc et bon courage pour ta fiche :)
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 16:37

Je me disais aussi que j'avais déjà vu sa tête quelque part x)

Bienvenue à toi Wink courage pour ta fiche:)
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 16:51

Loki ; Marchi biien ! Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 3141040118

Absolem ; Merci. Je ne pensais pas obtenir un tel engouement pour le prénom xD 'fin, quand j'ai lu ton message, j'avais du activer le mode boulet, parce que j'étais là "Mais de qui il parle ? C'est qui Douglas ? Le D, c'est bien pour Dante, j'ai pas marqué Douglas tout de même ..." Je suis directement allé me flageller en constatant ma grande erreur !

Xelis ; Je te dis quand même merci alors que je t'en veux d'avoir mon JCB d'amûûûûûr Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2774444739 *sors*
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 17:19

Bienvenue parmi nous joli garçon ** Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2211252749

Bon courage pour ta fiche Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2360309522
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptySam 23 Fév - 22:05

Bienvenuuuuuuuuuuue. Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 4170629200
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptyDim 24 Fév - 11:46


Bienvenue sur HRI ! Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 1001172573

Yeah, le mec de LOL USA ! J'aime bien sa chanson finale. Il est cool. A bientôt Wink
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptyDim 24 Fév - 12:48

Merci à vous trois ! Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2774444739

Gabriel ; Mais nooon. Faut pas se rappeler de lui comme ça. Surtout qu'on m'a dit que le film était nul ! Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 1805953252 Dis-toi que c'est le mannequin Burberry aux côtés d'Emma Watson, c'plus khôulle ! *soors*
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptyDim 24 Fév - 12:56

les mannequins, c'est l'bien. Cool en mini rita en plus, si c'est pas beau ça. Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 2731095407 quel dommage qu'il soit gay *tire son perso au loin* Arrow
welcome here et j'adore ce que tu as écrit jusque là sur le personnage. I love you
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptyDim 24 Fév - 13:07

Abraham ; Merci, tu viens de me donner le sourire ! Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 750478455 Je te propose néanmoins un petit lien, hein ... Tout dépend ce que tu as offrir contre le corps de mon p'tit Cupid ! Quelle vile personne je suis à commencer d'ores et déjà à monnayer son corps ... *SBAFFFFF*
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptyDim 24 Fév - 13:49


Moi aussi je veux un lien hein ! Et Potter, ne l'attire pas vers les forces du mal. Les hétérosexuels sont dangereux, il est mieux chez les gay ! What a Face

Tu sais, j'ai détesté le film mais j'apprécie énormément sa bouille et sa voix, ça n'empêche pas Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 1001172573
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MessageSujet: Re: Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish.   Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. EmptyDim 24 Fév - 16:02

Gabriel ; Toi aussi tu auras un lien si tu veux ! Tu peux même commencer à chercher Cupid - One quarter truth to three quarters rubbish. 750478455 D'toute façon, c'est bien connu que les Potter ont une mauvaise influence sur tous ceux qui les entourent ...

Et c'est vrai. L'inverse aussi d'ailleurs. J'ai une pote qui part toujours avec un a priori quand il y a à l'affiche d'un film ou Tom Cruise ou Colin Farrel (et les deux en même temps, n'en parlons pas ...)
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