Nom : Jones Prénom(s) : Dylan Amadeus Surnom : Connard Âge : 18 ans Date et Lieu de Naissance : 13 septembre Nationalité : Anglaise Pureté du sang : Sang de bourbe Année d'étude & Maison : 4eme année, il l'a redoublé ( devrait donc être normalement en 5eme année ) Orientation sexuelle : omnisexuel État civil : Célibataire

Baguette : Je n’oublierai jamais le jour où j’ai posé mes groles dans cette boutique. C’était poussiéreux, mal rangé, et j’avais qu’une envie c’était de tirer sur la première petite boite venue, persuadé que tout tomberait comme un vulgaire château de carte. Je regrette de ne pas l’avoir fait. Ça aurait pu être marrant en fait. Bref, il m’a fait tout un blabla sur les baguettes magiques, comme quoi c’est elle qui choisit sorcier et j’en ai donc testé plusieurs vu que visiblement je n’avais pas le droit de choisir la belle baguette que j’avais repéré dans la boutique…Dommage.
Enfin, je ne suis pas trop déçue, ma baguette fait une petite trentaine de centimètre, elle a des écailles de sirène en elle, ce qui donne un reflet turquoise au bois de bouleau dont elle est fait. Patronus : Expetro patronum, voilà un sort qui m’a bien fait chier. C’est le genre de sortilège qui a besoin d’une partie de toi et qui prend forme sous tes yeux, c’est comme dire aux gens « hey ! Les gars ! Regarder quel animal me représente le plus selon le monde de la magie ! ». Je n’aime pas cette idée qu’on puisse me juger ou m’analyser à cause de ce sortilège mais soit ! Puisqu’il le fallait. La première fois qu’il a pris forme, c’est lorsque j’ai eu pour souvenir le sourire de ma petite sœur en tête, sa peluche entre les mains, et un merci tout doux qui sortait de sa bouche alors que je lui tendais une sucette. C’est paradoxal que ça soit ce souvenir-là qui m’ait fait réussir à faire sortir une putain d’hyène de ma baguette. Ouais, mon patronus, c’est une hyène. J’avoue que j’ai une fascination pour cet animal, il est vicieux, malin, et féroce. La plus grand force dans la mâchoire. Épouvantard : C’est sérieux cette question ? Purée, on n’a pas élevé les niffleurs ensemble à ce que je sache ! Bon, t’as intérêt à garder ça pour toi. Tu ne tiens pas à voir ma gueule énervée. Bon, mon épouvantar donc... C’est mon père. Je hais cet homme autant qu’il m’effraie à vrai dire. Je garderai les raisons pour moi, elle ne vous regarde pas. Particularité : Emmerdeur professionnel. Options choisies & métier envisagé : Ce que je veux devenir plus tard ? En tout franchise, j’en sais rien, quedal, nada, faudrait déjà que je survive à ma scolarité sans me tirer une balle dans la tête ! Après, on verra bien. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Pas franchement, c'est pas l'envie qui manque, j'ai juste la flemme de me renseigner et de chercher. Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ? Sincèrement ? Je m’en cogne, je crois que j’ai mieux à faire de ma vie que de m’intéresser à tout ce bordel ! Mon but c’est de quitter au plus vite cette école avec le bout de papelard qui me permettra d’entrer dans une autre école, supérieur, histoire de faire quelque chose de mon existence. Ils font ce qu’ils veulent de leur fesse, tant qu’ils ne viennent pas me mêler à tout ça, tout se passera bien.

Note de l’auteur:

Ma vie n’a rien d’intéressant, je suis né d’une mère bonne à rien d’autre qu’à se faire sauter par mon père quand l’envie lui prend et qu’à fini par crevé dans son propre vomis et d’un père qui aurait préféré se retrouver avec 10 kilo de cocaïne plutôt qu’avec un gamin comme moi entre les pattes. Note, il m’a revendu pour cette drogue, c’est déjà ça. En même temps, sans moi, il n’aurait pas son défouloir préféré à disposition. Cet enflure a finir par se remarier, avec une connasse encore plus horrible que celle qui me servait de génitrice. Il a fini par la mettre en cloque et Chloé est née. Ma petite sœur, elle était jolie, mignonne, avec ses longs cheveux blonds, ses grands yeux bleu et son sourire d’ange.
Jusqu’à preuve du contraire, ma mère n’était pas une sorcière, bien évidemment, ce n’était pas le cas non plus de ma belle-mère et ça l’était encore moins de mon stupide géniteur. Nous vivions dans un appartement bien trop petit pour nous. J’étais obligé de partager ma chambre avec ma petite sœur, ce qui n’était pas un problème en soit a vrai dire. Le plus gros problème c’est cette pétasse qui me servait de "grande sœur". Parce que oui, bien évidemment, la nouvelle femme de mon père avait déjà une gamine d’un mariage précédent. Qui se ressemble s’assemble, il parait.

En d’autre terme, j’avais la vie normale d’un gamin qui vivait dans un appartement trop petit, avec une belle-mère qui aurait préféré me voir crevé, une grande sœur qui se serait bien passé de ma présence aussi, un père qui me détestait tout autant et une petite sœur des plus adorables, unique petite chose qui semblait vouloir m’aimer. Je ressemblais plus à un père pour elle que notre véritable géniteur.
La première fois que mes "capacités" magique se sont manifesté ? Et bien, c’était un dimanche des plus banals, je regardais la télévision, bol de corn flakes en main quand ma grande sœur a débarqué, piqué la télécommande et décréter que c’était à son tour. Cette garce venait d’avoir la télévision pour regarder sa foutu émission de téléréalité et maintenant elle voulait me faire subir la triste de vie des kardashian ? Elle voulait vraiment ma mort.
Ca a fini en dispute, en insulte, et pour finir en bagarre.
L’autre truie gueulait, appelait mon père pour calmer « son sauvage de fils » et c’est ce qu’il fit. Il a débarqué, ceinture à la main, il m’a mis un premier coup et la télévision a littéralement explosé. Chloé a eu peur, comme tout le monde à vrai dire. J’ai profité du moment pour fuir et aller m’enfermer dans ma chambre à double tour. Je peux encore entendre les poings de mon père tambouriné dans la porte. Il a fini par se lasser, et les jours ont suivi leur cours, personne n’a plus jamais parlé de cet incident…Enfin…Personne sauf Chloé. Elle était d’une curiosité maladive et elle pensait que j’étais un genre de super hero avec des super pouvoirs psychique, si elle avait eu peur au début, elle semblait d’autant plus intéressé par moi. A vrai dire, j’étais quelque part un super hero mais seulement pour elle, rien que pour elle. Je la protégeais de l’enflure qui nous servait de père. La dernière chose que je souhaitais, c’était qu’il lève la main sur elle. Tant que je faisais le chieur, l’emmerdeur, tant que j’attirais l’attention sur ma gueule, il oubliait la pauvre petite gamine blonde.

C’est un mec qui a fini par frapper à la porte en juillet. Pour x raison, le ministère de la magie avait préféré envoyé un sorcier expliqué à mes parents ce que j’étais et ma scolarité. Pourquoi ? Parce que mes parents étaient pauvres peut-être, c’était à peine s’ils avaient les moyens de m’envoyer à l’école avec un repas pour le midi. Ce gars, il a bien vu qu’un truc clochait et j’ai détesté ça, j’ai détesté le fait qu’il ait su voir ce que je m’entêtais tant à cacher à tout le monde. Il a pris ma défense lorsque mon père émettait l’hypothèse de se servir de mes capacités pour faire de moi une bête de foire, « faut bien qu’il serve à quelque chose ce gamin ! ». Oui, je ne servais à rien. J’étais toujours noyé dans mes bouquins, j’ai en horreur le sport, je crache sur le foot.
Il est revenu souvent, c’est avec lui que j’ai fait le tour des magasins histoire d’avoir la panoplie parfaite du premier jour de classe. Je n’arrêtais pas de poser des questions sur ce nouveau monde qui s’offrait à moi, cette nouvelle vie en quelque sorte. Et tout ce que j’apprenais, tout ce que je savais, je finissais par le raconter le soir à Chloé, pour qu’elle puisse s’endormir. Chloé…Plus les jours s’approchais de la rentrée et plus je commençais à regretter ce que j’étais, ce que je suis, mon égoïsme de me dire que je pourrais passer un an sans voir la gueule de con de mon père. Mais c’était surtout une année en abandonné ma petite sœur entre les mains de ce monstre. Cette perspective m’enchantait guerre.

Si bien qu’en réalité, j’ai tout fait pour ne pas monter dans ce train. J’ai hurlé à la mort, je me suis littéralement donné en spectacle et j’ai fini par passer le voyage tout seul parce que personne n’osait m’approcher maintenant que j’avais insulté de tous les noms ce pauvre Adams qui s’occupait de mon cas depuis le début de cette histoire…C'est dans la maison de Serdaigle que cet étrange et vieu chapeau pointu avait décidé de m'envoyer.

J’ai noyé mes angoisses dans les bouquins, je savais beaucoup de chose, je remplissais mon cerveau d’autant de savoir que possible. Je me suis toujours dis que le savoir c’était le pouvoir au final. On pouvait être le mec le plus fort, si t’étais débile, tu finissais tôt ou tard par te faire avoir par un mec beaucoup plus malin. Mon père était un imbécile fini, vendeur de caisse d’occasion, et la dernière chose que je voulais c’était que la génétique me rattrape.
Mais lorsque l’été revenait, lorsqu’enfin je retrouvais ma petite Chloé, il me fut d’autant plus douloureux que de voir que l’étincelle de ces yeux c’était tout simplement éteinte. Elle me regardait et j’avais l’impression de lire tant de reproche dans ses yeux lorsque, malgré tout, elle se lova dans mes bras, cela me donnait la sensation d’un poignard droit dans le cœur, d’un murmure : « tu m’as abandonné. »

Comme toujours, nous dormions dans la même chambre, et lorsqu’elle vint se coucher dans son lit, vêtu de son pyjama, je comprenais enfin…Ces marques sur son dos, je les connaissais par cœur parce qu’elles ornaient depuis bien longtemps le mien. Je m’étais levé de mon lit d’un bond ! Je venais à peine de quitter Poudlard, c’était ma première nuit de retour chez moi que j’enfreignais déjà l’une des premières règles de ce nouveau monde : Ne pas utiliser la magie devant un "moldus"

Je n’avais pas su m’en empêcher, j’avais tout simplement essayé de faire du mal à ce connard et au final, c’est devant des bureaucrates du ministère de magie que je me suis retrouvée. Tous se fichaient éperdument des raisons pour lesquels j’avais fait cela, on me faisait comprendre que je devais me tenir à carreau. Et j’ai simplement obéis. Pourquoi ? Parce que quelque part, je ne pouvais pas me permettre de perdre l’unique chose qui me semblait pour une fois intéressant dans ma vie : Cette nouvelle vie de sorcier.

Les années s’écoulaient, j’essayais de garder ma petite sœur auprès de moi au travers de centaine de lettre que nous nous envoyons chaque jour qui nous séparait. Je ne voulais pas qu’elle perde espoir, je lui promettais de devenir le meilleur élève de cette école pour qu’un jour je puisse tout simplement la sortir de ses cauchemars. Je l’emmènerais vivre ici, quelque part, dans un village magique. On dit que l’espoir faisait vivre et à cette époque-là de ma vie, ce dicton n’a jamais été aussi vrai. Il nous faisait vivre tous les deux, elle me racontait tout ce qu’elle subissait mais elle me disait aussi à quel point elle savait qu’un jour je viendrai la sauver parce qu’elle, elle l’a toujours dit, j’étais quelqu’un de bien, un super hero.
J’ai essayé, j’ai donné tout ce que j’avais dans mes études, je me gavais du moindre travail, je faisais plus que ce qu’on me demandait, j’étais consciencieux, concentré, déterminé à arriver au bout de mes promesses. Parce que Chloé le méritait, elle méritait d’avoir une vrai vie et pas ce semblant de truc qui finirait par la détruire.

J’étais aux yeux de tous un mec qui errait dans les couloirs, je n’étais pas du genre à me faire des potes, ça ne m’intéressait pas, tout ce que je voulais c’était tirer Chloé de cette vie de merde, ni plus, ni moins. On me connaissait pour mes notes, on me connaissait pour mes connaissances et aussi en tant qu’artiste. La musique a toujours été pour moi un moyen de simplement pouvoir souffler, laissé les choses sortir de moi. Il fallait croire que ma génitrice avait vu juste en me donnant comme second prénom : Amadeus.
L’été de ma deuxième année, je quittais le Poudlard express le cœur léger, une valise pleine des lettres de Chloé. Comme toujours, il n’y avait personne pour moi à la gare, cela n’était pas vraiment un problème. Le temps de prendre les autres trains, les bus, tout ce qui me mènerait chez moi, la nuit était tombée.
Je grimpais les escaliers qui menait jusqu’au sixième étage, arrivé là, je voyais le visage terrorisé de Mme Marsh. La petite vieille de l’appartement d’en face, elle me regardait, terrorisée, et je ne captais pas trop pourquoi. Jusqu’à ce que j’entende un coup de feu.

Je me précipitais dans l’appartement, manquant de glisser dans une flaque visqueuse et vermeille. Découvrant le corps internet de ma belle-mère. Ce fut des pleures qui attira mon attention de cette vision sordide. Me relevant, les mains pleines de sang, je rejoignais le salon pour y découvrir mon père, tenant par les cheveux Chloé.
Ses beaux cheveux blonds.
Je l’entends encore crier après moi, hurler mon prénom comme si j’allais pouvoir la sauver. C’est ce qu’elle voulait, et dans ses yeux, je lisais alors tout cet espoir. Toute cette confiance. J’ai à peine eu le temps de sortir la baguette qu’il était déjà trop tard, du sang gicla sur ma figure alors que mon père chialait, retournant l’arme contre lui. Il tira, une nouvelle fois, avant même de pouvoir répondre à une question qui restera à jamais sans réponse : Pourquoi ?

La police arrivé, Adams débarqua dans le commissariat où je me trouvais, se faisant passer pour un oncle, il me ramena dans un autre endroit, je n’avais franchement plus rien à foutre d’où j’étais, tout ça n’avait tout simplement pas de sens malgré les explications qu’on avait fini par me donner. Le jeu, la dette, la drogue, l’alcool, ils avaient parlé de problème d’argent, de passage psychotique, de tas de trucs pour m’expliquer plus ou moins ce qui avait traverser la tête de ce connard quand il a appuyé sur la détente mais moi, tout ce que je retenais dans cette histoire, c’est qu’il n’y avait que moi qui avait merder.
J’étais devant la pierre tombal de Chloé, les yeux remplis d’eau, la tête basse, j’avais tellement honte de moi. Chloé, je suis tellement désolé de n’avoir pu tenir ma promesse. Tellement.
Il ne pleuvait pas ce jour-là, à croire que ma vie s’obstinait à ne pas être faite que de cliché. Tout l’argent que j’avais su économisé, je l’avais dépensé pour les funérailles de ma petite sœur, pour ce qui est de mon père, sa greluche et sa fille, je n’en avais plus rien à foutre. C’était triste qu’elles soient mortes, mais je ne les regrettais. Elles n’étaient pas Chloé.

On me fila de quoi vivre, émancipée, Adams restait malgré tout le mec qu’était considéré comme mon tuteur jusqu’à ce que je sois majeur. J’eus un appart, à pré-au-lard, histoire d’être sûr d’aller à l’école, ou peut-être parce que c’était plus facile de me garder à l’œil. Maintenant, je me disais que je n’avais plus rien à perdre, et c’était vrai. La vie n’a plus vraiment eu la même importance pour moi. A quoi bon continué ? Je n’avais plus personne à sauver, j’avais perdu l’unique personne qui voyait en moi quelque chose d’utile, d’important. J’en avais juste marre et je commençais sérieusement à haïr mon père, persuadé que cet enflure avait surtout en tête de me faire chier jusqu’au bout.
Et toute cette haine, pourquoi ? J’avais plus personne à haïr, plus rien d’autre qu’un putain de souvenir que je ne pouvais pas faire souffrir.



Depuis ce jour, Dylan n’est plus l’élève studieux du début de sa scolarité. Noyé dans une profonde dépression, il ne cherche qu’une seule et unique chose : l’autodestruction. Devenant un élève difficile, perturbateur, impoli, vulgaire, et d’une bien trop grande franchise. Il estime qu’il n’a tellement rien à perdre que cela ne sert même à rien de mentir. Plongeant dans tous les vices possibles, drogue, alcool, et autre connerie du genre. Il eut très rapidement la réputation d’être un véritable enfoiré. Cherchant les problèmes à peu près partout, il insulte tout ce qui pourrait s’approcher de trop près de lui, considéré comme le paria de sa maison, il ne trouve sa place nulle part et ne tiens d’ailleurs pas à en trouver une.

Incapable de faire son deuil, incapable de trouver une véritable raison de continuer, c’est ainsi que ses notes chuta de plus en plus. Si bien qu’il du redoublé sa quatrième année.

L’histoire la plus folle qui tourne autour de lui fut celle du jour où cogna un professeur.
On raconte que ce professeur avait fait l’erreur d’évoquer la tragique histoire de la famille de Dylan, il avait dit quelque chose sur la sœur de Dylan, espérant peut-être de réveiller un peu l’élève brillant qu’il avait connu deux ans avant ! Mais au final, il ne récolta que la colère éclatante de l’élève qui lui enfonça son poing dans la figure, essayant par la suite de lui jeter un sortilège. Il fut renvoyé deux semaines pour ce geste, le temps que la direction statue sur son cas. Un cas difficile, Adams avait dû faire preuve de beaucoup de ruse pour pouvoir réintégrer l’adolescent, essayant alors de faire comprendre à celui-ci tous les enjeux de cette histoire.

On ignore les véritables détails de cette soi-disant altercation, ce que l’on n’ignore pas, c’est qu’en effet l’élève ne supporte pas qu’on puisse parler de sa famille. Il casse la gueule à la moindre personne qui tenterait de l’évoquer de près ou de loin. Véritable enflure, il fait fuir tout le monde de par ses méchancetés constantes et son « apparente imbécilité ».

Pseudo : j'en ai pas vraiment, on me dit souvent que je suis un con, ça compte ?Âge : 22 ans Avatar : Robert Sheehan Fréquence de connexion : Ca dépends des périodes je dirais, là ça serait plutôt le samedi et le dimanche, je sors pas mal. Comment as-tu connu le forum ? vous allez pouvoir faire un calin à google Code : code validé par Quigg Copyright : Tumblr est mon meilleur ami

Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.

Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça !