Nom : Macnair, un nom malheureusement connu de tous pour être associé, à une triste période de ce pays et assimilé aux partisans du Seigneur des Ténèbres. Prénom(s) : Miss Macnair porte les prénoms de ses grands-mères paternelles et maternelles, c'est donc avec une immense fierté qu'elle a hérité de "Delilah" et "Jazlynn". Surnom : Si j'étais à votre place j'éviterais de l'appeler par l'un de ses surnoms, ceux-ci ne sont réservés qu'à ces amis intimes.Et elle n'aime pas trop qu'on lui donne des petits noms. Mais je suis d'humeur généreuse alors je vais vous révéler le plus banal d'entre eux : Lilas. Oui, comme la fleur. Âge : Mademoiselle fêtera ses vingts ans cette année. Date et Lieu de Naissance : Delilah a vu le jour un 28 aout, à l’hôpital Sainte-Mangouste de Londres Nationalité : Anglaise, bien sûr ! Pureté du sang : Il en va de soi, qu'elle vient d'une famille de sang-pur. Année d'étude & Maison : Elle est actuellement en sixième année, à SerdaigleOrientation sexuelle :Delilah n'est intéressée que par la gente masculine, désolé de briser vos cœurs mesdemoiselles. État civil : Célibataire, mais elle sait que sa mère lui a déjà arrangé un mariage avec un jeune homme de bonne famille.

Baguette : Ce jour là restera gravé dans la mémoire de la jeune Macnair ! Sa mère, comme à son habitude l'avait accompagné chez le vendeur de baguette et après plus d'une heure -et quelques soupirs de Mme Macnair-, elle trouva ce qu'elle était venue chercher : Il s'agissait d'une longue baguette de 32 cm, d'un bois de cerisier, à la fois fin et robuste. Et elle ne contient pas un, mais bien deux crins de licornes. Suite à cet achat Delilah passa des heures à la contempler dans son boitier. Patronus : Le patronus de la belle prend la forme d'un suricate. Delilah l'a déjà fait apparaitre trois fois et ceux grâce à un souvenir bien particulier. Il s'agit d'une photo de toute sa famille, avec son père en premier plan, souriant, calme, posé....heureux, en faite. C'est l'une des rares photos de famille à dégager autant de sentiments positifs. Épouvantard : L'épouvantard de la blonde est une succession d'images horribles : sa mère assassinée, son propre reflet lui envoyant un Avada Kedavra ... etc. Pour faire simple la Mort. Particularité : Aucune, sa beauté naturelle, elle la doit à elle-même et pas de simples gènes de vélane. Options choisies & métier envisagé :Delilah a choisi comme options : l'étude des runex et les soins aux créatures magiques. En effet, miss Macnair est loin d'être une écervelée, elle se destine à un métier médical, comme Médicomage, contre l'avis de plusieurs membres de sa famille Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Étant une Macnair, Delilah s'est déjà servie de la magie noire, mais ne s'en sert quand cas de dernier recourt. Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ?Les rumeurs c'est bien beau, mais bon ça ne reste que des rumeurs et ces dernières sont rarement connues pour être fiables. Cependant, si cela persiste, Delilah sera partagé entre l'envie de se venger de toutes les remarques et les préjugés de son enfance à cause de son nom. Et le souhait de redorer le nom de sa famille, en ne commentant pas les mêmes erreurs que par le passé. Reste à savoir, qui saura trouver les meilleurs arguments pour la joindre à sa cause.

Ainsi, je dois te conter mon histoire ? Je n'ai jamais compris l'utilité de raconter ma vie à un parfait inconnu. Ceci dit, il semblerait que je n'ai pas le choix, alors accroche-toi sur ton balais poussiéreux, je t'emmène dans le livre de mes souvenirs.

Le plus vieux souvenir qui me vient en tête remonte au jour où des hommes du ministère sont entrés en fracassant portes et fenêtres de notre manoir. Je devais avoir à peine trois ans et le premier réflexe que j'ai eu quand la fenêtre de ma chambre vola en éclat pour me retrouver quelques secondes plus tard face un homme d'une quarantaine d'année, sa baguette pointée vers mon ventre, fût de crier. L'homme me fixa pendant de longues secondes, impassible et les larmes commençaient à me monter aux yeux. Je ne comprenais pas, cela sembla durer une éternité, enfin, il baissa sa baguette et m'attrapant par les bras pour me soulever, j'avais beau me débattre et continuer à crier, rien n'y faisait...j'étais prise au piège. Il m'amena dans le salon du rez-de-chaussée et je vis ma mère, assise sur un fauteuil en cuire, le visage masqué par ses longs et magnifiques cheveux blonds. Autour d'elle, une dizaine d'hommes, tous armés de leurs baguettes, tous, sauf un : un petit maigrichon, à moustache tenant un énorme morceaux de parchemin entre ses doigts. Mon bourreau me lâcha enfin et je parti dans les bras de ma génitrice. J'étais à peine arrivée à ces côtés que le petit moustachu prit la parole d'une voix sèche. « On ne vous demande pas votre avis. Comprenez-moi bien Madame Macnair, nous sommes autorisés à prendre tout objet suspect. Si vous tenez vraiment à résister, un petit séjour à Azkaban, dans la cellule voisine de votre mari, vous remettra peut-être les idées en place ? Bien ... Messieurs, commencez donc par fouiller les étages.» Mère leva la tête et je pu enfin voir son visage, elle semblait impassible aux premiers abords, mais on lisait dans ses yeux, une haine et du dégoût profond pour ceux qui avaient osés pénétrés dans sa demeure. J'étais bien trop petite et effrayée pour comprendre un tant soit peu ce qui se passait devant mes yeux, je me contentais juste d'agripper fermement Mère et de regarder ces hommes mettre une pagaille monstre dans notre manoir, habituellement si propre et bien rangé pour accueillir nos invités. Mère ne prit pas une seule fois la parole, mais je voyais bien dans son regard, qu'elle prenait sur elle. Elle refusait de se montrer faible, face à ses intrus, elle restait fière, droite et digne. A côté de son attitude, j'avais l'impression de faire tâche, je ravalais mes dernières larmes pour me mettre dans la même position que ma mère et contrairement aux fois précédentes quand je croisais le regard d'un de ces hommes, je ne détournais pas les yeux. Non, il n'était pas question que je fuis, ces individus n'avaient rien à faire chez nous. Après de nombreuses heures, le petit moustachu énuméra une liste d'objets à ma mère, lui posant des questions, mais celle-ci ne lui répondait jamais, elle se contentait de lui jeter un regard glacial que je n'avais encore jamais vu. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi ils s'intéressaient à ses choses parfois sans grandes valeurs, je les vis même embarquer un vieux cadre, hérité de mon père, qui ornait encore les murs de ma chambre quelques heures plus tôt. Tant de bazar, pour si peu... Décidément, ces individus ne connaissaient pas les bonnes manières. Le plus irritant dans cette histoire, vu certainement les salutations polies du vieux moustachu en partant, priant Mère de passer une bonne fin de soirée, alors que lui et ces hommes laissaient un manoir sans dessus-dessous. L'homme passa devant moi en me jetant un bref regard, un petit sourire aux lèvres, visiblement satisfait d'irrité une dernière fois cette femme avant son départ que pour ma part, j'espérais définitif.
La porte claqua et un silence de plomb envahi le manoir. Je me tournais vers Mère qui tendit alors sa douce main, pour me caresser mon visage, en me faisant un faible sourire, pourtant je voyais encore dans ses yeux, l'humiliation qu'elle venait encore de subir. Elle prit enfin la parole. « Lilas, va chercher ton manteau. Nous sortons... Le temps pour les elfes de tout ranger, je refuse de rester dans un tel gourbi. ». Ce n'était pas le genre de Mère de tout laisser tomber de cette façon, habituellement, elle aurait laissé les elfes de maison ranger sous ses yeux et elle se serait contentée de leur donner des ordres, insatisfaite de leur rangement. « Oui, Mère. » C'était la seule chose que je pouvais lui répondre, je me sentais complètement inutile.
Contrairement à ce que je pensais, nous partîmes voir les Lestrange, je me souviens qu'ils eurent une grande conversation « entre adultes », pendant plusieurs heures. Nous sommes rentrées tard dans la nuit. Le manoir avait retrouvé un aspect convenable, mais on voyait clairement qu'il manquait certains objets à leur place. Connaissant Mère, elle ne laisserait pas ce vide très longtemps.

Cependant, ce jour-là, je me suis promis que je ne laisserais plus jamais ma mère ou même ma famille, se faire humilier, de la sorte...Après tout, nous sommes nobles, bien élevés et purs. Il est intolérable de nous considérer comme de la vermine de la pire espèce !

Beaucoup de personnes me posent des questions sur Père ou me font des sous-entendus à son sujet...à vrai dire je suis souvent incapable de leur répondre, d'une part, par ignorance et d'autre part parce que je ne souhaite pas. Je n'avais que quatre mois quand il fût envoyé à Azkaban. J'ai grandi sans père et j'ai de nombreuses fois dût faire face aux conséquences de ses actes passés. De trop nombreuses fois même...


Je me rappelle d'un jour où j'avais accompagné ma mère dans son magasin d'antiquité préféré, du haut de mes huit petites années, j'étais fascinée par tous ceux qui m'entouraient. En face de moi, se trouvait un miroir, en m'approchant je vis dans mon reflet une ombre noire, comme de la fumée m'encercler comme pour me prendre dans son étreinte, je fis un bond sur le côté de surprise. Jetant de rapide coup d’œil, je constatais qu'il n'y avait aucune ombre autour de moi, pourtant dès que je m'approchais du miroir, je pouvais voir qu'elle continuait de serrer mon reflet. Cependant, Mère avait remarqué mon sursaut et son regard perçant me fît rapidement comprendre que je ne me comportais pas comme une Macnair. Je fis aussitôt une révérence en m'excusant auprès d'elle pour le dérangement, sous le sourire du vieux propriétaire de la boutique. Afin de ne pas être tentée de regarder à nouveau mon reflet, je m'éloignais du miroir, suivant docilement Mère dans les allées de la boutique et écoutant d'une oreille discrète, le propriétaire faire l'éloge des dernières choses qu'il venait de recevoir. C'est alors qu'une femme me bouscula, fonçant vers Mère. Celle-ci ne l'avait pas vu venir et se retrouva bientôt agripper par une petite femme brune. Je vis ma génitrice haussant les sourcils d'étonnement et alors qu'elle allait parler, la femme la devança. « Vous savez qui je suis ? ... Non, bien sûr que non, cela n'a pas d'importance pour vous ! Il y a neuf ans de ça, votre mari et ses salopards de mangemorts, on participait à l'assassinat de mon époux... Comment pouvez-vous faire vos achats tranquillement avec tout ce sang sur votre conscience ?! Vous me dégoûtez ! »
Tandis que je fronçais les sourcils tout en pliant les pans de ma robe que cette femme avait froissé, je me tournais vers Mère, impassible, qui se contenta juste de pincer des lèvres. Je savais pertinemment que mon père avait fait des choses horribles, Mère avait passé des heures à m'expliquer pourquoi et j'avais compris l'essentiel. Quand j'avais fêté mes six ans, Mère m'avait aussi expliqué que je n'étais plus un bébé, qu'il fallait que j'agisse comme une Macnair et faire honneur à la famille et c'est ce que je fis. Alors que le silence devenait pesant et que le propriétaire gêné ne bougeait pas d'un pouce, je me mis bien droite, affichant un sourire poli sur mon petit visage chétif afin de paraître comme une petite poupée et je prie la parole d'une voix fluette. « Madame, je vous prierais de bien vouloir lâcher ma mère, elle n'est pas la cause de vos tourments. » Les grands yeux verts de la femme s'écarquillèrent, pourtant je continuais de soutenir son regard, mon sourire toujours fixé sur mon visage, imperturbable. Mère en profita pour se dégager de l'étreinte et s'avança vers moi, la lèvre toujours pincée, elle se tourna vers propriétaire, lui disant qu'elle s'étonnait de voir à quel point la réputation de son établissement avait changé et qu'elle n'y mettrait plus jamais les pieds. Et alors que je lançais un dernier regard vers cette femme, je me permis d'afficher un petit sourire en coin de satisfaction avant de me détourner et de suivre Mère. Qu'importe les agissements passés de mon père, il payait ses délits en prison. Et je n'avais pas du tout apprécier le culot dont cette femme avait fait preuve. Pendant combien de temps encore allions-nous encore nous affranchir des événements passés ? Nous avions réglé cette dette depuis longtemps pourtant...

Mais rien ne changeait, depuis toute petite, je devais supporter dans les lieux publics les regards noirs et méfiants des gens, faire la sourde oreille de leurs remarques parfois blessantes et injustifiées... Je ne comptais même plus les fois, où l'on m'avait insulter alors que je ne faisais que passer. Au fil du temps je m'étais forgée une carapace impénétrable et je passais sans un regard toujours droite et digne, limite supérieure à ses êtres qui ne laissaient place qu'aux préjugés du passé. Parfois je me permettais même de m'intéresser à eux, l'espace de quelques instants, en leur lançant un bref regard glacial.
Le seul endroit où je me sentais fière et à ma juste valeur, était chez nos amis (et pour certains cousins et cousines éloignés) de sang-pur : Lestrange, Dolohov, Goyle, Crabbe, Malefoy et j'en passe... Eux, ils comprenaient. Les familles de sang-pures ne sont pas des sauvages, non, ils se respectent, se jaugent, ils ne font pas parties de la haute société pour rien, mais il semblerait que certaines personnes aient oubliés qui nous étions.

Néanmoins, les choses se calmèrent un peu, l'année suivante, quand un hibou d'Azkaban débarqua dans notre cuisine une lettre au bec, nous annonçant le décès de brutal de mon père, emporté certainement par un sale virus, qui devait traîner dans cette prison. A l'annonce de sa mort dans les journaux, beaucoup de personne semblèrent satisfaites, certains disaient même que c'était un juste retour aux choses. Mère, par fierté ne pleura pas une seule fois la mort de l'être qu'elle avait tant aimé. Moi non plus d'ailleurs... Certes, cette nouvelle m'attristait, mais je n'avais jamais vu Père, je ne connaissais de lui que ces agissements passés dans les livres d'histoire et les quelques anecdotes que m'avaient raconté Mère. En sommes, mon géniteur était un parfait inconnu pour moi. Toutefois, il était mon père et il est de mon devoir de respecter et de protéger sa mémoire.

Cela fait bien longtemps que j'ai accepté mon destin et même si je n'en suis pas entièrement maître, je ne compte pas laisser les autres me dicter leur conduite. Il faut changer les choses. Et des idées, je n'en manque pas... On m'a toujours dit ce que je devais faire, ce qui était bien ou pas... Je respecte ça, mais j'ai aussi envie de voler de mes propres ailes.

Comme toujours j'avais le nez fourré dans un livre, il faut dire que la bibliothèque de la famille, ne finissait pas de m'impressionner. D'ailleurs, cela inquiétait ma mère, certes elle préférait me savoir à la maison en train de bouquiner plutôt que dehors avec je ne sais quels voyous, mais elle estimait que je n'avais pas besoin de m'instruire autant et que l'important était de me trouver un bon mari. Seulement voilà tirer les oreilles des elfes de maison pour se divertir ça va quand on a quatre ans, mais quand les années passent et qu'on a personne avec qui jouait il faut bien savoir s'occuper. Bien sûr, j'avais mes amis que je côtoyais depuis ma naissance, ceux appartenant à des familles de sang-purs, mais on ne se voyait pas forcément tous les jours. Qu'importe, j'avais trouvé dans la lecture, un moyen de passer le temps et à l'époque c'était la seule chose qui comptait. « Bordel Lilas, qu'est-ce que tu fous encore ?! » Levant mes yeux verts en direction de mon cousin, je retirais les quelques mèches blondes qui me gênaient. Il avait beau être de ma famille, je n'aimais pas qu'il m'appelle comme ça, mais je supposais qu'ayant entendu Mère m'appeler de la sorte, il avait creu bon de ce l'approprié aussi. Je soupirais, un brin agacé. « Je fornique avec un Hyppogriffe, t'es aveugle ou quoi? ». Ma phrase était sortie plus vite que je l'aurais voulu, mon cousin se figea sur place, mais voyant mon sourire amusé et mes yeux pétillants, il se détendit. Avec le temps j'avais appris à faire la part des choses : savoir être une gentille fille bien éduquée, devant nos invités, mais aussi être directe et insouciante de mes propos en présence de certaine personne. S'installant à côté de moi, mon cousin me retira mon bouquin des mains, pour le balancer sur un canapé en cuire plus loin, je me retenais de lui foutre une baffe, c'était un livre ancien, un peu de respect, merde ! Qu'importe, je me promis de me venger la prochaine fois que je le verrais draguer une fille. Mais son visage se fît alors sérieux, ne laissant plus de place à l'amusement. « Tu sais très bien de quoi je parle. » Oui, je le savais trop bien même, ce n'est pas mon genre de détourner la conversation, mais je savais que mon annonce quelques heures plus tôt avait eu l'effet d'une bombe. En quoi devais-je me justifier d'avoir faire un choix ? Un choix décisif que j'avais pris seule, sans prendre en compte la famille ? Non, je ne regrettais pas, mais je ne voulais pas en parler. Pourtant, mon cousin tenta une nouvelle offensive, tandis que je restais muette. « Dans le fond, ils ont raison. » Je me prie comme une gifle dans la figure, que les « adultes » entre eux n'approuvent pas, cela m'était bien égal, mais que mon cousin d'habitude si désintéressé de tout, me donne son avis me mis dans une profonde colère, il n'était pas concerné... Bon sang, de quoi se mêlait-il ? Me levant d'un bond, je le fixais droit dans les yeux. De quels droits émettait-il un jugement sur ma décision ? Je refusais de devenir femme au foyer, Mère avait tout abandonnée en épousant Père et que lui restait-il désormais ? Elle était devenue dépendante de tous les biens de mon père et cela m'agaçait profondément. L'idée qu'elle me trouve un mari, ne m'enchantait pas, mais je l'acceptais. Mais de là à rien faire de ma vie c'était autre chose... Non, je ne céderais pas.
Quand j'avais annoncé lors du repas mon intention de devenir Médicomage, beaucoup s'étaient moqués de moi, prétextant que personne ne voudrait se faire soigner par la fille d'un ancien Mangemort. Mère quant à elle, se contentait juste de me regarder, ne se mêlant pas au débat que je venais de créer et je ne savais toujours pas si elle approuvait ma décision... Ce qui en soit, était assez déstabilisant. Cela fait des années que je ne m'occupe plus de ce que pense les autres et si cela permettait à ma famille de se refaire un nom et une place correcte dans la Société alors je n'hésiterais pas. Il était temps de redorer le blason de notre famille et de ne plus être considérés comme des moins que rien, car nous vallons beaucoup plus que ça... De plus, je suis plutôt du genre tenace... il est temps de montrer qui sont les nouveaux Macnair.
Et puis, ce n'était pas la première fois que je provoque l'incompréhension chez certains membres de ma famille et ce n'est certainement pas la dernière fois, mais qu'importe, je n'ai pas peur.

Pseudo : Ewii ou Ewilou, j'ai été pas mal discrète ces derniers temps sur la toile. Il faut dire, ça fait un petit moment que j'ai pas "rpotté". En voyant ce forum j'ai craqué *.* Âge : Je suis une vieille, j'ai 20 ans. Avatar : La sexy Emma RobertsFréquence de connexion : Minimum trois fois la semaine, généralement j'essaie de jeter un petit coup d’œil tous les jours Comment as-tu connu le forum ?Sur PRD Code : code validé par Quigg Copyright : Tumblr

Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.

Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça !