Nom : Greyback. Un nom de famille lourd de signification et a l'histoire des plus sombres. Dans ses premières années a l'école de sorcellerie, beaucoup l'assimilèrent au Loup-garou qui avait fait tant parler de lui. Cela lui avait bien demandé du temps avant que les étudiants se détachent de cette vision de la jeune femme. Après tout, elle n'avait pas honte d'avouer a qui le souhaitait entendre qu'elle n'avait rien a voir avec ce monstre, et que sa famille était ce qu'il y avait de plus normal!

Prénom(s) : Artémis Rose.Pourquoi Arthèmis demanderiez-vous? Hey bien, l'enfant aux yeux du père de la demoiselle se devait être sa vengeance. Future chasseuse de loup aux yeux du patriarche, la jeune femme se devait de redorer le blason de la famille et de les rendre fière. Quand a son second prénom, Rose, celui-ci rapporte a la fleur. Douce, belle et fragile, mais dotée d'épines. Piquant seulement lorsqu'il le faut.

Surnom : Arté, ou Mya

Âge : 18 ans

Date et Lieu de Naissance : Oxford (Grande-Bretagne), née le 1er mai .
Nationalité : Anglaise.Née de parents anglais, il était logique que la jeune femme soit de la même nationalité que ses géniteurs qui avaient mit un accent particulier a la mettre au monde dans la maison familliale des Greyback.

Pureté du sang : Pur

Année d'étude & Maison : 5éme année, Serdaigle

Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Elle ne s'est jamais posée de question sur sa sexualité. Pour elle, son orientation coule de source!

État civil : Célibataire. Artémis n'a jamais, au grandi jamais, vécu de relation amoureuse a proprement parler. Trop coincée et rat de bibliothèque, elle n'a jamais répondu aux avances dont elle faisait preuve. Certes, quelques jeunes hommes ont essayé de voler son cœur, mais l'intérêt qu'elle a toujours porté pour son cousin la préoccupait plus qu'une simple amourette. Dans tout les cas, la jeune femme savait qu'a sa sortie de l'école et peut être bien avant, l'on aurait choisit son futur époux. Docile, elle se serait contenté de le chérir et l'aimer toute a vie. Cependant, les choses ont pas mal changée depuis qu'elle s'arma du peu de courage que son frêle corps contentait pour se rapprocher de ce si intriguant cousin. Les choses évoluant, elle se demande encore si elle souhaite réellement plonger totalement la tête dans l'eau au risque e se noyée et de se brisée.

Baguette : La baguette de la jeune femme est des plus particulières. L'histoire s'accordant avec celle-ci l'est tout autant. N'ayant trouvée baguette a sa main, les parents de la demoiselle durent rendre visites a d'autres fabriquant, les baguettes de notre cher Olliwanders ne correspondant pas, il fallut trouver une solution de remplacement. Le tour des fabriquant de baguette prit bien une semaine. Ce fut en Asie, plus précisément en chine que l'héritière des Greyback trouva enfin sa baguette.
La petite boutique étroite et désordonne renfermait les baguettes magiques les plus étranges et particulière. Celle d'arthémis est donc composée d'écaille de Gorgones et fut taillée dans une branche de Thuya de Chine plus communément appelé, l'arbre de vie. Une baguette de 15 centimètres qui au premier abord ne payait pas de mine si celle-ci n'avait pas été préalablement taillée en son bout d'un loup... Coïncidence demanderez-vous?

Patronus : Le patronus de la jeune femme prit une forme corporelle seulement après des mois d'entrainement durant les vacances d'été, c'était une manière pour la jeune femme de penser a son cousin de loup. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle découvrit que la dite forme de son patronus était un loup arctique. Plus jamais elle ne répéta ce sort, si ses parents venaient à l'apprendre ceux-ci l'empêcherait de retrouner a Poudlard. Ce fut pour cela qu'elle garda son secret.

Épouvantard : Une bague de fiançailles. Bête direz-vous, mais voila, la jeune femme a toujours vu en l'idée du mariage une prison, une autre prison que son éducation la força à accepter. Arthémis a peur d'étouffer dans un rôle imposé par la loi de la pureté du sang. Elle ne veut pas finir comme toutes ses femmes qui sont morte sans avoir vécu leur vie. Cette bague représente tout ce qu'elle refuse de vivre. Une cage en pur carat, une vie loin de celle qu'elle s'imagine.
Lorsqu'elle doit faire face a cette idée ou lorsque ses parents parlent d'un futur bon partit, la jeune femme n'ouvre aucunement la bouche, hurlant et souffrant au plus profond d'elle même, elle voit sa vie appartenir aux autres sans qu'elle puisse y faire quoi que ce soit. Artémis étouffe dans son rôle de jeune femme parfaite et ce, même si ce rôle fut agréable a tenir durant toutes ses années, elle refuse de devenir le bijou d'un homme incapable de la conquérir!

Particularité : Aucune.

Options choisies & métier envisagé : Il avait été clair aux yeux de la jeune femme, que lorsqu'elle du choisir ses options de cours, celle-ci du se plier aux demandes familiales. En 3éme année elle du donc prendre soins aux créatures magiques et arithmatie. Bien que les matières que l'on eut choisit pour elle ne lui déplaisait pas, la Greyback aurait largement préféré prendre un cours de divination dans l'espoir peut être fou d'y retrouver son cousin.
Quand enfin il fut temps pour elle de choisir tout ses cours, de nouveau personne ne lui laissa le choix. ce fut donc imposé par ses deux géniteurs qu'Artémis du suivre des cours de défense contre les forces du mal, de potion, de botanique et de sortilège. Devant suivre des cours qui pouvaient la mener dans une profession de soin. Bien évidement, il avait toujours été clair aux yeux des Greyback que jamais la jeune femme ne travaillerait. Non, elle devait se contenter d'enfanter le plus de sang pur possible!

Avez-vous déjà fait usage de la magie noire Non, Artémis est bien trop dans son monde pour cela.

Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ?Artémis ne prend le partit de personne. Restant tout comme sa famille en dehors de tout cette histoire de guerre, de nom a faire craindre et ou respecter, elle ne cherche en aucun cas a se faire recruter par l'un des partit. Elle sera toujours claire sur la question. Personne ne la forcera a en prendre un part, pas cette fois. Ni sa famille ni un futur époux ne pourra la faire décamper de cette position. C'est bien le seul sujet ou la jeune femme considère que seul son avis compte. Après tout, sa famille lui avait déjà tout prit. Indépendance, volonté, liberté... tout.

1er août 2020


Tac tac tac tac... Faisait l'eau qui tombait irrémédiablement sur les vitres du manoir des Greyback. Tac tac tac, cette chanson de gouttes résonnait dans le cerveau de l'adolescente brune à la peau de porcelaine. Cette poupée si pale qui dépérissait au fur et a mesure de la journée. Tac tac tac. Cette eau l'enfermait dans sa prison d'argent et poussait ses lèvres sucrées soupiré de désespoirs. Elle ne voulait pas passer le reste de la journée enfermée à se languir d'une journée plus belle. Une journée d'été. Arté maudissait la pluie. Elle détestait se mouiller et ressembler a une souillon, les cheveux démêlée, collant à sa peau. Oui, elle préférait ressembler à cette image si parfaite que ses parents avaient modelé depuis des années et de années, pétrissant de leurs grandes mains leur seul et unique enfant comme si celui-ci deviendrait la meilleure pâte a pain qui existerait. Elle était prête à être dévorée, à être offerte en pâture aux carnassiers descendants de familles de sangs purs. Mais à la jeune femme, avait-on seulement osé demander ce qu'elle souhaitait réellement?
Non, elle se contentait d'observer d'un air rêveur la pluie tombée sur l'immense parc de son habitation. Arté ne voulait qu'une seule et unique chose en ce moment, que le temps cesse, elle voulait sortir emplir ses poumons d'air frais, essayé de s'échapper de cette cage en or massif qui lui avait tant plus autrefois. Oui, elle en était venue à détester cette cage, si bien que maintenant les murs si propres et les tapisseries qui les ornaient lui sortaient par les yeux. Elle ne pouvait plus observer ces maudits murs et rester enfermée comme un oiseau en voie de disparition. La brune souhaitait désespérément se sortir de sa situation, elle voulait ouvrir les bras et s'envoler vers de lointaine contrée ou le soleil brillait en tout temps et ou les hommes, les vrais, les durs seraient présent et lui apprendrait à blasphémer et être une vrai femme. Arté pouvait facilement s'imaginer accrochée au dos d'un jeune homme sur ce que les moldus appelaient motocyclettes. Ces grosses machines sur lesquels ils roulaient pour se déplacer. Et alors qu'elle continuait à se perdre dans ses pensées, de la buée apparut sur les fenêtres de la pièce ou elle se trouvait. Toujours appuyée contre celle-ci, elle leva l'une de ses fines mains et du bout des doigts, elle dessina grossièrement un soleil, des montages et une route qui s'en allait vers ce paysage. Un dessin de cactus et des pensées tournées vers l’interdit cousin plus tard le bruit du parquet craquant de la pièce la sortit de ses rêveries. Elle put observer sa maternelle se rapprocher un sourire aux lèvres. Celle-ci posa sa main sur son épaule. Nul doute, son professeur de musique devait être arrivé et attendre sa si studieuse élève. "Il t'attends Mya." Les seuls mots d'une mère protectrice et aimante qu'avait prononcé Artémisia et qui donnèrent cette irrésistible a cette fragile poupée envie d'hurler son refus vis a vis de sa pratique musicale. Non, elle ne voulait plus jouer de la harpe, elle voulait jouer du piano, chanté à tue tête mais elle savait pertinemment que cela n'était pas possible, que le choix n'était pas une option chez les Greyback. C'était soit belle et tais-toi ou crève.
Bien obligée de se lever et de quitter sa cachette du jour, la jeune femme finit par se diriger vers sa chambre. Pas besoin d'ouvrir la porte puisque celle-ci l'était déjà. Lorsqu'elle recevait un tuteur, elle n'avait en aucun cas l'autorisation de fermer sa porte. Une fois assise sur le petit tabouret jaune devant son instrument de musique, le cours débuta sous les yeux avisés du major d'homme de ses parents.
Deux interminables heures plus tard et la demoiselle fut libre. Libre de retourner regarder sa vie défilée sans qu'elle ne puisse échapper a cette fatalité : elle allait être enfermée dans ce monde toute sa vie. Pourtant, Mya n'avait pas toujours été si mélancolique. Lorsqu’elle y repensait, un sourire avait tendance à venir illuminer son visage d’un petit air enfantin….

Au plus profond de ses souvenirs, Artémis avait toujours été discipliné et aimée de ses parents. Jamais elle ne ressentit le besoin de les contredire ou de leurs désobéir. Non, elle s'était toujours sentie choyée et aimée. Son enfance se déroula sans accident, ses parents avaient embauchée une nourrisse pour la demoiselle afin que l’on s’occupe toujours d'elle. De sa naissance a son départ pour Poudlard, jamais la nourrisse ne fut renvoyée. Bien trop attachée au bébé si beau, à la peau si douce et aux petites mains, la femme qui s'était occupée d'Arté fut comme une seconde mère, celle qui s'occupait des taches ingrates. Laver, nourrir et changer l'enfant. Voila ce que fut la vie de cette bonne femme durant l'enfance d'Arté.

Développant un goût prononcé pour les jeux, Artémis s’était rapidement révélé dynamique et pleine de malice. Rapidement sa nourrisse du développer des idées de jeux ludique portant sur des sujets d’histoires, de musiques et d’art afin de satisfaire la curiosité et la soif d’apprendre de l’enfant. Joueuse donc, Mya avait tendance à s’imaginer des amis lorsqu’elle prenait le thé en compagnie de ses peluches et de sa gardienne. Si bien, que pour remédier à son imagination grandissante, ses parents lui offrirent des compagnons, moldus où non. Bien heureusement, cela ne coupa pas l’esprit vif de l’enfant qui continua à s’inventer des histoires de princesses et de chevalier libérant celle-ci.
Attendrit ses parents finirent par accepter cette imagination débordante et finirent par la nourrir en agrandissant leur bibliothèque en littérature fantastique et contes.
Ainsi, vivant de contes et de cours pour la préparer au monde des sorciers, Mya avait grandit sans grand accident et sans montrer une quel’on que faculté pour la magie. Bien heureusement, ses parents savaient que cela ne servait à rien de la forcé à montrer ses pouvoirs. Elle ne serait pas une cracmol, elle ne pouvait l’être. Ses ancêtres n’auraient jamais permis sa mise au monde ! Ce fut l’hivers de ses 5 ans, qu’enfin la sang pur connue sa première démonstration de magie. Ce fut lors d’une des promenades en compagnie de sa nourrisse et de ses trois petits chiens (de la même race que notre chère reine) dans la neige que la chose arriva : le chiot s’échappa pour courir après un oiseau dans la neige et glissa sur le lac du parc du manoir. L’enfant vêtue d’un long manteau blanc de fourrure et d’une tuque s’éloigna de sa gardienne, profitant que celle-ci soit distraite. Avançant comme elle le pouvait dans la neige, elle finit par se rapprochée du lac, appelant l’animal terrorisé qui refusait de rejoindre le bord du lac. Ce fut après avoir jeté un regard en direction de sa nourrisse que l’enfant vécu sa seule et unique aventure. Posant un pied, puis deux sur la glace, elle marcha sur celle-ci, se rassurant en voyant que celle-ci ne cédait pas sur son poids. Lorsqu’enfin elle eut prit dans ses bras son chiot, doucement et souriante, elle fit demi tour. Ce fut à ce moment que la nourrisse était arrivée en courant, n’osant poser le pied sur la glace et appelant l’enfant paniquée. "Mya! Sors de la! C'est dangereux, qu'est-ce que tu fais ma fille?" Se retournant avec ce petit sourire si angélique, l'enfant avait répondu d'une petite voix fluette "Elle s'était sauvée Nany!". Rebroussant chemin sous les signes affolés de sa nounou, l'enfant ne vit pas la chose arrivée, connaissant alors son premier traumatisme. Sous son poids et celui du chiot, la glace céda, engloutissant l'enfant dont seul le chapeau de fourrure était remonté à la surface. Paniquant comme elle ne l'avait encore jamais fais, la brunette essaya de remonter a la surface, tapant contre la glace dans l'espoir de la brisée. La Greyback aurait pu y rester si ses pouvoirs ne s'étaient pas manifester. La glace fondit, libérant donc l'enfant de sa prison transparente. La nourrisse l'avait sortie de l'eau et serrer contre elle jusqu'à ce qu'elles eu atteint la chambre de la poupée. Par chance pour la Nany, les deux géniteurs ne l'avaient pas renvoyé sur le champ, bien trop heureux que leur si précieux enfant ait enfin fait preuve de la magie.
Traumatisée par cette expérience, Artémis n'apprit jamais à nager, développant une certaine phobie de l'eau, mais pas assez pour que celle-ci soit devenu son épouvantard. Cette expérience eut le don de renfermé en elle toute ses envies d’aventures et de découverte. N’osant plus se lancer dans les interdits bien qu’au fond, Mya savait qu’elle aurait pu continuer à développer sa curiosité.

La vie continua de s'écouler doucement, tel le sable dans son sablier ou l'eau qui parcourrait les kilomètres des rivières pour s'échouer dans la mer. Pour Artémis, il n'y avait rien de plus intéressant que d'apprendre la danse classique, les bonnes manières, la cuisine et a jouer de la harpe. Elle passait la majeure partie de ses journées à lire des pièces de théâtre, des romans à l'eau de roses mais aussi des volumes portant sur la magie. Ayant un goût prononcé pour les arts, la sang pur s’était lancée dans la couture ainsi que dans la peinture. Au grand désespoir de celle-ci elle n’eut aucun don pour la peinture, observant les quelques toiles qu’elle avait pu faire au fil des années, bien trop déçue de ne trouver en elle aucun talent artistique prononcé. Cependant, l’enfant s’était révélée une très bonne courtière. Faisant des vêtements pour ses petits compagnons mais aussi des robes de princesses, il ne se passait pas un jour sans que l’enfant ne ressemble à une poupée.
Passant une bonne partie de son temps à se coiffer et s’habiller pour enfin se lancer dans la réalisation de petites pièces de théâtre, il lui arrivait souvent de faire le show devant son miroir. Sa pièce de théâtre préférée ? Vous ne serez sûrement pas surprit de la réponse : Roméo et Juliette.
Satisfaite de sa vie, durant longtemps son planning était composé de ses petits rituels journaliers. Mais à cette époque, rien ne pouvait la rendre plus heureuse que de penser qu'elle deviendrait une femme du monde, une épouse parfaite à la vie tout aussi langoureuse et douce que celle qu’elle vivait en compagnie de ses parents.

Jamais elle n'avait remis en question son bien être si ce n'était ce jour la, le jour ou elle vit apparaître son nom de famille dans les journaux. Hésitant a mettre ce sujet sur la table, se faisant malheur en se rappelant toutes les heures de cours de bonne conduite que celle-ci avait suivit, la belle n'avait pu s'empêcher de demander a son père, un soir, qui était l'homme qui faisait la une des journaux. Bien évidement, la réponse fut assez brève "C'est ton oncle." Ni plus ni moins, le sujet avait été clos. Interdite la pré ado avait serrer ses lèvres rosées. Elle le savait elle aurait mieux fait de rester a sa place. Serrant sa cuillère dans sa main si pale, elle baissa ses yeux verdoyant vers son assiette de soupe. Préférant de pas se lancer dans une discutions qui lui mettrait ses géniteurs a dos, l'enfant avait reprit son repas.
Pendant 4 ans l'on ne remit plus ce sujet sur la table. La seule conversation que les parents avaient avec leur enfant unique concernait ses activités et son futur époux. Chaque semaine, un nouveau prétendant lui était présenté en photo. La Greyback avait alors droit a tout son pedigree et quelques détails sur les passions de ceux-ci, mais jamais trop pour ne jamais attisé son amour pour ces jeunes hommes. Au fond, elle se demandait si l’un d’entre eux allait être capable de faire chanter son cœur. Mya en doutait. La plupart du temps, elle se contentait de suivre ce que les conventions lui imposaient. Un sourire, un oui mère, oui père et l’adolescente quittait la salle à manger.
Beaucoup auraient pu se demander comment Artémis pouvait accepter à ce point ce genre de traitement. Mais comprenez une chose, jamais ses parents n’avaient été méchants, violent où injuste envers leur enfant. Non, dans sa prison de diamants, ils l’avaient aimée, choyés. Elle avait été tant désirée que seul son bonheur comptait. Un bonheur qui bien sur, devait entrer dans leurs conventions et dans les désirs de ses parents. Si la jeune fille aspirait à un amour unique et fort, à une vie d’aventure sans oser se lancer et à combler un certains besoin de mouvement, jamais elle ne se permit d’emmètre ces requêtes. Peut être par peur du monde extérieur, un monde dont les mises en gardes ne cessaient chaque jours.

Vint enfin la lettre si désirée pour Poudlard. Une fois encore l'honneur d'ouvrir cette dite lettre fut retirée a Mya qui n'eut le droit de récupérer le parchemin seulement lorsque ses deux géniteurs eurent tout deux profiter de ce moment, satisfait. Il vint alors le moment de préparer celle-ci à la vie de château en compagnie d'autres étudiants.
On lui acheta assez d'uniforme pour deux semaines, plusieurs paires de chaussures et d'autres vêtements en tout genre pour l’hiver et l'été. La suite de la liste des achats avait été de lui fournir le matériel nécessaire aux cours, livres, ingrédients, plumes et parchemin. Sa baguette magique avait été toute une histoire a trouvée. Si bien qu'Olliwanders ne réussit à combler la demande et qu’il avait fallut à la petite famille d’organiser un petit voyage a travers l’Europe pour trouver de quoi permettre à l’enfant d’aller à Poudlard. Dans un premier temps, le couple et leur fille unique s’étaient rendu en France, plus précisément à Paris. Leur séjour fut relativement court. Lorsque la Greybback eut testé toutes les baguettes magiques de la boutique, ce fut presque sans espoirs que les géniteurs de la brune suivirent les conseils de l’homme qui tenait la boutique parisienne. Ainsi ils durent se rendre en Asie, à Shangai dans une petite boutique, étroites, sales et aux allures branlantes pour trouver la baguette de la jeune femme. Rapidement, la chaleur avait poussé les parents à faire accélérer le service du vieux sorcier chinois qui tenaient la boutique.
L’humidité des lieux n’avaient pas rendu la chose facile. Non, les mains moites Artémis avaient tendance à faire glisser les bouts de bois de ses mains. Son père fut le premier à perdre patience dans cette histoire, si bien, qu’il avait quitté la boutique à la recherche d’une nouvelle solution. S’il le fallait il créerait lui-même la baguette de son précieux enfant ! Et tandis qu’il tournait en rond dans la rue adjacente de la micro boutique, une explosion retentit. Artémis avait enfin trouvé sa baguette, si bien que celle-ci avait rendu chauve le petit sorcier qui avait prit l’explosion en plein visage. Sa nouvelle meilleure amie, le prolongement de sa main avait été une baguette longuement conservé par le sorcier. Cela faisait bien 200 ans que celle-ci attendait le bon sorcier. Une baguette blanche, de 15 centimètre gravé d’un loup. Le père n’avait pas été ravi de voir ce dit loup sur la baguette de sa fille. Il avait essayé de marchander avec le vendeur afin que ce loup disparaisse et devienne autre chose. Mais malheureusement, le vendeur était resté intraitable sur la chose, expliquant que retirer le loup retirerait le pouvoir de l’objet en bois. Ce fut donc baguette en poche que chacune des mains des parents Greyback agrippèrent leur poupée de porcelaine, transplanant en direction de leur cher pays.
Les quelques longues semaines qui suivirent ce petit voyage à travers le continent voisin parurent une éternité à Mya qui n’attendait qu’une chose : se rendre à Poudlard et se faire tout un tas d’amis. Certes, elle pouvait facilement passée pour une simple d’esprit, trop docile aux goûts de certains, mais n’était-ce pas ce que ses parents avaient toujours souhaité ? Une jeune femme prête à épouser celui que ses parents auraient choisit. Une demoiselle à l’éducation parfaite et aux manières indéniablement sans reproches ? Au fond d’elle, Artémis bouillait de découvrir un nouveau monde. Elle brulait d’impatience et n’avait qu’une envie, faire accélérer le temps.
Sa Nany l’avait aidé à préparer ses affaires, choisissant en sa compagnie les vêtements que la demoiselle pourrait porter les weekends et jour où elle rentrerait au manoir pour les vacances. Arté avait ajouté quelques effets personnels dans sa valise, en premier elle y avait mit Orgueil et Préjugés, son roman préféré, puis un livre sur les sortilèges et quelques babioles comme des photographies, un petit carnet pour y écrire lorsque le besoin se faisait ressentir et enfin des bijoux dans une petite boite. Quand sa valise fut enfin prête, elle fut appelée par l’une des bonnes pour son dernier dîner. Descendant d’un de ses joyeux petits pas, l’adolescente s’installa à son habituelle place, non sans avoir salué ses parents. Ainsi tous installé, ce fut le regard complice mais inquiet de ses géniteurs qui la fit sortir de ses rêveries habituelles. "Mya, nous devons te parler avant que tu ne partes pour l’école. " Le regard posé sur son enfant, le père avait observé celle-ci de ses yeux qu’il pouvait retrouver chez elle. " A Poudlard, tu retrouvera un autre Greyback. Loki est ton cousin. Tu ne dois en aucun cas lui adresser la parole. Jamais tu ne m’entends ? " Observant ses deux parents, fourchette en main, la brune ne sut que répondre. Bien évidement elle allait leur obéir, ce qu’ils n’avaient cependant pas prévus en lui interdisant ce contact fut que tout deux avaient réussit à attisé la curiosité de la jeune fille. "Jure-le-nous Artémis ! " avait ré enchérit sa mère qui elle aussi la regardait fixement. Lorsqu’elle ouvrit la bouche, ce fut non sans déglutir. Elle abaissa les yeux, bien trop gênée par la réaction insistante de ses parents. "Je vous le promet, mère et père. " Une fois la chose faite, monsieur et madame Greyback reprirent leur dîner et entamèrent une conversation entre eux. Alors qu’ils discutaient de sujets et d’autres qui n’intéressait guère leur progéniture, celle-ci ne pouvait s’empêcher de se poser des questions. Pourquoi ? Pourquoi ne voulaient-ils pas qu’elle s’approche du jeune homme ? S’il était son cousin, en quoi pouvait-il être dangereux ? Elle se souvenait d’avoir lu quelque chose au sujet du frère de son père, était-ce le même homme ? De quoi parlait l’article ? Impossible pour la jeune femme de se souvenir. Ce fut lorsque ses parents la congédièrent de la table pour l’envoyer se coucher qu’elle sortit de ses pensées.
Dormir avant d’aller à Poudlard avait été particulièrement difficile, si bien que lorsqu’elle fut dans le train, le lendemain, elle passa une bonne partie de son trajet à dormir.

Le Choipeaux n’eut guère de mal à placer la demoiselle dans la noble maison des érudits. Douée pour les arts musicaux et aussi rat de bibliothèque, elle passa ses quelques premières années à se perdre dans les rayons de l’immense bibliothèque de Poudlard. Il ne lui fut pas difficile de se faire quelques amis au sein de l’école bien que se faire des ennemis fut bien plus rapide. Se traînant rapidement une réputation de miss je sais tout hautaine et froide avec les étudiants dont les manières ne lui convenaient guère. La demoiselle avait effectivement rencontré certains étudiants dont l’éducation avait eut beaucoup de manques. Désagréable, mal polis et parfois violent. Le choc entre sa cage d’or massif et l’école de sorcellerie avait été plutôt difficile pour la jeune fille. Bien qu’elle eut quelques altercation avec certains étudiants, Arté gardait toujours une certaine prestance polie et respectueuse envers les autres. Bien évidement, elle n’entrait jamais dans des disputes. Lorsque les étudiants plus turbulents essayaient de la pousser à bout, ils ne retrouvaient qu’un sort de dissuasion pour les faire fuir. Mya connue certaines facilités dans les matières que celle-ci étudiait. Les potions ainsi que la botanique avaient été deux matières où la jeune étudiante s’était révélée particulièrement douée.
N’hésitant jamais à prendre les autres étudiants de hauts, l’érudite assumait le fait qu’elle soit non seulement bien éduquée, mais intelligente. Sa phobie de l’eau avait été parfaitement cachée durant ses trois premières années. Mais malheureusement pour la jeune femme, au cours de ses 17 ans, l’un des petits groupes qu’elle s’était mise à dos au fur et à mesure des années eut vent de sa peur. Plus combative que jamais, Mya se défendit à coups de sorts variés. Elle n’était pas douée dans toutes ses matières pour rien, elle ne s’était pas entraînée tous les étés pour se laisser faire.
Une jeune femme contre quatre Serpentads était bien un combat inégal ! Arté ne gagna pas ce combat et fut poussée dans le lac. Ne sachant nager et paniquant, elle s’était battue pour survivre, réveillant alors en elle ce goût pour l’aventure, pour la découverte et une qualité qu’elle ne s’était jamais connue jusqu’à présent : une rage de vivre si vive, si dévorante… si brûlante. Son corps dans l’eau avait finit par se raidir, elle allait manquer d’air lorsque dans un moment de lucidité et de calme, elle tendit sa baguette vers la surface et formula un sortilège pour la sortir de cette situation. Quand elle eut atterrit dans la boue du bord du lac, ce fut plus que vengeresse qu’elle se releva. Mouillée, souillée et sale, trois mots qu’elle ne supportait pas. Ce petit jeu allait se faire payer. Parole de Greyback. La vengeance fut longue à arrivée auprès des quatre comparses, mais lorsque celle-ci fut mise en place, le petit groupe regretta rapidement leur geste. Artémis, digne porteuse du nom d’une chasseresse s’était débrouillé pour faire renvoyer les Serpentards. Certes, rapporter à ces parents cet accident avait été plus lâche qu’autre chose, mais d’une manière où d’une autre, la demoiselle hautaine et tiré à quatre épingles ne voulait qu’une chose : se débarrasser des mauvais éléments. De ceux qui n’avaient aucune éducation et venaient la maudire pour être la plus respectueuse et calme de Poudlard. Respectueuse et bien élevée certes, mais loin d’avoir envie d’être calme. Non, en elle commençait à brûler des envies nombrilistes que jusqu’à présent n’avaient jamais existé. Elle voulait vivre d’aventures et ne plus ressembler à cette poupée bien trop parfaite…

En dehors des cours, lorsqu’elle ne pratiquait pas la harpe où n’étudiait pas, la Serdaigle espionnait son cousin de loin, essayant de cerner le personnage. Il avait une réputation du diable, des manières loin d’être celle d’un jeune homme de son rang et agissait tels un sauvage que l’on avait lâché dans un monde sans protection où explication. Il semblait si libre, si sur de soit. Il possédait quelque chose dont elle n’avait jamais soupçonné l’existence chez elle… Le culot de vivre pour soit et non pour les autres. L’érudite n’avait jamais osé approcher plus de 20 mètres le jeune homme, de peur sûrement de se faire mordre. Elle avait déjà vu quelques unes de ses connaissances de Serdaigle avec des marques de morsures et des bleus. Jamais elle ne s’était permise de commenter ces marques qu’elle trouvait vulgaire… mais dans un sens, Mya enviait ces filles qui faisaient ce qu’elles souhaitaient. Parfois, la bleue et argent se sentait comme une Geisha. Elle avait été éduquée pour le plaisir des hommes et telles ces femmes, ses parents la vendraient au meilleur des partis qui se présenteraient à leur porte.
Toujours autant enfermée dans sa bulle oppressive, dans ses bonnes manières et dans propre cage sentimentale, sa première, seconde et troisième année s’étaient passées à merveille –bien qu’il y eut quelques accidents avec d’autres élèves-, rapportant toujours de bonnes notes dans des matières obligatoires et celles que ses parents avaient choisit pour elle.
Bientôt, elle le savait, on lui trouverait un fiancé. Était-ce pour cela qu’elle s’était mise en tête qu’il fallait qu’elle se rapproche de son cousin avant que cela ne soit trop tard ? Devait-elle oser prendre le peu de courage qu’elle avait emmagasiné depuis des années et se rendre auprès de lui afin d’apprendre ce que jamais l’on avait osé lui dire ?

Dans son petit monde la demoiselle étouffait, elle voyait les barreaux de sa cage se resserrer sur elle. Elle voyait sa vie défiler sans que l’on ne lui demande son avis, sans qu’elle n’ait réellement le choix de dire oui où non. Dans cette oppression, elle n’avait qu’une envie, hurler à plein poumons, se faire remarquer pour qu’enfin l’on fasse attention à ses désirs. Artémis n’était plus si sure de vouloir devenir la femme d’un grand homme. Elle ne voulait plus vivre dans ce monde qui n’était pas le sien, elle n’avait plus la force de se battre intérieurement pour ne pas se noyer sous l’indifférence de ses parents.
Cela lui avait demandé plus de la moitié de l’année avait de trouver ce fameux courage. La jeune sorcière avait passée son noël à chercher le meilleur moyen de se rapprocher de lui. Devant son miroir elle avait tenté plusieurs scénarios possibles de technique d’approches, qui au final avait semblait tous aussi stupide voir improbable à la demoiselle qui finit par s’échouer dans son immense lit au milieu de toutes les poupées et peluches qu’elle avait accumulé au fil du temps. Soupirant au milieu de ses souvenirs, elle sortit sa baguette magique. Depuis le temps, elle avait finit par comprendre ce qu’était son cousin et pourquoi l’on interdisait tout contact avec lui. Si ce loup était sur sa baguette ce n’était sûrement pas anodin et sans aucune raison. Observant la gravure, elle finit par laisser son bras tomber à ses cotés. La sauverait-il vraiment en lui apprenant à devenir aussi sauvage que lui ? Loki était-il la solution à sa cage d’or massif ?
La Greyback n’aurait pas réellement pu répondre à ses questions et hésitations. Le seul moyen de le savoir était de se rendre auprès du jeune homme et de lui exposer sa requête.

Le retour à Poudlard fut bien plus rapide que prévu aux yeux de la demoiselle qui n’avait pas réellement été prête à se rendre en direction de son cousin. Cependant, l’occasion s’était présentée naturellement, si bien qu’elle avait enfin osé se rendre auprès du jeune homme afin de lui adresser la parole. Non sans grand mal bien évidement, mais se rapprocher de tout ce qu’il représentait et idéalisait aux yeux de la sang pur était comme un dernier cri d’agonie avant de finir noyée, tout comme ce jour d’hivers, où elle avait traversé la glace.
.

Pseudo : Marjj

Âge : >.> Vous allez pouvoir bientôt me souhaiter 24 ans!

Avatar : Astrid Berges Fribey

Fréquence de connexion : Jusqu'au 20 juillet, ce sera surement 4/7, après le 20 7/7, entre le 20 août et 1er septembre 2/7.

Comment as-tu connu le forum En faisant l'erreur de ma vie, en allant voir Loki pour lui demander si elle jouait sur un forum cool ces temps ci...

Code : code validé par Quigg

Copyright : Pour le moment l'avatar vient de PRD d'ici que je m'en fasse un!


Please please please! Soyez patient pour ma fiche! Je la commencerai dès que possible!

Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.

Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça !