Sujet: Re: /!\ Under the moon light ~ ft Gabriel & Absolem Ven 6 Juil - 12:20
Absolem était un mec cool. Tout en allumant une clope qu'il avait pioché dans le paquet que son amant tatoué lui avait tendu, il esquissa un sourire. Un vrai sourire, sincère et comblé, sans arrière pensée. Le tatoué s'était rhabillé, tant bien que mal, visiblement fourbu et tout endolorit, avant d'attraper ce qui semblait être un calepin à dessiner, un carnet. La clope au bec, le regard braqué sur sa feuille, tenant son crayon d'une main experte, il s'était mit à dessiner et, dans la lueur de la lune, Gabriel le regardait sans gêne. Un putain de bon coup, qu'il avait dit. Et il le pensait, il n'était encore jamais tombé sur un masochiste, un mec qui aimait la baiser brutale et triviale. C'était grisant. Profondément enivrant. Il recracha une bouffée de fumée sans cesser de sourire et de regarder le préfet des lions d'or. Sans quitter son carnet du regard, ce dernier déclara alors d'une voix traînante, tranquille « Je savais pas que tu fumais. Je te vois jamais aux pauses cigarettes. » Gabriel se redressa sur un coude pour basculer légèrement sur le flanc, faisant face à son amant plein d'encre. Il ne fumait pas, pas vraiment. Enfin si, à Rome, pour supporter sa génitrice, il se procurait des clopes qu'il enchaînait presque non stop, pendant des jours. Et puis, dégoûté, il arrêtait jusqu'à ce que l'envie le reprenne. Il n'était pas un fumeur, pas vraiment. C'était plus que, quand ça lui prenait, il se grillait une clope ou plusieurs. Il ne ressentait jamais le manque de nicotine, ce n'était pas une drogue pour lui. Juste un des plaisirs artificiels de la vie. Comme jouer aux échecs. D'ailleurs, il avait soudain envie de jouer, de manipuler des pièces pour vaincre un adversaire. Il était bon aux deux échecs. Magique et moldu. Surtout le moldu, parce qu'il le connaissait depuis plus longtemps. Il ne maîtrisait pas encore toutes les subtilités de la version animée des sorciers, mais il restait redoutable quand même. La voix claire de Pretty Smile résonna de nouveau, ramenant Gabriel au présent « T'es Italien alors sinon ? Enfin, t'as un nom Italien donc je suppose. Remarque, j'ai un nom Irlandais mais je suis Anglais. » Angel prit une latte sur sa clope avant de recracher la fumée en cercles bien ronds, dans la lueur pâle de l'astre nocturne. Il souriait toujours, ne pouvant pas s'empêcher de montrer qu'il était content, satisfait.
« Ouais, je suis italien. Je rentre à Rome tous les étés, depuis que je suis ici. » Uniquement les étés, parce que c'était déjà trop long que de supporter sa mère pendant deux mois pour qu'il ne rajoute en plus les petites vacances. Non, il était mieux à l'école, avec des journées libres et calmes durant lesquelles il pouvait faire ce que bon lui semblait. Seul inconvénient, le nombre de partenaire sexuel se trouvait très limité. Mais il savait trouver ce dont il avait besoin, quoi qu'il arrive. « J'aime bien les Irlandais. Il parait qu'ils ont le sang chaud, comme les Italiens. Tu connais la réputation des gens du sud ? La mafia ? Les gangs des rues italiennes ? J'ai grandit là. Ouais je sais, on ne dirait pas, vu ma gueule. » Peu de gens le croyait lorsqu'il disait venir d'une banlieue craignos de la capitale italienne. Trop beau, trop soigné, trop mignon pour avoir survécu dans ce genre de lieu. Là bas, les conflits se résolvaient dans le sang, de manière sale et sournoise. Une discorde et le lendemain, on retrouvait les corps. Comme pour le beau Darius. Les italiens étaient très fermés. « Je suis le gamin bâtard d'un HLM de Rome. » Il n'était pas particulièrement fier de ses origines mais il vivait en paix avec, il les assumait, il s'en contentait. Il ne niait pas. Au fond, c'était son seul repère fixe et fiable, dans son enfance. Un immense terrain de jeu plein de dangers, de mines qu'il fallait éviter, contourner. Plein de gens louches qui faisaient la loi. Il avait su se trouver des protecteurs, des alliés, éviter les bains de sang. Il avait grandit là, c'était tout. Sans père et sans vraie mère non plus, juste une loque alcoolisée H24.
Finissant la clope, il lança d'un ton désinvolte « Je t'achèterais un paquet, au fait. De clope. Je peux t'en prendre une autre ? Je ne suis pas un vrai fumeur, mais j'aime bien m'en griller une, ou plusieurs, selon mes humeurs. Comme là, par exemple. » Gabriel n'était pas un connard, il savait faire preuve de respect et de générosité. Après la nuit qu'il avait passé, acheter un paquet de cigarette pour Absolem lui semblait normal. Il s'était montré cool et il n'avait pas été radin. Angel adressa de nouveau un sourire franc et heureux à son amant, apaisé et l'esprit tranquille, attendant de savoir s'il pouvait reprendre une cigarette.
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Sujet: Re: /!\ Under the moon light ~ ft Gabriel & Absolem Ven 6 Juil - 13:16
Absolem O. O'Reilly a écrit:
Under the moon light
Gabriel & Absolem
i want to fuck you like an animal i want to feel you from the inside i want to fuck you like an animal my whole existence is flawed you get me closer to god
Je le questionne, simplement histoire de parler pour ne pas le délaisser pendant que je dessine. Ainsi, j’apprends qu'il est bel et bien Italien, et qu'il viens des bas fonds de la capitale Romaine. J’apprends qu'il aime les Irlandais aussi, ça me fait rire et je pense à Maden le pur Irlandais de Poufsouffle qui me gueule dessus quand je lui dis que je suis juste un Anglais avec un nom Irlandais, les O'Reilly étant Londoniens depuis au moins cinq générations. Jai rien d'un Irlandais d'ailleurs... j'suis un anglais typique physiquement, pâle à faire peur, brun normal, avec des yeux marrons/verts plus ou moins clairs selon la météo. J'suis loin du cliché de l'Irlandais typique, rouquin avec un drôle d'accent vénérant la St Patrick et les trèfles à quatre feuilles.
Finalement lui et moi, on vient du même milieu même si c'est pas le même pays. J'vois tout à fait le genre d'endroits où il a grandit, c'est partout pareil : des tours avec des appartements tous identiques datant des années 70 avec pleins de familles, le cliché de la mère célibataire avec ses gamins seule, ou des familles à problèmes. Des gosses de ton âge avec les quels tu grandit et parmi les quels t'essaye de te faire ta place. Sans trop de succès pour moi, qui ai toujours eu plus ou moins du mal à me faire des amis, à aller vers les gens. Gamin, je préférait rester à la maison à rêver tout seul et à jouer tranquillement avec mes petites voitures et mes dinosaures en plastique. A dessiner aussi. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours aimé ça, et j'ai toujours voulu des tatouages aussi, comme ma mère qui était une vraie punk, pure et dure pleine de tatouages et de piercings avec des cheveux rouges vifs. J'ai grandit là bas, un vrai cockney avec un accent à coucher dehors que les gens ont du mal à comprendre et un argot que seul un initié sauré décrypter qui met des fuck et des fucking et autres jurons au moins trois fois par phrase. Je lui rend son sourire en levant les yeux vers lui. Finalement on est pas si différents faut croire « Je t'achèterais un paquet, au fait. De clope. Je peux t'en prendre une autre ? Je ne suis pas un vrai fumeur, mais j'aime bien m'en griller une, ou plusieurs, selon mes humeurs. Comme là, par exemple. » J'hoche la tête, et lui lance de nouveau en faisant tomber ma cendre dans l'herbe, reprenant patiemment mon dessin. « Moi aussi j'ai grandit dans un coin craignos de Londres, en HLM. Seul avec ma mère. J'ai pas connu mon père biologique, il était en taule quand je suis né c'était un dealer de crystal meth il est mort d'une overdose quand j'avais quatorze ans. Ma mère est morte d'un cancer généralisé sous mes yeux le jour de mes huit ans. Mon oncle et son petit copain étaient ma seule famille restante, alors m'ont recueilli et j'suis arrivé du jour au lendemain dans les quartiers chics de la capitale, juste en face du ministère de la magie dans un immeuble moldu. Nos voisins nous aiment pas, deux gays avec un gamin. Mon oncle luc qui est moldu est aussi tatoué que moi, il est tatoueur, c'est avec lui que j'ai appris et que j'ai commencé à me tatouer à treize ans. Et son petit copain Daisuke c'est un Japonais, un sorcier de sang pur, ministre de la coopération magique internationale. Du coup même si je suis né-moldu j'ai eu la chance de pas arriver complètement paumé à Poudlard comme certains. » Voilà. Gabriel sait pas mal de choses, comme ça. Pas les détails, mais le gros de mon histoire, il l'a : un gamin des HLM qui arrive dans les beaux quartiers au milieu du quel il fait tâche avec sa famille atypique et son look. Acceuilli par un couple gay qui s'est retrouvé avec un gosse sur les bras du jour au lendemain, sans avoir vraiment d'expérience avec les enfants. J'suis un gamin qui a grandit trop vite, qu'est devenu mature d'un coup en voyant sa mère mourir, et qui du coup s'est renfermé peu à peu en s'accrochant à ce qu'il avait de plus cher à ses yeux : le dessin et le pays des merveilles, seul lien qui le rattachait à sa mère. Du coup,je sais que je suis devenu fou, de rêver que ce pays fantastique existe vraiment, et qu'un jour je le trouverai. Mais ça m'aide à tenir. Et le dessin est jamais sorti de ma vie, jusqu'à ce qu'à treize ans, je demande un tatouage. Déjà mature pour mon âge, un vrai petit mec qui voulait jouer aux grands et se marginaliser encore plus qu'il ne l'était déjà au collège moldu. Ça me fait sourire. J'étais con quand même de penser que j'étais un grand, qui savait tout de la vie. Un gamin tatoué, avec les cheveux longs et des piercings, qui se teignait les cheveux en noir, qui se maquillait et qui passait pour un vrai petit pédé. Qui faisait ça juste pour se faire virer de ce putain de lycée moldu où il est allé durant quelques mois, après sa tentative de suicide poussé par ses papa à faire quelque chose de sa vie plus tard, à avoir un diplôme en quelque chose pour essayer d'avoir un boulot, parce qu'il voulait pas renter à Poudlard. Et qu'avec ses tatouages, il aurait du mal, plus qu'un autre à faire quelque chose de concret plus tard. Mais tout ça, c'était juste de la provoc' dans le fond, et j'ai commencer à devenir plus masculin et moins androgyne vers 19 ans, quand j'ai commencé à vraiment changer, à avoir vraiment du poil au menton et tout le reste. Et j'ai voulu retourner à Poudlard quand même finalement, puisque ce j'ai remarqué que chez moi : ce qui ne me tue pas me rend encore plus bizarre, au lieu de me rentre plus fort comme le dit cet adage bien connu. Ça me fait rire. « Pardon, je me revoyais plus jeune, la gueule que je me payai à dix huit ans, on aurait vraiment dit un pédé. Encore heureux j'ai changer, je m'imagine mal encore maquillé et tout à jouer au gros rebelle avec un corps de nana à vingt deux ans. » On change tous, u fur et à mesure. On grandit, on vit de nouveaux truc et finalement on a un peu honte de ce qu'on a pu être à un certain moment de sa vie. Je soupire en souriant amusé, commençant à griffonner quelques détails de son visage. « Enfin bref, on s'en fout t'avais sûrement du me voir à Poudlard de loin à cette époque, j'étais vraiment... Enfin c'était assez spécial comme look quoi. J'voulais jouer au rebelle que j'étais pas vraiment à l'époque, j'fumait deux ou trois joints, je buvais un peu avec des gars plus grands de Camden. Le quartier punk de Londres, où je traîne tout le temps. » Ah, nostalgie.
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Sujet: Re: /!\ Under the moon light ~ ft Gabriel & Absolem Ven 6 Juil - 14:04
La vie d'Absolem n'était pas très joyeuse. Mais ça ne le dérangeait pas, visiblement. Il en parlait avec un naturel déconcertant. Gabriel écoutait attentivement, tout en fumant sa cigarette d'un geste un peu lascif, rêveur. Il commençait à sentir la fatigue engourdir un peu son corps. Quoi de plus normal, après la séance de baise qui venait de se dérouler. Absolem était définitivement un putain de bon coup, Gabriel savait déjà qu'il essayerait de revenir, d'avoir de nouveau le tatoué sur sa verge, contre son corps, pour lui. Il y avait des amants comme ça qui lui plaisait plus que de raison et qu'il tentait d'avoir une autre fois, par désir charnel. C'était rare. Vraiment. En général, quand il recouchait avec un de ses amants, ou une de ses conquêtes féminines, c'était par dépit, parce qu'il n'avait rien de mieux. Mais là, Absolem lui plaisait beaucoup trop pour devenir un second choix.
« Enfin bref, on s'en fout t'avais sûrement du me voir à Poudlard de loin à cette époque, j'étais vraiment... Enfin c'était assez spécial comme look quoi. J'voulais jouer au rebelle que j'étais pas vraiment à l'époque, j'fumait deux ou trois joints, je buvais un peu avec des gars plus grands de Camden. Le quartier punk de Londres, où je traîne tout le temps. » Ah oui, maintenant qu'il le mentionnait ... Gabriel se rappela avoir déjà vu le tatoué, plusieurs fois, au cours de sa scolarité. De loin, il n'y avait jamais vraiment prêté attention, les mecs marqués et percés ne le tentait pas plus que ça. Mais forcément, ils n'échappaient pas aux regards, avec cette sorte de fascination morbide qu'ils provoquaient souvent. Soit de l'admiration respectueuse, soit un profond dégoût à la limite de la peur. Ce même genre de peur qui poussait au racisme ou à l'homophobie. La peur des Italiens qui avaient torturé et tué Darius. La peur de ce qu'on ne comprend pas. De l'inconnu. De la différence. Gabriel trouvait ça con. Profondément con. A ce rythme là, il faudrait tuer tout le monde puisque personne ne ressemblait à son voisin. Connerie humaine. Paradoxale, pour un mec qui voulait devenir modèle de mode, mannequin. On le pensait creux. Vide. Juste une belle gueule et un gros sexe, aucune faculté intellectuelle. Pourtant. Il avait été envoyé à Serdaigle. Il était loin d'être con. Il aimait bien faire genre, parce que ça lui évitait d'être prit au sérieux et il pouvait ainsi vivre sa vie mais derrière cette belle gueule d'ange, il y avait un Q.I largement supérieur à la moyenne. D'où le fait qu'il était invincible aux échecs, qu'aucun casse-tête ne savait lui résister, qu'il anticipait toujours les réactions des gens avant qu'ils ne bougent ... Il était brillant. Mais un peu trop paresseux pour exploiter toutes ses capacités.
Il tira une nouvelle latte sur sa clope. Cette fois, il prenait son temps pour la fumer, sachant déjà que ce serait la dernière. Après, il irait probablement se coucher. Il lui faudrait se lever, traverser le parc, rentrer dans le château, parcourir le hall, escalader les marches des escaliers magiques jusqu'au septième étage et longer ensuite quelques couloirs avant de parvenir, enfin, devant sa salle commune. Son lit semblait d'un coup très attirant, maintenant. Il se sentait fourbu, fatigué. Mais ravi. « Putain mec, t'es vraiment un bon coup. Au fait, je ne t'ai pas demandé. ça t'a plu ? » Gabriel ne posait jamais cette question. Il se fichait habituellement de la réponse donc il ne demandait pas. Mais là, il était curieux. L'avis de son amant tatoué l'intéressait, bizarrement. Il termina doucement sa clope avant de mettre le mégot éteint avec les autres, dans la poche ventrale de son sweat. Puis il se redressa pour s'asseoir et s'étirer un peu. La nuit touchait à sa fin, l'aube allait pointer le bout de son nez, derrière les montagnes qui bordaient le lac. Demain serait une longue journée.
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Sujet: Re: /!\ Under the moon light ~ ft Gabriel & Absolem Ven 6 Juil - 14:56
Under the moon light
Gabriel & Absolem
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Lui aussi, il a l'air de rêver. Il pense peut-être à son enfance lui aussi, ou à Rome et ses potes là bas. Je continue de dessiner pendant ce temps. D'essayer de reproduire du mieux que je le peux ce visage d'ange. Beaucoup disent que j'ai des doigts de fée, que je suis vraiment un artiste. Doué pour ça, né avec un don.. Ce genre de truc. Mais moi je suis un éternel insatisfait et d'ordinaire je recommence au moins vingt fois un de mes dessins pour un futur tatouage avant de valider. Alors, rater un visage aussi parfait, c'est vraiment chiant. Je regarde un instant l'esquisse puis Gabriel. Encore quelques ombres parc-i par-là et ce sera déjà bien pour un croquis. S'il veut, je pourrait toujours le redessiner un jour, ça me dérange pas quand certains élèves me demandent ça, amusé par cette passion dévorante qui a fait de moi un tableau vivant de mes propres œuvres. Concentré je me stop en l'entendant et lève la tête vers lui : « Putain mec, t'es vraiment un bon coup. Au fait, je ne t'ai pas demandé. ça t'a plu ? » je sourit en coin. Ça m'étonne qu'il me demande ça. En général, ce genre de types ça s'en fout pas mal, ça te baise et ça te jette cinq minutes après sans remord. J'hausse les épaules et je lui répond en rigolant « d'après toi ? » A question stupide, réponse stupide. Une question rhétorique dont le blond connaît déjà la réponse. Finissant ma cigarette qui rejoint les autres mégots dans le paquet vide, j'arrache soigneusement la feuille en faisant bien attention. En bas dans un coin, je signe laisse un petit « merci pour cette nuit » et la date. Comme ça, peut-être qu'il m'oubliera pas de suite ! Même si dans le fond, je m'en fout qu'on s'adresse plus jamais la parole ou ce genre de choses. Je lui tend le dessin, en me relevant difficilement après avoir rassemblé mes affaires. Il est temps de rentrer, de marcher en boitant jusqu'à ma tour et de prendre une douche pour ensuite me coucher et... Dormir jusqu'à demain midi au moins. Un dernier sourire, vu que c'est ce qu'il aime chez moi. « Tiens. J'espère que c'est pas trop raté j'ai fait ça vite fait a la lumière de la lune... Comme ça t'aura un souvenir toi aussi, serial fucker. » Ouais, y'en a plein qui disent que je sous estime mon talent, que mes dessins son géniaux... Mais ctte perfection que je recherche dans mes croquis, je l’atteins rarement. Un dernier clin d’œil à L'italien, et me voilà parti comme je suis arrivé : pied nus avec un mal de pieds pas possible, et maintenant en plus, des courbatures. Vivement que je retrouve mon lit ! Au moins, ça m'aura permis de trouver le sommeil.
THE END
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Sujet: Re: /!\ Under the moon light ~ ft Gabriel & Absolem