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 If we're fucked up you're to blame. ▽ Thaddisbeth

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If we're fucked up you're to blame. ▽ Thaddisbeth 1404036046-rang-membre
Thaddeus E. Willoughby
Thaddeus E. Willoughby
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MessageSujet: If we're fucked up you're to blame. ▽ Thaddisbeth   If we're fucked up you're to blame. ▽ Thaddisbeth EmptyMer 2 Juil - 14:53


IF WE'RE FUCKED UP YOU'RE TO BLAME.


When it cuts you up this deep, It's hard to find a way to breathe. ⊹ « Leave me alone. Leave me fucking alone or I swear, I’ll kill you. » N’ayant pas pu trouver le sommeil depuis trois long jours, Thaddeus était d’une humeur massacrante. L'uniforme mal mis avec la cravate lâche, les cheveux pleins d'épis et même un début de barbe de deux jours. Si l'on connaissait Thaddeus Willoughby un minimum, on pouvait deviner sans mal que ses insomnies avaient repris de plus belle et que le Whisky en guise de somnifère n'avait plus aucun effet. Il mettait ordinairement un point d'honneur à toujours être un minimum présentable et rasé, reste de la bonne éducation que sa mère avait tenter de lui inculquer au fil des années. L’herbe non plus n’avait aucun effet, du moins pas celui escompté. Au lieu de calmer ses visions comme à l’ordinaire, la marijuana n’avait fait que les amplifier. Ainsi, voilà trois jours que les visions se succédaient les unes aux autres. Épuisé physiquement par le manque de sommeil, mais aussi moralement, le rouge et or avait à peine touché à son assiette ce midi-là. La nuit précédente la mort d’une femme l’avait hanté, sans qu’il puisse la lier à quiconque parmi ses relations. Durant plus de deux heures, le voyant était resté prostré sur un fauteuil de la salle commune où il s’était assoupi. Si la maison des rouges et or était endormie à cette heure-là, lui était bel et bien éveillé, recroquevillé sur lui-même à geindre et à essayer de respirer convenablement. « Merlin’s beard, I need some help. Stop it, stop it now please, I can’t handle it anymore. » Cette jeune et jolie sorcière blonde était radieuse. Nouvellement fiancée à un homme de bonne famille duquel elle était éperdument amoureuse, la demoiselle venait de sortir de Poudlard où elle avait obtenu ses BUSE avec succès, fait rare pour une femme d’être instruite au 19ème siècle. Tout semblait aller au mieux dans la vie de cette jeune femme… Si ce n’est son gout prononcé pour les potions des plus expérimentales. Et c’est ainsi que durant une chaude journée d’été une explosion eut raison d’elle. BOOM. Lambeaux de chaire sur les murs, un bras passé par la fenêtre ayant cédée sous la déflagration. Elle n’avait pas vu la mort venir, du haut de ses vingt ans. Un instant plus tôt, fredonnant un air joyeux elle ajoutait un peu trop d’araignées rouges à cette potion, sans doute distraite par ses pensées. Un mariage à venir à tendance à ravir les femmes, et malheureusement… A souvent les déconnecter de la réalité. Thaddeus ignorait son identité il ne savait ni son nom ni son prénom. La seule chose qu’il savait, c’était qu’elle était blonde et anciennement étudiante à Serdaigle. Avec ces maigres informations, il s’était décidé à chercher dans les anciens registres de l’école. Peut-être bien qu’il allait trouver quelque chose, un nom à mettre sur cette énième mort lui étant parvenue.

Si au début il comptait ses visions, désormais il avait oublié l’idée de tenir les comptes. Son corps tatoué le prouvait bien, un tatouage pour chaque mort l’ayant marqué. A tout juste vingt-deux ans, le Gryffondor commençait à déjà manquer de place. Si seulement il avait pu avoir plus de peau à disposition, pour que la mort de ces gens ne soit pas oubliée… A vrai dire, la plus part de ces personnes mortes et enterrées depuis plus de deux siècles étaient déjà oubliées par leur famille. Les petits enfants auxquels il avait affaire aujourd’hui n’avaient la plus part du temps pas la moindre idée que leur aïeul était mort ainsi lors de l’époque Victorienne. De plus, il n’était pas rare que quelqu’un reste un éternel anonyme. Comme cette femme aux yeux bandés sur son avant-bras, pendue en place publique pour avoir empoisonné son mari. Si d’ordinaire Thaddeus n’éprouvait pas grand-chose pour les meurtriers exécutés, cette fois-ci, il savait que la jeune femme avait quelques circonstances atténuantes. Violence conjugale, fausse couche due aux coups de son mari alcoolique… S’il avait été à la place de cette femme, il aurait sans doute eu dans l’idée de tuer cet horrible personnage pour être soulagé. Malheureusement, dans les années 1800 la femme n'avait que peu de droit et était considérée comme la propriété de son mari, qui avait d'ailleurs le droit de la battre avec un bâton tant que celui-ci n’excédait pas la largeur du pouce... Si désormais au vingt et unième siècle ces lois lui semblaient sordides et arriérées, deux cent ans plus tôt, battre sa femme semblait être une mœurs commune.

Au Banshee tear, avec le temps, Willoughby était devenu connu comme le loup blanc. Habitué des lieux il passait la plus part de ses vacances scolaires sur une table, à serrer le dents pour encrer encore un peu plus sa peau. « Tell me about this one. » Alors, il racontais sa vision au tatoueur. Expliquait la manière dont cette personne était morte et en quoi cela l'avait marqué. Si la mort de son arrière grand père du même nom était l'évènement le plus marquant, il y avait aussi eu cette jeune femme. Morte très jeune en couche après avoir donné la vie à un petit garçon. L'un de ses tatouages les plus voyants lui était d'ailleurs dédié : ces roses sur son cou, semblables à celles que la jeune femme tenait contre elle dans son cercueil. Cette mort l'avait particulièrement ému, étant donné que cette vision était parvenue à Thaddeus le jour de la naissance des jumeaux Thomas & Temperance. Il avait beau savoir sa mère saine et sauve, il avait ensuite passé une partie de la nuit à pleurer contre elle. « Don't leave me, I need you. » Bien qu'âgé de dix huit ans cette nuit là, à l'idée de perdre sa mère, ce grand garçon s'était retrouvé dans les jupes de Mrs Willoughby comme lorsqu'il était enfant.

Soupirant devant son assiette de légumes, le jeune homme releva les yeux vers le faux plafond de la grande salle. Le temps était maussade, même si les beaux jours ne tarderaient pas à arriver. Cet après midi, il espérait pouvoir assurer un minimum pour l'examen de potions, malgré la fatigue tiraillant ses muscles. Sentant une présence derrière lui, le brun se retourna et fixa avec horreur la jeune femme blonde face à lui, qui portait elle aussi l'uniforme des bleus et bronze. Pâlissant comme s'il voyait un fantôme pour la première fois, il osa bégayer « W...Who the fuck are you ? God, what's your fucking name girl ? »


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Lisbeth A. Snow
Lisbeth A. Snow
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MessageSujet: Re: If we're fucked up you're to blame. ▽ Thaddisbeth   If we're fucked up you're to blame. ▽ Thaddisbeth EmptyMer 2 Juil - 14:53


IF WE'RE FUCKED UP YOU'RE TO BLAME.


The Black Parade ⊹ Le silence ne venait pas. C’était étrange d’imaginer qu’elle ait pu souhaiter que ce brouhaha s’arrête, elle qui n’aimait pas être seule avec ses pensées, mais elle aurait tué pour faire cesser le bordel qui s’élevait autour d’elle. Avaient-ils besoin de gueuler ? Avaient-ils besoin de réfléchir ? Réfugiée à la table de sa maison mais consciencieusement isolée de ses camarades, Lisbeth observait un point fixe, rendu flou par l’absence de battements de ses paupières devant ses cornées, espérant parvenir à s’échapper. Elle avait passé la matinée dans ce foutoir, à tourner en rond, ballotée entre les songes des uns, les insultes tacites des autres, à encaisser les petits tracas et les grands soucis de ses camarades sans rien pouvoir faire pour lutter. Elle avait essayé, à plusieurs reprises, de plaquer ses mains sur ses oreilles, se retrouvant alors à naïvement presser ses paumes pour tenter de bloquer le bruit. C’était juste une de ses journées où elle était réceptive aux ondes qu’envoyaient les autres sans le savoir. Elle aurait dû y être habituée depuis le temps, elle aurait dû savoir que cela, ses mains sur ses oreilles, appuyant à s’en enfoncer le crâne, n’allait rien changer.

Pouvait-on réellement s’habituer, cependant, aux pensées des autres peuplant ses propres synapses ? Elle avait l’impression d’être secouée dans tous les sens, bien trop amochée par ses propres idées saugrenues pour en plus supporter celles de son entourage. Elle voulait les tuer, elle voulait hurler, mais à quoi bon ? Hormis entendre, d’une seule voix, d’un seul cri silencieux, la masse la traiter de folle alors qu’elle était dévisagée par des dizaines de paires d’yeux, crier ne changerait rien. Il fallait faire avec, il fallait aussi qu’elle apprenne à contrôler l’afflux qui lui parvenait lorsqu’elle s’avérait capable de sentir les pensées des autres, ne pouvant définitivement pas supporter tout ça de façon régulière. C’était trop, tout simplement trop.

Le pire, ce n’était pas les cancans mondains et sans intérêts, elle se moquait bien de ces élèves se demandant s’ils avaient pensé à fermer la fenêtre de leurs dortoirs. Elle n’avait rien à foutre des faux-semblants qu’affichaient certains, elle se moquait bien des rumeurs qu’elle aurait pu provoquer. Aujourd’hui, elle ne voulait pas s’infiltrer dans les nimbes cérébrales de ses camarades, elle voulait juste la paix et, assise à sa table, elle luttait contre le plus sévère cas d’intrusion de la journée. D’ordinaire, elle aimait se réfugier dans les recoins sombres qu’offraient les esprits les plus dérangés et il n’était pas rare qu’elle cherche, à vrai dire, ce genre de noirceur. Les ténèbres avaient, après tout, un magnétisme indéniable et elle s’y sentait bien mais le chaos qui explosait dans sa bouche comme autant de vagues s’écrasant tout autour d’elle était perturbant. Elle ne pouvait pas les gérer, ces tourments là et pour la première fois depuis qu’elle s’était assise dans la grande salle, elle tourna la tête pour scruter l’horizon, les silhouettes, les visages, cherchant à qui appartenaient ces flopées de pétrole et d’acide. Il y avait trop de douleur, trop de peine, trop de solitude et trop de détresse dans ce qu’elle percevait pour qu’elle ne puisse pas reconnaître la pauvre âme égarée à qui appartenait tout ce bordel. C’était un maigre don que celui qu’elle avait, cette capacité à lire les auras, de façon sporadique.

Il était assis un peu plus loin. Grand, brun, elle pouvait voir sa peau pâle qui contrastait avec les relents de rouge et d’or dans son uniforme. Posé à la table des Gryffondors, il semblait porter le poids du monde sur ses épaules et dans cette panique, dans cette tempête qu’il essuyait, Lisbeth se retrouva incapable de dire si elle le connaissait. Il semblait différent aussi l’avait-elle surement croisé, aimanté aux gens atypiques comme elle pouvait l’être mais… bien vite elle se retrouva submergée par les images qu’il s’imposait, vrillant deux trous entre ses omoplates et le regardant comme si l’équilibre du monde en dépendait, comme si la suite de l’histoire dont elle était témoin sans qu’il ne le sache, était cruciale pour elle. Oh elle avait conscience du voyeurisme de son attitude mais elle ne pouvait pas s’en empêcher, surement parce que même si cela était pire, au final il était rassurant que de voir qu’elle n’était pas la seule cinglée dans cette école de balais volants et d’esprits frappeurs. La magie l’avait un peu amoché, en se manifestant, elle ne pouvait pas être l’unique à en subir les affres, right ?

Sans bouger, elle avait pourtant l’impression de s’approcher, petit à petit, comme un animal vers sa proie, jusqu’à ce que… BOOM. Elle sursauta, plaquant brièvement une main devant sa bouche, les yeux écarquillés, le regardant encore. Sembler normale, elle devait sembler normale. Elle se fit violence, cachant le sourire étrange qui retroussa ses lèvres et tentant de se concentrer sur son assiette dans réellement, elle ne pouvait que l’observer. Elle du manquer de discrétion d’ailleurs car bientôt, livide, il se retourna et la fixa, demandant alors : « W...Who the fuck are you ? God, what's your fucking name girl ? »

Comme à chaque fois, elle se demanda fugacement si les gens se rendaient compte de sa présence. Cela aurait peut-être expliqué le fait qu’il semblait prêt à s’évanouir, ou bien était-ce simplement le résultat de ce qu’elle avait pu discerner, dans ses souvenirs, dans les lambeaux désordonnés de son esprit fatigué. Parce qu’il était épuisé, elle pouvait le sentir, en dépit de la distance. Alors elle hésita, longuement et puis, ignorant le fait que personne ne prêtait attention à sa personne, tout en profitant de cette liberté, elle bougea, bondissant de son siège et s’appuyant sur ses mains pour se rapprocher de lui, penchée sur la table partiellement dégagée de sa maison.  « I would not want to sleep either if I could see people blow up when I shut my eyes » souffla-t-elle dans un hoquet rapide, d’une voix à peine audible dans le capharnaüm. Peut-être n’avait-elle besoin que de concentration pour s’extirper de ses ennuis, peut-être allait-il la distraire assez pour qu’elle se calme. Jetant un bref coup d’œil par-dessus son épaule, elle se retourna et posa ses fesses sur la table pour pivoter, sautant sur le banc qui se trouvait le plus proche de la table des Gryffondors, assise de travers, lui présentant alors son profil. Mentalement, elle se jura de ne rien faire aux dépends de ce jeune homme mais déjà, elle se retrouva à ajouter « How long have you been awake ? You do know that spies in Russia used to keep their captives from sleeping because muggles have proven that sleep deprivation, over seventy-two hours can make you go insane permanently, right ? » Elle écarquilla un peu les yeux face à la diatribe lâchée, presque désolée, presque gênée et murmura rapidement « I’m Lisbeth by the way. And you look like shit… »


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Thaddeus E. Willoughby
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MessageSujet: Re: If we're fucked up you're to blame. ▽ Thaddisbeth   If we're fucked up you're to blame. ▽ Thaddisbeth EmptyMer 2 Juil - 14:53


IF WE'RE FUCKED UP YOU'RE TO BLAME.


When it cuts you up this deep, It's hard to find a way to breathe. ⊹ « I would not want to sleep either if I could see people blow up when I shut my eyes » « She planned her wedding. A bit distracted, too much red spiders in her cauldron and... KABOOM! Tragic, she was young and beautiful and clever. But I've seen worse. Like some beheading, beated to death, poisoning, illness... and even someone eaten alive by a panther. A fucking panther in a fucking circus. Rough times, Victorian era.» Thaddeus fut rassuré d'entendre sa voix. La blonde en face de lui était belle et bien vivante. Elle était faire de chaire et d'os et n'était pas un fantôme comme il l'avait cru un court instant. La ressemblance entre cette jeune femme et celle de sa vision était frappante. Sans pour autant qu'on ait pu les prendre pour des sœurs, Thaddeus qui au fil du temps avait su devenir physionomiste. Sa passion pour le dessin aidant certainement il savait lier les visages de ses visions à ceux de ses camarades. « You look like her. And she was also in Ravenclaw. » Sa camarade ne pouvait pas être la jeune femme présente dans sa vision. Jamais il n'avait pu anticiper la mort de qui que ce soit, ni même voir l'avenir. Et a moins que la jeune femme n'aime s'habiller comme une dame du 18ème siècle, ce qui avouons-le était peu probable, Thaddeus était certain qu'elle n'allait certainement pas mourir ainsi aussi jeune. « How long have you been awake ? You do know that spies in Russia used to keep their captives from sleeping because muggles have proven that sleep deprivation, over seventy-two hours can make you go insane permanently, right ? » « I'm already insane. I haven't slept for three days now, because of this girl who's... Blowing-up, as you said. Sometimes I don't sleep at all in a week, because of... you know.  » Non, elle ne savait pas. Levant les yeux au ciel et soupirant, fermant les yeux un instant Thaddeus délaissa pour de bon son assiette que de toute manière il ne finirait pas. La fatigue était certainement en partie la cause de sa nausée. La mort, depuis bien longtemps, ne parvenait plus à lui couper l'appétit. Il avait vu plusieurs cadavres, parfois sévèrement mutilés. « I’m Lisbeth by the way. And you look like shit… » « I'm Thaddeus and I'm a knackered clairvoyant. My own mom wouldn't recognize me probably. So I agree I really look like shit today. » Sans s'en rendre compte, le Gyrffondor avait parlé en Cokney. Il avait l'habitude d'utiliser des expressions argotiques, que la plus part du temps les gens ne comprenaient pas. Ayant grandit à White Chapel, le Willoughby avait entendu ces mots toute sa vie. Se mordant la lèvre il rectifia « Tired, sorry. I'm a cokney, you probably don't understand the word knackered. I'm a tired cairvoyant from London, white chapel. And my name is Thaddeus Willoughby, it means town of witches in old english. I'm from an old family of clarivoyants, everybody got the sight in my family, but I'm the only one who seen death like that. It's useless, I never see the future... » Se rendant compte que la fatigue déliait sa langue, baissant légèrement les yeux car il se sentait stupide il eut un petit sourire. Chapeauflou, ayant failli être réparti à Serdaigle Lisbeth l'intriguait. Elle semblait étrange, tout autant que lui. Il ne se souvenait pas l'avoir un jour croisée dans un couloir. Sans doute était elle bien plus jeune que lui, et son visage rond et juvénile le confortait dans cette idée. Sortant son calepin à dessin, l'artiste se mit à griffonner machinalement l'esquisse du visage de Lisbeth, afin de mieux la visualiser. Afin de pouvoir mieux la comparer à cette femme hantant son esprit depuis trois jours.

« How did you know for this woman? You've got the third eye too? You... didn't run away when I was talking to you. I think you're just as weird and fucked up as I am.» Grâce à elle, Thaddeus se sentait soudainement moins seul. Cette fille semblait tout aussi bizarre que lui, et, les gens comme ça agissaient généralement comme un aimant. Il était tout de suite attiré vers ces gens. Immédiatement, il se sentait en confiance, au point de se livrer comme il venait de le faire. Son esprit était déjà plus léger, après ces quelques minutes de conversation avec la bleue et bronze. Gommant légèrement la lèvre pour mieux la redessiner, levant les yeux furtivement pour se souvenir des détails et penchant la tête sur le côté,  Willoughby reprit son dessin et ses questions. « How old are you by the way? You're about... 15 ou 16 maybe? I'm 22. You look really young. By the way, you're a muggle born ? Or maybe half blood ? I'm an Half blood wizard too. Cause' this witch could have been your grandmother. » Regardant son dessin puis le modèle, souriant de manière étrange il murmura « That's weird...»


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