Ici, l'histoire de votre personnage tout simplement. N'hésitez pas à mettre de la musique ou des images (on aime bien ça ici les images). Racontez nous les passages les plus importants dans le passé de votre petit bonhomme, qu'on puisse un peu le cerner le petit. Minimum 1600 mots.

Alors dans ce monde, tout le monde à un caractère, des passions... différents. Et bah... Je n'ai jamais rencontré des personnes comme moi. Donc voilà comment, MOI, je suis.
Je suis quelqu'un plutôt confiant peut-être un peu trop, mais j'ai mis du temps à avoir confiance en moi comme ça. Avant j'étais plutôt complexé par mon physique, mais j'ai fini par changer ça. Et le manque de confiance empêche d'avancer alors que moi c'est ce que je veux.
Je ne suis pas quelqu'un de timide loin de là, très ouvert et n'ayant pas peur de faire de nouvelles rencontres. Pareil, je ne suis pas pudique. Je ne vois pas pourquoi je devrais me cacher. Enfin je fais quand même des efforts, on ne sait jamais on pourrait très vite mal le prendre.
Je suis du genre charmeur. Oui, je pense que c'est le mot. Quand quelqu'un me plaît, je ne le cache pas et lui fais même savoir. Je joue même de mes charmes pour atteindre mon but. Je ne pense pas forcément qu'au sexe. Il est arrivé que mon but soit plus sentimental. Que voulez-vous ? Je suis un être humain.
Sinon je suis quelqu'un de franc, de curieux, de loyal et comme le dit ma mère, je suis une vraie tête brûlée qui n'en fait qu'à sa tête.
Enfin voilà, en gros, mon caractère. À part ça, j'aime la danse. J'adore danser. Et d'après certaines de mes connaissances, je suis assez bon. Et en ce moment, j'ai une nouvelle passion, mais je la garde pour moi.

Il faut bien commencer par le début et chez moi, le début c'est mes parents et leur famille. Alors comment vous expliquer ?
Les deux familles dont viennent mes parents sont originaires du Japon. La famille de mon père était une famille moldu venant d'un milieu modeste et possédant une herboristerie transmise de génération en génération. Elle était tout le contraire de la famille de ma mère, eux étaient des sorciers de sang pur et une des plus aisées du Japon. Ma mère était d'ailleurs, la seule de la famille à se marier avec un moldu et sa famille avait mis beaucoup de temps à approuver leur mariage.
Mes parents ont emménagé en Angleterre dix ans avant ma naissance, au milieu des années 90, pour des raisons professionnelles. Mon père ayant obtenu un très bon poste de professeur de japonnais à Oxford et ma mère avait obtenu, quant à elle, un poste de soignante à Sainte Mangouste. Ils avaient une bonne situation, mais l'héritage de la fortune familiale après le décès des parents de ma mère les a tout de même aidé pour leur déménagement et emménagement.

Dix ans après l'arrivée de mes parents en Angleterre, ma mère me donna naissance par une journée froide de décembre, il y a 19 ans. Mes parents me prénommèrent Reita qui signifiait dans leur langue natale "Grand sagesse". Mais ce n'était pas la seule raison, un de mes ancêtres les plus reconnus s'appelait ainsi. C'était un arrière arrière grand père, il me semble. Enfin bref...
Fils unique, en grandissant, mes parents faisaient tout pour me faire plaisir et j'en profitais bien. J'avais une petite vie dorée à cette époque. Mais mon père était prof, je ne devais pas me relâcher en classe de maternelle ou en primaire.
Mon père était très strict déjà en matière d'éducation. Surtout quand je commençais le collège, à l'âge de douze ans, c'était encore pire. Mais je pus avoir un compromis avec lui, j'acceptais de me donner à fond dans les cours s'il m'offrait des cours de danse. Pas de la danse classique, je vous assure. Par contre, lui aussi avait sa contrepartie, si mes résultats baissaient de trop, je ne suivrais plus mes cours de danse. Alors, je n'avais pas vraiment le choix. En plus, on ne peut pas dire que la danse prenait tout mon temps libre, j'avais deux heures dans la semaine, plus deux heures le samedi. Le reste du temps, je pouvais étudier. Ce fut l'argument final pour que je puisse avoir mes cours.
Mais j'avais en partie ce que je voulais même si les cours m'ennuyaient de plus en plus.

C'est vers l'âge de 13 ans que ma mère et mon père me racontèrent la vérité sur la famille de celle qui m'avait mise au monde. Pour moi, la magie n'avait jamais existé. Surtout que ma mère avait toujours fait en sorte de ne pas la pratiquer devant moi. J'étais plutôt septique à son annonce. Ce n'est pas quelque chose d'anodin la magie. Alors, pour me le prouver, ma mère me fit quelques démonstrations avec des tours "simples". Après avoir vu ça, j'étais presque fasciné par ce nouveau monde. Et ma mère commença à m'y initier. Elle m'emmenait avec elle sur le chemin de traverse par exemple. Un endroit fabuleux d'après moi.
Mais ma mère me contait aussi l'histoire d'un autre endroit fabuleux, l'école où elle avait passé ses années d'études au Japon. D'après elle, je n'irais pas là-bas, mais dans une autre école très populaire situé ici en Angleterre. Toutes ses histoires me faisaient espérer que je serais accepté dans cet endroit génial qu'est l'école de Poudlard.
Maintenant que j'étais au courant de ce monde magique, ma mère dut me faire part de la partie moins joyeuse de cet univers. Du haut de mes 13 ans, j'entendis parler de tous les phénomènes noirs qui sont arrivés. Voldemort, le plus puissant des mages noirs. Elle me dit qu'il y aurait toujours des mages noirs pour changer le monde comme ils le voient ne se préoccupant plus des règles du monde magique.
Elle avait essayé de me faire peur et avait réussi. Pour ma mère, la peur engendre la prudence. Et c'était ce qu'elle voulait pour moi.

Quand j'ai eu ma lettre d'admission à Poudlard, j'étais vraiment heureux que ma mère aie dû m'emmener le jour même au chemin de traverse pour que je puisse acheter toutes mes fournitures. J'eu aussi la surprise de me voir offrir un petit chaton blanc que j'ai appelé Mitsu qui signifie lumière. Pourquoi ce nom ? Car il était un petit rayon de lumière pour moi. Même si ma vie n'était pas toute noire. Une fois de plus juste avant de partir pour Poudlard, mon père me rappela notre marché qui, d'après lui, était toujours valable. Je ne pourrais danser que pendant les vacances, alors j'acceptais, car je ne pouvais pas le laisser m'enlever ma passion.
La première année fut tranquille enfin d'après moi. J'avais eu du mal à m'adapter au fait de vivre à l'école. Mais je me montrais sérieux en cours. Mon père ne gagnerait certainement pas. Et ce fût pareil pour les années qui suivirent. J'étais plutôt du genre élève modèle, sage. Oui, sage. On ne croirait pas à me voir maintenant. Non ? Enfin jusqu'à ma quatrième année, mais ça c'est une autre histoire. Que je vous raconterais dans la partie qui va suivre. Ne soyez pas si pressé !

Tout le monde a déjà eu sa petite crise d'adolescence, mais à croire que je n'aimais rien faire comme tout le monde. La mienne eut lieu l'année de mes 17 ans. J'avais passé l'été chez ma famille et après une dispute avec mon père, à cause de mes notes et de ma bisexualité, je m'étais enfui de la maison. J'avais retrouvé alors d'anciens amis à moi, des moldus, avec qui j'ai passé le reste de l'été. Ça m'avait complètement changé, mes parents ont, d'ailleurs, trouvé que mes amis avaient eu une mauvaise influence sur moi. Ils me trouvaient rebelle et plus extraverti qu'à la normale.
Je l'avouais j'avais changé. Mais pour moi, ce n'était pas en mal. Mes amis avaient su me donner une confiance en moi tel que je n'avais plus peur de décevoir mon père. Je n'avais pas besoin de prendre des cours pour danser. Je m'assumais maintenant tel que j'étais et surtout ma bisexualité. J'avais d'ailleurs eu mon premier "copain" pendant ce petit été et on n'était pas restés sages. Et ça n'avait pas duré plus de deux semaines. Oui, que voulez-vous j'ai craqué, je suis un homme après tout.
Depuis cet été, j'avais trouvé un nouveau jeu. Jouer de mes charmes. J'aimais séduire et je ne m'en lassais pas. Même si des fois, ça s'arrêtait là. Je n'avais pas peur de dire à une fille ou à un garçon qu'il me plaisait. Même à mon retour à Poudlard, je restais le moi que je m'étais découvert. Je me sentais vraiment bien et ne changerais plus. Bon, je ne sais pas exactement quelle réputation, je pouvais avoir. Vu que j'aimais jouer les séducteurs, mais je ne couchais pas à gauche à droite. Et j'avais le respect des couples.
Les cours ? Mes notes avaient baissé, mais restaient raisonnables. C'est ce que je n'arrêtais pas de répliquer à mon père. Il avait d'ailleurs fini par arrêter de m'embêter avec ça, après une énième dispute.

Que tu m'aimes ou pas, je m'en fiche. Je suis comme je suis et je me sens bien, c'est tout ce qui compte. Ma vie est plus colorée depuis que j'ai changé, elle n'est plus faite de couleurs ternes.
Ne vous méprenez pas ! Je ne suis pas une **** (je n'utiliserais pas le mot pour les yeux un peu trop innocents qui s'aventureraient ici). J'assume mon physique et aime jouer de mes charmes c'est tout. Et comme tout homme, il m'arrive de craquer.
Et en ce moment, j'ai quelqu'un dans ma ligne de mire. Un serpentard dont j'étais, ou je suis encore, le souffre douleur. Son nom ? Vous le saurez peut-être un jour. Juste un mot : LIEN. Mais quand je dis "ligne de mire", c'est que j'espère bien le séduire. Malgré tout ce qu'il m'a fait subir dans le passé. Je ne peux le nier, il me plaît. Même si ça peut paraître bizarre à certains.