→ Nom & Prénom : Bloodworth, Elizabeth Diane.
→ Âge et Année d'étude ( ou emploi, pour les adultes ) : 19 ans, 6ème année.
→ Maison (ou ancienne maison) : Serdaigle.
→ Quel est votre talent principal ? En quoi êtes vous un bon élément pour l'Ombre, en plus de (potentiellement) votre nom de famille ?

« Gagner leur confiance ne sera pas facile, as-tu vraiment le choix ? Sois franche Elizabeth, tu sais que c'est là qu'est ta place. » Voilà plus d'une heure qu'elle se répétait cette litanie en se préparant, devant son miroir, les cheveux remontés en un chignon, le visage diaphane d'habitude angélique était fermé, dur. La gamine Bloodworth, la petite chérie, le bijou de ses parents, elle n'était plus rien de cela à cet instant.

Serait-elle à la hauteur ? Son talent pour la manipulation était connu de beaucoup à Poudlard et même si elle voyait ça comme un atout, les membres de l'Ombre pourraient y voir un danger, une menace. Son nom ferait obligatoirement frémir les fils et filles de mangemorts. Son père était après tout à la tête du bureau des Aurors. Elle refusait d'être la fille à papa. En société, passait encore, mais à Poudlard c'était hors de question. Elizabeth était plus qu'une jolie petite fille riche. Son esprit était habile et rapide. Sa magie ? Elle n'était pas impeccable mais avec Remington et Victoria, elle devait exceller aussi pensait-elle que son niveau en sortilèges et en métamorphose feraient la différence.

D'un mouvement fluide elle se leva, enfila une veste en cuir noir et ferma la porte, déterminée. Son idéologie était claire, il fallait qu'elle intègre l'Ombre. Ses relations au sein de l'école pourraient toujours leur être utile. Son visage, son nom, pourraient duper les suspicieux. Sans penser une seconde à tirer la couverture à elle, Elizabeth n'avait pas besoin de briller plus qu'elle ne le faisait déjà, la Bloodworth s'imaginait la brebis égarée qu'enverraient les membres de l'Ombre lorsqu'une personne devrait pacifier la situation et apaiser les doutes.

Elle ne serait jamais un membre classique, trop étrangère à leur milieu en premier lieu. Mais Diane avait cette certitude qu'elle pourrait être un atout, un type d'acteur à part, pas de ceux qu'on envoie en première ligne, plus de ceux que l'on garde pour la fin. Et cela non pas parce qu'elle était plus importante, mais parce qu'elle tromperait plus facilement le monde qu'une Lestrange, un Dolohov ou un Goyle.

Depuis le dortoir, on pouvait déjà percevoir l'écho de ses talons foulant le sol de pierre à un rythme cadencé, précis et conquérant.

nickel, je t'ajoute

→ Nom & Prénom : Lennard E. Macnair.
→ Âge et Année d'étude ( ou emploi, pour les adultes ) : 19 ans et 6ème année
→ Maison (ou ancienne maison) : Gryffondor.
→ Quel est votre talent principal ? En quoi êtes vous un bon élément pour l'Ombre, en plus de (potentiellement) votre nom de famille ?T’as pas le choix, pensa-t-il.  C’était vrai, il était un Macnair, son simple nom le poussait vers cette organisation. Mais bien sûr il y avait plus que ça.  Bien sûr il suivait son frère,  poussé dès le début par ce dernier, Lennard n’avait cependant pas mis longtemps à faire le calcul.  C’était une question d’honneur.  Honorer sa famille, son père, le rendre fier.  Mais plus que ça, c’était pour prouver qu’il avait sa place dans l’Ombre, qu’il n’était pas la brebis galeuse de la bande. Bien sûr il était à Gryffondor. Mais il voyait cela comme avantage, il se doutait que la plupart des adhérents de l’Ordre se trouvaient dans cette maison et cela donnait une place de choix à Lenny pour observer tous ces traitres à leurs sangs.

Parce qu’il était dans ce constant besoin de prouver sa valeur, l’Ombre le motivait  plus que jamais.  S’il n’était pas arrogant, Lenny savait qu’il n’était pas un sorcier médiocre.  Il avait toujours été un bon élève, doué dans la plupart des matières, perfectionniste voulant être le plus brillant possible. Mais il était surtout très talentueux dans les potions, adepte de la création de  farces comme de poisons les plus élaborés. Il savait que cela serait vu comme un atout par l’Ombre.
Lennard devinait qu’il lui faudrait gagner leur confiance, prouver qu’il n’était pas juste un Lion. Il partageait leurs idéaux sur la pureté du sang.    Alors bien sûr, la question demeurait. Etait-ce par réelle conviction ou de par une éducation qui l’avait poussé dans cette direction ?  Cela n’importait pas à Lenny, il était prêt à prouver que c’était bien par idéologie et qu’il avait sa place dans cette organisation.

C'est une réflexion intéressante, je t'ajoute de suite

→ Nom & Prénom : Viktoria Faye Grindelwald
→ Âge et Année d'étude ( ou emploi, pour les adultes ) : 23 ans, Deuxième année à l'université, Zoologie et Flore.
→ Maison (ou ancienne maison) : A étudié à Durmstrang.
→ Quel est votre talent principal ? En quoi êtes vous un bon élément pour l'Ombre, en plus de (potentiellement) votre nom de famille ?
Quand on porte le noms des Grindelwald, on ne peut pas rester de marbre quand une guerre est en cours. Quand on porte ce nom, il est impossible de ne pas choisir son camp. Et quand on se nomme comme le plus grand mage que le nord de l'europe ait jamais porté, on se doit de choisir le bon camp. Celui des vainqueurs. Celui qui agit dans l'Ombre.

Viktoria a reçut une éducation de sang pur. On lui a apprit à mépriser les moluds et ceux qui portent leur sang. On lui a enseigné les manières et les idéaux de la bourgeoisie magique. Et même si elle a sut se faire elle même une idée de ce qui l'entourait, de se détacher de tout ce qu'on lui avait enseigné, il n'empêche qu'il y a une chose qui a perduré. Son envie intarissable de redorer le blason de sa famille.

On a méprisé les Grindelwald, on les a haït. Alors qu'autrefois on les respectait et les tenait en haut de la pyramide. La chute leur a fait mal. La génération suivant celle de Gellert a préféré faire profil bas, murmurant des plans afin de revivre la gloire qu'ils avaient perdus. Aussi quand leur fille ainé vint à naitre, le choix était fait depuis longtemps: elle porterait le nom de Viktoria, symbole de leur prochaine victoire. Leur vengeance était en marche. Dans l'ombre ils avaient sympathiser avec des mangemorts d’antan. Ceux qui avaient été fidèles à Lord Voldemort et dont les idéaux n'étaient pas morts avec lui.

Quand elles étaient petites, les filles Grindelwald ont grandis avec les visites de ces gens, elles les ont appelées par leurs noms et ont jouées avec leurs enfants dans leur salon et leur jardin. Aussi quand elles déménagèrent en UK, dans la maison d'un de ces partisants déchus préparant lui aussi sa vengeance, Faye participait tout naturellement aux débats qui animaient la maisonnée en se ralliant à leur point de vue.

Quand elle entra à l'université, son ennui la poussa vers quelque chose de plus ... Amusant et rythmé. Elle en était sûre, elle avait les capacités pour entrer dans les Ombres et agir en secret. Après tout on l'avait éduqué pour qu'elle soit une meneuse et ravive la flamme de la grandeur de sa famille. Il fallait bien commencer quelque part. Alors pourquoi pas dans un groupe où elle savait qu'elle en sortirait grandie et puissante.

L'Ombre est surtout développée à Poudlard pour le moment mais c'est vrai qu'avec son nom de famille, il est fort probable qu'elle ai trainé avec les enfants de Mangemorts et qu'elle soit impliquée. Je t'ajoute donc **

→ Nom & Prénom : Mihrimah C. Black.
→ Âge et Année d'étude : 21 ans, septième année.
→ Maison  : Serpentard.

→ Quel est votre talent principal ? En quoi êtes vous un bon élément pour l'Ombre, en plus de (potentiellement) votre nom de famille ? Longtemps, Mihrimah s'était demandée si elle n'était pas la tare familiale. Les Black étaient de retour grâce à son père, plus forts et nombreux que jamais, et il était temps pour eux de redonner leur blason. Petite, on lui répétait souvent qu'elle devait garder ses opinions secrètes afin de ne pas jeter le déshonneur sur les siens. Son père ne souhaitait ni être associé à Sirius, ni à la grande-tante Bellatrix. Cette époque était révolue, les enfants Black avaient pour obligation d'honorer la famille en public.

Mais par son éducation, Mihrimah s'était forgée un avis très tôt concernant son allégeance. Les sourires railleurs qu'on lui adressait dans les couloirs lorsqu'elle avait débuté à Poudlard, les regards sceptiques... les murmures sur son ascendance, sur le choix de sa maison. Mihrimah Black, Serpentard de son état, sale caractère. Elle n'était qu'une teigne aux yeux de ses camarades. De ce fait, Mihrimah ne pouvait que soutenir les motivations de l'Ombre. Elle devait se battre auprès de ce groupuscule dont les membres étaient anonymes, dont les autres élèves ne connaissaient pas l'identité. Avec de la prudence, on ne découvrirait pas sa loyauté envers l'Ombre.

Allongée sur le ventre face à son journal intime, Mihrimah trempa sa plume dans son encrier, ajoutant ses dernières réflexions sur une nouvelle page. « La vengeance a un goût amer. Ils m'appellent Mihrimah Sultan sans en connaître la signification réelle, histoire de dénigrer mon identité, de démontrer mes racines étrangères. Ils disent que je n'ai pas ma place à Poudlard. Mais une sultane a le pouvoir de régner où elle le désire, dans n'importe quelles contrées. Mes pas n'ont pas foulé ce château pour rien. Je n'ai rien à prouver. Tout est dans mon patronyme... Black. Un nom dont ces fils de héros se méfient depuis que j'erre dans les couloirs de Poudlard avec mon frère. Ils nous surnomment les sombres de cheveux, les jumeaux en sorcellerie. Ces fils de Survivants ont jeté la première pierre. Nous, enfants ou même arrières-petits-enfants de Mangemorts, n'avions pas lancé les hostilités. Nous n'avions désiré qu'une chose : vivre notre adolescence sans se soucier d'autrui. Mais ces misérables nous ont volé nos bons côtés. A présent, qu'ils assument notre colère... ainsi que la mienne. I'm not like others Black's womens. I'm a sultana, I don't forgive. »

c'est parfait, je t'ajoute