L'infirmerie je n'aime pas ça, sérieusement comment les infirmiers peuvent apprécier ce métier? De voir toutes sorte de cas, de voir parfois des personnes mal en point et tout ce qui s'en suis? Ce n'est pas ce qui me botte le plus à vrai dire. Je ne sais d'ailleurs pas ce qui me plaît réellement ici, peut-être les cours de sortilèges et de défense contre les forces du mal, c'est peut-être banal, mais c'est bien mieux que la conception des potions où que la métamorphose, même si pour la métamorphose il y avait un côté intéressant tout de même. En tout cas j'étais sorti de l'infirmerie et j'étais très énerver contre deux Gryffondor que j'avais très envie de faire payer ce coup là. Je n'en voulais pas à Salamandra, ce n'était pas de sa faute si ses amis sont des crétins. Je les détestais déjà parce qu'il lui tournait trop autour, mais là ils avaient été trop loin. J'avais été malade toute la nuit et j'avais dormis tout le lendemain. On était en fin d'après-midi et j'avais pu sortir en affirmant que j'allais mieux. J'étais encore un peu fatigué, mais contrairement à la veille ça allait beaucoup mieux et je le savais parce que j'avais des envies de meurtre contre ces deux imbéciles. Ils avaient du se donner le mots ce n'était pas possible autrement.
Je sortais tout juste de l'infirmerie et j'ai aperçus une autre d'entre eux avec qui je ne m'entendais pas forcément bien, qui me posait toujours trop de questions et qui devait sans doute connaître mes deux ennemis. Je n'étais pas d'humeur à être tendre et gentil et je ne sais pas pourquoi, mais j'ai réagis au quart de tour quand elle m'a regardé. J'avais l'impression qu'elle se moquait intérieurement, qu'elle allait me faire un coup bas ou je ne sais quoi sans doute, je deviens paranoïaque et plutôt cruel.
« Quoi qu'est-ce que tu as à me regarder comme ça? Vous vous êtes donnés le mot? Je ne serais pas votre nouvel tête de turc, je ne me laisserais pas faire alors si tu as quelque chose à dire fait le maintenant!»
Je n'avais pas crier, mais j'étais sur les nerfs, irrationnel sans doute pour elle et injuste à la fois. Elle ne savait peut-être rien, mais je n'avais pas envie de me laisser faire et je préférais prévenir que guérir. Je ne m'attends pas à ce qu'elle soit aimable, ça a toujours été plutôt explosif entre nous, enfin j'ai toujours vu ça comme ça, on n'a jamais été très sympa l'un enver l'autre et je crois aussi que j'avais surtout besoin de lâcher mes nerfs sur quelqu'un et que malheureusement elle était là au mauvais endroit au mauvais moment.
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
Dernière édition par Aymeric N. McCawley le Ven 24 Jan - 22:38, édité 2 fois
Etna E. Maugrey
HRIen depuis le : 07/04/2013 Parchemins écrits : 520 Statut : C'est compliqué
Sujet: Re: I don't want to trust anyone - Etna Sam 18 Jan - 15:37
Ca faisait bien une heure que la jeune fille cherchait son frère Castiel partout dans le château, autant dire une éternité à ses yeux, qui n'était pas la personne la plus patiente au monde, et elle en était arrivé au point, ou elle allait certainement déclarer sa disparition au Bureau des Aurors. Elle en avait même oublié ce qu'elle lui voulait, certainement quelque chose en rapport avec l'Ordre, elle se retrouvait donc, complètement perdue au 3È étage. Elle soupira fortement, se demandant ce qu'elle allait bien pouvoir faire à la suite de ça, Guillermo et Astoria l'avait déjà viré de de la bibliothèque parce qu'elle faisait trop de bruit, Castiel était introuvable, et même les Potter, Weasley et compagnie semblaient avoir disparu de la surface de la Terre. Elle trouvait d'ailleurs ça très louche, ils avaient peut être tous un problème, peut être qu'il lui été arrivé quelque chose, avec tout ce qu'il se passait dans le château et ses alentours en ce moment, l'hypothèse était probable. Elle tenta alors de se remémorer la dernière fois qu'elle les avait vu à tous, son cerveau était en train de chauffer lorsqu'elle entendit alors la porte de l'Infirmerie s'ouvrir sur sa droite, plus par réflexe que curiosité elle tourna la tête, et croisa le regard d'Aymeric, un jaune et noir qui ne la portait pas forcément en grande estime, et à qui elle prenait un malin plaisir à casser les pieds. Mais pas aujourd'hui, elle n'en ressentait pas l'envie particulière tout du moins, à ce moment précis et avec touts les scénarios catastrophes auxquels elle venait de penser, elle souhaitait retrouver tout le monde au plus vite. Etna allait donc poursuivre son chemin, sans vraiment faire attention à lui, mais celui ci en décida visiblement autrement "Quoi qu'est-ce que tu as à me regarder comme ça? Vous vous êtes donnés le mot? Je ne serais pas votre nouvel tête de turc, je ne me laisserais pas faire alors si tu as quelque chose à dire fait le maintenant!"
La rouge et or resta un dixième de seconde la bouche ouverte en un O parfait face à lui, ne comprenant pas réellement ce qu'il lui reprochait, pour une fois qu'elle n'avait rien fait, c'est elle qui allait prendre pour les autres. Elle hésita durant une seconde à passer son chemin, le jeune homme n'allait visiblement pas bien, et elle était la première personne qu'il croisait en sortant de l'infirmerie. Ceci ajouté au fait qu'ils n'étaient pas les meilleurs amis du monde, ce devait certainement être la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase. Et surtout, il lui semblait bien plus important de retrouver ses amis, comme ça elle arrêterait de penser au pire. Mais finalement, son mauvais caractère reprit le dessus, hors de question pour elle de se laisser attaquer de la sorte et de ne pas répondre, il en allait de son honneur personnel. Et puis, il n'aurait pas fallu que le bruit coure dans le château que la plus jeune des Maugrey acceptait désormais qu'on lui parle mal sans qu'elle ne fasse rien! "Ca va pas, tu te prend pour le centre du monde ou quoi! On a autre chose à foutre que d'être tout le temps derrière ton cul petit con!" Elle lui lança le regard le plus glacial qu'elle pouvait, celui que même ses grands frère redoutaient. "L'infirmerie est juste derrière toi, retournes-y je suis sûre qu'ils peuvent trouver quelque chose contre ta paranoïa."
Invité
Sujet: Re: I don't want to trust anyone - Etna Ven 24 Jan - 22:34
J'ai sans doute été un peu trop dur avec Etna qui n'avait rien demandé et qui ne m'avait fait aucune remarque jusqu'à ce que je l'agresse verbalement. Je croyais qu'elle aussi était dans le coup. Elle était peut-être au courant ou je ne sais quoi, d’où mon ton si accusateur. Il était vrai que j'étais un peu paranoïaque pour le coup, mais après tout qui ne l'aurait pas été ? J'ai encaissé ses mots n'ayant aucunement peur de ce qu'elle pouvait me dire. Entre nous ça à toujours été plus ou moins comme ça. On ne s'entend pas vraiment, mais ce n'était pas vraiment sympa de ma part de l'accuser pour rien. Je crois que j'y ai été un peu fort avec elle. Elle n'a pas l'air de savoir quoi que se soit, sa se voit sur sa tête, elle aurait rit sinon ou n'aurait pas réagit de la sorte en tout cas. Je me suis gratter la tête en réfléchissant. Je n'avais pas envie de lui donner mes excuses, ce que je ne fis pas d'ailleurs, mais j'étais trop sur les nerfs pour être plus agréable et c'est d'autres mots qui sortirent de ma bouche:
« Parce que tu trouves ça drôle, je ne suis pas paranoïaque, juste réaliste et je surveille mes arrières c'est tout. C'est deux petits imbéciles de ta maison qui ont versés cette putain de potion dans mon verre, tu crois que je sors de là pour faire joli? Réfléchi un peu Maugrey.»
Je n'étais pas encore le plus sympa du monde, mais si elle ne comprenait pas pourquoi j'étais aussi énervé je ne pouvais plus rien faire pour elle. Je ne suis pas du genre à me laisser faire une seconde fois. Ils paieront tous les deux et ça je le jure, on ne s'attaque pas personnellement à moi et surtout pas parce que je suis le fiancé de Salamandra. C'est moi qui devrait tenter d'éliminer ses deux pauvres idiots plutôt que l'inverse ou du moins leur faire comprendre qu'on ne tourne pas autour de ma fiancée. J'ai soupiré, me demandant si j'avais vraiment eu raison de raconter tout ça.
« Laisse tomber, je ne sais même pas pourquoi je te dis tout ça, tu n'en as sûrement rien à faire.»
Il était vrai qu'on se disait tellement peu de chose que ça paraissait évidement qu'elle s'en fichait. Je ne me suis pas dit une seconde qu'elle pouvait être compatissante ni sympathique avec moi.
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