Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE]
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Sujet: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Lun 5 Aoû - 8:29
Baptiste des Maisinières
(Baudelaire)▽ Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille !
carte d'identité
→ Nom : des Maisinières. Prénom(s) : Baptiste. Surnom : Bat. Âge : 18 ans. Date et Lieu de Naissance : 29 juillet, sous le soleil cuisant de Hambourg. Nationalité : Je possède la double nationalité franco-allemande, étant donné que mon père est français, ma mère allemande et que je suis né en Allemagne. Pureté du sang : Sang pur. Année d'étude & Maison : 5ème année à Serdaigle. Orientation sexuelle : Inconnue. État civil : Célibataire.
le sorcier en toi
Baguette : Chêne blanc de vingt huit centimètres virgule sept, très droite et fine, inflexible, avec un coeur en crin de licorne. Patronus : Mon patronus prend une forme de loup. Je me souviens du jour où j‘ai pu observer une licorne pour la première fois, lors de ma deuxième année à Poudlard. Malgré le règlement, je m‘étais rendu dans la forêt interdite et après des heures d‘attente, caché dans les arbres, j‘avais enfin pu voir l‘animal. Épouvantard : Mon épouvantard est un masque. Un horrible masque vénitien qu‘on voit au carnaval. Pourquoi ? C‘est très simple. Lorsque j‘étais enfant, et que j‘allais dormir chez ma tante, en face de mon lit, il y avait un de ces horribles masques accroché au mur en face de mon lit et avec les reflets de lumière, les ombres me terrifiaient. Depuis, je suis capable de faire une crise de panique, rien qu‘en voyant une de ces choses. Particularité : Animagus-chien loup. Options choisies & métier envisagé : Ma seule option est « Soins aux créatures magiques » Je ne sais pas quel métier je souhaite exercer, mais dans tous les cas, ce dernier aura un rapport avec les animaux. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Non, pour la simple et bonne raison que je n’en ai jamais eu l’occasion. Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? En réalité, j’ai encore du mal à me placer face à tout cela. J’ai du mal à suivre tous les événements et je dois encore me faire une idée sur la question. La disparition d’un élève de Poudlard vous perturbe-t-elle ? Étiez-vous proche de la personne ? Qu'est-ce que votre personnage ressent à ce propos ? Je ne connaissais pas ce garçon, je ne suis donc pas réellement perturbé par cette disparition. Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? Quoi que l'on pourra dire, Poudlard est un endroit sûr. 'suffit de prendre quelques précautions ! Les professeurs, selon moi, font tout ce qu'ils peuvent pour tenir l'école en sécurité. Que pensez-vous des attaques de Pré-au-Lard ? Règle n°1, ne jamais s'y rendre ! Le gouvernement et les médias nient l’existence d’une force semblable aux Mangemorts. Et vous, vous en êtes où à ce sujet ? Le gouvernement magique nous a prouvé plusieurs fois qu’ils n’étaient qu’une bande de bras cassés seulement bons à colporter des rumeurs. Je pense qu’une force semblable aux Mangemorts existent.
le moldu derrière tout ça
Pseudo : On me trouve sous le nom de Manon M. Morsch, MellyThePony où encore MellyWhite. Âge : J'ai 15 ans ! Avatar : Francois Arnaud. Fréquence de connexion : Pendant les vacances, tous les jours. Presque, en tout cas. Et quand les cours vont débarquer, au moins trois fois par semaine. Comment as-tu connu le forum ? Petite Arthémis recherchait un gentil chéri. Code :Validé par Lizzie !Copyright : Parce qu'on ne veut pas d'histoire avec les créateurs des bannières, icônes, musique que vous utilisez, mettez ici les artistes à qui vous avez piqué tout ça. (bannières de tumblr, avatar de edenmemories, icônes de meteorus).
Dernière édition par Baptiste Des Maisinières le Mer 21 Aoû - 8:29, édité 5 fois
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Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Lun 5 Aoû - 10:12
il était une fois
(Hesse) ▽ Le rôle de la douleur, des déceptions et des idées noires n'est pas de nous aigrir, de nous faire perdre notre valeur et notre dignité, mais de nous mûrir et de nous purifier.
Ici, l'histoire de votre personnage tout simplement. N'hésitez pas à mettre de la musique ou des images (on aime bien ça ici les images). Racontez nous les passages les plus importants dans le passé de votre petit bonhomme, qu'on puisse un peu le cerner le petit. Minimum 800 mots.
PROLOGUE : La famille des Maisinières.
Depuis des générations, les membres de ma famille étaient tous sorciers. Néanmoins, les Maisinières étaient assez discrets dans le monde magique et de ce fait, nous étions peu connus, malgré notre statut de sang-pur. Les filles de ma famille étaient envoyées à Beauxbâtons tandis que les garçons, selon leur mental et leurs capacités physiques, étaient répartis à Durmstrang, où à Poudlard. Ma mère avait échappé à la règle : n’étant pas française, et étant loin de se douter qu’elle quitterait un jour l’Allemagne pour se marier avec un noble français, elle avait étudié à Durmstrang. Mon père aussi, d’ailleurs, et ils s’étaient rencontrés là-bas, et s’étaient mariés juste après la fin de leur étude.
La famille des Maisinières, sorcière et catholique, était grande. Mon père avait huit frères et une sœur. La moitié vivait à Paris, l’autre à Londres. Ainsi, notre famille s’était étendue, même de l’autre côté de la Manche. Les parents de mon père, eux, vivaient toujours à Paris, cachés dans une vieille maison appartenant aux Maisinières.
La famille de ma mère était assez limitée. Elle n’avait qu’un frère jumeau, professeur à Durmstrang qui avait quitté l’Allemagne afin de vivre à l’école, et ses parents étaient tous les deux décédés.
KAPITEL 1 : Wer keine Angst hat, hat keine Fantasie.
Si je suis né à Hambourg, c’est parce que ma mère le voulait. Elle souhaitait absolument que je porte un signe de l’Allemagne, que quelque chose en moi soit Allemand. Mon père, lui, trouvait que cela était un blasphème de gâcher son sang français. Moi, je n’avais rien choisis et finalement, ma mère avait tout décidé. Comme d’habitude, la matrice s’était imposée sans que personne n’aie le droit de dire quoi que ce soit. ALLES GUTE ZUM GEBURSTAG !
Néanmoins, mon père refusa catégoriquement que mon nom soit allemand. Ils discutèrent longuement. Ma mère voulait me nommer « Niels », « Ludwig » où encore « Gunter » mais ce fut peine perdue. Cette fois-ci, mon père s’imposa et il fut décidé que je m’appellerai « Baptiste ». Bref, moi, Baptiste des Maisinières, j’étais né. Je portai l’illustre nom issu de l’ancienne noblesse française. Mon père, chaque jour, portait ce nom avec honneur et faisait tout pour l’honorer, pour qu’il perdure, et pour que notre famille retrouve sa puisse d’en temps.
Je ne vécu que quelques mois à Hambourg, avant de rejoindre notre château dans la campagne Parisienne. En tant que bons nobles riches, mes parents me promirent à une jeune fille, dont je ne connaitrais le nom qu’après mes années d’étude.
Mon enfance fut loin d’être banale et calme. Pour mes parents, il était impensable de me laisser vivre, de me laisser jouer, de me lire une histoire où même de me laisser faire un caprice. Mon père et ma mère avaient tous les deux un rôle bien défini dans mon éducation. Pendant que ma mère m’apprenait la lecture, l’écriture, le théâtre et la musique, mon père s’occupait de m’apprendre l’histoire, quelques sortilèges simples et les plantes présentes dans la forêt bordant le château. Je vivais ainsi, entre les cours de chacun et si j’osais broncher, les représailles pouvaient être lourdes. Mon père n’hésitait pas à m’enfermer dans la cave trois jours sans nourriture afin que je « comprenne la leçon ».
Je ne fus pas un enfant capricieux. J’apprenais, j’étais studieux et finalement, mon seul désir était de rendre fiers mes parents. En outre, j’étais le gosse parfait. Apprendre était ma raison d’exister et je me nourrissais d’ouvrages en tout genre.
Je ne m’entendais pas avec les autres enfants. J’étais solitaire, j’avançais seul et très tôt, je m’inventai des amis imaginaires. Je voyais des fantômes avec qui je parlais, j’entendais des voix auxquelles j’obéissais. Je construisais mon petit monde sans poser de questions à personne, me perdant avec des livres et des écrits. J’inventai et tout ce qui me passait par ma tête, je l’écrivais. J’appris, tardivement, aux alentours de mes huit ans peut-être, la peinture, qui fut un nouveau moyen de m’exprimer.
Jusqu’à ce que j’entre à Poudlard, je n’eus que très peu de contact avec le monde extérieur. Mes parents tentaient, sans succès, de m’ouvrir aux autres enfants, mais je refusais toujours, préférant écrire, lire, peindre et parler avec ces fantômes que je voyais. Je vivais dans le secret et dans le calme le plus total, sans réellement me soucier de ce qui se passait à l’extérieur.
Ma seule curiosité se tendait vers les animaux. J’apprenais dans les livres tout ce qui se rapportait sur les créatures magiques. Les licornes, les hypogriffes, même les fées où les sombrals n’avaient aucun secret pour moi. Mon plus grand rêve était d’en voir de mes propres yeux.
KAPITEL 2 : Je dérive, soufflé par erreur, dans l’impasse de la peur.
L’année de mes dix ans, tout changea dans ma vie. Jusque là, j’avais évolué entre l’odeur des pages, de l’encre et de la peinture, sans jamais sortir de ma chambre. Je voyais toujours ces fantômes auxquels je me confiais. La petite voix dans ma tête était également fidèle au poste, et me dictais mon comportement face aux situations stressantes, comme les rencontres avec ceux de mon espèce. Loin de tout, en toute tranquillité, ma vie défilait lentement, sans que je n’ai de responsabilités.
Peu après mon dixième anniversaire, ma mère décéda d’une simple chute. Elle avait l’habitude de faire le tour de la demeure, chevauchant son fidèle balais. Un jour, l’engin était devenu fou. Ma mère avait fait une chute d’une trentaine de mètres avant de s’étaler au sol. Bien-sûr, j’étais aux premières loges pour voir le macabre spectacle. Maman disparue, la petite voix et les fantômes aussi.
Pendant que mon père déprimait dans son coin, j’essayais de comprendre pourquoi Maman n’était plus au château. Ma naïveté évidente et mon apprentissage sommaire de la vie ne m’avaient laissé qu’une idée imprécise de la mort. Pour moi, ce n’était qu’un long voyage, et Maman était un nuage, ou quelque chose comme ça. Finalement, je ne me posais pas plus de question que ça, et continuais à vivre comme je l’avais toujours fait, terré dans ma chambre, entre mes livres, mes pinceaux et mes stylos.
Une nuit de pleine lune, sans réellement savoir pourquoi, je décidai de sortir. De me confronter au monde qui m’entourait, de sortir de ce cocon confortable et rassurant que je m’étais construit. Je pris le balais qui avait tué Maman et me retrouvai dehors. Grâce aux quelques cours de mon père, je pus m’éloigner du sol sans trop de problèmes. Les ennuis arrivèrent lorsque je fus dans les airs. L’engin devint fou. Le schéma se reproduisait et je me voyais très nettement, tout comme Maman quelques mois auparavant, tomber et m’écraser sur le sol. Bam. Mais rien de cela ne se produit. J’arrivai, par la volonté de Dieu surement, à reprendre le contrôle du balais et ne chutai qu’à une dizaine de mètres du sol. Au milieu de la forêt. On entendant les loups hurler à la mort. Ma seule pensée fut : « je vais me transformer en nuage, moi aussi ». Je n’avais pas réellement peur. Je ne connaissais pas ce sentiment, cette sensation. J’avais continué à avancer dans la forêt et quand je pensais trouver la sortie, je m’enfonçais davantage dans cette contrée étrange mais fascinante. Je retrouvais ici tout ce que je m’étais imaginé en lisant, et finalement, j’étais loin des forêts fantastiques décrites dans les contes… Cette nuit-là, mon monde s’était écroulé une deuxième fois puisque j’avais rencontré mon père et l’avait vu se faire mordre par un loup-garou. Pour la première fois de ma vie, je fus réellement effrayé.
Durant plusieurs années, je détestais les loups de tout mon être. Ils m’avaient enlevés la seule personne capable de me toucher puisqu’après cet incident, je fus arraché à mon père et déménageai chez ma tante, la seule sœur de mon père. Elle vivait à Londres et n’avait aucun mari. C’était une vieille fille, bourgeoise, qui ne s’intéressait pas à grand-chose. Elle aussi travaillait au Ministère de la Magie, elle faisait partit de cette bande d’idiots ; et j’étais donc seul la journée. Elle ne m’aimait pas, c’était certain, et pour elle, j’étais un boulet plus qu’autre chose. De ce fait, je ne la voyais jamais. Elle avait aménagé le grenier pour m’en faire une chambre et là-haut, je m’étais recréer mon monde, ayant emmené avec moi toutes mes affaires, tout en entretenant ma haine pour les loups, ces bestioles infâmes et détestables qui m’avaient arrachées mon père. Malgré cette haine qui me rongeait jusqu’à la moelle, je découvris peu à peu qu’après le choc d’avoir vu mon père se faire mordre ainsi, j’étais devenu animagus-chien loup et que je pouvais donc me transformer en ce que je détestais le plus. Désormais, je ne haïssais pas seulement les loups mais moi-même, et je dus me battre pour ne pas me transformer en nuage. Maman fut plus présente, elle m’aida. Elle arriva à me convaincre que les loups n’étaient pas mauvais, et que ce n’était pas leur faute, si ils se transformaient en monstre. J’acceptai peu à peu mon sort et cette particularité me fit prendre de la maturité. Je compris peu à peu que ce n’était pas une fatalité et que je devais prendre cette particularité comme quelque chose de bien : je pourrais me rapprocher de mon père sans finir en déjeuner.
KAPITEL 3 : I’ve got no way to go, I’m rootless.
Peu avant la rentrée des classes, mon père était venu me chercher à Londres afin de m’emmener sur le Chemin de Traverse, chercher mes affaires d’école. Il était en déplacement pour le Ministère et en avait profité pour venir me voir. Maman était présente, bien évidemment. Cette situation était la pire de toutes, jamais je n’avais vu autant de personnes dans ma vie. Ce Chemin de Traverse ressemblait davantage à une fourmilière grouillante plutôt qu’à une rue commerciale. J’étais angoissé, jamais je ne m’étais retrouvé dans une situation semblable. Maman ne cessait de me répéter que tout irait bien et qu’elle était là. Mon père m’acheta tout ce qu’il y avait de meilleur. Tout. Les livres, l’uniforme, la baguette. Et même un balais, dont je n’aurais surement pas l’utilité. Finalement, j’avais reçu un cadeau de sa part. Un rat, qui ferait office d’animal de compagnie. Ce petit raton bleu était pour que je n’oublie pas mon père, avait-il dit. Selon lui, il était magique et ne vieillirais que très peu. Ainsi, il sera toujours à mes côtés. Je le nommais Twiggy.
Ce matin-là, le réveil sonna et je me levai paresseusement de mon lit. Pour une fois, j’aimais l’endroit dans lequel j’étais calfeutré et je n’avais aucune envie de le quitter. Je me préparai, rapidement. Je fus incapable d’avaler quelque chose tellement mon estomac était noué. Mon estomac semblait être lancé sur un grand huit et se cramponnait dans tous les sens en espérant pouvoir tenir le coup. Et bien-sûr, j’étais l’heureux propriétaire de cet estomac fou.
Je pris mes deux seules valises, mes seules affaires. L’une servait pour mes vêtements et l’autre, à mes affaires de peinture et d’écriture. Bien-sûr, je ne pris aucun livre. Je savais parfaitement que là où j’allais, il y aurait des milliers de livres.
Je me retrouvai sur le quai 9 ¾. Accompagné de Twiggy, perché sur mon épaule. Le raton semblait aussi effrayé que moi par toute cette agitation. Mon estomac faisait toujours des siennes. Maman se tenait derrière moi, sa main sur mon épaule. Elle faisait tout pour me rassurer et tout le long du voyage, elle fut là.
Envoyé chez Serdaigle, je pensais pouvoir m’intégrer en jouant sur nos passions communes. Raté. Mon insociabilité joua contre moi et je me repliai davantage sur moi-même. Finalement, Poudlard était l’endroit idéal pour moi. Je lisais, apprenais. Le seul bémol était la foule. Le trop plein d’élèves me terrifiait et chaque jour je devais endurer le même calvaire. Heureusement, Maman était souvent là et Twiggy m’accompagnait partout. Même lors des cours, il se tenait sur mon épaule et ne bougeait pas. Il me rassurait, même si dans les moments de crise, Maman n’était pas loin.
En deuxième année, je réalisai mon rêve. Parfois, le stress était trop grand et je trouvais toujours un endroit pour me réfugier. Ce jour-là, je m’étais caché dans la Forêt Interdite en espérant voir une licorne. Twiggy perché sur mon épaule, il m’accompagna et une fois au cœur de la forêt, je me cachais en haut d’un arbre. Après des heures d’attente, ma patience avait payée et j’avais pu observer ce cheval à corne. Pour certains, cela était futile. Pour moi, c’était des années d’attente récompensées.
En début de cinquième année, je décidai de ne prendre qu’une seule option. « Soins aux créatures magiques ». Cela entrainait d’aller à l’extérieur, certes, mais souvent en compagnie d’animaux. L’avantage de ce cours est qu’il n’y a pas foule. Peu d’élèves choisissent cette option. J’étais assez doué, de part mes connaissances et ma patience. Sans trop de problèmes, je brillais dans cette manière tout simplement faite pour moi.
Je n’ai pas d’amis, je suis seul au petit déjeuner, au déjeuner et au souper. Personne ne s’assoit près de moi de plein gré mais honnêtement, je m’en fiche un peu. A Poudlard, je vis pour moi. J’apprends, c’est tout ce que je sais faire. Je lis, j’écris et lorsque j’en ai le temps, je peins. Je me réfugie dans une salle vide et je peins ce qui me passe par la tête. Et cela continuera, jusqu’à ce que quelque chose, ou même quelqu’un, trouble ce petit fleuve tranquille.
~
Si j’étais… Une couleur, je serais le rouge. Un animal, je serais un loup. Un objet, je serais un stylo. Un bruit, je serais celui des sabots d’un cheval sur le goudron. Une odeur, je serais celle des vieux livres. Une arme, je serais un poignard. Une histoire, je serais « Les Reliques de la Mort ». Une chanson, je serais le chant des Sirènes. Un lieu, je serais une forêt. Un plat, je serais une crème-brûlée. Avec plein de caramel, de préférence.
Mon pêché mignon : les crèmes brûlées. ♦ Je déteste les choco-grenouilles. ♦ Je voue une passion démesurée pour les peluches. ♦ Mon rêve le plus cher serait de chevaucher un hypogriffe. ♦ J’adore les livres d’amour. ♦ A part ma mère, je n’ai jamais fréquenté d’autres femmes. ♦ Mes matières préférées sont les potions, la métamorphose et les soins aux créatures magiques, ainsi que la botanique. ♦ La Divination m’effraie. ♦ J’ai lu plus de la moitié des livres de Poudlard. ♦ En cours de métamorphose, il m’arrive de me transformer sans le vouloir. ♦ Je ne contrôle encore pas très bien ma particularité. ♦ J’ai également une peur bleue des marionnettes. ♦ Je ne me rends à Pré-Au-Lard que pour m’acheter des quantités astronomiques de bonbons. ♦ Je suis très gourmand. ♦ J’ai peur des gens. ♦ Les moldus, même si je ne les étudie pas, me fascinent. Je me pose beaucoup de questions sur eux. ♦ Twiggy est toujours sur mon épaule, et jamais dans sa cage, sauf en cas de nécessité. ♦ Je trouve un baiser fascinant, et j’aime observer les gens qui s’embrassent. ♦ Je préfère le caramel au chocolat. ♦ Je fais des crises d’angoisse, assez souvent même. ♦
Dernière édition par Baptiste Des Maisinières le Mer 21 Aoû - 8:31, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Lun 5 Aoû - 10:13
*Meurt*
Bienvenue mon amouuuUUuuuuurr!!!!
*Donne une licorne en peluche et des :arté:*
Etna E. Maugrey
HRIen depuis le : 07/04/2013 Parchemins écrits : 520 Statut : C'est compliqué
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Lun 5 Aoû - 13:14
Bienvenue à toi
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Lun 5 Aoû - 13:20
bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuue
c'est que t'es sexy toi
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Lun 5 Aoû - 18:05
Bienvenue!!!! Bonne chance pour ta fiche!
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Lun 5 Aoû - 20:56
Bienvenuuuuue.
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Lun 5 Aoû - 23:09
Si t'es le futur chéri d'Arté, je vais te surveiller ee Bienvenue Bon courage pour ta fiche ~
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mar 6 Aoû - 14:02
Bienvenue ! N'hésite pas si tu as des questions
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mar 6 Aoû - 14:13
Enoah Z. Wickham a écrit:
Si t'es le futur chéri d'Arté, je vais te surveiller ee Bienvenue Bon courage pour ta fiche ~
T'as vu comme j'ai bon gout?
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mar 6 Aoû - 16:12
Bienvenuuue
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mar 6 Aoû - 16:36
Artémis R. Greyback a écrit:
Enoah Z. Wickham a écrit:
Si t'es le futur chéri d'Arté, je vais te surveiller ee Bienvenue Bon courage pour ta fiche ~
T'as vu comme j'ai bon gout?
Je n'en ai jamais douté
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mar 6 Aoû - 18:10
bienvenue ici :D
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mar 6 Aoû - 18:23
OMG, t'as le même prénom que mon ex IRL
MAIS BIENVENUE QUAND MEME o/
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mer 7 Aoû - 16:32
Bienvenue
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Ven 9 Aoû - 11:24
il était une fois
(Hesse) ▽ Le rôle de la douleur, des déceptions et des idées noires n'est pas de nous aigrir, de nous faire perdre notre valeur et notre dignité, mais de nous mûrir et de nous purifier.
Ici, l'histoire de votre personnage tout simplement. N'hésitez pas à mettre de la musique ou des images (on aime bien ça ici les images). Racontez nous les passages les plus importants dans le passé de votre petit bonhomme, qu'on puisse un peu le cerner le petit. Minimum 800 mots.
PROLOGUE : La famille des Maisinières.
Depuis des générations, les membres de ma famille étaient tous sorciers. Néanmoins, les Maisinières étaient assez discrets dans le monde magique et de ce fait, nous étions peu connus, malgré notre statut de sang-pur. Les filles de ma famille étaient envoyées à Beauxbâtons tandis que les garçons, selon leur mental et leurs capacités physiques, étaient répartis à Durmstrang, où à Poudlard. Ma mère avait échappé à la règle : n’étant pas française, et étant loin de se douter qu’elle quitterait un jour l’Allemagne pour se marier avec un noble français, elle avait étudié à Durmstrang. Mon père aussi, d’ailleurs, et ils s’étaient rencontrés là-bas, et s’étaient mariés juste après la fin de leur étude.
La famille des Maisinières, sorcière et catholique, était grande. Mon père avait huit frères et une sœur. La moitié vivait à Paris, l’autre à Londres. Ainsi, notre famille s’était étendue, même de l’autre côté de la Manche. Les parents de mon père, eux, vivaient toujours à Paris, cachés dans une vieille maison appartenant aux Maisinières.
La famille de ma mère était assez limitée. Elle n’avait qu’un frère jumeau, professeur à Durmstrang qui avait quitté l’Allemagne afin de vivre à l’école, et ses parents étaient tous les deux décédés.
KAPITEL 1 : Wer keine Angst hat, hat keine Fantasie.
Si je suis né à Hambourg, c’est parce que ma mère le voulait. Elle souhaitait absolument que je porte un signe de l’Allemagne, que quelque chose en moi soit Allemand. Mon père, lui, trouvait que cela était un blasphème de gâcher son sang français. Moi, je n’avais rien choisis et finalement, ma mère avait tout décidé. Comme d’habitude, la matrice s’était imposée sans que personne n’aie le droit de dire quoi que ce soit. ALLES GUTE ZUM GEBURSTAG !
Néanmoins, mon père refusa catégoriquement que mon nom soit allemand. Ils discutèrent longuement. Ma mère voulait me nommer « Niels », « Ludwig » où encore « Gunter » mais ce fut peine perdue. Cette fois-ci, mon père s’imposa et il fut décidé que je m’appellerai « Baptiste ». Bref, moi, Baptiste des Maisinières, j’étais né. Je portai l’illustre nom issu de l’ancienne noblesse française. Mon père, chaque jour, portait ce nom avec honneur et faisait tout pour l’honorer, pour qu’il perdure, et pour que notre famille retrouve sa puisse d’en temps.
Je ne vécu que quelques mois à Hambourg, avant de rejoindre notre château dans la campagne Parisienne. En tant que bons nobles riches, mes parents me promirent à une jeune fille, dont je ne connaitrais le nom qu’après mes années d’étude.
Mon enfance fut loin d’être banale et calme. Pour mes parents, il était impensable de me laisser vivre, de me laisser jouer, de me lire une histoire où même de me laisser faire un caprice. Mon père et ma mère avaient tous les deux un rôle bien défini dans mon éducation. Pendant que ma mère m’apprenait la lecture, l’écriture, le théâtre et la musique, mon père s’occupait de m’apprendre l’histoire, quelques sortilèges simples et les plantes présentes dans la forêt bordant le château. Je vivais ainsi, entre les cours de chacun et si j’osais broncher, les représailles pouvaient être lourdes. Mon père n’hésitait pas à m’enfermer dans la cave trois jours sans nourriture afin que je « comprenne la leçon ».
Je ne fus pas un enfant capricieux. J’apprenais, j’étais studieux et finalement, mon seul désir était de rendre fiers mes parents. En outre, j’étais le gosse parfait. Apprendre était ma raison d’exister et je me nourrissais d’ouvrages en tout genre.
Je ne m’entendais pas avec les autres enfants. J’étais solitaire, j’avançais seul et très tôt, je m’inventai des amis imaginaires. Je voyais des fantômes avec qui je parlais, j’entendais des voix auxquelles j’obéissais. Je construisais mon petit monde sans poser de questions à personne, me perdant avec des livres et des écrits. J’inventai et tout ce qui me passait par ma tête, je l’écrivais. J’appris, tardivement, aux alentours de mes huit ans peut-être, la peinture, qui fut un nouveau moyen de m’exprimer.
Jusqu’à ce que j’entre à Poudlard, je n’eus que très peu de contact avec le monde extérieur. Mes parents tentaient, sans succès, de m’ouvrir aux autres enfants, mais je refusais toujours, préférant écrire, lire, peindre et parler avec ces fantômes que je voyais. Je vivais dans le secret et dans le calme le plus total, sans réellement me soucier de ce qui se passait à l’extérieur.
Ma seule curiosité se tendait vers les animaux. J’apprenais dans les livres tout ce qui se rapportait sur les créatures magiques. Les licornes, les hypogriffes, même les fées où les sombrals n’avaient aucun secret pour moi. Mon plus grand rêve était d’en voir de mes propres yeux.
KAPITEL 2 : Je dérive, soufflé par erreur, dans l’impasse de la peur.
L’année de mes dix ans, tout changea dans ma vie. Jusque là, j’avais évolué entre l’odeur des pages, de l’encre et de la peinture, sans jamais sortir de ma chambre. Je voyais toujours ces fantômes auxquels je me confiais. La petite voix dans ma tête était également fidèle au poste, et me dictais mon comportement face aux situations stressantes, comme les rencontres avec ceux de mon espèce. Loin de tout, en toute tranquillité, ma vie défilait lentement, sans que je n’ai de responsabilités.
Peu après mon dixième anniversaire, ma mère décéda d’une simple chute. Elle avait l’habitude de faire le tour de la demeure, chevauchant son fidèle balais. Un jour, l’engin était devenu fou. Ma mère avait fait une chute d’une trentaine de mètres avant de s’étaler au sol. Bien-sûr, j’étais aux premières loges pour voir le macabre spectacle. Maman disparue, la petite voix et les fantômes aussi.
Pendant que mon père déprimait dans son coin, j’essayais de comprendre pourquoi Maman n’était plus au château. Ma naïveté évidente et mon apprentissage sommaire de la vie ne m’avaient laissé qu’une idée imprécise de la mort. Pour moi, ce n’était qu’un long voyage, et Maman était un nuage, ou quelque chose comme ça. Finalement, je ne me posais pas plus de question que ça, et continuais à vivre comme je l’avais toujours fait, terré dans ma chambre, entre mes livres, mes pinceaux et mes stylos.
Une nuit de pleine lune, sans réellement savoir pourquoi, je décidai de sortir. De me confronter au monde qui m’entourait, de sortir de ce cocon confortable et rassurant que je m’étais construit. Je pris le balais qui avait tué Maman et me retrouvai dehors. Grâce aux quelques cours de mon père, je pus m’éloigner du sol sans trop de problèmes. Les ennuis arrivèrent lorsque je fus dans les airs. L’engin devint fou. Le schéma se reproduisait et je me voyais très nettement, tout comme Maman quelques mois auparavant, tomber et m’écraser sur le sol. Bam. Mais rien de cela ne se produit. J’arrivai, par la volonté de Dieu surement, à reprendre le contrôle du balais et ne chutai qu’à une dizaine de mètres du sol. Au milieu de la forêt. On entendant les loups hurler à la mort. Ma seule pensée fut : « je vais me transformer en nuage, moi aussi ». Je n’avais pas réellement peur. Je ne connaissais pas ce sentiment, cette sensation. J’avais continué à avancer dans la forêt et quand je pensais trouver la sortie, je m’enfonçais davantage dans cette contrée étrange mais fascinante. Je retrouvais ici tout ce que je m’étais imaginé en lisant, et finalement, j’étais loin des forêts fantastiques décrites dans les contes… Cette nuit-là, mon monde s’était écroulé une deuxième fois puisque j’avais rencontré mon père et l’avait vu se faire mordre par un loup-garou. Pour la première fois de ma vie, je fus réellement effrayé.
Durant plusieurs années, je détestais les loups de tout mon être. Ils m’avaient enlevés la seule personne capable de me toucher puisqu’après cet incident, je fus arraché à mon père et déménageai chez ma tante, la seule sœur de mon père. Elle vivait à Londres et n’avait aucun mari. C’était une vieille fille, bourgeoise, qui ne s’intéressait pas à grand-chose. Elle aussi travaillait au Ministère de la Magie, elle faisait partit de cette bande d’idiots ; et j’étais donc seul la journée. Elle ne m’aimait pas, c’était certain, et pour elle, j’étais un boulet plus qu’autre chose. De ce fait, je ne la voyais jamais. Elle avait aménagé le grenier pour m’en faire une chambre et là-haut, je m’étais recréer mon monde, ayant emmené avec moi toutes mes affaires, tout en entretenant ma haine pour les loups, ces bestioles infâmes et détestables qui m’avaient arrachées mon père. Malgré cette haine qui me rongeait jusqu’à la moelle, je découvris peu à peu qu’après le choc d’avoir vu mon père se faire mordre ainsi, j’étais devenu animagus-chien loup et que je pouvais donc me transformer en ce que je détestais le plus. Désormais, je ne haïssais pas seulement les loups mais moi-même, et je dus me battre pour ne pas me transformer en nuage. Maman fut plus présente, elle m’aida. Elle arriva à me convaincre que les loups n’étaient pas mauvais, et que ce n’était pas leur faute, si ils se transformaient en monstre. J’acceptai peu à peu mon sort et cette particularité me fit prendre de la maturité. Je compris peu à peu que ce n’était pas une fatalité et que je devais prendre cette particularité comme quelque chose de bien : je pourrais me rapprocher de mon père sans finir en déjeuner.
KAPITEL 3 : I’ve got no way to go, I’m rootless.
Peu avant la rentrée des classes, mon père était venu me chercher à Londres afin de m’emmener sur le Chemin de Traverse, chercher mes affaires d’école. Il était en déplacement pour le Ministère et en avait profité pour venir me voir. Maman était présente, bien évidemment. Cette situation était la pire de toutes, jamais je n’avais vu autant de personnes dans ma vie. Ce Chemin de Traverse ressemblait davantage à une fourmilière grouillante plutôt qu’à une rue commerciale. J’étais angoissé, jamais je ne m’étais retrouvé dans une situation semblable. Maman ne cessait de me répéter que tout irait bien et qu’elle était là. Mon père m’acheta tout ce qu’il y avait de meilleur. Tout. Les livres, l’uniforme, la baguette. Et même un balais, dont je n’aurais surement pas l’utilité. Finalement, j’avais reçu un cadeau de sa part. Un rat, qui ferait office d’animal de compagnie. Ce petit raton bleu était pour que je n’oublie pas mon père, avait-il dit. Selon lui, il était magique et ne vieillirais que très peu. Ainsi, il sera toujours à mes côtés. Je le nommais Twiggy.
Ce matin-là, le réveil sonna et je me levai paresseusement de mon lit. Pour une fois, j’aimais l’endroit dans lequel j’étais calfeutré et je n’avais aucune envie de le quitter. Je me préparai, rapidement. Je fus incapable d’avaler quelque chose tellement mon estomac était noué. Mon estomac semblait être lancé sur un grand huit et se cramponnait dans tous les sens en espérant pouvoir tenir le coup. Et bien-sûr, j’étais l’heureux propriétaire de cet estomac fou.
Je pris mes deux seules valises, mes seules affaires. L’une servait pour mes vêtements et l’autre, à mes affaires de peinture et d’écriture. Bien-sûr, je ne pris aucun livre. Je savais parfaitement que là où j’allais, il y aurait des milliers de livres.
Je me retrouvai sur le quai 9 ¾. Accompagné de Twiggy, perché sur mon épaule. Le raton semblait aussi effrayé que moi par toute cette agitation. Mon estomac faisait toujours des siennes. Maman se tenait derrière moi, sa main sur mon épaule. Elle faisait tout pour me rassurer et tout le long du voyage, elle fut là.
Envoyé chez Serdaigle, je pensais pouvoir m’intégrer en jouant sur nos passions communes. Raté. Mon insociabilité joua contre moi et je me repliai davantage sur moi-même. Finalement, Poudlard était l’endroit idéal pour moi. Je lisais, apprenais. Le seul bémol était la foule. Le trop plein d’élèves me terrifiait et chaque jour je devais endurer le même calvaire. Heureusement, Maman était souvent là et Twiggy m’accompagnait partout. Même lors des cours, il se tenait sur mon épaule et ne bougeait pas. Il me rassurait, même si dans les moments de crise, Maman n’était pas loin.
En deuxième année, je réalisai mon rêve. Parfois, le stress était trop grand et je trouvais toujours un endroit pour me réfugier. Ce jour-là, je m’étais caché dans la Forêt Interdite en espérant voir une licorne. Twiggy perché sur mon épaule, il m’accompagna et une fois au cœur de la forêt, je me cachais en haut d’un arbre. Après des heures d’attente, ma patience avait payée et j’avais pu observer ce cheval à corne. Pour certains, cela était futile. Pour moi, c’était des années d’attente récompensées.
En début de cinquième année, je décidai de ne prendre qu’une seule option. « Soins aux créatures magiques ». Cela entrainait d’aller à l’extérieur, certes, mais souvent en compagnie d’animaux. L’avantage de ce cours est qu’il n’y a pas foule. Peu d’élèves choisissent cette option. J’étais assez doué, de part mes connaissances et ma patience. Sans trop de problèmes, je brillais dans cette manière tout simplement faite pour moi.
Je n’ai pas d’amis, je suis seul au petit déjeuner, au déjeuner et au souper. Personne ne s’assoit près de moi de plein gré mais honnêtement, je m’en fiche un peu. A Poudlard, je vis pour moi. J’apprends, c’est tout ce que je sais faire. Je lis, j’écris et lorsque j’en ai le temps, je peins. Je me réfugie dans une salle vide et je peins ce qui me passe par la tête. Et cela continuera, jusqu’à ce que quelque chose, ou même quelqu’un, trouble ce petit fleuve tranquille.
~
Si j’étais… Une couleur, je serais le rouge. Un animal, je serais un loup. Un objet, je serais un stylo. Un bruit, je serais celui des sabots d’un cheval sur le goudron. Une odeur, je serais celle des vieux livres. Une arme, je serais un poignard. Une histoire, je serais « Les Reliques de la Mort ». Une chanson, je serais le chant des Sirènes. Un lieu, je serais une forêt. Un plat, je serais une crème-brûlée. Avec plein de caramel, de préférence.
Mon pêché mignon : les crèmes brûlées. ♦ Je déteste les choco-grenouilles. ♦ Je voue une passion démesurée pour les peluches. ♦ Mon rêve le plus cher serait de chevaucher un hypogriffe. ♦ J’adore les livres d’amour. ♦ A part ma mère, je n’ai jamais fréquenté d’autres femmes. ♦ Mes matières préférées sont les potions, la métamorphose et les soins aux créatures magiques, ainsi que la botanique. ♦ La Divination m’effraie. ♦ J’ai lu plus de la moitié des livres de Poudlard. ♦ En cours de métamorphose, il m’arrive de me transformer sans le vouloir. ♦ Je ne contrôle encore pas très bien ma particularité. ♦ J’ai également une peur bleue des marionnettes. ♦ Je ne me rends à Pré-Au-Lard que pour m’acheter des quantités astronomiques de bonbons. ♦ Je suis très gourmand. ♦ J’ai peur des gens. ♦ Les moldus, même si je ne les étudie pas, me fascinent. Je me pose beaucoup de questions sur eux. ♦ Twiggy est toujours sur mon épaule, et jamais dans sa cage, sauf en cas de nécessité. ♦ Je trouve un baiser fascinant, et j’aime observer les gens qui s’embrassent. ♦ Je préfère le caramel au chocolat. ♦ Je fais des crises d’angoisse, assez souvent même. ♦
Dernière édition par Baptiste Des Maisinières le Mer 21 Aoû - 8:25, édité 1 fois
Alesya Y. Lestrange
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Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Jeu 15 Aoû - 13:19
Alors ! Avant que je ne te remonte en zone de validation, serait-il possible d'effectuer quelques petites modifications pour rendre le tout un peu plus net ? Il faudrait que tu mettes un avatar, c'est assez important puisque c'est ton visage sur le forum ensuite il faudrait que tu prennes le message contenant ton histoire ( le texte + le code ) et que tu le places dans le message que tu avais réservé d'un " +1 " parce qu'autrement, ça porte un peu à confusion. Quand ça sera fait, je supprimerais ce message là ( celui qui flotte à la fin de ta fiche et qui ne devrait pas être là ) ensuite, il y a quelques questions qui ont été mélangées, par exemple :
Citation :
La disparition d’un élève de Poudlard vous perturbe-t-elle ? Étiez-vous proche de la personne ? Qu'est-ce que votre personnage ressent à ce propos ? Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? Je ne connaissais pas ce garçon, je ne suis donc pas réellement perturbé par cette disparition. Quoi que l'on pourra dire, Poudlard est un endroit sûr. 'suffit de prendr quelques précautions !
Ce n'est pas grand chose mais comme ça, ça t'occupe pendant qu'on discute de ta validation *zbaff* plus sérieusement, c'est juste du détail mais il faut quand même le corriger.
Pour terminer, j'ai vu qu'il restait quelques "animagus Loup" dans la fiche, j'imagine que c'était les passages que tu avais écris avant.
Je te remonte donc en ZA ( processus normal, pas de panique ) N'hésite pas à trainer sur la CB en attendant, il y a une soirée organisée à partir de 19h30, aujourd'hui
Alesya Y. Lestrange
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Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mar 20 Aoû - 23:32
Bonsoir, cela va faire 6 jours que j'ai demandé des modifications pour procéder à la suite de ta validation. Où en es-tu ? Sans nouvelle de ta part d'ici trois jours, ta fiche sera archivée, ton compte supprimé et la place d'animagus sera libérée.
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mer 21 Aoû - 8:15
Je vais la relancer sur FB. Voir ce qu'elle va me dire!
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mer 21 Aoû - 8:33
Coucou, je suis désoléééée de mon retard, les modifs ont été apportées à ma fiiiiche !
Alesya Y. Lestrange
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Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mer 21 Aoû - 10:21
Il va juste falloir qu'on règle l'histoire de l'avatar, maintenant. Parce que le jeune homme que tu as dans ta présentation n'est pas le même que celui que tu as en avatar ( Richard Madden, Robb Stark de GoT, qui est déjà joué sur HRI ) et lui même n'est pas le même que celui que tu indiques dans la partie "célébrité" de ton profil...
Invité
Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mer 21 Aoû - 13:21
Oui oui c'est une erreur de ma part, il est changé !
Alesya Y. Lestrange
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Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE] Mer 21 Aoû - 20:40
et voilà N'hésite pas à participer à l'event en cours, tu trouveras un lien sur la page d'accueil et comme ça concerne les Serdaigles ...
Félicitation & bienvenue
“ La passion de Serdaigle envers l'intelligence Animait son amour des bienfaits de la science. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y compris le flood et les jeux.
TOUTEFOIS
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Enfin, pour finir, si ce n'est pas la première fois que tu t'inscris sur HRI, n'oublie pas d'aller recenser ton multi-compte ICI ! Bien sûr, dans l'histoire, les nouveaux ne sont pas oubliés non plus, c'est pour quoi nous avons mis en place un système de parrainage que vous pouvez consulter ICI
Bonne chance à toi
Jeune Serdaigle
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Sujet: Re: Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE]
Baptiste ~ Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere. [FICHE TERMINÉE]