Sujet: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Dim 16 Juin - 18:02
Esdras Ponce Cuffe
Fauve ▽ Tout le monde veut la même chose, même les travelos rêvent du prince charmant.
carte d'identité
→ Nom : CUFFE, du nom du célèbre rédacteur-en-chef de la Gazette du Sorcier, ancien élève de prestige du professeur Horace Slughorn et grand-père d’Esdras. Prénom(s) : Esdras, nom d’un scribe connu pour avoir connu la Torah aussi bien que Moïse. Ponce, du nom du célèbre préfet de Judée. Surnom : S. Âge : 20 ans Date et Lieu de Naissance : Le 15 juin à Ste Mangouste, bien évidemment. Nationalité : Descendant de Barnabas Cuffe, Esdras est parfaitement britannique mais il n’en retire aucune fierté. Après tout, les Anglais sont étranges et too much de son point de vue et franchement, être anglais n’a pas vraiment de sens quand on est pas particulièrement patriote. Pureté du sang : Le petit-fils de Barnabas Cuffe est issu d’une famille (presque) de sang pur. Il y a bien entendu quelques branches pourries par-ci par-là, mais les Cuffe ont fait en sorte de toujours les couper avec le plus grand soin. Année d'étude & Maison : Septième année, sous l’égide de l’aigle de Serdaigle.Orientation sexuelle : Asexuel État civil : Célibataire.
le sorcier en toi
Baguette : D’acacia, cette baguette est difficile à manier et pourtant elle convient particulièrement bien au caractère complexe d’Esdras. C’est un outil long, faisant un peu moins de 30 centimètres, et ayant pour principale qualité d’être redoutable dans les formes de magies sophistiquées. Son cœur, une plume de Jobarbille, en fait une arme se souvenant particulièrement bien de ses adversaires, des sorts qu’elle a lancé et du traitement qu’on lui a fourni. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle est caractérielle. Patronus : Le Cormoran est un animal capable de compter jusqu’à huit, utilisé par les pécheurs moldus pour sa grande expérience en matière de poisson, ramenant ses proies intactes à ses maitres. Le souvenir qu’Esdras utilise est celui d’une après-midi passé avec son grand-père et la découverte de la Gazette du Sorcier, grande fierté familiale.Épouvantard : Comme tout Cuffe mâle qui se respecte, Esdras a une peur bleue de voir la Gazette du Sorcier partir en fumée car un fort héritage de plusieurs générations pèse sur ses épaules.Particularité : C’est un métamorphomage qui use de ses pouvoirs pour récolter des informations qu’il ne devrait pas entendre. Cependant, le revers de la médaille est handicapante : pour quiconque ayant fréquenter le monde des significations des couleurs, ou ayant des connaissance de base sur le sujet, peut lire ses humeurs comme dans un livre ouvert. Options choisies & métier envisagé : Outre le tronc commun qu’il a gardé, Esdras fait de l’Etude des Runes et de l’Etude des moldus. Autant la première proposition n’est pas étonnante pour un Serdaigle mais la seconde peut paraître étonnante. Mais après tout, comment sinon pourrait-on avoir des informations sur les nés-moldus ou encore sur les traitres ? Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Non, mais Esdras a flirté à la limite de la magie noire grâce à sa mère, alchimiste renommée qui travaille entre autres pour le Département des Mystères au Ministère de la Magie de Grande-Bretagne. Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? Plutôt du côté de l’Ombre, les Cuffe ont été longtemps victimes d’accusation concernant leur facile corruption, leur prise de parti et leur malhonnêteté médiatique. Réussissant à sauver leur réputation et leur édition de justesse, ils n’ont néanmoins rien oubliés et ils considèrent encore comme une injustice de les avoir targués d’être des collaborationnistes durant la Deuxième Guerre des Sorciers. En bon héritier, Esdras a encore cette rancœur au fond de lui, même s’il condamne les agissements trop radicaux auxquels aspirent l’Ombre. La disparition d’un élève de Poudlard vous perturbe-t-elle ? Des gens vont et viennent dans cette école, certains disparaissent d’autre rentre chez eux et quelques fois ils reviennent. Après tout, depuis longtemps, dans les pages de la Gazette, Esdras a pu se rendre compte que personne ne sait jamais bien où il ira ou ce qu’il fera demain. Un de plus ou un de moins, dans cette fourmilière qu’est Poudlard, c’est trop insignifiant. Quand Tante Georgette Cuffe a disparu dans la Forêt Noire alors qu’elle étudiait les mœurs des Trolls, ça n’a pas fait la une.Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? Poudlard reste Poudlard, un refuge pour mages poussiéreux et pour adolescents qui ne lise que Sorcière Hebdo ou Balai-Magazine sans réellement se soucier de ce qu’il se passe en dehors des murs d’enceinte. Alors franchement, ici ou ailluers vous savez… Que pensez-vous des attaques de Pré-au-Lard ? Ca fait vendre, alors on a pas besoin de se poser ce genre de question. Le gouvernement et les médias nient l’existence d’une force semblable aux Mangemorts. Et vous, vous en êtes où à ce sujet ? Encore une fois, la Gazette dit que cette force n’existe pas. De quel droit peut-on aller à l’encontre de ce que dit la Gazette ? Elle énonce un point de vue qui, somme toute, doit être partagée et défendable puisque le nombre d’abonnés n’a jamais vraiment baissé.
le moldu derrière tout ça
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Invité
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Dim 16 Juin - 18:05
il était une fois
(auteur)Sherlock Holmes ▽L’effet réciproque des idées et l’usage oblique de la culture présentent fréquemment un intérêt extraordinaire.
J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances, avec de lourds cheveux roulés dans des quittances, cache moins de secrets que mon triste cerveau. C’est une pyramide, un immense caveau, qui contient plus de morts que la fosse commune. Baudelaire.
Il avait le visage dur, les yeux scrupuleux et ses rides témoignaient d’un bon nombre d’années passées au centre de l’attention, en plein cœur de l’opinion. Barnabas Cuffe tenait dans ses mains un enfant, à peine né, et qui pourtant avait déjà provoqué une polémique. Ses yeux, de quelle couleur étaient-ils ? Etaient-ils verts ? Etaient-ils gris ? Etaient-ils vert-de-gris ? Où changeaient-ils tout le temps de couleur pour un non pour un oui ? (Jeanne Moreau représente !). Le rire sec teinté de couleurs chaudes de Barnabas retentit dans la salle d’accouchement. Son petit-fils était un métamorphomage, et il voyait déjà toutes les perspectives d’investigation les plus farfelues et les plus osées se profiler à l’horizon de ce petit bout de chair, à peine mouvante, qui ne s’était même pas donné la peine de pousser un cri en naissant. Et c’est ainsi que, dés le premier regard vers un de ses parents, le petit Esdras Ponce Cuffe savait au plus profond de lui même que son destin venait d’être joué. Sa vie se limitait d’un côté par la une du jour, et de l’autre par la rubrique horoscope et faits divers. Il serait élevé dans l’opulence de l’entreprise médiatique familiale. Cela dit, Esdras ne fut pas le seul Cuffe à naitre dans ces conditions, ô que non. Il y eu aussi son frère cadet, dont il était parfaitement le contraire. Jérémie était d’une nature extravertie, très sociable et naïf. Un vrai petit ange d’innocence et de tolérance, baigné dans l’amour de leur père, Abraham Cuffe.
Mais Esdras passa quant à lui son enfance sous la protection de son grand-père, apprenant à lire dans la rubrique « enfants » de la gazette et ne profitant en rien des activités d’une jeunesse accomplie. Ses jeux résidaient dans ses lectures et ses expériences en compagnie de sa mère. D’où peut-être la rancœur qui le minait profondément puisque, très vite, il pu se rendre compte de la façon dont les gagnants de la guerre et leurs descendants regardaient sa famille. S’il devait travailler aussi durement, bien qu’il le fasse avec une réelle curiosité et beaucoup d’intérêt, c’était de leur faute, à tous ceux qui avaient condamner encore plus durement les médias, ceux-ci accusés de tous les maux et de tous les torts, rejetés en bloc pendant plusieurs années.
Pourtant, la Gazette avait survécu et le statut social des Cuffe aussi. Ce n’était pas sur son frère qu’il fallait alors compter pour perpétuer la lignée de grands éditorialistes qui, selon l’histoire de la famille, avait commencée il y a bien des millénaires par un aïeul obscur qui traversait l’Egypte des Pharaons. Après tout, son père avait choisi de ne pas succéder à Barnabas Cuffe et, en prenant Jérémie sous son aile, il l’écartait de ce fameux héritage, certes difficile à portern mais très intéressant cependant. Esdras y avait toujours cru en cette héritage, et il croyait suffisamment à la Gazette pour en faire sa principale préoccupation dans la vie, sa seule source de satisfaction, là où il pourrait tout apprendre sur tout, sa seule vraie obsession. Pauvre enfant, cupide et rusé.
Il découvrit ses pouvoirs très jeunes, et par là même, on ne pu que s’apercevoir que le Serdaigle était un magicien étonnamment précoce, et qu’il ne vouait pas un amour inconditionnel à son petit frère. Celui-ci avait vite fait de se métamorphoser partiellement en iguane d’une façon que nul ne pouvait expliquer. On pensa tout d’abord à une infection qui aurait été une forme avancée de dragoncelle, ou encore à une malédiction lancée par l’hideuse Tante Georgette. Cela en serait resté à un phénomène étrange, comme il y en a beaucoup, si les Cuffe n’étaient pas des (presque) sang-purs et, par là, s’ils n’étaient pas en mesure de ne voir en cela qu’un phénomène paranormal. On apprit, en le prenant la main dans le sac, qu’Esdras s’entrainait sur son frère avec une baguette trouvée dans un des tiroirs de la maison. Il fut puni par son père et félicité par son grand-père, tout comme à chaque fois, et, bientôt, il souffrit de voir que son frère avait plus de crédit que lui auprès de leur géniteur mâle. Rien à faire, autant Esdras était adoré par sa mère, alchimiste de talent qui lui enseignait « ce qu’un jeune sorcier doit absolument savoir pour rentrer en bonne place à Poudlard », autant son père ne le supportait pas. C’est vrai qu’il n’avait pas confiance en ce petit fouineur à la bouille trop surfaite pour être honnête.
Non, son enfance ne lui avait pas posé de problème particulier mais il vécu comme un échec cette absence du père. Il n’en tira qu’un profond cynisme et se renferma sur lui-même à la veille de son entrée à Poudlard. Il acheta sa baguette chez Ollivander comme tout bon sorcier, et ses parents se chargèrent du reste. Le Chemin de Traverse ne lui était guère inconnu car il y venait souvent, pour y voir son grand-père et se rendre dans les bureaux de la Gazette du Sorcier, SA Gazette. Seul son père, comme toujours, était absent, s’occupant du bien aimé Jérémie. Autant vous dire qu’aujourd’hui encore, l’entente fraternelle est nulle et non avenue.
Esdras Ponce Cuffe trouva en l’espionnage des voisins une très bonne excuse pour s’échapper de la maison quand il s’y retrouvait. C’était devenu très vite son hobby. Il avait longtemps expérimenté son don de métamorphomage, avant même de pouvoir marcher, cependant sa curiosité le poussa toujours plus loin dans la recherche des limites de ses talents. Il avait de l’imagination et il était suffisamment brillant pour apprendre seul à dompter ce que personne, dans la famille, n’avait encore vraiment fréquenté. Alors, en se positionnant comme observateur du monde, il se rendit compte de sa différence et de tout ce que cela impliquait. Il était perspicace sur les agissements d’autrui, tout en étant complétement étranger à sa propre intériorité, et il profitait d’un sens de la ruse développé pour en apprendre toujours plus, sur toujours plus de gens, sur toujours plus de sujets. Il profitait de cette forme de voyeurisme avec jubilation. De plus, il se rendit compte aussi de sa propre beauté. L’avantage de son don, c’était quand même de pouvoir être beau sans effort. Il y avait déjà un bon patron mais Esdras s’efforçait d’apparaître sous son plus beau jour. Et c’est ainsi qu’il se découvrit un petit défaut de sympathie. Son crédo : aucune pitié. Tout le monde avait droit à une petite vacherie (trop) bien placée pour qu’elle passe inaperçue. Esdras était un emmerdeur et cela se confirma à l’école. Et en plus de cela, complétement narcissique le pauvre homme !
S’il avait bien retenu quelque chose avant son entrée à Poudlard, s’était de toujours fréquenter une fille selon des critères très précis : tenue de tête charismatique, héritage familial conséquent, professions des parents. Ca n’avait jamais porté ses fruits. Les cours, ça, ça ne posait aucun problème. Il suffisait de le provoquer pour qu’il fasse preuve des réalisations les plus époustouflantes. Sinon, Esdras se contentait de poser des questions les plus érudites possible, prenant un malin plaisir à travailler jour et nuit pour apprendre avec délectation des théories poussées qui souffleraient le magicien poussiéreux lui donnant cours. Tout ça s’accompagnait d’une petite réflexion bien aiguisée et très souvent vexante, avec les compliments du chef ! Pourtant, bientôt, il commença à fréquenter des élèves peu recommandables, un peu sinistres et marginaux, descendants des plus grandes figures des sorciers ayant servis le Seigneur des Ténèbres. Ces gens respectaient l’étiquette, les règles de la société, restant à leur place dans leur petit groupe de parias. Esdras les avait côtoyés en pensant trouver une réponse à sa rancœur, mais malgré cela il ne trouva rien qui le consolait. Au contraire, en grand anticonformiste et supportant mal l’autorité, il se plaisait à les voir évoluer pour mieux s’en moquer. Son humour ne faisait évidemment rire que lui. Le pire, outre cet humour douteux, c’est qu’en vieillissant, il développa peu à peu un sens des affaires importants, aidés du vieillissant Barnabas Cuffe, échangeant les informations qu’il avait contre quelque chose qu’il convoitait. Il ne donnait rien sans avoir reçu quelque chose en échange, payé en avance, et il ne fréquentait que très peu de gens socialement parlant. Au final, il se fit une place dans les rangs des élèves en devenant un peu un plutôt bon conseiller quand il ne mentait pas, ses services étant de qualité à mesure que le payement était important. Car, avant tout, Esdras ne regardait que ses propres intérêts. Il ne se mêlait de la vie des gens pour son propre plaisir, critiquait tous ceux qu’il côtoyait et en oubliait toujours d’être aimable, sauf quand il avait quelque chose à en retirer. Son endroit préféré restait la bibliothèque, où il se terre surtout pour ne pas entendre les filles jacasser et les garçons comparer leurs atouts, qu’ils soient intellectuels ou d’une toute autre nature.
Ses talents de métamorphomage, alors qu’il n’en voit que les avantages pour sa part, sont pourtant une faiblesse. Esdras est incapable de faire preuve de sang-froid. C’est un bilieux qui a eu l’habitude de taper des pieds quand il était petit et qui, maintenant, est facilement violent avec ceux qu’il juge trop faible, ou trop gentil. Les gens gentils l’énervent, ils les abhorrent avec la plus grande fermeté. La nature humaine, il l’a vu avec l’histoire familiale, n’est qu’un tissu de mauvaiseté et il faut soigner le mal par le mal, à son idée. C’est là sa faiblesse comme nous le disions : son apparence, et notamment la couleur de ses cheveux, changent avec ses humeurs. D’habitude d’humeur maussade, ses cheveux restent d’un brou de noix particulièrement nuancés au rythme des paroles qu’il prononce dans sa barbe, se parlant à lui même en se perdant dans le parc. Pour autant, toute joie passagère ou énervement est identifiable par un changement radical de coloration capillaire. Par exemple, quand il fait preuve d’orgueil pour sa propre distraction, et qu’il en devient presque mesquin en se mettant trop en avant et en jugeant de l’incompétence de son interlocuteur, ses cheveux virent au blond platine, signe de son excès de zèle et de son profond mépris. Le rouge amarante pour ses colères, le vert pistache est la couleur du mensonge,… Bien entendu, la grille de lecture n’est que peu accessible mais existe pour quiconque prendrait le temps d’observer davantage Esdras que lui n’observe autrui.
Au niveau purement scolaire, comme nous avons pu le dire, Esdras est brillant. Oui mais. Il n’aime faire de la magie, étudier des théories exotiques ou encore s’amuser à apprendre par cœur des formules interdites, un peu borderline, que quand il est seul. Les cours, trop faciles à son goût, même s’il est globalement assez moyen en certaines matières et ce tenant plus à son manque d’implication, sont un peu son terrain de jeu favori. Il dérange, intervient et bouge exclusivement pour déranger ou exprimer un point de vue que personne ne lui demandera jamais, au moment le plus inopportun. C’est vrai qu’il est un peu lourd quelques fois, mais il ne se prend pas la tête. Il s’aime, c’est le moins qu’on puisse dire, persuadé qu’il est bien au-dessus des choses d’ici-bas, autant esthétiquement que mentalement. C’est un égocentrique narcissique asocial qui aspire à diriger un jour la Gazette du Sorcier pour enfin être sur le devant de la scène. Attention quand même Esdras, la marche pourrait facilement être difficile à franchir. Au risque de tomber de haut…
Rohàn D. Lestrange
HRIen depuis le : 26/10/2012 Parchemins écrits : 676 Statut : Fiancée enfuie, largué par son petit copain, en relation extra-incestueuse avec sa cousine d'amour
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Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Dim 16 Juin - 18:36
*___* je kiffe ton perso, as usual :love:bienvenue parmi nous du coup, je te réserve un lien, un rp, toussa toussa
Etna E. Maugrey
HRIen depuis le : 07/04/2013 Parchemins écrits : 520 Statut : C'est compliqué
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Dim 16 Juin - 18:44
Bienvenue
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Dim 16 Juin - 18:55
Citation :
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Ce cher Rohan est plein de ressource.
Et encore, tu n'as pas vu la soeur Bienvenue sur le forum, si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à venir nous trouver
Invité
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Dim 16 Juin - 21:30
Bienvenuuuuuuuuue.
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Dim 16 Juin - 21:57
Bienvenue Bon courage pour ta fichette
*met une laisse au cou de Rohàn au cas où *
Invité
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Lun 17 Juin - 12:22
Merci à tous
Lou-Sixte Levski
HRIen depuis le : 26/01/2013 Parchemins écrits : 1758 Statut : Un joli bordel désorganisé.
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Lun 17 Juin - 13:31
OMG OMG OMG TIM BORRMANN EST HOTISSIMIIIIX ! okokokjemecalme.
Sois le bienvenu parmi nous et un personnage asexuel ça se fête ! Je propose de fonder un club avec mon Bahlos :D En tout cas, tu auras pas de mal à t'intégrer avec un si joli minois (a) !
Invité
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Mar 18 Juin - 10:48
Aha merci Lou
Invité
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Mar 18 Juin - 12:24
T'es mignon, tu sais ?
Bienvenue chez nous, jeune homme. Tu trouveras ton compte sur HRI, sans aucun doute
Rohàn D. Lestrange
HRIen depuis le : 26/10/2012 Parchemins écrits : 676 Statut : Fiancée enfuie, largué par son petit copain, en relation extra-incestueuse avec sa cousine d'amour
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Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Mar 18 Juin - 17:50
Gabriel, fais pas l'ange, je suis déja sur que tu vas tenter de le faire changer d'orientation sexuelle et Charlou d'amour, pourquoi la laisse ? :ange:je ne veux pas pas pas paaaas du touuuuut me taper Esdrasounet voyons (a) *kof kof*
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Mar 18 Juin - 21:54
*retourne voir Alex pour la peine *
Invité
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Mer 19 Juin - 10:17
TEAM TIM EN FORCE !
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much. Mer 19 Juin - 21:39
Félicitation & bienvenue
“ La passion de Serdaigle envers l'intelligence Animait son amour des bienfaits de la science. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.
TOUTEFOIS
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Enfin, pour finir, si ce n'est pas la première fois que tu t'inscris sur HRI, n'oublie pas d'aller recenser ton multi-compte ICI ! Bien sûr, dans l'histoire, les nouveaux ne sont pas oubliés non plus, c'est pour quoi nous avons mis en place un système de parrainage que vous pouvez consulter ICI
Bonne chance à toi
Jeune Serdaigle
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much.
Esdras P. Cuffe :: The boy who knew too much.
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