Ici, l'histoire de votre personnage tout simplement. N'hésitez pas à mettre de la musique ou des images (on aime bien ça ici les images). Racontez nous les passages les plus importants dans le passé de votre petit bonhomme, qu'on puisse un peu le cerner le petit. Minimum 800 mots.

Ce nom ne vous dit peut-être rien, pourtant il apparaît dans les cartes de chocogrenouille. Muldoon était un sorcier qui a présidé le premier conseil des sorciers au quinzième siècle. La famille était plutôt connue pour être du bon côté jusqu'à un certain temps. Les Muldoon sont descendus vers Londres aux dix-huitième siècle pour habiter dans une maison bourgeoise à cinq étages de l'époque. La maison est toujours là aujourd'hui, tout comme la famille qui est devenue plutôt stricte et est restée très riche. Mr Muldoon de son prénom Alan Brudock en hommage à son illustre ancêtre, est un homme plutôt attaché à la tradition du sang et au monde sorcier. Il ne se mélangerait pas avec des moldus, encore moins avec des sang-mêlées qui selon lui sont une honte aux monde des sorciers de part leur sang impur. Gisèlle Alénor Muldoon, elle ne fait que suivre l'avis de son mari. Elle se contente aux yeux de tous de faire perdurer les relations que le couple entretiens en organisant des petites soirées dans le manoir familial sur les terres irlandaises où le couple se rend tous les week end et à chaque vacances. C'est d'ailleurs là- bas que sont nés leur enfants. Le premier d'entre eux: Henri Alan Burdock Muldoon, deux ans plus tard c'est au tour de Ryan Jack Muldoon de naître. La famille aime les noms à rallonge, cela montre à quel point leur lignés est grande, selon Alan.

Ne vous y méprenez pas, ce n'est pas parce qu'ils ont eu des enfants que les Muldoon ont changés leur habitudes, oh non, bien au contraire. Les enfants étaient tous les deux élèves par une gouvernante, une cracmol que Mme Muldoon à prise en pitié et à hébergée chez eux. Les deux enfants ont baignés dans un univers magique qui leur permettait de s'épanouir pleinement, bien qu'ils avaient tendances à être des enfants bien trop gâtés et trop turbulents. L'absence remarquable de leur parent ne les étonnaient même plus. Ils ont tous les deux appris à faire avec. Ryan à toujours préféré les week ends au manoirs que ceux en ville. Là bas il y avait des grands espaces ou il pouvait durant des heures devenir le héros des histoires qu'il inventait. Il a toujours eu beaucoup d'imagination.Ryan a toujours été le plus ingénieux des deux garçons, il était le plus jeune certes, mais ne manquait nullement d'idées et Henri ne s'ennuyait jamais en sa compagnie. Il fut facile pour eux deux de s'aimer et son devenu très proche. Ils aiment beaucoup leur gouvernante qui prenait soin d'eux et ce fut assez dur pour Henri de devoir quitter ce qu'il connaissait si bien, même si c'était pour aller à poudlard. Aucun des deux n'avaient jamais vraiment été ailleurs que chez eux et étant toujours ensemble ils leur fût difficile de s'adapter à ce changement. Il fallait pour pourtant faire avec, Ryan savait qu'il avait aussi une place à Poudlard et qu'il rejoindrait bientôt son frère. Henri avait atterrit à Serpentard, comme la plupart des membres de leur familles depuis des années. Mr et Mme Muldoon en furent ravi.

Les jours furent très long pour Ryan qui était tout seul à la maison, il n'arrivait plus à s'amuser autant qu'avant et s'occupa en lisant une bonne moitié de la grande bibliothèque familiale. Il attendait impatiemment chaque vacances pour voir son frère. En générale les vacances n'était jamais un moment qu'ils appréciaient car cela voulait dire réunion de famille et ils détestaient tous les deux leur famille, leur cousins si impétueux et pompeux, leur tantes si parfaite et maniaque. Il n'y avait pas un seul membre de leur famille qu'ils aimaient si ce n'est leur grand-père que tout le monde pensait un peu fou et qui arrivait toujours à les faire rire. Cette année là se serait différent, Henri avait un peu changé, il ne parlait plus autant et semblait avoir d'autres choses en tête que de passer un moment en famille alors il n'était pas venu durant les petites vacances. Ryan lui en voulu beaucoup, mais finirait plus tard par comprendre. Il passa son temps à écouter les histoires à dormir debout de ses tantes, les racontages de ses cousines et les blagues à deux galions de son oncle. Il attendait impatiemment le moment où il pourrait enfin sortir de table lorsque dans le couloir de l'entrée des voix retentissaient. « Tu es un lâche Alan, tes enfants croient en toi. Ils ne te méritent pas.» C'était la voix de Joseline la gouvernante. Elle venait de surprendre Mr Muldoon avec une de belle sœur.Ryan avait dressé la tête lorsqu'il avait reconnu la voix de Joseline. Il savait que ce n'était plus une question de temps avant que son père n'abatte ses foudres sur elle. Il refusait de le laisser faire. Il bondit de sa chaise, la faisant tomber sur le sol sur le regard étonné de l'assemblée. Il ouvrit la porte d'entrée, les lumières murales rendait l'endroit un peu morbide. Joseline était déjà étendue à terre, sans vie. Ryan regarda son père et sa tante. Une colère noire monta en lui, il venait de tuer la seule femme qui avait toujours été là pour eux. Comment avait-il pu. Le jeune garçon s'apprêtait à sauter sauvagement sur son père et à le frapper, mais sa mère était intervenue à temps pour l'en empêcher. « Monte dans ta chambre Ryan . Ce n'était qu'une cracmol indigne de son sang. » Il retira son bras de l'emprise de sa mère et en lançant des regards assassins autour de lui monta rejoindre son havre de paix. Lorsqu'Henri reviens cet été là, il fut aussi furieux d'apprendre la mort de leur gouvernante, mais moins réactif. Le jeune serpentard tentait de faire comprendre à son frère que la vie était injuste et qu'il fallait faire avec. Il lui affirma que quand il serait à Poudlard ça irait mieux, mais Ryan en doutait.

L'année suivante, l'année de ces quatorze ans, Jack entrait à Poudlard, l'ambiance familiale était toujours aussi tendue et personne ne se parlait vraiment. Le jeune homme s'était beaucoup renfermer et parlait peu. Il était dans un de ces moments noirs que peuvent avoir les adolescents. Il répondait souvent à tout le monde, surtout à ses parents. Il ne respectait aucun règlement et s'amusait à les enfreindre autant de fois qu'il le pouvait. C'est à serpentard qu'il fut également envoyer, deux ans après son frère. Ils se retrouvaient enfin. Ryan avait pensé que tout redeviendrait comme avant, mais il s'était un peu trompé. Il se sentait effacé et donc obligé de faire parler de lui. Il ne voulait qu'une chose, la gloire, la renommé. Le choixpeaux lui avait dit que serpentard le mènerait sur le chemin de la grandeur, c'était tout ce qu'il souhaitait. Il ne retournait pas chez lui durant les petites vacances, à quoi bon allez voir ses parents? Ils ne comptaient pas pour lui, ils ne comptaient plus depuis la mort de leur gouvernante et à y réfléchir ils n'avaient jamais compter.

L'été suivant, les deux frère durent à contre cœur retourner chez eux. Ils étaient beaucoup mieux à Poudlard, c'est le seul endroit où ils avaient des amis. Les deux frères se retrouvèrent donc à faire les cents pas dans la bibliothèque du manoir et tenter de trouver un moyen de s'occuper. C'est Henri qui pour une fois proposa quelque chose. Il avait un ami habitant en ville qui connaissait quelqu'un qui vendait des substances illicites en échange d'autres qu'Henri avait obtenue grâce à l'ami en question, de quoi s'amuser un peu avait-il dit. Ryan n'était pas contre l'idée de s'amuser mais se doutait que l'affaire était risquée. Si jamais leur parent les voyer filer en douce, ils seraient cuit. Henri avait tout prévu, les balais et le sortilège d'invisibilité. Ryan ne chercha pas à dire non, il aimait prendre des risques. Ils arrivèrent à Londres en milieu de soirée, l'endroit indiquée par l'ami d'Henri était … refroidissant. Tout avait l'air déglingué. On aurait dit un de ces vieux entrepôts vintage qui manquait cruellement de classe. Ryan sentait que les choses seraient plus compliqué que prévu. L'ami en question n'était pas là, il avait oublié de mentionné que l'endroit était malfamé et que le gars qui vendait était armé. Oh eux aussi avaient leur baguette, mais ils n'avaient jamais eu affaire à une arme moldue. Henri négocia avec le type qui ne sembla pas d'accord sur les détails sur la consistance du produit et qui se sentait berner par des charlatans. Il crut qu'on se moquait de lui et s'énerva rapidement. Rapidement les choses s'envenimèrent. Il sorti son arme et la pointa a intervalle sur les deux frères. Ryan se disait qu'il n'aurait jamais du accepter de venir. « Vôtre marchandise c'est de la daube, lequel de vous deux j'abats en premier?» Il ne rigolais visiblement pas. Jack le voyais pointer son arme sur Henri qui avait l'air de prendre ça à la rigolade. « T'inquiète pas petite frère il nous fera rien. » L'autre d'un air furieux les regarda et répondit « Tu veux parier?» Il tira sur Henri sans que Ryan n'ai pu faire quoi que se soit. Ce dernier laissa échapper le nom de son frère comme si c'était la dernière fois qu'il le prononcerait. Non ça ne pouvait pas être vrai. Ryan sorti sa baguette et se leva vers le type en face de lui, beaucoup plus grand et costaud. On ne touchait pas à sa famille. On ne touchait pas à son frère et surtout pas un moldu. Il lança un sectusempra au type qui s'effondra sur le sol. Un petite marre de sang s'échappait déjà de son cors. Ryan lâcha sa baguette et courut vers Henri, qui par chance n'était pas encore mort. L'autre avait mal visé.

Le retour à la maison fut périlleux, à califourchon sur le balais Ryan tenait Henri qu'il essayait de tenir éveillé. Il arriva devant la porte de la maison en hurlant à l'aide. Gisèlle accourut aussitôt et pris en charge son fils. Alan quand à lui s'occupa de savoir ce qui était arrivé. Ryan ne faisait pas fier mine. Alan sembla plutôt satisfait du sort du moldu, mais priva les deux jeunes de sortis et de bourse pendant un bon moment. Henri se remis vite de sa blessure, mais il fut envoyé à Durmstrang. Leur parents avaient jugés qu'il avait mauvaise influence sur Ryan . Le jeune homme en fut totalement retourner. Il refusait qu'on lui enlève son frère. C'était la seule famille qui lui restait. D'ailleurs c'est ce qu'il leur dit dans une dispute peu avant la rentrée. Ryan accompagné de ses parents se rendait sur le chemin de traverse. Il leur avait fait toute une scène pour y aller seul et avait tout de même fini par l'accompagner en lui disant: « Nous t'accompagnons, tu risque encore d'avoir des ennuis si tu y va seul. Tu es intenable depuis quelques temps.» Il les avaient regarder d'un mauvais air en leur répondant: « On se demande bien pourquoi, vous me privez de la seule famille que j'ai. Toi papa tu as tuer la seule femme qui nous a aimé et toi maman tu me prive de mon frère et après vous vous étonnez que je sois perturbé.» Il s'était pris une claque monumentale devant tout le monde. Il n'était déjà pas apprécié plus que ça en dehors de sa maison, alors maintenant ça allait jaser.

Il entrait en quatrième année, il avait l'impression que tout était compliqué. Trop de choses n'avait plus leur place, il aurait voulu revenir en arrière et arrêter le temps, mais il ne pouvait pas. Il avait en plus découvert quelque chose qu'il ne pouvait dire qu'a son frère. En fait il le savait depuis un moment, depuis bientôt un an. Il aimait les garçon. Le jour on son père l'apprendrait il ne préférait même pas imaginer sa réaction. Il en avait parler à son frère et celui ci lui avait promis de ne rien dire. Il l'acceptait sans trop de mal et pour cause, lui aussi l'était. C'était assez amusant d'imaginer la réaction de leurs parents quand il l'apprendrait. Henri avait plus de facilité à le cacher, il était loin et n'avait plus les parents sur le dos pour Ryan c'était plus difficile. Il avait bien essayer dans parler à un moment juste pour voir comment ils le prendraient, mais ce n'avait pas été concluant. Alan l'avait regarder de haut en bas lorsqu'il lui avait demander s'il avait toujours aimé les filles. Il lui avait répondu. « Pourquoi cette question idiote. Qui veux tu que j'aime ? Un homme est fait pour aller avec une femme. Tu le sais bien. D'ailleurs toi tu n'a pas une petite amie, comment s'appelle-t-elle déjà la jolie blonde ? » Ryan avait soupirer intérieurement. Il se cachait comme il pouvait, mais franchement ce n'était pas son truc. « Je ne suis plus avec. Elle était trop … bavarde, parlait trop des ses ongles, de ces petites culottes aussi. Ce n'était pas la joie. » Son père avait sourit, pensant qu'il n'avait pas de soucis à se faire de ce côté là. Se serait bien difficile pour Ryan de tenir plus longtemps ce secret qui lui pesait, mais en même temps il était toujours respecté comme ça et c'est ce qui comptait le plus.