Baguette : Innan stokks hýbýli, qui est la souveraine de mon clan fut celle qui créa ma baguette magique. A l’aube de mes 13 ans, la vielle femme m’emmena en excursion. Mon passage à la vie adulte allait alors se faire. Dans le noir de nos terres, nous avions marchés plusieurs heures. Lorsqu’enfin elle se fut stoppée, elle m’ordonna de rester la où j’étais. Au petit matin, je devrai faire le chemin inverse et ramener sur mon chemin le bois qui m’aurait appelé, ainsi que le cœur de ma future baguette magique, qui, lui aussi serait soit venu à moi soit m’aurait commandé auprès de lui.
La nuit passa lentement. Dans le froid hivernal j’avais partagé mon feu de bois, créé avec les moyens du bord, avec quelques renards. Blotti entre mes cuisses. Moi, l’enfant de la nature avait donc attendu et s’était endormie sous la protection des créatures que j’affectionnais le plus.
Au petit matin, j’entrepris de me rendre en mon village. Tandis que je marchais, une plante m’attira à elle, je ressentais alors le fameux appel dont
Innan stokks hýbýli m’avait parlé. Ce fut une Camarine Noire, un petit buisson qui m’avait appelé. Ainsi, je coupa une longue branche de bois trouva un moyen pour l’accrocher à mon corps le temps du retour.
Quand je fus arrivée auprès des miens, aucun cœur ne m’avait fait cet appel. Déçue, je pensais que jamais l’on ne m’offrirait mon passage de l’enfant à l’adulte. Et pourtant, lorsque je retira la branche de mes vêtements, l’un de mes longs cheveux fin resta accroché au bois. Ce fut ainsi que ma grand-mère approuva mon passage, le rite auprès des membres de mon clan s’effectuera le soir même.
Le processus de passage se fit sous une musique traditionnelle de l’époque de la création de notre clan, nous les Vélanes, descendantes des dieux de l’amour dansions autour d’un feu immense. Toutes les créatures de mon âge étaient présentes. Les peintures d’initiation sur le visage, nous avions bu le sang de nos mères et l’une après l’autre, reçurent nos baguettes magiques. La mienne, 20 cm, Camarine Noire et cheveux de Vélane, me serait toujours fidèle. Elle faisait partie de moi.
Patronus : Mon Patronus ne prend aucune forme pour le moment. Cependant, j’espère que celui-ci prendra la forme d’un renard polaire, qui est l’animale le plus répandu en Islande.
Épouvantard : Je suis une Vélane. Mon passé à fait que ma plus grande peur est en réalité la chose que je côtoie chaque jour : les sorciers. Plus particulièrement les sorciers qui ne supportent pas les créatures magiques telles que mon père. Depuis ma plus tendre enfance, le voir menacer ma mère de sa baguette me terrorise. Lorsqu’ils débutèrent leurs disputes suite à la révélation de sa véritable nature, le sorcier perdit les pédales. Il nous sépara, mes frères et moi, de notre mère. Reniant celle-ci, la repoussant à coups de puissants sortilèges. Lorsqu’il eut obtenu le divorce de ma mère ainsi que notre garde, celle-ci plongea dans un tel désespoir, que dans une dernière tentative de récupérer ses enfants, mon père lui vola ses années. Tombant lourdement sur le sol, le corps, frêle et maigre de ma mère fut le moteur de cette peur. Je ne supporte plus depuis que l’on me menace d’une baguette. Les humains sont devenus mes ennemis mais aussi ma plus grande peur.
Particularité : Veuillez consulter d'abord
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Options choisies & métier envisagé : Plus tard je serai
Innan stokks hýbýli. Je devrai veiller sur les miens, les choyer, les guérir au besoin et assurer la pérennité de notre lignée. Les taches qui me seront données prendront tout mon temps, et telle ma grand-mère, j’apprendrai à mon aînée à devenir à son tour, souveraine. Cet apprentissage demande du temps, et afin de développé le plus de connaissance pour notre survie, je fus envoyée à l’école de sorcellerie. Sois proche de tes amis, mais soit encore plus proche de tes ennemies. Me dit souvent la sage.
Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Oui et non. Je n’ai pas réellement eu besoin de passer par la magie noire pour créer un désastre. Il me suffit d’user de mes talents de Vélanes pour cela. Je vous vais vous raconter cette petite histoire.
La première fois que je me rendis sur le quai du Poudlard Express ce fut en compagnie de ma grand-mère. La femme m’avait accompagnée jusqu’à Londres pour payer mes livres et tenues afin de débuter la mission qu’elle m’avait donné du mieux possible. Sur ce dit quai s’était trouvé mon père par alliance. Celui qui prit la vie de ma mère. Cette fois, alors qu’il accompagnait mon ainé sur le quai, rien ne se passa. L’homme et l’enfant s’était contenté de nous observer, nous les créatures de Frea.
Deux ans plus tard, alors que j’entrais en 3éme année (cette rentrée donc), l’homme se rapprocha de moi, tentant d’entrer en contact avec l’enfant qu’il pensait que j’étais.
Innan stokks hýbýli le chassa de la même manière qu’il l’eut fait avec ma créatrice. Il ne retenta aucunement de s’approcher de moi tant que ma tutrice était en ma compagnie.
Cependant, il me contacta via Hiboux, me suppliant de le rencontrer dans un pub non loin de l’école de Sorcellerie gardant toutefois, une certaine retenue et m’invitant dans un lieu moldu. Il n’eut pas à me prier bien longtemps. J’acceptai au bout de troisième hibou et le rencontra un weekend dans ce fameux pub.
Personne ne fit attention à un père et sa fille. Loin de là. Et tandis qu’il me parlait, tentait d’expliquer son comportement, ce fut à ce moment que ma peau de porcelaine, mes cheveux d’ors et mes yeux de biches envoutèrent la créature. Je n’ai jamais réellement appréciée l’envoutement des hommes. Ils sont sales, irrespectueux et se pensent au dessus de tout. Mais pour lui, j’étais prête à tout. Y compris me salir.
Rapidement, il vint à mon esprit que ma mère n'avait jamais usé de son don sur le sorcier, la facilité déconcertante de l'envoutement eut un léger gout amer. Peut être aurait-je bien plus apprécié le spectacle s'il y avait eu un minimum de résistance de la part de l'humaine.
Mais ce ne fut pas le cas.
Loin des yeux de la population de ce petit village, nous disparûmes en foret. Docile, l'homme me suivait, profitant de ses derniers instants sans réellement le savoir. Une fois bien encré dans les profondeurs des lieux, je lui intimais-je l'ordre de s'allonger sur le sol tandis que je débutais une danse macabre, dont le but était d'attirer à moi toutes les créatures carnivores que renfermais la forêt.
Doucement un nombre incalculable de loup, de renard et d'ours virent dévorer l'offrande que je leurs faisais. Hel allait ce repaître de cet être dans les entrailles de l'enfer. Ainsi, ce fut la fin de cet humain. Le début de ma réelle mission : je devais en tuer le plus.
Personne ne sut réellement ce qu'advint de mon père par alliance. Tous déduisit qu'il s'était volatilisé de ses responsabilités, et ses enfants, sans familles, durent venir vivre dans ma tribu (qui ne les accueilli guère avec le sourire).
Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? Le bien, le mal. Tout cela de sont que des notions crée par les moldus et acceptée par les sorciers. Dans ma culture, il n'existe ni de bien, ni de mal. Je sais juste ce que je dois faire où non. La protection de mon espèce, la suprématie de celle-ci et le besoin constant que je ressens vis-à-vis de la e=vengeance de la maltraitance des Vélanes et Velaa par les sorciers m'a littéralement poussée vers l'Ombre.
Je ne l'ai clairement pas rejoint dans le but de les aider dans leurs soifs de conquête. Tant que faire partie de ce groupe l'aidera à me protégée de mes peurs (soit les sorciers) tout en me permettant d'évoluer dans leur monde, j'obéirai aux ordres des plus anciens, restant septique et distante.
La disparition d’un élève de Poudlard vous perturbe-t-elle ? Étiez-vous proche de la personne ? Qu'est-ce que votre personnage ressent à ce propos ?
Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? Dîtes-nous si votre personnage pense que Poudlard est toujours un endroit aussi sur ou pas.
Que pensez-vous des attaques de Pré-au-Lard ? Votre personnage a-t-il peur ?
Le gouvernement et les médias nient l’existence d’une force semblable aux Mangemorts. Et vous, vous en êtes où à ce sujet ? Expliquez nous si vous avez une foi inébranlable en notre gouvernement ou si c'est plutôt le contraire et que vous êtes méfiant par rapport à eux.
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