Nom : Weasley. Par la barbe de Merlin, encore une. Et oui, que voulez-vous, les Weasley ont toujours été très nombreux. Et puis je ne suis pas n'importe quelle Weasley. Prénom(s) :Edelweïs. Plante des montagnes plus connue sous le nom d'étoile d'argent ou d'étoile des glaciers. Ses racines viennent de l'allemand et signifient "noble". Ce nom est considéré comme masculin. Quel rapport avec une jeune rousse? Absolument aucun. Ma mère a voulu perpétué la tradition de son propre prénom oh si doux, et orner ses progénitures des noms de la nature. Comme deuxième prénom, ma douce mère opta pour le tendre nom dévié d'Anne-Aymone ( Si vous avez compris que cela voulait dire Anémone, et bien, n'en soyez pas trop fier. Même mon hiboux avait compris.). Bref, tout une panoplie de prénoms plus bizarre les uns que les autres. Et encore, je n'ose même pas vous répéter les prénoms de mes frères et sœurs. Surnom : Des surnoms? Et bien, ma foi, il n'y en a pas tellement pour moi. La plupart des gens ne savent pas prononcer mon prénom, alors vous imaginer essayer d'en tirer un surnom? J'en ai quelques uns bien sûr. Les vieux Weasley ont tendance à m'appeler la mioche, tandis que mes amis préfèrent plutôt m'appeler Edel, ou Anne pour les rares qui connaissent l'existence de mon deuxième prénom. Pas de Dedel, ni de Weïs, ni de princesse et encore moins mon chou. Capito? Âge :19 ans . Date et Lieu de Naissance : Je suis née un vendredi treize mars, à Ste-Mangouste (original n'est-ce pas?!). Nationalité : Franco-anglaise. Ma mère, Fleur Delacour est une noble française, tandis que mon père, Bill Weasley, moins noble mais tout aussi anglais. Pureté du sang : Contrairement à la plupart des Weasley de nos jours, je suis une des rares descendantes à encore être un sang-pure. Mes deux parents proviennent directement de la lignée de ce sang, je perpétue donc cette tradition - pour le plus grand malheur de certains - Année d'étude & Maison : 6e chez les Poufsoufle. Étonnant?Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, messieurs. État civil : Amoureuse platonique ça compte? Bon non, plus sérieusement, célibataire qui risque de le rester jusqu'à la fin de sa vie. Probablement. Certainement. Peut-être. Avec quelques chats graisseux, pourquoi pas?

Baguette : Il paraît qu'une baguette décrit à la perfection son propriétaire. Ma foi, je vous laisserais en juger par vous-même. Ma baguette est faite de bois d'aubépine, d'une longueur de 21,5 cm, rigide et plutôt facile à manier. Elle possède en son coeur un cheveux de vélane ( tout comme sa mère.)Patronus : J'ai longtemps eu du mal à créer mon patronus, je n'ai compris ce qu'était le sentiment de bonheur qu'après m'être vidée l'esprit complètement. C'est là que je l'ai vu apparaître, une élégante paonne. Ma vision du bonheur représente tout simplement ma famille unie.Épouvantard : J'ose à peine le dire, tellement cette idée m'effraye au plus haut point. Pour connaître mon épouvantard, il faut connaître ma vie, les personnes qui m'entoure et mes expériences passée. Mon épouvantard représente ni plus ni moins, un clown. Et le premier qui ose rire, je lui enfonce ma baguette au fond de la gorge. Vous voilà prévenus, camarades. Particularité : Je n'ai aucune particularité, hormis un quart de sang vélane hérité de ma mère. Qu'à cela ne tienne, je n'ai aucun des avantages et désavantages que procure ce dons. Options choisies & métier envisagé : Après avoir été obligée encore et encore, j'ai été contrainte à choisir deux options. N'étant pas friantes de cours, et sachant que cela allait m'amener à devoir étudier encore plus, je me suis tournée pour mon plus grand malheurs vers l'étude des moldus et la divination. Easy game, pensais-je, oh naïve que je suis. En ce qui concerne mon futur, je n'ai toujours pas décidé de ce que je voulais faire. Peut-être que la grâce divine viendra me frapper quand je l'attendrais le moins, m'ouvrant les voix céleste de mon avenir? Mouais. En attendant, j'aime dire que je deviendrais riche, belle et toute puissante en ne levant pas le petit doigt. Très réaliste, oui oui. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Jamais, oh non. Ce serait m'attirer les foudres de toute ma famille. Et puis, mis à part cela, je n'ai jamais été enthousiasmée par tout ce qui avait pour but d'infliger une quelconque douleur. Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ?A vrai dire, je n'y ai jamais songé. Quel camp choisirais-je? Très bonne question. Je pense que j'essayerais de rester en dehors de tout ça pour commencer, les conflits ont tendance à m'ennuyer profondément. Nonobstant, s'il fallait obligatoirement choisir, je choisirais probablement le camps des potentiel gagnant. Autant mettre toutes les chances de son côté, j'ai envie de dire.

Pseudo : Maite Âge : 19 ansAvatar : Julia Johansen Fréquence de connexion : Entre les deux je dois dire. Mais étant présentement en pleine période de blocus, je serais peu présente jusqu'au 18 janvier. Une fois ce délai dépassé, je serais là tous les jours. Et je posterais des RP minimum deux à trois fois par semaine ( plus ou moins, ça variera en fonction de ma motivation évidemment.) Comment as-tu connu le forum ? PRD Code : code validé par Quigg Copyright : Tumblr.

« Nooon. Nononononon. »

Ce mot se répétait plusieurs fois, inlassablement, de plus en plus fort. La voix qui proférait ces incantations tremblait d’une colère déterminée. En suivant la voix, on se retrouvait bien vite à monter les escaliers d’une maison plutôt coquette, sans grande prétention. Haute de deux étages, faite entièrement de brique mauves où d’innombrables fleurs poussaient entre chaque briques, créant une atmosphère légère et enfantine. Une fois arrivé en haut des escaliers, les sons s’amplifiaient, provenant d’une des trois chambres.

Trêve de plaisanterie, et passons aux choses sérieuses. La voix qui criait à s’en exploser les poumons de rage, ce n’est personne d’autre que moi. Je me prénomme Edelweïs Weasley, fille des ingrats Bill Weasley et Fleur Delacour, présentement âgée de douze ans.
« Non, non et non. M’man, m’oblige pas à faire ça. S’il te plait ! » Criais-je, la voix remplie de désespoir, prête à me flanquer à genoux et à lui baiser les pieds s’il le fallait. La raison de mon désespoir était simple. Nous sommes en hiver, à une période que je déteste plus que tout ; Noël. Oh la fête en soi ne me dérange pas plus que ça, je trouve d’ailleurs que les meilleurs moments sont l’ouverture des cadeaux et le départ de tous les convives – qui, pour mon plus grand malheur, partent toujours trop tard-. Le festin préparé ne me déplaît pas non plus, j’ai toujours aimé manger plus que de coutumes, surtout lorsqu’il s’agit d’engloutir tous ces mets que je ne retrouve plus pendant un an. Le problème, c’est que les fêtes de Noël signifient que l’on réunit toute la famille. Pour ceux qui n’auraient pas bien suivit le début de l’histoire, je suis une Weasley. Si après cela vous ne comprenez pas la raison de mon désespoir, vous êtes indignes de venir m’adresser la parole, au risque de vous prendrez un coup de baguette bien placé. Pour tous ces inconscients qui trouvent qu’avoir « une belle et grande famille, réchauffe les cœurs. », je vous prierais, si vous faites partie de mes proches, de bien vouloir changer de nom, de prénom et même de pays. Ma famille n’est pas grande, elle est immense. « Edelweïs Anne-Aymone Weasley ! Tu vas me faire le plaisir d’enfiler cette robe en trois minutes, te laver les dents et te coiffer. Ce soir, c’est Noël et, que tu le veuilles ou non, tu vas venir et te comporter comme une jeune demoiselle bien élevée. C’est clair ? » Articula calmement Fleur Delacour, ma mère. Son ton de voix restait toujours neutre, pas un décibel placé plus haut que l’autre, pas un soupçon d’irritabilité, même lorsqu’il était évident qu’elle était bien plus qu’exaspérée par mon comportement. Elle était ainsi, calme et élégante, si douce même dans les épreuves les plus dures, que ça en devenait presque agaçant. Contrairement à elle, j’avais hérité du comportement explosif de grand-mère Weasley, et je n’avais aucun problème à crier plus que nécessaire pour faire valoir mes droits. Prise d’une détresse grandissante à l’idée de devoir passer une soirée avec les Potters, les Weasley et les Granger, je me jetai dans les bras de ma mère, lui attrapant ceux-ci et me laissant tomber de tout mon poids sur elle.

« Tu ne comprends donc pas, mère ? Si je vais là-bas, je devrais leur adresser la parole. Et tu sais pertinemment que je déteste les gens. Allez, je serais sage, laisse-moi ici. » Je m’étais mise à sangloter, reniflant bruyamment et me feintant des spasmes corporels assez réussis. Malheureusement pour moi, cette grotesque excuse avait été utilisée plus d’une fois, et elle ne marchait jamais. Je levais péniblement les yeux vers ma génitrice, tentant d’apercevoir dans son regard bleu profond, ne serait-ce qu’une légère approbation. « Cligne des yeux deux fois si tu es d’accord. On ne le dira pas à papa, juré ! » Suppliais-je de plus belle. Cette partie était véridique. Comment pouvais-je faire comprendre à mon père que je détestais les rassemblements familiaux ? Que la plupart de mes cousins et cousines étaient bien trop bruyants pour moi, sans omettre le fait que j’aurais tous les loisirs de les voir tous les jours à Poudlard dans quelques années. Ce n’est pas que je n’aime pas la famille, je vous rassure, ce n’est vraiment pas là la question. Ce que je n’accepte que difficilement, c’est le temps fou qui accompagne les retrouvailles ; les comment vas-tu la mioche ? ou T’as bien grandis dis donc ! ou encore Aussi belle que sa mère cette mioche, tu peux être fière Fleur ! et ces remarques flatteuses entraînaient toujours que je réponde, sourisse ou fasse un autre geste quel qu’il soit pour montrer que j’étais heureuse que l’on me traite chaque année comme une bête de foire. « Tu viens, c’est ainsi un point c’est tout. On part dans une heure, si quand je remonte tu n’es pas impeccable, il y aura des conséquences. » Roucoula-t-elle, m’ébouriffant les cheveux couleurs feux, tendrement comme elle avait toujours l’habitude de faire. Elle déposa un baiser sur le bout de mon nez et partit de la chambre, en refermant la porte doucement sur son passage. Je me laissai tomber gravement sur mon lit, pestant de plus belle. La sentence était irréversible.

Péniblement, je me trainais vers ma chaise de bureau, où ma mère avait soigneusement plié les affaires que j’allais mettre pour ce soir. Prévenante comme toujours, et de bon goût qui plus est, bien que ce me fut difficile à admettre. En moins de trente minutes, j’avais réussi à enfiler des bas noirs opaques, surmonté d’une robe dorée descendant mi- genoux, agrémenté d’une paire de ballerine également dorée. D’un chic. Je me plaçai ensuite face à mon pire ennemi : le miroir. Bien que la plupart des gens autour de moi me qualifie de beauté particulière, je n’ais jamais réussi à comprendre ce que cela voulait dire. Tout ce que je voyais moi, c’était des cheveux qui ne respectait aucunes lois. Tantôt lisse comme des baguettes, tantôt bouclés comme le pelage d’un mouton, je n’avais aucune emprise sur eux. Par bonheur, aujourd’hui ils avaient décidé d’être clément et de m’éviter de les attacher en un affreux chignon. C’est ainsi pomponnée sobrement – je n’ai que douze ans après tout -, que je descendis les escaliers le plus lentement possible, en ignorant délibérément les protestations de mon père, pressé de partir une bonne fois pour toute. Rassemblés autour de la table, mon frère et ma sœur étaient déjà sur leur trente et un, prêt à partir. Résignée à bouder toute la soirée, je me plaçai doucement entre mes parents et d’un seul mouvement, nos cinq mains vinrent se poser sur le vase nous servant de portoloin, célébrant ainsi le début d’une soirée qui se voulait longue, très longue.

Je ne cite pas de nom, parce que la personne dont parle Edel dans cet extrait assez confus, n'existe pas encore. Il fera partit d'un des liens que je vais créer. Si ce n'est pas très compréhensible, c'est tout à fait normal. Edel écrit tout et n'importe quoi dans ce journal, on voit bien dans ces extraits sa personnalité contradictoire.

« Cher journal,

Wait, wait, wait. Pourquoi commençons toujours par cette phrase lorsque l’on se décide à écrire quelques malheureuses lignes dans ce stupide journal qui nous sert de purgatoire ? Cet automatisme me perturbe, comme s’il fallait obligatoirement s’adresser à quelqu’un, pour ne pas se résoudre à simplement étaler des paquets d’encres inutiles sur de simples feuilles blanches. Mais qui suis-je pour contester ces manières de toute façon. Revenons à nos hyppogriphes, veux-tu, my dear ?

Je l’ai encore croisé avec cette pimbêche blonde, cet après-midi après les cours. Non mais sérieusement, j’ai bien compris qu’il ne ressentait pas la même chose que moi – enfin, je suis toujours persuadée qu’il se voile la face tout simplement mais bon, il finira par ouvrir les yeux -, mais de là à se trimballer avec la première sorcière bas de gamme qui lui tombe sous la baguette, c’est un peu fort. Peut-être que c’est un stratagème pour me mettre en colère, pour me rendre jalouse ? Oui ça doit être surement ça. Et bien ça a parfaitement fonctionné. Si je revois cette pimbêche, que ce journal m’en soit témoin, je lui fait bouffer ma baguette.
Je ne peux plus continuer comme ça. Pourquoi a-t-il fallut que j’hérite du cœur d’artichaut de papa ? Lui qui tombait amoureux à chaque fois qu’il éternuait, et qui s’est finalement épris de maman, pour toujours. J'aurais décemment pu hériter d’un cœur de pierre comme mes cousins qui ont fini à Serpentard. Ça aurait été beaucoup plus simple. Ainsi, je n’aurais pas à entendre mon cœur éclater en mille morceaux à chaque fois que mes yeux croisent les siens. Mon ventre ne serait pas le lieux préféré de toute une troupe de papillons à chaque fois qu’il daigne poser ses magnifiques yeux sur mon simple visage. Je n’aurais pas à supporter les éternelles conversations où il ne cesse de me dire des mots doux, pour après tout nier. Je n’aurais pas à croire à toutes ces promesses en l’air. Parce qu’après tout, comment quelqu’un comme lui aurait pu poser les yeux sur quelqu’un comme moi ?

Ouais. Malheureusement, moi j’ai eu droit au cœur d’artichaut, qui ne cesse d’être écrabouiller, mis en purée à chaque fois que mon cœur détraquée se met en tête de croire aux signes qui n’en sont pas vraiment au fond. Ridicule, n’est-ce pas ? Je sais. Bienvenue dans ma vie.

Bon, faudrait peut-être que je cesse de me morfondre. Après tout, je mérite bien de trouver quelqu’un qui m’appréciera pour ce que je suis non ? L’oublier, tracer un trait indélébile sur lui, voilà ce que je vais faire. C’est décidé. Finit les soirées à me lamenter sur mon sort. Dès demain, je vais l’éviter, mais pour ça faudrait que je sache ses horaires. Pour pas le croiser à ses intercours. No problem, je demanderais son horaire à des gens de sa classe. Ouais ouais. Bien ça, je suis fière de moi tout à coup.
Faudrait aussi que je jette tout ce que j’ai de lui, ça aidera surement. Je m’en occuperais dès demain. Le plus important, à ne vraiment PAS FAIRE, c’est CRAQUER. Bon sang Weasley, tu vaux mieux que ça.

(….)

Peut-être que ça existe un élixir d’amour efficace ? Faudrait que j’aille demander en ville. Mais c’est considérer comme magie noire ou pas ? Faudrait que je demander à Adélaïde, parait qu’elle aime bien tout ce côté-là.

(…)

Soyons réaliste. Je mérite beaucoup mieux que tout ça. Nom d’un hyppogriphe, ça fait quand même trois ans que ça dure. Quelle honte si mes parents découvraient tout ce qu’il se passait ici. Je serais déchue de la famille, on m’enlèverais mes honneur – déjà qu’on en a jamais eu beaucoup – et je serais obligée de vivre dans la rue avec tous ces sorciers de bas de gamme.

(…)

C’est décidé. Demain je vais lui dire ses quatre vérités à ce vaurien. Il ne perd rien pour attendre. Personne n’a le droit de jouer avec ma tête de cette façon. Il va me le payer.

(…)

Par la barbe de Merlin, voilà que je dois de nouveau aller faire semblant d’aimer ce Serpentard à la tête de belette. Vie de Sorcier quoi.