Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu.
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Sujet: Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu. Ven 14 Déc - 23:40
Andrew Abraham Hoover
carte d'identité
Nom : Hoover Prénom(s) : Andrew Abraham Surnom : L’Egérie de Zublocci (grand couturier sorcier italo-britannique) Âge : 29 ans Date et Lieu de Naissance : 7 avril, Londres Nationalité : Britannique Pureté du sang : Né-Moldu Ancienne maison : Poufsouffle Poste occupé : Bibliothécaire Orientation sexuelle : Homosexuel État civil : Célibataire
le sorcier en toi
Baguette : Bois de cèdre, trente-trois centimètres, rigide. Crin de sombral. Idéale pour les Arts Obscurs. Paraît-il. Patronus : Un goéland. Épouvantard : Une forêt sombre. C’est une représentation du Bois de Birnam, dans Macbeth, dont la marche annonce la chute de l’usurpateur. Andrew en cherche toujours le sens. Particularité : Aucune Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ?Oui. Certes. Bon. Andrew aime les vieux grimoires et les vieux grimoires, vous savez ce que c’est. Il y a de tout. Comment réparer son chaudron, comment reconnaître les bons et les mauvais champignons, comment dépecer le curé du coin. Accessoirement, c’est un peu son métier. Tout cela est cependant strictement encadré par le Ministère.
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Sujet: Re: Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu. Ven 14 Déc - 23:41
ton histoire
Il est naïf — Il sait retourner vos organes internes en claquant des doigts — Il a fait la couverture du Mensuel des Sorcières Jeunes et Jolies — Voici Andrew Hoover
Les parents d’Andrew n’avaient pas exactement pour projet de le voir trier des livres dans un château rempli d’individus étranges. A vrai dire, Andrew devait devenir plombier. Son père est plombier, son grand-père était plombier et le grand-père de son grand-père était forgeron, ou quelque chose comme cela. Enfin, chez les Hoover, on travaille dans ses mains et on a les pieds sur terre.
L’enfance du petit Hoover fut pauvre, mais heureuse. Il grandit dans les quartiers populaires de Londres, plus occupé à jouer au football qu’à élever des crapauds dans des chaudrons. La seule magie qu’il connaisse est dans ses livres et, à vrai dire, il préfère les ouvrages un peu plus réalistes. A l’école, il n’est pas mauvais, mais de là à payer les frais d’inscription de l’université, il y a un monde et ses bons résultats n’ont guère pour effet que de satisfaire ses parents, sans beaucoup changer leur projet.
A l’adolescence cependant, il se met à rêver. Et si, par hasard, il devenait très riche (supposons), alors il pourrait faire des études et devenir — historien, chercheur en biochimie, ingénieur en astronautique. Quelque chose dans ce genre-là. Peut-être que s’il travaillait suffisamment dur, il aurait une bourse ? C’était possible, cela. Donc, il accumule les livres, il est assidu en cours et il travaille presque tout le temps — quand il ne joue pas au football, bien sûr, ou qu’il ne tripote pas le fils du boucher dans les toilettes du collège.
Soudain vient la lettre. Ses parents croient à une mauvaise force. Vient la deuxième lettre. Puis la troisième. Puis les hiboux. Il y a anguille sous roche. Finalement, la petite famille se déplace au Chaudron Baveur, au moins pour rencontrer ces hurluberlus qui les harcèlent. Les hurluberlus sont là et bien réels. C’est tout un nouveau monde qui s’offre à Andrew, un monde qu’il s’imagine, un peu naïvement, riche en possibilités. Pendant les vacances d’été, plus de football, plus de fils du boucher : rien que ses nouveaux livres et les journaux sorciers.
Quand il arrive à Poudlard, il est une petite encyclopédie ambulante de l’histoire du château et du curriculum vitae de ses professeurs. Dans tous ses cours, il s’investit à corps perdu. Métamorphoses, histoire de la magie, enchantements, sortilèges, arithmancie. Divination s’il le faut ! Bon. Peut-être pas divination. En tout cas, tout le passionne, tout l’enchante, de la culture de la mandragore à la métamorphose des souris en tasse de thé (et inversement). Et le Quidditch vaut bien le football — d’ailleurs, il est poursuiveur dans son équipe.
Seulement voilà. Le monde sorcier n’est pas si différent du monde moldu. Sa hiérarchie était peut-être même plus sclérosée encore. Andrew découvre bien vite que les échelons qu’il n’aurait pas gravi chez lui pour devenir biochimiste et gagner un prix Nobel, il était douteux qu’il les gravît à Poudlard. Il comprend que son sang est un problème. Il comprend que sa pauvreté est un problème. Son monde sorcier idéal s’effondre.
Il y a cela et la réputation qui vous accompagne quand vous êtes un talentueux élève en cours de Défense contre les Forces du Mal. C’est bien, vous serez peut-être Auror. Ou Mage Noir. Les années passent, Andrew se spécialise et il faut avouer que les titres des livres qui s’empilent sur sa table de chevet, tous tirés de la Réserve de la Bibliothèque, ne sont pas spécialement engageants. Certains camarades sont un peu méfiants à l’égard de cette passion suspecte. Andrew a beau n’avoir jamais fait de mal à une mouche, certains sont prompts à le considérer comme le psychopathe de service. Plus le temps passe, plus le jeune homme se sent mal à l’aise à Poudlard.
Les ASPICs sont passés — ses résultats sont très bons — il peut aller à l’Université Magique. Oui mais voilà, elle se paye aussi. Pendant les semaines qui le séparent de la date d’inscription, Andrew cherche un métier. Jusqu’à ce qu’un sorcier particulièrement excentrique l’aborde sur le Chemin de Traverse et lui fait une proposition étrange : essayer quelques vêtements. Il a une belle carrure, de beaux yeux, un beau il-n’a-pas-compris (parce que l’inconnu parle à moitié en italien), bref, il est fait pour ça. Ça quoi, au juste ?
La mode. Andrew n’était même pas au courant qu’il y eût une mode sorcière. A vrai dire, cela n’avait pas trop d’importance. Il avait besoin d’argent, on lui proposait de l’argent, beaucoup plus d’argent qu’il ne s’en ferait jamais en servant des pintes au Chaudron Baveur ou en lavant le sol de Gringotts, alors il n’allait pas faire la fine bouche, sous prétexte qu’on remettrait peut-être en doute son hypothétique virilité.
C’est ainsi qu’il finance ses études. Hélas, les clichés et les défiles qu’il avait pensé relativement confidentiels parviennent parfois aux oreilles et aux yeux de ses camarades de promotion. Si certaines d’entre elles (et certains d’entre eux) ne voient pas d’objection à jeter un œil pour telle ou telle publicité pour sous-vêtement particulièrement… suggestive, d’autres y voient une excellente occasion de multiplier les moqueries.
Les moqueries tendent à devenir plus rares après les premiers mois de cours, quand tout le monde a bien intégré l’information principale : Andrew se spécialise en Arts Obscurs. On lui jette des regards en biais, les professeurs le contrôlent de près. Il s’agit d’être absolument certain de ses motivations. C’est une chose d’avoir accès à la Réserve de la Bibliothèque de Poudlard, c’en est une autre de pénétrer dans celle de l’Université, qui ressemble à un musée des horreurs.
Andrew tient bon. Oh, bien sûr, le soir, il rentre dans sa chambre, il s’assoit par terre et il pleure pendant une bonne demi-heure sans pouvoir s’arrêter, mais à part ces petites crises de nerf passagères, merci, tout va bien. De temps en temps, un petit copain passe dans son existence, juste assez longtemps pour faire comprendre au jeune homme combien il est naïf. C’est qu’il n’a pas vraiment de chance avec les garçons — ce qu’ils cherchent, c’est le mannequin et les conversations intellectuelles, ou même toute espèce de conversation, suffisent à faire fuir des prétendants qui ne prétendent qu’au corps, et point du tout à l’esprit.
Andrew, comme à son habitude, se replie sur les études. Enfin, son diplôme en poche, il se présente au Ministère. Les entretiens se multiplient. Au début, il craint que ce ne soit un mauvais signe. Il faut dire que « mannequin » pour parcours professionnel ne donne pas nécessairement une haute idée de sa valeur intellectuelle. Mais il comprend : plus on l’interroge, plus on envisage de lui accorder un poste. Et finalement, c’est le Saint Graal : Langue-de-Plomb. Fini le mannequinat, fini de se pavaner comme un morceau de viande pour gagner de quoi financer ses études, finies les justifications infinies pour accéder à tel ou tel livre.
Pour Andrew commence une époque de pur bonheur. Jusqu’au jour où de terribles créatures envahissent le Ministère : les comptables. Les coupes budgétaires se multiplient et le Département des Mystères doit sacrifier certains projets. Le chantier de recherche « Mort et Obscurité » (un titre très engageant), dont Andrew avait la charge, passe à la trappe. On lui propose de se réorienter sur « Temps et Régénération » (qui à son humble avis ne mènera nulle part) et « Amour et Vie » (avec la haute couture sur son curriculum vitae, il fait déjà assez gay, c’est bon). Peu désireux de perdre l’un de ses chercheurs, le Directeur du Département tente de le convaincre (« Mais voyons, le Temps, quel sujet passionnant ! » ou « L’Amour, ça ne vous parle vraiment pas ? Vous savez, on s’y habitue, ce n’est pas si terrible »).
Andrew tente de se défendre avec des arguments solides (« Mais j’étais en train de travailler sur les sacrifices humains ! J’ai même des illustrations ! » ou « J’ai un dossier pour interviewer des Détraqueurs dans un cadre sociologique ») et un compris est trouvé : un an de congé sans solde pour développer des projets personnels, loin du Ministère, et revenir avec un programme détaillé susceptible de convaincre les administrateurs financiers de rouvrir la fameuse section.
Le Langue-de-Plomb entreprend de chercher un emploi temporaire qui ne soit pas trop prenant. Libraire à Poudlard ? Pourquoi pas.
le moldu derrière tout ça
Pseudo :A Âge : 23 ans Avatar : Eidlson Nascimento Fréquence de connexion : Collé à l’ordinateur Comment as-tu connu le forum ? Double compte Code :code validé par QuiggCopyright :Bidouillé par mes soins.
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu. Sam 15 Déc - 1:38
Reuh bienvenue
Alesya Y. Lestrange
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Sujet: Re: Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu. Sam 15 Déc - 6:16
Welcome again J'ai vu que tu avais terminé ta fiche mais je pense venir te valider en revenant de ma formation ( vers 13h quoi ) parce que là, j'suis trop dans le pâté pour lire et apprécier
Invité
Sujet: Re: Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu. Sam 15 Déc - 9:54
Re bienvenue
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu. Sam 15 Déc - 13:15
Félicitation & bienvenue
“ Ils avaient un espoir, un souhait et un rêve Le projet audacieux d'éduquer des élèves. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.
TOUTEFOIS…
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Enfin, pour finir, si ce n'est pas la première fois que tu t'inscris sur HRI, n'oublie pas d'aller recenser ton deuxième (peut-être même troisième) compte ICI!
BIENVENUE, NOUVEAU MEMBRE DU
Hogwarts staff
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Sujet: Re: Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu. Sam 15 Déc - 15:48
ReBienvenue Huhu un bibliothécaire
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Sujet: Re: Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu.
Andrew A. Hoover — Oui, il sait lire. Non, il n'a pas posé nu.