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| MADMEN ∞ bercé trop près du mur | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Ven 6 Avr - 22:24 | |
| Maden Sibhàn Finnigan carte d'identité Nom : Finnigan. Le premier qui dit "Kaboom", je lui fais avaler son dentier, sachez-le. Prénom(s) : Maden, parce qu'on n'avait pas prévu l'humour douteux de mes camarades, probablement. Sibhàn, parce que mon nom de famille n'était pas assez évident, il fallait rajouter un peu d'Irlandais dans le bordel, évidemment. Surnom : Madmen. Oui, je sais. Non, tais-toi, c'est bon, je sais. Âge : 18 ans, pas toutes mes dents... Date et Lieu de Naissance : 17 mars 2007 ; à Cork dans le sud de l'Irlande. Oui, il a fallut que je sois un cliché par excellence et que je vois le jour dans le tumulte de la St Patrick, sinon cela n'aurait pas été drôle. Nationalité : C'est une question, ça ? Irlandaise. Pureté du sang : Sang-mêlé. Mon père l'était déjà, ma mère aussi... Année d'étude & Maison : 5ème année à Poufsouffle. Passée la surprise initiale de ne pas voir son fils se rendre à Gryffondor, mon père a décidé de ne pas me casser les pieds avec ça. Il n'y a pas de sous maison, qu'il m'a dit, et en plus ton dortoir sera près des cuisines ! Orientation sexuelle : Je préfère les demoiselles mais sait-on jamais, après tout... État civil : Ca va, ouais, les curieux ? Je suis célibataire et je le vis bien. Ou pas. le sorcier en toi Baguette : 22 centimètres, en bois de boulot, ma baguette contient des éclats d'or de leprechaun. Oui, oui j'ai de l'or appartenant à des petits lutins dans ma baguette. Oui, oui je t'emmerde bien profond, toi qui rigole, là ! Patronus : Pour faire apparaître un Patronus, je pense à l'orgueil des Irlandais et à la fierté des gens de Cork, je pense à l'endroit où j'ai été élevé, à cette terre que j'aime plus que tout. En général, c'est suffisant pour faire venir un Setter Irlandais Rouge, petit chien de chasse très agile. Épouvantard : Des vagues, gigantesques. Parce que oui, je n'sais pas nager, ça me terrifie et me paralyse. Particularité : Salut, je porte la poisse, surtout à moi-même ! Hormis cette guigne flagrante, rien à signaler. Options choisies & métier envisagé : Soins aux Créatures Magiques, évidement. Et accessoirement, Etudes des Runes. Non pas que cela me soit utile, mais bon. Plus tard, je voudrais bien travailler au département de Régulation des Créatures Magiques. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Oui, bien sûr, et Seamus m'a donné un cookie pour me féliciter ! Non mais sérieusement, vous en avez de ces questions, j'vous jure. Quel est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ? Si les rumeurs sont fondées, les instigateurs doivent se souvenir d'une chose : les gens se sont soulevés une fois contre l'ombre, ils n'hésiteront pas à recommencer. Mon père était dans la première vague de courageux, je n'ai beau pas être Gryffondor, je suis irlandais et j'ai quand même un coeur de lion. S'ils s'amusent à ça, dans les bas-fond de l'école, qu'ils s'attendent à ce que nous formions un mur, épaule contre épaule, baguette à la main, pour contrer. Question de valeurs.
Dernière édition par Maden S. Finnigan le Lun 9 Avr - 13:09, édité 9 fois |
| | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Ven 6 Avr - 22:25 | |
| ton histoire
- Non ! - Mais alleeeeeeez ! - J’ai dit NON ! - Mais t’es pas marrant, Mad ! - Et franchement, je m’en fous complètement ! - Mais t’avais dit qu’on jouerait !
Breanne, Caelya et Emalyne se tenaient là, les bras croisés, toisant leur ainé d’un air à la fois mauvais et farouche, comme s’il venait de commettre un crime de lèse-majesté en refusant de jouer. Il avait, en effet, promis qu’après le repas, avant son départ pour Poudlard, il prendrait un peu de temps pour jouer avec elles. Sauf qu’il s’était attendu à une partie de Quidditch, un jeu de bataille explosive, quelque chose du genre, quelque chose d’abordable pour lui. Il s’était trompé, correctement en plus. Acculé dans un coin de la grande maison où vivaient les Finnigan depuis des générations, dans ce mois d’Aout agréable mais qui semblait toucher à sa fin, il faisait face à trois petites pestes armées de maquillage et d’accessoire pour les cheveux. La plus grande, Breanne, avait pourtant passer l’âge, du moins, Maden en était convaincu, mais clairement, ses convictions n’étaient pas suffisante pour la faire reculer. Après tout, y avait-il réellement un âge pour torturer le pauvre ainé de la fratrie, celui qui n’avait rien demandé à personne et à qui on avait collé trois miniatures de sa mère, trois petites teignes en puissance qui s’alliaient pour lui en faire baver.
Il n’était pas faible, il pouvait s’en sortir sans problème, le soucis étant qu’il connaissait déjà la teneur du scandale s’il osait en bousculer une. Parce que oui, en plus d’être chiantes, elles étaient douillettes, toutes les trois. Quoi que, Breanne en jouait beaucoup, il le savait. Et il savait aussi que là, elle lui en voulait. Elle avait 12 ans et elle devrait encore attendre que deux étés passent pour le rejoindre dans l’école de magie, où lui se rendait pour la première fois. Le départ était prévu pour le lendemain et il voyait bien à quel point elle pouvait fuir toute discussion concernant l’école, combien son regard évitait de se poser sur la grosse malle posée dans l’entrée, celle que Maden remplissait au fur et à mesure depuis une semaine.
La culpabilité de les abandonner le submergea et il jura à voix basse. Elles étaient bruyantes, insupportables, prenaient toute l’eau chaude et lui cassaient les pieds, il n’avait aucune vie privée et se retrouvait souvent victime de ses trois cadettes mais il les aimait. Elles étaient son sang, une partie de sa fierté, de son orgueil. Il les avait protégé à l’école et pour la première fois, ils allaient être séparés. C’était étrange, car même s’il rêvait d’aller enfin à Poudlard, l’idée de devoir se passer de ces trois bouilles lui tordaient un peu le cœur.
- Z’allez me manquer, les teignes, souffla-t-il simplement
Les deux plus jeunes baissèrent la garde, visiblement touchées, visiblement concernées. Il savait qu’il manquerait aussi, que sa mère écrirait souvent pour palier à l’absence, qu’il ne pourrait plus aider son père et que cela se sentirait. Du haut de ses 14 ans et malgré sa guigne, il était aimé et sa famille était plus importante que tout… Cependant, il ne fallait pas trop tirer, il était hors de question qu’il se laisse maquiller par les trois filles.
Il profita de la diversion, bougeant rapidement et sortant de l’angle où elles l’avaient coincé un peu plus tôt. Très vite, il se retrouva dans l’entrée et emprunta l’escalier, fuyant jusqu’à sa chambre, seule pièce où il s’avérait un peu tranquille. Un éclat de rire chaud passa ses lèvres alors qu’il se faisait apostropher…
- Mais t’es vraiment trop con, Mad’ ! - Moi aussi je t’aime, Bree, répondit-il a la volée.
Il claqua la porte derrière lui alors que les bruits de pas pressés se faisait entendre sur les marches menant à l’étage.
__________________________
- Bordel de….
Maden poussa la porte de son dortoir et péniblement, il se traina jusqu’à son lit, s’y laissant tomber sans délicatesse aucune. Le visage enfoncé dans un oreiller, il laissa filer un râle de frustration et se retourna ensuite brusquement, clairement agacé. A l’autre bout de la chambre, Silver était assis sur son lit et regardait la scène surement habitué. D’une voix un peu forte, pour se faire entendre par-dessus les plaintes de son camarade, il demanda simplement :
- Noralie ? - A ton avis, répondit immédiatement Maden.
Il attrapa son oreiller et le posa sur sa tête. C’était habituel, régulier, c’était presque une routine. Depuis presque trois ans, le jeune Irlandais se cassait les dents sur une fille qui ne le voyait vraiment que comme, au mieux, un ami. C’était à s’en arracher les cheveux, parce que lui en pinçait violemment pour elle, Noralie Weasley, Rouquine au caractère bien trempé que le hasard avait envoyé chez les Serpentards. Ou bien, qui avait toujours été plus ambitieuse que le reste des petits lions de sa famille et qui avait trouvé chaussure à son pied en se retrouvant chez les Verts & Argents. Quand on en venait à parler de Noralie, Maden ne croyait pas vraiment au hasard, ce n’était pas le genre de le jeune fille… Partant de là, qu’aurait-elle fait avec un poufsouffle maladroit et casse-pied ? Il devait surement s’estimer heureux d’avoir le droit de lui parler, de lui taper sur le système… Il souffla longuement, appuyant le coussin un peu plus fort, espérant peut-être s’étouffer et ne plus avoir à réfléchir à tout ça.
- No offense mais… je ne comprends pas pourquoi tu t’acharnes comme ça quand elle n’en a clairement rien à faire de toi… Tu crois pas que tu mérites un peu mieux qu’une fille qui te balade comme ça ?
A nouveau, il accentua la pression sur l’oreiller. Silver avait probablement raison mais merde, c’était dur à accepter. Il était prêt à traverser le parc à genoux pour qu’elle le remarque enfin mais il se retrouvait toujours à l’écart, le bon copain un peu chiant, celui qui fait rire, le confident, celui à qui on en raconte trop, qu’on a envie d’étrangler autant qu’on veut serrer dans ses bras, amicalement. Il souffla et lâcha finalement la prise, repoussant le coussin de devant son visage.
Il n’était pas du genre à abandonner, mais c’était parfois tentant. Quand elle ignorait les avances pataudes qu’il tentait, quand elle souriait à un autre garçon ou lui racontait ses malheurs, ses peines de cœur… Lui se retrouvait comme un imbécile, se ramassant ces sentiments dont il ne savait pas quoi faire en pleine face et n’osant plus bouger de peur de se trahir et d’être ridicule. Et pourtant, il continuait, sans trop savoir pourquoi. Surement parce qu’il ne voulait pas la perdre et qu’il était persuadé de l’avoir à l’usure, ou bien parce qu’il se disait qu’à force, lui arrêterait de penser à la prendre dans ses bras pour finalement l’embrasser et qu’ils pourraient se contenter d’une amitié ordinaire et sans ambiguïté.
- La prochaine fois, j’arrête, lança-t-il, déterminé.
Cela faisait quoi ? Un an et demi qu’il répétait cette phrase, repoussant toujours l’échéance ? A croire qu’il aimait ça, se faire ignorer, pauvre petit Poufsouffle pas veinard pour deux noises.
__________________________
Une odeur d’encens tira Maden de son sommeil et il comprit immédiatement le sens de la phrase répétée si souvent par les fêtards réguliers, maugréant à son tour les mots déjà entendu à plusieurs reprises :
- Je ne boirais plus jamais d’alcool…
Sa voix semblait cassée et sa bouche était pâteuse alors que doucement, les morceaux de la nuit précédente lui revenaient en mémoire, pièces du puzzle s’assemblant péniblement dans sa tête. Alors qu’il paraissait, refusant de bouger rien qu’en imaginant la douleur que ça allait provoquer en lui, les images arrivaient, pêle-mêle et un peu floues, comme tordues. Dernière soirée avant le retour, grosse fête, l’alcool et puis Noralie…
Il se redressa brusquement, réalisant où il était. Assis torse-nu dans les coussins de la salle de Divination, il grimaça à cause de l’odeur de plus en plus insupportable, patchouli et autres odeurs trop fortes pour son état. Il était aussi gêné par la lumière ocre de la pièce mais ce n’était pas grave, pas vraiment. Des yeux, il chercha la jeune fille, scannant la pièce et comprenant un peu trop lentement qu’il était entièrement seul, au sommet de cette tour, alors que les autres devaient surement préparer leurs affaires pour rentrer chez eux. L’été arrivait mais toute joie à cette idée venait de quitter Maden. Il déglutit, forçant un peu sur ses souvenirs pour savoir ce qu’il s’était passé, exactement. Mauvaise idée.
Il l’avait embrassé. Il avait enfin osé, après un fou-rire, s’approcher et embrasser la fille qui lui en faisait baver depuis des années, la gardant contre lui sans trop savoir si c’était une chose à faire, se faisant alors surprendre lorsqu’elle se mit à rendre le baiser. Elle n’avait pas fuis, pas ris, elle ne l’avait pas giflé et ils avaient continué à s’embrasser un moment, jusqu’à ce que les choses dérapent. Et qu’ils montent jusqu’ici, à défaut d’avoir accès à la salle sur demande… Maden passa une main devant son visage et se laissa retomber en arrière, soufflant longuement. Magnifique. Grandiose… Pathétique. Il avait finalement réussis à l’approcher mais le message était clair. Il ne valait pas la peine qu’elle passe la nuit ici, qu’elle soit encore là au petit matin. Il espérait, qu’elle sorte d’une cachette en criant qu’elle l’avait bien eut, seulement cela n’arriva pas pour la simple et bonne raison que Noralie était déjà bien loin et que cela n’avait pas d’importance…
- Et merde ! lança-t-il, trop fort surement.
C’était injuste, quelque part. Alors qu’il se redressait à nouveau et attrapait son t-shirt et son sweat, enfilant ensuite un jean et une paire de pompes qui trainait plus loin, il se surprit à se demander si c’était de sa faute, une telle fuite. Il ne voulait pas penser que c’était à cause d’elle, de son caractère, il ne voulait pas la voir comme ça, alors il se flanqua un coup à l’égo. Oui, c’était probablement à cause de lui. Après tout, la nuit avait dû être ridicule, lui se retrouvant catapulter dans sa première fois, alcoolisé et sans la moindre idée de ce qu’il était censé faire. Il secoua la tête, de mauvaise humeur. La gueule de bois et la vexation ne faisaient pas bon ménage, d’autant plus qu’il songeait déjà à ce qu’il se passerait lorsqu’il la croiserait sur le quai de Pré-au-Lard. A onze heures, il se prendrait un nouveau coup dans les dents. Ambiance.
Au final, l’été loin n’était peut-être pas une mauvaise chose parce que sur le moment, la simple idée de se retrouver face à la rousse le foutait mal à l’aise autant que ça le mettait en colère. Elle avait eu sa chance et non contente de lui coller une honte pas possible en le plantant comme ça, elle venait de s’assurer d’avoir correctement froissé leur amitié.
Il était loyal et il pouvait encaisser beaucoup de chose, mais ce genre de coup sous la ceinture, non. Définitivement, les deux mois loin d’elle ne seraient pas du luxe.
le moldu derrière tout ça Pseudo : Whorecrux Âge : 22 ans dans 12 jours . Salut, je suis vieille et je le vis super mal Avatar : Dylan O'fucking Brien ♥ Fréquence de connexion : c'est une question, ça ? *nerd* Comment as-tu connu le forum ? Heuuuu, caymonbaybay ! Code : autovalidation *sifflote* Copyright : Tumblr est ma bible.
Dernière édition par Maden S. Finnigan le Lun 9 Avr - 15:08, édité 5 fois |
| | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Sam 7 Avr - 8:57 | |
| Comment j'kiffe ce gars, ahah Re bienvenue |
| | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Sam 7 Avr - 9:02 | |
| Un Finnigan *-* *comprends pourquoi il manquait Seamus* Re-Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Sam 7 Avr - 9:08 | |
| Merci vous deux ! Amadeus ; Oui, Stiles = Tylia ; Et ouais, on ne vire pas un de mes personnages préférés de la saga impunément |
| | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Sam 7 Avr - 9:43 | |
| Re bienvenue sur ton propre forum alors! Bon courage pour ta fifiche! |
| | | | | | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Sam 7 Avr - 11:44 | |
| Un Finnigan. Je ne sais si je dois me réjouir ou me désespérer. Votre illustre patronyme vous précède, jeune homme. Je vous souhaite la bienvenue entre les murs de cette école mais je ne peux vous souhaiter une bonne intégration. Vous serez ici chez vous, je n'en doute pas une seconde. J'espère que vous serez cependant plus sage que vos prédécesseurs ... Si vous avez besoin d'aide, des questions, je suis à votre disposition. A bientôt dans ma salle de cours Elroy M. Flint Professeur de potion |
| | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Sam 7 Avr - 16:07 | |
| Mon Madmen Re-bienvenue ici |
| | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Lun 9 Avr - 15:17 | |
| Et c'est avec plaisir que je valide ton deuxième compte Félicitation & Bienvenue ; « Poufsouffle avait le gout du travail acharné Tout ceux de sa maison y était destiné » Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux. Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Bonne chance à toi, Jeune Poufsouffle ! |
| | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur Lun 9 Avr - 15:18 | |
| JE SUIS LE DEUXIEME POUSSIN |
| | | | Sujet: Re: MADMEN ∞ bercé trop près du mur | |
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| | | | MADMEN ∞ bercé trop près du mur | |
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