Sujet: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 4:01
Caroline Hannaelle Strang
carte d'identité
Nom : Elle porte le nom de Strang, donné par son père : Ulric Strang. D'origine anglaise et moldue, ce nom n'est pas connu du tout chez les sorciers. Riddiculisé depuis longtemps pour sa ressemblance avec le mot anglais « strange » pouvant qualifer la demoiselle à merveille. Prénom(s) : Elle porte deux prénoms Caroline et Hannaelle. Caroline était le nom de sa grand-mère maternelle décédé peu avant sa naissance et Hannaelle était le nom que ses parents avaient donné à leur défunte fille morte à la naissance avant celle de Caroline. Surnom : Vous vous y risquerez ? Elle n'aime pas les surnoms et risque de vous cracher au visage si jamais vous oser lui faire un tel affront. Sa mère la surnomme Carlie, mais elle déteste foncièrement. Regards meurtriers s'en suivent souvent. Âge : Elle est âgée de dix-neuf ans depuis le mois d'octobre. Date et Lieu de Naissance : Elle est née dans un champ alors que sa mère ne croyait pas du tout devoir la mettre au monde seule. Éloignée de tout, coincée dans le minuscule village de Fordwich en angletterre, c'est le 30 octobre qu'elle est née dans le froid de l'automne et dans les feuilles mortes. Nationalité : Elle anglo-allemande, née d'un père anglais et d'une mère allemande d'origine, même si elle vit depuis toujours en angleterre. Pureté du sang : Elle est née de deux parents moldus de la classe ouvrière avec très peu d'éducation et qui ne comprenaient même pas ce qui se passait avec leur fille unique. Année d'étude & Maison : Elle est en cinquième année et dans la maison des gryffondor aussi étonnant que cela puisse paraître. Même si elle détonne un peu, elle est pourtant l'une des plus courageuse de sa maison, fonçant vers le danger en le regardant avec un sourire. Orientation sexuelle : Elle est altersexuelle, parce qu'elle refuse de se définir par une orientation sexuelle basée sur l'attirance d'un sexe en particulier. Elle ressent l'attirance sans choisir véritablement la personne, c'est son instinct qui la guide. État civil : Caroline est célibataire, sans moyen de s'en sortir. Elle n'as jamais cherché l'amour et refuse l'idée et l'image du couple tout comme l'institution du mariage.
le sorcier en toi
Baguette :Caroline était devant Ollivander et le fixait des ses yeux d'animal sans dire un traître mot alors qu'il tentait de cerner la sorcière indéchiffrable. Il tendait sa main vers elle alors que des sons bestiaux et affrayant sortaient de sa gorge. Il n'eut pas vraiment besoin d'en faire plus pour connaître la baguette qu'il lui fallait, il fallait malgré tout prendre ses mesures diverses et Strang ne collaborait pas. L'envoyé de Poudlard du la tenir pendant que le fabriquant de baguette prenait ses mensurations. Plusieurs morsures sur les bras de l'homme la retenant, mais elle avait pourtant sa baguette. Précisément 27,25 centimètres, en bois de lierre, contenant une ventricule de coeur de dragon en son centre. Le sortilège qu'elle lança faillit découpé le sorcier qui venait de la lui tendre. Il l'évita de justesse en se cachant sous son comptoir. Le responsable la lui confisqua avant de ne régler la facture.Patronus : Son patronus ne prend pas la forme d'un serpent, mais bien d'une immense veuve noir. Pas réellement noire en fait, mai plutôt argentée. Une veuve qui file à toute allure d'unr air menaçant et inquiétant. Épouvantard : Caroline n'as peur de rien, même la mort ne lui fait pas peur. Elle était persuadé de voir son épouvantard disparaître pour prouver qu'elle est sans craintes. Pourtant son épouvatard se transforme en elle-même. Une version encore plus angélique de sa personne, les cheveux plus clairs, les yeux bleus, une robe blanche tachée de sans et un couteau pointu en mains. Particularité : La jeune femme est fourchelangue. Née avec ce don merveilleux qui ne s’acquiert pas. Elle s'est exprimé en fourchelangue avant même de prononcé ses premiers morts anglais. Elle a également développé une complicité avec les ses reptiles qui est à glacé le sang. Toujours fourré dans la forêt, noyé dans une marre de serpents qui s'enroulent autour d'elle en sifflant. Options choisies & métier envisagé : Ses options sont soins aux créatures magiques et divination. La première choisie pour en savoir plus sur les espèces reptiles magiques et la deuxième, parce qu'elle avait l'air à demandé moins de rigueur que les autres. Elle ne sait pas ce qu'elle veut faire plus tard, langue de plomb lui semble une bonne option. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Oui, plusieurs fois même. Seule, parce qu'elle n'as besoin de personne pour faire le mal. Vous voulez vraiment connaître les détails des horreurs qu'elle à fait avec la magie noire ? Patience, bientôt, vous saurez tout. Quelle est votre opinion sur les rumeurs de rébellion au sein de l'école ? Elle s'en fiche royalement. Elle se fiche du sang des gens, ce fiche de cette guerre stupide et n'en a rien à faire d'être une née-moldue. Elle mérite de mourir selon ses terroristes ? Surement, mais elle les tuera avant qu'ils n'aient même levés leurs baguettes crochues.
Dernière édition par Caroline H. Strang le Jeu 22 Nov - 1:33, édité 9 fois
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 4:05
ton histoire
Out on your own, cold and alone again. Elle était magnifique, à couper le souffle. Sur son passage, les coups se tordaient, les mâchoires s'ouvraient, les yeux s'écarquillaient. Dans ce minuscule village de trois cents habitant, elle était étrangère, elle était en visite et donc intrigante pour chacun. Cette jeune femme bien mise et à l'élégance flagrante ne pouvait que charmer les habitants avec son accent allemand auquel on ne comprenait rien, mais qu'on trouvait fascinant. C'était une cousine éloignée en visite, une femme de passage, un rayon de soleil dans les murmures sombres de Forwich. On épiait ses moindres mouvements, chaque fois qu'elle se retournait, les gens chuchotaient ou la fixaient et l'allemande en fut rapidement énervée. C'est ainsi qu'elle décida de fuir les villageois pendant quelques heures où la magnifique demoiselle décidait d'aller visiter les bois des alentours seule, sans avertir personne. Ce fut revigorant, elle marchant tranquillement sans savoir où elle était et où elle allait. Les yeux à peine ouverts, ses laissant guider par ses autres sens tandis que le soleil caressait sa peau délicieusement pâle. Elle était si émerveillée, qu'un bruit de cassure la fit sursautée et se retourner. Sous son regard, un homme qui aurait pu être beau, mais qui baignant dans la sueur et la saleté de la forêt. Un bûcheron qui suait à grosse goûtes tout en jurant en à faire vriller les oreilles les moins saintes. La demoiselle aurait du être dégoûtée par ce rustre, elle qui avait l'habitude de fréquenter des hommes se pliant sur son passage ou levant leurs chapeaux pour la saluer. Pourtant cet homme à la chemise souillée par son labeur l'attirait inlassablement. L'étrangère aurait pu passer des heures à l'épier en silence, retenant son souffle pour ne pas être repérée. Un craquement, malgré elle son pied avait écrasé une branche. L'homme se retournait en sa direction, hache en main, repérant la jeune femme. Il émit un grognement, finis d’abattre l'arbre avant de ne le traîner sous son bras pour s'enfuir. La demoiselle était pourtant hypnotisée et se décida à le suivre en silence, se cachant derrière les arbres pour éviter qu'il ne la repère de nouveau. Ce qu'elle ne faisait était plus logique, elle laissait son instinct et son désir la mener. L'homme des bois n'était pourtant pas né de la dernière pluie, il savait quelqu'un le suivait. Alors qu'elle sortait de derrière un arbre pour le suivre de nouveau, elle s'étonnait de ne le voir nul part. C'était à croire qu'il s'était volatilisé. Puis, surgissant de nul part pour la serrer entre lui et un arbre. L'étrangère poussa un cris perçant devant le visage taché de boue et luisant de sueur de l'homme. Ce dernier fut apeuré par ce son, reculant sans jamais cesser de la fixé dans un doux mélange d'admiration et de frayeur. Pourtant sa voix féroce exprimait la colère alors qu'il grommellait, : « Pourquoi tu m'suis ? ». La jeune femme était prise au dépourvue, elle qui était convaincue d'être discrète quelques secondes avant que son stratagème ne soit démasqué. « mmm... je... vou... Je voulais vous parlez... » L’ermite la regarda de bas en haut, lui qui n'avait ni vu ni effleurer une femme depuis si longtemps, perdu dans le fond de ses bois où tous les craignaient et où il n'entendait pas les échos de papotages mesquins desquelles personne du village n'étaient à l'abris. L'Allemande dût s'user de patience pour apprivoiser l'homme, elle revenait tous les jours le voir dans la forêt, restant loin de son air de travail au tout début, pour se rapprocher de plus en plus. Restant silencieuse, pour ensuite lui jeter quelques mots entre deux coups d'haches ou d'outils. Sans vraiment s'en rendre compte, la bête devient docile avec la demoiselle et celle-ci prolongea son voyage dans le petite contrée. Les potins courraient au village, mais ils n'entendaient rien. Ils n'avaient le droit qu'aux murmures de la nature. Avant qu'ils ne s'en aperçoivent eux-mêmes, ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre. Tranquillement, la demoiselle s'installait dans la maison du sauvage. Restant chez-lui très tard jusqu'à ce qu'elle tombe de fatigue contre lui près du feu, tantôt partageant son lit sans caresses aucunes. Bien vite pourtant, elle avait élu domicile chez-lui, ne retournant plus chez sa cousine, ce qui semait l'inquiétude. Pas de mariage, pas de cérémonie et d'officialisation. Un bébé dans le tiroir et une tarte au myrtille dans le four.
Pourtant ce premier bébé ne fut pas notre héroïne. Ce premier enfant ne vit jamais le jour. Né alors que la demoiselle se lavait dans la rivière et n'arrivait pas à rejoindre le bord à temps. L'enfant mourut de froid avant qu'elle n’atteigne le rivage, gelé. Ils le pleurèrent et enteraient cet enfant qu'ils avaient nommé malgré son décès. Le couple décida de remplacer cet mort par un autre enfant alors qu'ils multipliaient les câlins nocturnes dans l'espoir de voir un jour le ventre de la femme grossir de nouveau. Ils ne commencèrent à y croire que lorsque le ventre de la jeune femme ne pouvait plus être cachée. C'était inévitable, elle portait son enfant sans véritablement savoir quand elle lui donnerait naissance. Le couple se réjouissait de la nouvelle, même s'ils ne prévoyaient pas se rendre à l’hôpital où dans la civilisation pour quelques soins prénatals et éviter le destin tragique de leur enfant précédent. Ils donneraient naissance à l'enfant ensemble, au milieu de leur maison en bois découpé par les soins de son amour. C'était par un matin un peu frisquet d'octobre que la demoiselle couvrit son énorme ventre pour se garder au chaud alors qu'elle partait pour aller cueillir des framboises. Elle partait seule tandis que son homme allait à la chasse pour leur rapporter également son pesant de nourriture. Elle s'y était donc rendue, souriante, chantonnant malgré l'air glacial qui lui fouettait le visage. Elle sifflotait alors qu'elle ramassait les fruits délicieux, en apportant parfois à ses lèvres délicates pour s'en régaler. Son panier était rempli à moitié avant qu'elle ne le renverse sur le sol en entier sous le coup de poignard déchirant son ventre. Son hurlement de douleur fit trembler tout le village. Elle tombait à genoux en tenant son ventre dans lequel la douleur était insupportable. Ce fut son instant qui prenait la place alors qu'elle allait bientôt mettre bas, couchée seule sur le sol comme une bête. Après de longs moments de douleur où elle poussait pour faire sortir le démon lui dévorant les entrailles, un son étrange ce fit entendre. Elle attrapait son bébé pour le coller à elle et le réchauffé. La petite fille était couverte de sang, de feuilles et de terre. La femme était heureuse, mais malgré tout inquiète que le bébé n’émette aucuns bruits. Elle tapotait son dos en espérant l'entendre pleurer ou tousser. Le son qui sortit de la bouche de son nouveau-né fut tout autre. Un sifflement de bête, un sifflement qui était loin d'être humain. Elle prit peur, éloignant son enfant d'elle, mais il se mit aussitôt à pleurer. On dit que la première mission d'un bébé est de charmé ses parents. Pour Caroline, c'était complètement raté. On lui avait donné le prénom d'une grand-mère qu'elle n'avait jamais connue et qui était morte ainsi que celui de sa soeur morte gelée alors qu'elle venait de naître et le nom d'un homme qu'il ne l'avait même pas vu prendre sa première goulée d'air.
L'enfant grandis sans vraiment être une humaine. Crainte de ses parents par les sons étranges qui s'échappaient sans cesse de ses minuscules lèvres rosées et comparable aux murmures des serpents. Elle reçu très peu d'amour de ses parents de ce fait. On lui donnait à manger, puis on la remettait dans son lit. Ils ne voulaient pas la garder trop longtemps dans leurs bras, de peur qu'elle les mordent et leur donne l'étrange virus duquel elle était atteinte. Le bébé grandit et devient une enfant qui ne parlait presque pas. Un jeune fille sauvage, qui ne supporte pas d'être touchée et qui n'aime pas vraiment être en la présence de d'autres gens. À peine âgée de quatre ans, la gamine vêtue de aillons s'enfuyait dans la forêt dès son réveil pour ne revenir que lorsque la nuit commençait à tomber. Ce qu'elle faisait de ses journées ? Elle se baladait dans la forêt et allait voir ses amis : les serpents. Couchée sur le sol alors qu'ils s’attroupaient tous autour de l'enfant pour l'écouter parler cette langue qu'ils comprenaient. Rapidement, elle devient leur reine, leur humaine qui revenait tous les jours. Plusieurs années passèrent avant qu'elle ne cherche plus que ses conversations avec les serpents dans les bois. Et encore, c'était les seules bêtes avec lesquelles elle était agréable. Souvent, pour leur faire plaisir, elle tuait d'autres bêtes et leur apportait pour qu'ils mangent. Des souris écrasées, des oiseaux abattus avec des pierres desquelles elle arrachait les ailles avant de ne leur arracher les plumes pour en faire un délicieux repas. Pourtant, lorsqu'elle avait treize ans, la prédatrice chassait alors que son attention fut détournée de la petite bête. Près d'un ruisseau, un homme. Un jeune homme de peut-être trois ans son aîné et qui n'était ni son père ni sa mère. Un garçon qui se baignait complètement nu dans l'eau probablement glacial. Caroline se planquait pour ne pas être repérée, sans pour autant réussir à détourné son regard de cet être qui l'intriguait au plus haut point. Elle restait là tout le temps qu'il y fut, une heure, peut-être plus avant qu'il ne ressorte du bassin dans toute sa nudité pour s'endormir tranquillement sur une pierre au soleil pour se faire sécher. Puis il se réveillait avec un mal de crâne affreux, attaché à un arbre, légèrement vêtu alors qu'il ne comprenait pas ce qui se passait. Une jeune femme était devant lui et l'observait. « Qu'est-ce que... Où est-ce que... Tu peux me détacher petite ? Je ne sais pas qui m'as... J'ai froid... Aide-moi ou va chercher de l'aide... Attention il y a un... » Serpent ? Oui et il n'allait pas faire de mal à Caroline. Il s'enroulait autour de son corps pour venir se loger derrière sa nuque, en suspension sur les épaules de l'enfant devenue femme qui souriant en touchant la bête du bout de ses doigts tout en sifflant comme lui. Son regard si brun qu'il en était noir se posait sur l'adolescent tout en hochant négativement de la tête, son sourire ne s'évaporant pas. Elle s'approchait de lui, tendant sa main pour caresser son visage, descendant le long de son cou alors que ses ongles s'enfonçaient doucement dans sa peau sous les plaintes de l'inconnu. « Non. T'es à moi. » Ce n'était que le début de l'enfer pour ce jeune homme qu'elle décidait de garder captif pour être son jouet. Elle retournait le voir tout les jours pour jouer avec lui. Son corps était couvert de marques à force que la demoiselle ne tente de voir ce qu'il y avait sous la peau du jeune homme. Un jour, elle s'amusait avec ses lèvres sans écouter ses plaintes lui répétant qu'il mourrait de fin. Elle s'amusait à caresser les lèvres du jeune homme avec ses doigts alors que soudainement, il la mordit. La jeune fille ne fit que retirer son doigt alors qu'elle le fixait. Approchant son visage au regard mauvais du sien. Imitant ce qu'elle avait vu de ses parents, elle collait ses lèvres contre celle du jeune homme pendant quelques doux instants, puis tout basculait. Ses dents de vipère s'enfonçaient dans la lèvre du jeune homme avec férocité. Il hurlait, mais elle n'arrêtait pas. Elle laissait son sang couler dans sa bouche pendant un long moment, puis elle se reculait, se relevant, le fixant un moment avant de ne s'attarder à le ruer de coups de pieds en rigolant. Le lendemain, elle revenait le voir, mais il ne bougeait plus, il n'ouvrait pas les yeux. Caroline le touchait pour découvrir son corps glacé. Il était mort, comme les autres petites bêtes qu'elle avait frappées avec des pierres. Caroline était fâché, secouant le cadavre en espérant qu'il se réveillerait. Elle le détacha même, le frappa avec un bâton, lui lança des pierres avant de ne voir qu'il n'y avait plus rien à faire. La horde de serpent ne tardait pas à arriver en entendant ses sifflements de rage. Elle les regardaient en soupirant, fixant de nouveau le corps sans vie tandis qu'en fourchelangue, ses mots s'échappaient « Mangez-le. » Caroline n'y participait pas, regardant le spectacle du corps de son jouet être déchiré par les bête alors qu'elle trouvait cela affreusement drôle.
Quelques années plus tard, de nouveau visages étrangers débarquèrent chez-eux. Toute la famille était ébranlée alors qu'on cognait à leur porte. Caroline se levait, sur ses gardes. Sa mère se cachait alors qu'on son père prenait une hache pour aller ouvrir la porte. Il fut expulsé au sol alors que trois nouveau jouets entraient dans la maison. Une lettre en main, ils la tendaient à Caroline qui ne comprenait pas ce qui se passait. Ils durent lui expliquer plusieurs fois qu'elle était une sorcière et qu'ils lui offraient d'intégrer le monde magique plutôt que de rester dans celui des moldus. La sauvage jeune femme ne comprenait pas et était légèrement en colère. Elle sifflait alors que l'un des aurors s'exclamait. « Elle est fourchelangue ! Par merlin, c'est normal qu'une né-moldue soit fourchelangue ? » Caroline ne comprenait rien à ce qu'ils disaient. Ils durent lui expliquer de long en large le monde magique, lui demandant ensuite si elle voulait les suivre. Instinctivement, elle hocha négativement de la tête, mais ils réussirent tout de même à la convaincre alors que ses parents ne souhaitaient que se débarrasser d'elle. Ce qui la convaincu ? Le jeune homme qui avait été son jouet... Elle s'était dit que là-bas, elle en aurait pleins. C'est ainsi qu'on intégra tant bien que mal la sauvagesse à Poudlard. Considéré comme atypique, elle arriva tout de même à créer quelques liens avec certaines personne, même si son comportement est souvent difficile à gérer. Elle appris la magie sans grande difficulté, démontrant un goût particulier pour tout ce qui à trait au mal, à la destruction, à l'attaque. Les sortilèges de métamorphoses ne sont pas son fort, mais la confection de fioles de poison et l'un de ses passe-temps, tout comme se rendre dans la forêt interdite pour retrouver ses fidèles amis.
le moldu derrière tout ça
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Dernière édition par Caroline H. Strang le Sam 24 Nov - 14:44, édité 17 fois
Charles A. Archer
HRIen depuis le : 10/11/2012 Parchemins écrits : 1449 Statut : Heart under arrest
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 4:19
WELCOME HERE Bon courage pour ta fiche Leighton
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 4:22
Merci beaucoup.
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Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 6:49
Bienvenue jolie caroline
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 9:18
oh yeah sweety :nomnom: (ton second gif m'a fait marrer XD) et oui, ton prénom pour le code (a)
Alesya Y. Lestrange
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Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 9:30
Définitivement, tu me donnes envie de rereregarder The Roommate. Leighton était étrangement bonne, en sociopathe, c'est à se demander si c'était un rôle de composition bref AH, en plus, t'as mon prénom dans ta signature. Héhé
Anyway ; bienvenue sur HRI ! Tu connais le chemin de ma boite MP en cas de question supplémentaire
Et pour le code : l'un ou l'autre, on veut juste savoir qui a lu jusqu'en bas et donc capté le truc
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 10:39
Bienvenuuuuuuuue.
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 11:00
Mon petit Loki avait raison, vous êtes trop gentils ici. Merci Ade, avec la magnifique Kaya, je te kiffe déjà, même si je ne crois pas que nos persos s'entendront.
Merci Loki, oui, le chat quoi, attend un peu de lire son histoire Et puis je t'ordonne de remplir ma boîte à Mp illico, faut qu'on se trouve un lien de la vie.
Merci Alesya, t'en fait pas, je risque d'y retourner sur le chemin de ta boîte mp, merci pour tout. Oh oui, moi aussi, je ne croyais jamais avoir peur de ''Blair Waldorf'' quoi, mais c'est pour ça que je trouve que c'est une actrice géniale.
Merci Merry, ton gif il tue en passant. Quels jolis yeux quand même.
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 11:09
une sociopathe et un psychopathe en action ? J'adhère au lien qui tue la vie
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
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Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 11:33
Planquez-vous, tous...
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 15:07
Bienvenue et have fun Très bon choix d'avatar
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 16:09
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche.
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 20:48
Oh oui planquez-vous Merci vous deux. Eithlenn ou la déesse du scénario, j'ai vraiment aimé celui avec Candice, il est trop bien.
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 20:54
Merci beaucoup, parce que sincèrement j'ai jamais trouvé que j'avais un talent pour les scénarios.
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 21:46
Welcome beauty Have fun & good luck pour ta fiche !
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 21:54
Oh mais nan, j'ai fallais craquer pour elle *pas taper *
Hello sexygod, qué tal ? Merci
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 22:03
Ca va très bien et toi ? Hâte de lire ta petite fiche witch on trouvera un bon lien
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 22:29
Alesya Y. Lestrange a écrit:
Planquez-vous, tous...
voilà quoi. Rien que parce que tu as fait peur à Alesya, on sera amie *pan* bienvenue ici et j'ai hâte de voir ton personnage
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 22:41
NON PAS LE CHAT *pleure et sauve le minou*
Absolem est bizarre a mort aussi. Mais dans le bon sens, c'est pas vraiment un psychopathe. J'pense qu'on pourra se trouver un lien intéressant tous les deux *___* hâte de voir un peu plus de trucs sur Caroline.
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Mar 20 Nov - 22:46
James, c'est comme si c'était fait. Ange, ah oui ? Tu crois qu'elle arrivera à supporter Caroline ? Absolem, oh si, le chat. Un lien entre bizarroïde me fera le plus grand plaisir.
Merci à tous, en passant.
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Ven 23 Nov - 3:25
Bienvenueeeeeeeeee!
*Donne un :arté: sourire*
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Ven 23 Nov - 11:40
Bienvenue ici =)
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Sam 24 Nov - 16:25
Un cookie ? C'est toi que je vais bouffer si tu touche mon Loki. (Merci tout plein )
Merci à toi aussi le frère Scott. Un autre né-moldu quoi
Bon, voilà, j'ai terminé. Bonne lecture à l'âme courageuse qui devra se taper ma présentation.
Invité
Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline Sam 24 Nov - 16:31
Je le touche quand je veux ton Loki, c'est mon cousin ... Y a son nom sur mon testament xD
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Sujet: Re: she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline
she was serious when she said ''i'll kill you'' - caroline