Sujet: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 18:38
Orion Hélios Dolohov
(hell)▽ Il parait que j’ai tout : je suis beau, jeune, riche. À un détail près : je suis beau, jeune, riche et lucide. Et c’est ce détail qui fout tout en l’air.
carte d'identité
→ Nom : Dolohov, patronyme plus que redouté dans le monde des sorciers. Et croyez-moi, on comprend pourquoi... Prénom(s) : Orion, comme premier prénom, référence à un chasseur dans la mythologie grecque qui était réputé pour sa violence et sa beauté. Un prénom qui sied donc à merveille le rejeton de Carrycus Dolohov, le frère d'Antonin. Comme deuxième prénom, sa mère a insisté pour lui faire porter le nom de son grand-père maternel : Hélios. Surnom : Aucun surnom, il ne supporte pas qu'on puisse donner un diminutif à son prénom ou qu'on l'appelle autrement que Orion, ou Dolohov. Âge : 20 ans depuis le mois d'octobre. Date et Lieu de Naissance : Né un certain 13 octobre 2001, au manoir des Dolohov. Nationalité : Anglais, par son père et français par sa mère.Pureté du sang : Un sang-pur, bien évidemment. Vous pensiez réellement que la famille Dolohov aurait pu engendrer un sang-mêlé ? Année d'étude & Maison : 7ième et donc, dernière année dans la noble et illustre maisons des Serpents. Orientation sexuelle : Un hétérosexuel de pure souche qui est rebuté par les homosexuels et les a en horreur. État civil : Fiancé depuis peu de temps à Luce Yaxley.
le sorcier en toi
Baguette : La baguette d'Orion est fait en bois de hêtre, comportant à l'intérieur de celle-ci, du venin de serpent gelé. Une baguette fort originale qui a tout de suite accroché avec Orion. Souple et très maniable dû à sa taille, elle est parfaite pour les duels et les sortilèges. Patronus : C'est un énorme crocodile qui apparait lorsque Orion fait utilise son patronus du bout de sa baguette. Pour le faire venir, il pense à une ère nouvelle où les sangs-purs seraient enfin reconnus comme étant maîtres suprêmes du monde magique et, où les sales sangs de bourbes seraient réduits en esclavages. Épouvantard : Personne ne sait exactement de quoi pourrait avoir peur Orion. En vérité, il n'a pas de peur ancrée qui le hante et le fasse cauchemarder. Par ailleurs, il craint plus que tout son paternel qui se montre aussi violent qu'autoritaire. Mais, malgré le fait qu'il redoute son géniteur, Orion ne peut s'empêcher de le respecter. Ceci étant, la mort de sa petite sœur pourrait lui être fatal, bien qu'il n'en ait pas conscience. Particularité : Il ne possède pas de don particulier. Cependant, et si on peut appeler ça des particularités, il a divers tatouages sur tout le corps, cinq au total : un serpent qui enroule son biceps, les initiales de sa petite sœur dans le cou, la marque des ténèbres sur l'avant-bras droit - mais qu'il cache, non pas par honte mais pour sa sécurité -, une citation de William Shakespeare sur le torse et en chiffre romain le numéro neuf. Il a aussi une tache de naissance dans le dos, en forme de croissant de lune. Et, pour finir, il a une oreille percée. Options choisies & métier envisagé : Lors de sa cinquième année, il a choisit les options Arithmancie et études des runes. Il ne sait pas encore ce qu'il veut faire plus tard, il espère secrètement qu'une révolution va renverser le pouvoir actuel et que les mangemorts reviendront au pouvoir. Si ça arrive un jour, il aimerait simplement être un mangemort fidèle qui effectuerait ses propres missions - il ne supporte pas l'autorité. Avez-vous déjà fait usage de la magie noire ? Bien évidemment. Il ne peut s'appeler réellement Dolohov sans avoir fait de la magie noire. D'ailleurs, il la pratique très souvent, même dans l'enceinte du château. Ça l'aide à tenir le coup et à se divertir. Plutôt Ombre ou Ordre ? Pourquoi ? C'est un pro-ombre, il revendique clairement son statut de sang-pur et est fière d'être un fils de mangemort, même si cette valeur s'est perdue et que ça ne soit plus considérée comme telle. Il souhaite que le monde des sorciers soit nettoyés de ces sales petits nés-moldus qui se permettent de salir la beauté inégalable de la magie et souille le mot sorcier. La disparition d’un élève de Poudlard vous perturbe-t-elle ? Honnêtement, ça lui fait ni chaud, ni froid. Tant pis, ça ne fera pas une perte, les premiers à disparaitre sont toujours les plus faibles à ses yeux, donc, c'est un mal pour un bien. Êtes-vous inquiet pour votre sécurité, celle de vos proches ? Peur ? De quoi ? De l'ombre dont il fait parti ? Non... Orion ne craint rien, il se sait en sécurité lui et ses proches puisqu'ils sont du bons côtés, celui des héros non récompensés et incompris. Que pensez-vous des attaques de Pré-au-Lard ? C'était fort intéressant pour Orion de s'y promener afin de s'en prendre à sa victime de la soirée. Celle-ci avait été choisit par les supérieurs de l'Ombre mais s'est tout de même bien amusée à blesser presque à mort cette sale sang-de-bourbe. Une bonne soirée comme il les aime. Le gouvernement et les médias nient l’existence d’une force semblable aux Mangemorts. Et vous, vous en êtes où à ce sujet ? Orion n'est pas stupide. Il est derrière tous les actes de l'ombre avec ses camarades donc il sait très bien comment réagir face au ministère et aux médias. De plus, son père était un mangemort donc c'est une véritable habitude familiale. Il est assez étonné, cependant, de constater que Poudlard arrive à garder les derniers incidents secrets.
le moldu derrière tout ça
Pseudo : Lizzie, la schizophrène chocolatée. Âge : 20 ans... Avatar : Colin HOT O'Donoghue Fréquence de connexion : Je suis là tout le temps, c'est mon rôle de modératrice qui m'y oblige. Comment as-tu connu le forum ? Longue histoire... Faîtes un bisou à Mary, ça ira plus vite. Code : Auto-validation Copyright : tumblr est mon meilleur ami.
Dernière édition par Orion H. Dolohov le Mer 22 Mai - 20:15, édité 5 fois
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 18:38
The darkness have my name
Oyez, oyez, petit curieux en quête de curiosité ou d'histoires anormales. Saviez-vous que les légendes, les histoires ou les contes étaient souvent inspirés de faits réels que les auteurs à travers les âges, ont relatés pour que jamais on ne puisse oublier ces diverses histoires marquantes. Si vous voulez en savoir plus sur le neveux d'Antonin Dolohov, il va falloir être patient, car l'histoire d'Orion commence bien avant sa naissance. En fait, elle commence il y a des siècles et des siècles...
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Chapitre un Cause you & I, we were born to die.
Il regardait le coucher de soleil s'étendre sur toute la ville, admirant les reflets rosés légèrement teintées vers le violet se refléter sur les toits en tuiles marrons, qui avaient la particularité de changer de tons en fonction du ciel et de ses humeurs. Comme des simples caméléons. Bientôt, les étoiles se mirent à scintiller dans ce ciel encore nuancés par la boule de feu qui faisait une dernière fois, ses hommages à sa ville. Vérone. Il n'y avait jamais eu plus belle cité au monde. Et il le savait pour avoir eut l'occasion de voyager aux côtés de son paternel durant des mois et des mois sur un bateau si imposant et si illustre, qu'il en était même tombé amoureux. Et pas seulement du navire. De la mer. Ce lien qu'il avait réussit à créer avec les sept océans. Un frisson lui parcourut le corps et remonta le long de son échine, nostalgique. Du haut de sa colline, il aurait aimé pouvoir la voir, s'échouer contre les dunes de sables ou de tranchantes falaises. Juste pour écouter et profiter encore une fois de cette simple mélodie. Celle de l'appel de l'océan. D'ici, alors qu'il était sur les hauteurs de la ville et qu'il la voyait s'étaler sous ses iris bleutés, il ne voyait même pas le lac de garde et un goût de frustration vint chatouiller ses papilles. Heureusement qu'il n'avait pas qu'un seul grand amour... « Roméo ! Roméo ! » En entendant la voix paniquée de son meilleur ami, Mercutio, le concerné se retourna vers la lisière des bois et écarquilla des yeux en l'apercevant dans un sale état, blessé jusqu'au sang. Happé par un sentiment de panique, Roméo s'élança à la rencontre de son ami et l'attrapa de justesse alors qu'il allait s’effondrer dans la boue. « Mercutio, pour l'amour de Dieu, qui a osé te faire ça, mon ami ? » Le sang coulait en abondance et Roméo savait que ses jours étaient en danger, il devait l'amener au plus vite chez un médecin. Question de vie ou de mort. Alors qu'il tentait de le remettre sur pieds, Mercutio le poussa brutalement en hurlant sa douleur. « NOOON ! Tout ceci n'a plus d'importance, Roméo. Je suis perdu. » « Vas-tu te taire sombre idiot ? Je ne te laisserai pas dans cet état et... » « Mais, elle... Elle peut encore être sauvée mon ami. » Roméo se figea et il sentit son cœur s'alourdir dans sa poitrine. Parlait-il de... ? En un croisement de prunelles, le brun comprit directement qu'il parlait bel et bien d'elle. La panique l'engloba entièrement. Si Mercutio était son meilleur ami et son frère d'arme, elle... Elle était bien plus précieuse à ses yeux. Ultime fruit défendu qu'il n'était censé aimer et pourtant... Sa raison lui dicta de rester auprès de son compagnon amoché et son cœur... Son cœur, lui, ne désirait qu'une chose : elle. Mercutio dû voir le cruel dilemme auquel Roméo était en train de faire face, et lança d'un ton sans appel : « Je suis presque déjà de l'autre côté, mon ami, mon frère. Nous savions que ce jour finirait par arriver. Toi, comme moi. Cours la retrouver et la sauver, cours avant que tu ne périsses en même temps qu'elle, ravagé par l'amour que tu lui portes. Je ne t'en veux point, mon frère. » Roméo acquiesça lentement la tête et une étincelle de haine s'illumina dans ses iris grisés. « Le sorcier » souffla Mercutio dans un dernier souffle, comme s'il avait lu dans ses pensées.
Roméo courrait à travers la ville qui avait toujours été sienne mais qui lui semblait être une étrangère aujourd'hui. Il était taché de sang, portant sur lui la trace indélébile de l'assassinat de son défunt ami. Il le vengerait. La nuit avait fini par encercler la cité, et avec, un étau glacial d'un vent hivernal. Il ne savait pas par où aller, ni dans quelle direction, il suivait juste son cœur en espérant que cela soit suffisant. Et miracle... Il les retrouva. Le sorcier et elle. Juliette. Sa Juliette.
Mais son soulagement fut de courte durée quand il l'aperçut en bien mauvaise posture, menacée par le vilain, un couteau collée à la carotide de son cou. Son regard bleuté se posa sur lui, et bien que la peur trahissait son visage, Roméo aperçut bien vite cette fameuse lueur s'allumer, dansante dans ses iris en amandes. Aussitôt, il se souvint de la première fois où ils s'étaient rencontrés. A un bal masqué, quelques mois auparavant. Il ne la connaissait pas, ne l'avait jamais vu auparavant et il avait suffit d'un regard et d'un simple sourire de sa part pour qu'il en tombe désespérément amoureux. Une danse et un baiser plus tard, le mot désespéré prit tout son sens quand il apprit qu'il s'agissait de Juliette Capulet. La fille des ennemis mortels de sa propre famille, les Montaigu. Deux grandes et nobles familles qui se doivent de partager la ville malgré leur aversion réciproque. Et pourtant, Roméo ne renonça pas à sa Juliette. Ils continuèrent même de se voir en cachette, partageant des moments à deux où ils ne faisaient que de rêver d'un monde meilleur, un monde où ils leur seraient permis de s'aimer sans discordes. Mais, possédés par leur amour, Roméo et Juliette se marièrent même à l'abri des regards indiscrets afin de consommer en toute légalité leur mariage et leur passion. Tout aurait pu bien marcher, puisqu'ils avaient prévus de s'enfuir par les mers, ce soir même. Mais, visiblement, on avait découvert leur liaison et leurs plans.
Le sorcier, un homme très connu dans sa ville de par sa puissance et sa malveillance, émit un léger rire loufoque en le voyant s'approcher d'un pas très prudent. « Un pas de plus, Montaigu, et tu peux dire adieu à ta précieuse petite perle » souffla l'agresseur, un sourire sadique tordant son visage joufflu. « Laissez-là partir, vieux fou et battez-vous contre quelqu'un de votre taille. » « De ma taille ? rit-il en appuyant davantage la pression du couteau sur la peau de sa douce. Crois-moi, Roméo Montaigu, ta douce Juliette est capable de bien pire que moi. Tout comme toi. Et c'est pour ça qu'on m'a chargé de vous détruire tous les deux. » Le jeune homme posa la main sur son épée et osa un autre pas tout en demandant : « Qui vous a demandé ça, sorcier ? Expliquez vous, si vous comptez nous tuer, ce soir ! » Aussitôt, le vieil homme poussa Juliette sur le côté et cette dernière trébucha par terre en émettant un râle de douleur. Un muscle au niveau de la mâchoire de Roméo tressaillit légèrement en remarquant du sang couler sur le visage de la brunette et il fit craquer les jointures de ses doigts, en serrant les poings, de plus en plus irrité. « J'ai vu l'avenir, Roméo Montaigu, et crois-moi, votre amour n'a rien d'idyllique. Vous allez mettre Vérone à feu et à sang. Ainsi, ce sont vos parents qui m'ont chargé de cesser cette passion ardente mais destructrice qui vous anime tous les deux. » « MENSONGE ! Jamais nos parents n'auraient pu vous ordonner de nous tuer ! Je ne crois pas en vos mots, perfide serpent. Vous êtes le diable en personne ! » Le sorcier ria de plus belle et sortit une baguette en bois, plutôt longue. Roméo hésita en le voyant sortir son arme. « Je ne vais pas vous tuer, mon cher. Je vais simplement devoir vous maudire et vous séparer pour le reste de toutes vos vies. Car, je ne doute pas que vous arriverez à vous retrouver un jour ou l'autre et à détruire le monde entier par vos immondes et égoïstes sentiments. Vous ne devez jamais être ensemble, jamais ! » « Vous êtes fou ! Ce que vous dites n'a aucun sens, monsieur. » Comprenant qu'il avait à faire à un fou, Roméo ne sortit pas son épée de son écrin et se rapprocha de Juliette pour l'emmener le plus loin possible de cet homme, de cette ville et de cette folie. Mais, avant que sa main ait pu toucher la sienne, ils furent tous les deux paralysés tandis que le sorcier pointait sa baguette vers eux, en parlant distinctement. Malédiction, il lançait une malédiction.
« Et par les pouvoirs de magies noires auxquels je fais appel, et par le sang que je ferais couler ce soir, ce qui sera fait ne pourra être défait et dans cette vie comme dans une autre, jamais plus Roméo et Juliette ne pourront se retrouver et s'aimer à nouveau. Et jamais plus, ils ne pourront s'embrasser à nouveau sans risque de s'embraser. »
Il s'approcha alors de Roméo et lui fit boire une mixture absolument répugnante, puis il fit de même avec Juliette. Les deux amants furent contraints d'abdiquer, puisqu'ils leur étaient absolument impossible de bouger, cligner des yeux étaient la seule chose qu'ils pouvaient faire. Se répandit alors en Roméo une atroce souffrance. Il put à nouveau mouver, mais ce fut simplement pour tomber à genoux devant leur agresseur qui sautillait partout tel un enfant, ravit de constater que tout ce qu'il faisait marchait comme prévu. C'est alors qu'il fit la chose la plus immonde et la plus douloureuse aux yeux de Roméo. Il introduit sa main dans son torse et comprima son organe vital en récitant des paroles qui n'étaient en rien de l'italien ou du latin. Roméo s'écroula alors dans les ténèbres, persuadé qu'il était mort des mains du sorcier.
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Vous connaissez tous la suite de l'histoire. Roméo et Juliette moururent tous les deux en oubliant tout de cette soirée où la magie se mêlèrent à leurs vies. Ils ne purent jamais s'échapper comme prévu. Juliette fut forcée d'épouser un homme que ses parents choisirent pour elle, malgré son autre mariage avec Roméo que tous considéraient comme annulé. Elle bu donc une potion, fait par ce même sorcier qui prétendu l'aider, afin de la faire passer pour morte le jour de son prétendu mariage. Elle serait comme morte, son cœur ne battrait plus, alors qu'en vérité, elle serait profondément endormie. Seul le baiser de son véritable amour pourra la délivrer de ce sort. Malheureusement, Roméo apprit la nouvelle sans réellement connaitre la supercherie qu'avait prévu Juliette et le sorcier. Ce dernier ne lui disant pas la vérité sur la réelle situation de son aimée. Désespéré, Roméo retrouva sa Juliette à l'église de Verone où ils s'étaient mariés, puis, il lui donna un tendre et délicieux baiser avant de boire du poison qui eut pour effet de le tuer directement alors que Juliette reprenait vie. Quand la demoiselle comprit que son âme-sœur s'était tué en imaginant le pire, elle se poignarda avec son épée, voulant à tout prix rejoindre l'amour de sa vie au Paradis.
Après cette vie-là, Roméo et Juliette vécurent huit autres vies différentes où ils tombèrent amoureux l'un de l'autre, sans jamais pouvoir être ensemble, séparés par des barrières qui les empêchaient de vivre leur amour réellement. Et à chaque vies, tous les deux mourraient dans d'atroces souffrances, ne pouvant continuer de s'aimer sans que ce soit possible. Bien évidemment, à chaque fois qu'ils revivaient, ils n'avaient aucun souvenir de leurs vies précédentes.
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Chapitre deux Nine lives after the beginning
Carrycus Dolohov, petit frère du célèbre mangemort Antonin Dolohov, attendait, très nerveux, sur le seuil de la chambre de sa femme qui, était sur le point de donner la vie. C'était là leur premier enfant et il espérait qu'il s'agirait d'un garçon qu'il aurait comme ainé, afin de pouvoir faire régner la tradition des Dolohov. Celle qui était de mettre en compétition les enfants qui portaient le même patronyme. Quelques années auparavant, Antonin eut un fils, qu'il nomma Raven. Nom que Carrycus avait jugé de ridicule. Enfin, il entendit le cri animé d'un bébé et il ne put s'empêcher d'ouvrir les portes d'un geste paniqué, intenable. Il fit sursauter les sages-femmes et les elfes de maisons qui s'occupaient du linge et de rafraichir sa femme, Mélodie. Celle-ci lui fit un sourire fatigué, malgré la pâleur de son visage et les longues heures à travailler, elle gardait cette même beauté singulière, petit rayon de soleil parmi les ténèbres. Il se rapprocha alors d'elle et du bébé, qu'elle portait dans ses frêles bras. « C'est un brave petit garçon, monsieur. » l'informa une des infirmières en rangeant son matériel médical. « Aussi courageux que son père. » rajouta sa femme en caressant la joue de son mari, heureuse d'avoir enfin une famille à elle. Carrycus embrassa alors sa femme et prit le nouveau-né dans ses mains, des projets pleins la tête.
*
« Orion ! Orion reviens ici, immédiatement ! » Le petit garçon, agé d'à peine trois ans, courrait comme un fou dans le manoir familial en rigolant à gorge déployé, amusé de faire tourner la tête de sa mère qui n'arrivait pas à le faire tenir en place. Merlin qu'il était amusant de pouvoir faire ce qu'on voulait, quand on voulait. En véritable petit prince de sang-pur, Orion avait tout ce dont il rêvait. Il était un petit garçon intelligent et parlait déjà deux langues : l'anglais et le français. Ainsi, ses parents le récompensaient très souvent de cadeaux en tout genre, toujours plus grand, toujours plus cher. Rien n'avait de limites pour le petit héritier de la famille Dolohov. Alors qu'il descendait les marches à vive allure, il rentra dans quelqu'un et le choc fut tel, qu'il tomba à la renverse. Tout en se frottant le front avec agacement, il redressa ses prunelles bleutés vers la personne qui l'avait freiné dans son jeu, bien décidé à faire une crise. Pourtant, il se calma bien vite en découvrant son père, la mine sévère et les lèvres serrés. Il semblait particulièrement en colère et Orion aurait voulu se faire aussi petit qu'une fourmi en ce moment même. Jamais avant aujourd'hui, son paternel ne l'avait regardé ainsi. Sa mère arriva alors à sa suite et s'appuya sur la rambarde, essoufflée, en voyant que son fils avait enfin cessé sa course. Elle était enceinte de quelques mois et son petit bidon ressortait déjà bien. Elle reprit sa respiration et, son mari, agacé de la voir dans cet état par la faute de leur fils, lâcha un soupir agacé et attrapa Orion par le bout de l'oreille. Il était temps de lui faire comprendre qui commandait dans cette maison. Et c'est ainsi, qu'enfermé dans le bureau de son géniteur, Orion fut frappé une dizaine de fois par une ceinture en cuire. Il pleura, supplia que l'on cesse ses souffrances, mais en vain. Son père lui fit clairement comprendre que ses lamentations ne servaient à rien mis-à-part le faire souffrir davantage. En effet, plus il criait et pleurait, plus son père frappait avec force.
Depuis ce jour, jamais plus on entendit Orion rire dans la demeure familiale des Dolohov.
*
Orion détestait aller chez son cousin pendant les fêtes de Noël. Si avant, ils avaient été proches, on faisait désormais tout pour qu'ils se détestent autant que leurs pères. Mais, Orion n'avait que sept ans et ne comprenait pas encore bien cette tradition familiale et ancestrale qu'il trouvait absolument ridicule. Cependant, pour éviter de décevoir son père et de le mettre en colère, il jouait le jeu et faisait mine de ne pas s'intéresser à son cousin tandis que ce dernier écoutait leurs parents parler politique et économie. Ennuyé par ce repas et à deux doigts de s'endormir dans sa soupe, Orion esquissa un sourire amusé en voyant sa petite sœur de quatre ans prendre un bout de pain et le balancer dans les cheveux de leur cousine qui ne s'en rendait visiblement pas compte. Il se retint de rire en voyant Azazëlle se retourner en dévisageant Orphée, sa propre sœur qui ne se gêna pas pour lui faire une grimace. Depuis la naissance de cette dernière, tous les deux étaient inséparables, rares étaient les fois où ils n'étaient pas en train de faire les quatre cents coups ensemble. Et à chaque fois, c'était Orion qui prenait les coups du paternel, assurant à chaque bêtises qu'ils faisaient, que lui seul était le responsable. Il aimait sa sœur et ne voulait pas qu'elle soit la victime de leur père violent - même à juste titre. A la fin du repas, les quatre enfants remontèrent les marches en courant pour aller jusqu'à la chambre de Raven. Enfin, ils purent jouer ensemble sans faire semblant de se détester. Ils étaient encore trop petits pour comprendre la haine et les problèmes de ce monde. Trop innocents pour être encore malveillants à souhaits.
*
Il était fou de rage. Tellement fou de rage. Ce n'était pas la première fois qu'il avait une crise de colère comme celle-ci, en fait, plus il réfléchissait et plus il se souvenait de toutes ces fois où il avait failli exploser, sous l'étau de cette furie, cette violence. Il cassait absolument tout dans sa chambre, envoyant tout balader en criant sa haine et sa rage, son injustice et sa frustration. Il avait été une fois de plus le martyr de son père, mais pour rien cette fois-ci. Carrycus était simplement rentré du travail, passablement irrité et avait emmené Orion dans son bureau pour une énième séance de torture. Celle-ci avait été particulièrement sanglante, en plus de la ceinture, il n'était pas rare qu'il utilise des battons, des fouets ou même des sorts de magie noire. Maintenant, il était tout à fait familier au doloris et autre sorts impardonnables. Puis, comme si de rien n'était, il était sortit de cette pièce et avait décidé d'emmener sa mère manger dans un restaurant chic, le laissant pour presque mort sur le sol froid de cette prison. Alors, quand ils étaient partis, il s'était relevé en ignorant sa douleur et avait décidé de tout casser, de tout briser, qu'importe le prix de cette bêtise. Sa soeur, âgée de sept ans, rentra en courant dans sa chambre, paniquée par tout ce désordre qu'il faisait. « SORS ! » pesta-t-il en la voyant s'approcher de lui. « NE ME TOUCHE PAS ! ». Alerté par les cris, un des elfe de maison qu'ils avaient, arriva en courant et se précipita entre Orphée et lui. Ne se contrôlant plus, il attrapa la petite créature et commença à la ruer de coups, encore et encore jusqu'à ce que le sang salisse ses mains et se mette à couler sur le parquet de sa chambre, jusqu'à ce qu'il ne respire plus et ne réagisse plus à ses violences. Jusqu'à ce que ce que son cœur cesse de battre. Quand sa petite sœur réalisa que leur esclave était mort et qu'il ne servait à rien qu'Orion continue de le torturer, elle s'approcha de son frère, sans crainte et posa sa toute petite main sur son biceps. Il se retourna vers elle en levant la main, prêt à la frapper. Puis, il réalisa. Il se stoppa dans son geste, ses yeux s'écarquillèrent et il tomba en larmes dans les bras de sa sœur, fatigué.
Il n'avait que dix ans et déjà, sa transformation en monstre commençait. C'était son premier crime et il savait pertinemment que ce ne serait pas le dernier. Non pas parce qu'il y serait forcé, mais parce qu'il avait aimé ça.
Le soir, en découvrant le désordre monstre qu'il y avait eu dans le manoir durant leur absence, les parents des deux enfants montèrent dans les chambres de leurs enfants, paniqués à l'idée qu'on ait pu leur faire du mal durant leur absence. Pourtant, quand ils arrivèrent dans la chambre d'Orion, ce dernier dormait sur les jambes de sa petite sœur, alors qu'elle lui caressait gentiment les cheveux. Le corps de l'elfe de maison était déjà enterré dans le jardin, Orphée avait déjà tout prévu pour que jamais cet incident n'arrive aux oreilles de leurs parents. Sachant donc qu'ils étaient venus pour comprendre ce qu'il se passait, elle murmura tranquillement et sans peur : « C'est moi qui ai fais tout ça, père. Je suis la seule responsable. »
Et, alors que son frère dormait paisiblement après sa soirée agitée, Orphée reçut sa première punition corporelle juste pour protéger son frère.
*
Voilà quelques jours qu'Orion était à Poudlard, pour sa première année. Il s'était séparé à contre cœur de sa petite sœur, qu'il ne reverrait qu'aux prochaines vacances. Sans grand étonnement de la part de sa famille, il avait été envoyé à Serpentard et son père lui avait déjà envoyé une lettre le félicitant et en lui promettant une fière récompense puisqu'il avait surpassé son cousin sur ce terrain, puisque ce dernier avait été envoyé à Serdaigle, quelques années avant lui. Poudlard était comme il se l'était imaginé. Grand, illustre et plein de courants d'airs. Cependant, il ne s'attendait pas à ce qu'il y ait autant de sales sangs-de-bourbes. Son père l'avait pourtant prévenu que cette race commençait de plus en plus à prendre de l'ampleur mais il n'imaginait pas à quel point. Et toutes ces familles de sangs purs qui avaient tournés le dos à leurs origines pour se mêler à la foule : Black, Nott, Jugson, Pettigrew... Ou tous ces traitres à leur sang, comme les Weasley. Mais ça, encore... Ce n'était rien comparé à la descendance des soit-disant héros de la grande guerre. Ces espèces de sales hypocrites qui suivaient les traces de leurs parents ou grands-parents en révoquant la magie noire ou en encourageant les sales sangs de bourbes à exercer le don de sorcellerie et à devenir de bons sorciers. Tout ceci le répugnait et il s'était directement empressé de tout raconter à Orphée, par lettre. Par ailleurs, il ignorait son cousin avec qui, il ne s'entendait plus tellement bien. Au final, leurs pères ont finit par avoir ce qu'ils voulaient d'eux et une vraie rivalité est née entre eux. Orion, orgueilleux comme jamais, avait ce besoin de toujours être meilleur que lui, en tout. Cependant, jamais il ne l'a jalousé puisque pour lui, ce sentiment est digne des faibles et des moldus. Depuis cet été, en revanche, il pratique la magie noire et excelle dans ce domaine. Il n'a pas renoncé à en faire puisqu'il a emmené avec lui, des tonnes d’accessoires que son père lui a offert avant qu'il ne parte pour le château. Cette année, et il le savait, risquait d'être mouvementé.
*
Il était là, à regarder ce champ de bataille, son masque sur le visage et la respiration haletante. Tout ce sang, tous ces cris, toute cette peur. Ça lui donnait des envies bien sombres, celles de céder à ses pulsions. Mais il devait se retenir, l'Ombre ne lui avait pas donner pour objectif de tuer ou de torturer des personnes. Ou tout du moins... Pas encore. Il aperçut sa victime, parmi la foule et esquissa un sourire sardonique. Toutes ces années sous la coupe de son père n'avait en rien arrangé la situation d'Orion. A présent, il était aussi beau qu'il n'était dangereux, aussi fascinant que sanguinaire. La magie noire n'avait presque plus de secrets pour lui et il avait comme but de faire revenir l'ancien ordre des mangemorts, avec lui à sa tête. Il était né pour diriger le monde, il le savait. En ce trente-et-un octobre deux-milles-vingt-et-un, à Pré-Au-Lard, il sentait revigoré, comme une bouffée d'oxygène qu'il venait de prendre après de longues années endormis. C'était sa dernière année à Poudlard, et il comptait bien montrer qui il était véritablement et ce qu'il avait dans le ventre.
Il était le mal en personne et il le savait parfaitement bien. Ainsi, déterminé, il se mit à courir après la proie que lui avait choisi l'Ombre et ricana légèrement en la voyant hurler de peur. Effectivement, elle avait de quoi être terrorisée.
Dernière édition par Orion H. Dolohov le Mer 22 Mai - 20:24, édité 8 fois
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 18:48
*Bénit ce nouveau perso sous une pluie de :arté: *
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 18:49
Re-bienvenue chérie. J'aime déjà ton Orion !
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 19:09
OMFG JE L'AVAIS DIS TROP UN BEAU GOSSE enfin bref reuh bienvenue!
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 19:32
QUEL ACCUEIL. :nomnom:
Arté > Merci bien pour cette pluie de cookie - et de bave - je me sens aimé, très chère.
Chouchou > Ma chouchouuuu ! Va nous falloir un lien avec mon dernier petit bonhomme, il te ressemble beaucoup.
Matthew > Merci bien, mon brave.
Sala > Huhu. Tu me flattes, Sala. T'inquiètes, bichette, on se fera un lien.
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 19:55
Re bienvenue
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 20:28
Rebienvenuuuuue.
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 20:56
Abraxas > Pas aussi seksi que toi, mon mignon.
Damian > Merciiiiii.
Merry > Merci mon crocodile. :nomnom: T'as vu, j'ai pensé à toi en faisant ma fiche, le patronus d'Orion est un vilain croco.
Dorea > Thanks Potter !
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 21:05
Orion H. Dolohov a écrit:
Merry > Merci mon crocodile. :nomnom: T'as vu, j'ai pensé à toi en faisant ma fiche, le patronus d'Orion est un vilain croco.
Waaaah une dédicace pour moi.
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 21:10
Orion H. Dolohov a écrit:
Comment as-tu connu le forum ? Tu vois, y'a une fille, qui s'appelle Mary, et ben, elle m'a attiré dans sa camionnette de pédophile avec des bonbons, et après, POUF. On a atterrit ici. C'est pas trop DINGUE ?
Alors ça c'est incroyable, il m'est arrivé exactement la même chose
Re bienvenue Lizzie & fais nous rêver avec ta fiche
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Lun 5 Nov - 21:30
Citation :
Tu vois, y'a une fille, qui s'appelle Mary, et ben, elle m'a attiré dans sa camionnette de pédophile avec des bonbons, et après, POUF. On a atterrit ici. C'est pas trop DINGUE ?
*rigole* fifolle! rebienvenue ! *___*
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Mar 6 Nov - 0:52
ReBienvenue Ahah un perso homophobe Bon courage pour ta fiche
L'histoire de la camionnette m'a bien fait rire Perso c'est Hindy qui m'a kidnappé *sbaf*
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Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Mar 6 Nov - 3:33
ah ouais quand même, autant de comptes ? Rebienvenue
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Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Mar 6 Nov - 6:51
Bienvenue à nouveau ma lupine
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Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Mer 7 Nov - 8:53
Rebienvenue, petite folle ! Attention à ce que tu racontes sur moi, ou sinon, panpan cucul ! Tu connais la maison mais n'hésite pas en cas de question
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Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Mer 7 Nov - 18:01
HAOOON. J'aime cet accueil ! JE VOUS FAIS TOUS DES BÉBÉS !
Merry > Une dédicace pour toi, et rien que pour toi, Merry ô gentil crocodile.
Brea > NOUS SOMMES DES VICTIMES DE MARY. Je te propose qu'on aille la kidnapper à notre tour et qu'on l'enferme à double tour dans sa camionnette de pédophile (oui, c'est une Kangoo ! ) Merci en tout cas, Brea-jolie.
Abso > Entre fifolles, on se comprend ! Merci mon petit haricot des bois.
Skyler > OMG. Nous sommes entourées de kidnappeuse de rpgiste. LE MONDE EST FOUUUUU. Et sinon.. Oui, un homophobe. Ca change un peu, vous nous avez envahit bande de coquinou, alors j'ai décidé de TOUS vous faire trembler. MWAHAHAHAHAHA. On aura un lien, comme ça. *huhu*
Sirius > OUIIIII. J'aime ta culture sériesque. Merci Potter !
Loki-Chou > Sois pas jalouuuuux, toi aussi un jour, on t'autorisera à créer ton DC. Mais t'es encore trop jeune et trop naïf pour cette expérience. Et t'inquiètes, tu auras toujours autant l'attention de ta Apri chérie. Merci, en tout cas ! :nomnom:
Adel > Merci mon Adelouuu !
Byby > Tu me connais, je suis A-DO-RA-BLE. Je n'hésite jamais quand j'ai des questions, tu le sais bien. Merci Lizry, en tout cas !
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Mer 7 Nov - 18:03
Va te démaquiller et on en reparle :nomnom:
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Mer 7 Nov - 18:33
Je crois que ce personnage, je vais beaucoup plus l'aimer que l'autre blonde REBIENVENUE et je compte sur toi pour nous vendre du rêve avec Hook
Invité
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Mer 7 Nov - 20:18
Loki-Chou, la jalousie, ça te va pas du tout.
Angiiiiie. Je suis ravie que mon petit Orion te plaise ! Il nous faudra un lien entre The Hunting & Hook. *sort* Et pourquoi pas avec ta blonde, aussi.
Alesya Y. Lestrange
HRIen depuis le : 25/08/2011 Parchemins écrits : 5504 Statut : » FIANCEE A VLAD KARKAROFF
“ LUMOS & NOX „ ϟ PLAYLIST:
Sujet: Re: it would destroy us ♆ (dolohov) Dim 11 Nov - 8:18
Il faut vraiment que je fasse le scénario de ta cousine è_é ! Bienvenue à nouveau sinon, et cette fois, Alesya va vouloir te manger
Félicitation & bienvenue
“ Serpentard assoiffé de pouvoir et d'action Recherchait en chacun le feu de l'ambition. „
Ton travail et ta détermination ont porté leurs fruits et te voilà désormais pleinement membre de HRI ; pour cela, nous te remercions et te félicitons, bienvenue dans la famille ! Tu peux dès à présent poster dans l'intégralité du forum, y comprit le flood et les jeux.
TOUTEFOIS…
Pour bien continuer ton aventure parmi nous, il te faudra créer un carnet de relation ( ICI ) et pourquoi pas un répertoire de RP ( ICI ) . Tu pourras également demander un lien pour personnaliser ton profil ( ICI ) mais surtout n'oublie pas d'aller réserver ton avatar ( ICI ). Si ton personnage a des parents tirés de la saga, il te faudra aussi remplir un formulaire ( ICI ). Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff, ils sont là pour ça ! Enfin, pour finir, si ce n'est pas la première fois que tu t'inscris sur HRI, n'oublie pas d'aller recenser ton deuxième (peut-être même troisième) compte ICI!